Franck PASTOR

Oh mais mon but ne serait pas forcément de faire la course avec elle, d’ailleurs Michel sera là pour ça 😏Moi je compte grimper à mon rythme (variant entre 7 et 12 km/h dans le passage pentu suivant ma forme et mon envie de me faire mal) et de voir la différence entre Michel et elle. Ce sera peut-être plus intéressant pour moi de grimper à 7 km/h mini, vitesse à laquelle je n’ai aucune souffrance grâce à mes braquets (24/34 mini dans ce Smeysberg). Comme cela je lui expliquerai ma philosophie du braquet par un exemple concret. 🙂

Je m'en doute, mais paradoxalement je n'ai jamais vu de VAE dans cette côte-là (et pourtant je l'ai grimpée très, très souvent). Du moins je n'y ai jamais vu de VAE reconnaissable en apparence. À croire qu'il fait peur même aux E-bikers! Je suis curieux de voir la différence de vitesse que l'assistance peut faire dans un mur comme celui-là. Et puis si les deux tourtereaux sont d'humeur on pourra enchaîner avec la Moskesstraat juste après :-))

Cette selle, c'est une Brooks B17, non? Si la position est très redressée, comme elle semble l'être vue la hauteur du guidon et son orientation vers le haut, elle peut en effet lui convenir. À vue de nez, le braquet minimal installé est de l'ordre de 34/32 ou 34/34. Elle pourrait grimper pas mal de bosses sans assistance avec ça. Pas les plus dures, ceci dit. On se donne rendez-vous tous les trois au pied du Smeysberg un de ces jours pour un test ? 🙂

D'où son envie maintes fois exprimée de migrer vers la France et des cieux plus cléments. Évidemment, il y aura d'autres problèmes. Et non des moindres, être entouré de Français, ce qui n'est pas forcément évident à tolérer pour un Belge. 😁 Mais hélas, la perfection n'est pas de ce monde…

Qui peut vivre sans «pression» ? Sans aiguillon, projet ou motivation de toute sorte, on passerait sa vie comme un légume. Fais confiance à un ancien dépressif («dé-pressif»…) pour l'avoir compris. La différence entre la «période active» et la «retraite», c'est que la pression ne viendra plus d'un employeur. Alors, quand ce n'est pas l'entourage proche qui s'en charge, on s'impose soi-même cette pression, idéalement dans un ou des domaines conformes à ses goûts. Généralement, on la vit alors bien mieux cette pression-là, mais elle est bien présente (même si on n'en a pas conscience), et heureusement. 😎

C'est ce qui s'appelle la retraite façon Schtroumpf paresseux. De mon côté, les jours de pluie je vois pas mal de cyclistes autour de moi qui ont largement l'âge de la pension. De vrais passionnés, ceux-là, prends-en de la graine ! 😛

Apparemment pas, puisque tu es tenté par le VAE. 😇 Edit : M…, j'ai mordu à l'appât…

Sinon, les petits braquets, ça marche bien aussi. 😇 Oui, bon, je sors…

Pas encore vu de panneaux retournés en Belgique. Comme je vis dans ce pays, quand je disais «outre-Quiévrain», je voulais dire «en France» 🙂 D'ailleurs c'est plus logique ainsi, la commune de Quiévrain se trouvant en Belgique (juste à côté de Quiévrechain qui elle se trouve en France). https://fr.wikipedia.org/wiki/Quiévrain

6° C ici ce matin au départ, mais routes absolument pas sèches. Les routes et surtout les pistes cyclables étaient complètement détrempées, au contraire, et bien crades en plus. 65 km du côté de Rhode-Saint-Genèse, Alsemberg, Braine-l'Alleud et Waterloo, pour le plaisir (relatif, pour l'une d'entre elles…) de découvrir quelques bosses signalées par Climbfinder que je ne connaissais pas. Les plus remarquables (pour des raisons bien différentes) étaient ces deux-là, toutes deux à Braine-l'Alleud : Le chemin des Sept Fontaines : il n'y a qu'en Belgique et aux Pays-Bas qu'on peut considérer qu'une horreur pareille est, je cite Climbfinder, «accessible à un vélo de route»… Peu pentue mais longue et pavée tout du long. Ces pavés sont vraiment atroces, ceux du Koppenberg font figure d'asphalte suisse à côté ! Et en plus ils étaient souvent recouverts de boue et de feuilles mortes… À éviter absolument si on a des pneus fins, malgré un très joli paysage (ma roue arrière glissait régulièrement malgré son pneu de 30 mm et j'ai même dû mettre pied à terre sur un passage boueux où le vélo faisait du surplace). https://climbfinder.com/fr/montees/chemin-des-sept-fontaines-dworp le Mont-Saint-Pont : belle bosse agréable à grimper au milieu de belles maisons à la lisière de Braine-l'Alleud et Waterloo, avec un passage pentu qui surprend, le 11% indiqué par le profil me semble sous-estimé. https://climbfinder.com/fr/montees/mont-saint-pont-chemin-de-la-carriere Au sommet, un curieux château d'eau qui malheureusement aurait bien besoin d'une réfection: https://connaitrelawallonie.wallonie.be/fr/culture-et-patrimoine/patrimoine/chateau-deau-de-braine-lalleud

