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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Tu adaptes comment ? Tu passes d'un braquet beaucoup trop gros à un braquet trop gros ? 😸
  2. Ça ne m’est arrivé qu’une fois mais quand ça vous arrive, ça vous marque à vie : actionner les freins en descente de col sous la flotte… et ne pas ralentir d’un km/h. J’avais négligé de « sécher » les jantes par petits coup de freins répétés. Après ça, je ne l’ai plus jamais oublié sur mes vélos à patins. Il m’arrive encore de le faire, par réflexe, avec mes freins à disque !
  3. Surtout lorsqu’un camp se montre ouvertement incrédule voire dénigrant envers l’autre. Je me pose souvent la question: c’est si difficile que ça de reconnaître qu’on n’est pas le centre du monde? C’est-à-dire d’admettre que d’autres personnes que soi peuvent vivre des expériences complètement différentes de la nôtre, tout en étant aussi réelles?
  4. Je ne crois pas, pas de cette façon-là. Ce n'est pas le froid qui est un problème pour le liquide de frein, mais la chaleur excessive, au contraire, celle subie par les disques lors du freinage et transmise au liquide via l'étrier. Par contre, ce fil me fait aussi penser à un problème d'eau infiltrée dans le circuit. Il y a deux types de liquides de frein : les huiles minérales, non standardisées, et les liquides conformes au standard DOT 5.1 (ces derniers aussi utilisés pour les automobiles) Les huiles minérales (Shimano, Campagnolo, TRP…) sont hydrophobes et ne se mélangent donc pas à l'eau. Elles conservent donc leurs température d'ébullition (généralement entre 200° et 250°). Mais si de l'eau rentre quand même dans le circuit hydraulique, elle reste donc bloquée quelque part, généralement près de l'étrier, et cette partie-là se change rapidement en gaz si la température à l'intérieur de la durite dépasse les 100°, ce qui est fréquent lors de freinages répétés et intenses. Résultat, invasion de bulles d'air dans le circuit et on freine «dans le vide». Les liquides de frein au standard DOT 5.1 (utilisés par Sram, surtout), de température d'ébullition très élevée, (250°) sont hydrophiles, ils se mélangent donc à l'eau. Elles ne présent pas a priori le problème précédent. En revanche, le mélange avec l'eau diminue leur température d'ébullition, et s'il en rentre suffisamment dans le circuit, on risque de se retrouver avec le même phénomène que précédemment. Ces phénomènes sont excessivement rares et à vrai dire je n'ai vu ni entendu parler de personne autour de moi qui l'aurait subi. Mais le danger existe potentiellement quand même. Si le dispositif de freinage est très ancien, en mauvais état ou mal monté, c'est peut-être une piste à suivre.
  5. Je connaissais, Bernard Moreau, je crois, avait déjà du poster ce film. Ça te tenterait, toi aussi ? 😇
  6. Lui se débrouille mieux que moi : il a trouvé le truc pour rouler vent dans le dos même quand il est de face ! https://www.midilibre.fr/2019/05/21/willy-43-ans-montpellierain-signe-particulier-fait-du-velo-a-lenvers-assis-sur-le-guidon,8213228.php
  7. J'habite à Bruxelles, mais je n'y roule à vélo en général que pour en sortir et y rentrer. Le reste du temps, mes trajets cyclistes consistent en une alternance d'autres villes et de quelque chose que tu n'appellerais sûrement pas la campagne. Je crois que tu ne pourras pas vraiment te représenter ce qu'est le Brabant (et plus loin encore), puisque tu n'as probablement jamais vu son équivalent : c'est une sorte d'immense conurbation, des maisons un peu partout et des routes qui partent dans tous les sens. Partout. Entre tout cela, des maisons, des pâtés de maison, des champs, des canaux, des petits bois. Très peu de véritables forêts (sauf la forêt de Soignes, au sud de Bruxelles, la plus grande forêt du nord de la Belgique avec ses… 4000 ha), On passe en fait son temps à aller d'une zone urbaine ou semi-urbaine à une autre, avec souvent aucune véritable possibilité de savoir quand on a quitté l'une pour entrer dans l'autre. C'est une gageure de faire 100 m sans voir au moins une habitation dans son champ de vision, c'est impossible qu'il se passe une minute sans croiser au moins une personne, une cycliste, une voiture, etc. « Un village à l'échelle planétaire », disait mon Guide du Routard de la Belgique quand je suis arrivé dans le pays… et c'est assez bien décrit ainsi.