Normal si on est rôti à la broche 🙂 À propos de l'épidémie de panneaux retournés en ce moment outre-Quiévrain: https://www.midilibre.fr/2023/11/23/panneaux-retournes-tout-comprendre-sur-lorigine-et-les-raisons-de-ce-mouvement-agricole-qui-se-propage-partout-en-france-11597528.php

Oui…

Tant mieux 🙂 Je pense pas pouvoir faire mieux. Peut-être installer des trucs réfléchissants sur les roues si tu roules régulièrement de nuit. Pour augmenter aussi les chances d'être vu par les automobilistes venant sur le côté… J'ai mis des sortes de clips réfléchissants sur les rayons des roues de ma randonneuse, c'est assez bluffant.

Malheureusement, et c'est du vécu, si tu conduis une voiture alors qu'il fait très sombre, et si tu ne vois que la lumière clignotante et pas le cycliste sur le vélo parce que cet inconscient est tout en noir, tu te retrouves très proche de lui avant de réaliser ce qu'il y a derrière cette lumière clignotante. Surtout quand ton attention est distraite par toutes les autres lumières, clignotantes ou non, de la ville, ou par la circulation tout autour de façon générale. La sangle ou le gilet fluorescent sur la veste en plus de la lumière sur le vélo, c'est déjà bien mieux. Ça donne «corps» au cycliste la nuit, l'automobiliste sait donc à quoi il a affaire… Mais parfois on n'a pas pris le gilet (de peur d'avoir trop chaud par exemple, ou qu'on n'avait pas prévu de rentrer la nuit et qu'on a crevé en cours de route, etc) et on se fait surprendre par la nuit. Vécu aussi. Quant aux bandes fluorescentes sur ces gilets et sangles, elles sont bien visibles… quand les phares des voitures sont allumés. Autrement, elles ne servent à rien. Par exemple lorsqu'il fait encore jour mais que le soir tombe et que les phares des autos ne sont pas encore allumés malgré qu'il fait déjà sombre. Ça encore, j'ai pu le constater en conduisant. En résumé : il vaut mieux cumuler les précautions. Éclairage ET veste de couleur voyante ET gilet ou sangle blanc/jaune/orange fluorescent avec bandes réfléchissantes par-dessus la veste dès qu'il fait sombre (pas seulement quand il fait nuit). Et réflecteurs de lumières sur le vélo aussi, tant qu'à faire, si c'est possible. Pour ma part, j'ai toujours un mini-gilet blanc à bandes fluorescentes dans ma sacoche de selle en cette saison, que j'enfile par-dessus mes vêtements dès qu'il fait sombre. En plus de mon éclairage (clignotant ou fixe, au choix) et de couleurs vives. Oui, je suis parano, mais je préfère prendre trop de précautions que pas assez.

Et justement, ça m'énerve au plus haut point que la plupart des tenues cyclistes hivernales soient proposées en noir, parce que vu le manque de visibilité en hiver dans la circulation, les vestes hivernales devraient être les plus voyantes possibles, au contraire ! Je ne compte plus le nombre de fois que je suis surpris en voiture par des cyclistes que je repère au dernier moment, y compris de jour par temps bien gris. Et à chaque fois bien sûr il sont habillés tout en noir. Même s'ils sont éclairés, ça ne change pas grand'chose, du moins en pleine ville parce qu'alors ce ne sont que des lumières parmi mille autres…

Dans le noooord, on a de la chance, on peut avoir vent du nord et grisaille à la fois. Que du bonheur !