  8. Ce que tu dis n'est pas valable pour moi, ni pour aucun cycliste du même endroit. Ça fait plus de 20 ans que je roule à Bruxelles et en Brabant et je ne peux toujours pas prétendre connaître parfaitement les routes locales. Dans un rayon de 30-40 km autour de la capitale, la densité du réseau routier est proprement ahurissante, et même au-delà elle reste bien supérieure à la moyenne française. Je n'aurai peut-être pas assez du reste de ma vie pour connaître l'endroit comme ma poche, d'autant que ce réseau est en lente mais constante évolution. Je n'utilise pas (encore) de GPS, ou rarement, et dans ce cas je me sers de mon smartphone qui est fixé sur la potence, mais je peux donc certainement en voir l'utilité : même si ça m'arrive de moins en moins souvent il m'arrive encore de me perdre, ou de tourner en rond, si je m'écarte un peu de parcours que je connais déjà. Ceci dit, je trouve que cela fait aussi l'attrait des routes de l'endroit : on n'est jamais à l'abri d'une surprise. 🙂 Et c'est essentiellement pour cela que je ne me sers pas de GPS en temps normal.
  9. Après coup, je regrette un peu de n'avoir pas regardé. J'ignorais que le parcours faisait un large crochet par le Pays des Collines dans le Hainaut. Ils donc sont passés par des côtes que je grimpais souvent quand je vivais à Tournai : La Houppe, le Hameau des Papins, le Bourliquet, lee Mont-Saint-Laurent, la côte de Trieu… Ça m'aurait rappelé de chouettes souvenirs ! Je vais essayer de trouver une rediffusion…
  10. 56 km aujourd'hui, vers l'est puis le sud de Bruxelles : Tervuren, Huldenberg, Overijse, Hoeilaart, La Hulpe et retour par la forêt de Soignes. Parcours cette fois un peu plus vallonné, et de meilleures sensations que lors des sorties précédentes. Mais la route est encore longue avant de retrouver une forme correcte. Temps variable, de 6° à 10°, généralement couvert avec quelques éclaircies, et quelques mini-crachins. Vent sensible mais supportable (même pour moi).
  11. J'espère que Tratnik va remettre une bonne partie de ses primes de victoire à Politt, qui a fait clairement l'essentiel du travail pour lui, y compris dans les dernières centaines de mètres !!
  12. Il y a tellement d'accents différents dans la langue néerlandaise, des Pays-Bas à la Flandre, et ce dans un espace géographique restreint (j'exclus le Surinam ;-)), qu'on risque d'avoir le vertige à vouloir les recenser. L'accent « hollandais », des environs d'Amsterdam, Rotterdam, La Haye, etc, en est un, et tous les Belges que je connais, francophones comme néerlandophones, m'affirment qu'ils trouvent aussi cet accent très moche, avec des sonorités très gutturales et des accents toniques très prononcés. Mais les natifs de Hollande méridionale et septentrionale doivent, pour la plupart, le trouver cet accent le plus beau du monde, puisqu'ils sont nés dedans 🙂 Et d'autre part, il n'y a pas que la Hollande dans les Pays-Bas, Les habitants du Limbourg néerlandais et de Zélande, par exemple, parlent le néerlandais de façon toute différente. Et c'est bien sûr encore plus vrai en Flandre, qui a sa propre variété d'accents. Finalement, tout est subjectif dans ces histoires d'accent. J'ai toujours trouvé l'accent parisien assez moche, mais si j'avais grandi à Paris, j'en aurais un avis probablement très différent 🙂
  13. Ce n'est pas si difficile, ça se prononce approximativement « Heutt Nioussblatt ». Mon avis diffère quelque peu de celui de Michel quant à la traduction précise à donner à « Het Nieuwsblad ». C'est en fait un nom composé, comme il y en a tant en allemand et en néerlandais. « Het blad » signifiant la feuille (d'arbre) mais aussi le journal, ou la gazette, et « Het nieuws » les (dernières) nouvelles, l'actualité, etc. La conjonction des deux est difficile à rendre littéralement en français : « le journal de l'actualité» serait une traduction littérale mais inélégante.