Centre du Brabant : pas mieux. 🙁 Va falloir que je sorte la bécane ce week-end pour me changer les idées. 😎 (Comment ça, ma santé mentale ne s'arrange pas ? 😡)

[Mode serieux = on] Tu oublies la densité de population et de circulation encore plus élevée par chez moi que par chez toi, puisque je vis à Bruxelles même. Ça me contraint à emprunter très souvent des routes ultra-fréquentées, à pistes cyclables obligatoires, pistes sur lesquelles viennent s'accumuler toutes les saletés de la route, dont la boue sablonneuse. Sans parler du véritable sable répandu sur ces pistes à proximité des nombreuses zones de travaux citadins. Et quand je me suis éloigné suffisamment de Bruxelles (forêt de Soignes exceptée), je rencontre alors des routes plus champêtres, mais souvent bétonnées, souvent en mauvais état, toujours parfaitement imperméables, pas mal d'entre elles étant en fait à l'origine des sentiers sinuant au milieu des champs où passent régulièrement des engins agricoles qui recouvrent ces pistes de boue. Mais ça, tu connais aussi bien que moi…

Je vis dans la même région que le Schtroumpf, et je mets régulièrement le 24/34. D'une part parce que je passe souvent par des routes qu'il n'emprunte pas, ou très rarement, genre le Kardaan et ses 24% pavés (et en plus les pavés augmentent toujours la sensation de pente), et d'autre part parce qu'on n'a pas le même style de pédalage. Lui ne voit aucun problème à passer les obstacles en force, moi je n'aime pas. Alors dire que la cassette 11-34 ne sert à rien chez lui… c'est valable pour lui et sa pratique du vélo dans la région, et sans doute pour d'autres. Pas pour moi ni sans doute pour d'autres encore. Les généralités absolues, en matière de braquets, ça n'existe pas. À Grenoble, ma région montagneuse d'origine, il y a pas mal de gens qui roulent en mono-vitesse tandis que d'autres ont des développements proches voire encore plus petits que les miens. La raison en est simple : les gens en mono-vitesse se contentent de rouler à Grenoble même, plate comme les Pays-Bas — sauf la Bastille bien sûr 🙂 — et la vallée iséroise environnante tout aussi plate, et les autres vont grimper les sommets alentours — dont la Bastille s'ils ont ce qu'il faut en braquets.

Comme Michel je crois, j'utilise un bac de nettoyage portatif à roulettes (de marque Finish Line comme le lubrifiant) pour le nettoyage de la chaîne. Jusqu'à présent je me contentais d'un seul passage pour le nettoyage (faire tourner le pédalier une vingtaine de fois lorsque le bac est en place avec le liquide dégraissant dedans, puis nettoyage à l'eau savonneuse de la chaîne, et séchage). Je me suis aperçu récemment que cette opération ne suffisait pas toujours après une sortie sur routes bien sablonneuse (ce qui est toujours le cas en cette saison…).. En «tortillant» la chaîne à la main j'ai senti qu'il restait encore des grains de sable dedans… J'ai dû alors refaire l'opération une deuxième fois pour que la chaîne soit vraiment propre. Et pourtant je nettoie mes chaînes après chaque sortie en mauvaise saison (donc en ce moment). Je vais procéder à ce nettoyage plus approfondi à l'avenir, mes chaînes dureront alors peut-être un peu plus… Ceci dit, je ne m'attends pas à une énorme progression de ce côté. Tant que mes routes ne seront que des tapis de boue sablonneuse…

I wouldn't even think about it. 🙂

Ça tient plus longtemps par temps sec. Mais surtout ça résiste à la pluie bien plus longtemps. C'est la principale raison pour laquelle j'ai laissé tomber le WD40 comme lubrifiant.

Finish Line Wet Lube depuis pas mal d'années comme lubrifiant, après une longue période à utiliser du WD40. KMC X11 pour moi également comme chaîne. Mais j'arrive à bien l'allonger, moi (comme toutes les chaînes que j'ai pu essayer). Selon les conditions climatiques, roulant en Belgique, au climat souvent humide et aux routes souvent déplorables, la chaîne peut durer de 1000 km (en période de pluies fréquentes et routes sablonneuses) à 2500 km (en période de temps sec et routes — relativement — propres). Edit : pour mesurer l'allongement, je ne fie pas à des tests façon système D, j'utilise cet outil : https://www.lecyclo.com/fr-be/products/indicateur-et-testeur-dusure-de-chaine-de-velo-var

Ben oui : le morceau de verre, la grosse épine ou le silex 😉. Le reste relève du pur hasard, ou de la malchance si tu préfères. La cause de ma dernière crevaison, qui remonte donc à plus de trois ans (je touche du bois 😗), était un peu plus particulière : ce que j'ai retrouvé planté dans le pneu, c'était… une agrafe ! Tellement grosse qu'elle avait dû servir sur des cartons bien épais plutôt que sur des feuilles de papier. https://www.velo101.com/forum/topic/31080-votre-sortie-du-jour-2020/?do=findComment&comment=691756

Tant que ce n'est pas la peinture qui coule… 😸