  14. La Galice n'est pas réputée pour la clémence de son climat. Comme toute la côte nord de l'Espagne, son climat est de type océanique : relativement doux, venteux, pluvieux. Bref, proche de celui de la Bretagne, ou de la Belgique… 😛
  15. Pas la carrure d'un grand champion… Peut-être, mais quand même, je crois qu'on peut parler de champion : champion du monde, justement (deux fois), Flèche wallonne (deux fois), Milan-San Remo, Flèche brabançonne, meilleur grimpeur du Tour et vainqueur de plusieurs étapes, Clásica San Sebastián, etc. Ça ferait déjà baver d'envie beaucoup de cyclistes, et pas seulement français. 31 ans n'est pas un âge canonique pour un cycliste, il vaut mieux être prudent avant de l'enterrer comme trop de monde le fait.
  16. Ça aide, et ça aide également d'être d'un solide gabarit 😉 Les crevettes dans mon genre ressentent bien plus fortement les inégalités de la route, même avec des pneus de 30 mm gonflés à 4 bars (tubetype).
  17. C'est pour pouvoir accompagner la Schtroumpfette sur son VAE ? 🙂
  18. Sisisi, c'est encore une rareté mais ça existe ! Sur certaines autoroutes cyclistes de Flandre par exemple. La plupart sont toutes récentes, donc l'asphalte est flambant neuve et impeccable… pour le moment.
  19. Houla, aucun braquet fixe, ça dépend de pleins de facteurs, même si le terrain est plat : la force du vent, l'environnement découvert ou non, la nature de la route (béton, pavé, asphalte régulier), et bien sûr la forme et l'envie de me faire mal. Généralement je suis sur mon plateau médian (34 dents) quand le vent est défavorable, et suivant tous ces paramètres le braquet peut varier, disons, de 34/17 à 34/27…
  20. 46 km pour moi cet après-midi, après le boulot. Comme pour Nicolas, temps couvert, pas de pluie, mais par contre un vent très sensible… ou alors c'est mon allergie prononcée à Éole qui me le rend plus sensible que pour d'autres. Trajet globalement plat à quelques ondulations près, à l'est de Bruxelles. Autoroute cycliste F3 de Bruxelles à Veltem-Beisem près de Louvain, retour vent défavorable par Bertem, Leefdal et Tervuren, où j'en ai pas mal bavé, surtout sur les portions découvertes. La recherche de la forme perdue se poursuit !
  21. Si ma mémoire ne me joue pas des tours, lors de notre sortie hennuyère d'il y a trois ans avec Philippe, Eric, Michel, toi et moi, il y a eu justement des moments où on allait bien plus vite que que 42-45 km/h sur le plat dans ce « peloton» de cinq… (merci Eric !!). Peut-être que Michel a le même genre de blocage psychologique que moi sur le plat (en beaucoup moins prononcé que moi quand même) ? 😎
  22. Blague à part, on l'a relevé avant moi mais l'évolution actuelle des braquets fait en sorte, justement, qu'on ne devrait plus guère changer de plateaux ou de cassette selon le terrain. C'est un confort supplémentaire. Minime, certes, pour ceux qui (comme moi) savent facilement changer eux-mêmes leurs dentures, mais un confort supplémentaire quand même. Et pour ceux, nombreux, qui justement ne savent pas changer leurs plateaux ou leur cassette, c'est d'autant plus appréciable.
  23. Maismaismais qui c'est qui râle quand il doit réinstalller ses braquets brabançons à chaque fois qu'il revient de Fumay ou des Vosges ? 😇 (Désolé Michel, qui aime bien châtie bien !)
  24. Un double plateau du genre 46-34 pourrait te convenir, si ça se peut se trouver en ovale. Avec 34/25 comme plus petit braquet, tu aurais moins souvent à changer de plateaux ou de cassette quand tu diriges vers les Ardennes ou les Vosges.
  25. Moi qui utilise en permanence une cassette 11-34, les "trous" entre le 11 et le 13, et entre le 13 et le 15, ne me gênent absolument pas : je n'utilise le 11 et le 13 dents strictement qu'en descente, avec le plateau de 46 dents, et à haute fréquence de pédalage (en général 100-120 tours/minutes). Cette haute fréquence et (surtout) la pesanteur aident grandement à passer d'un de ces pignons à un autre 🙂
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