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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Et tu n'aimes pas la mentalité des Français non plus, notamment leur agressivité sur les routes et leur chauvinisme. Où est donc ta place ? Peut-être dans un coin d'Alsace ou de Provence mais uniquement peuplé de Belges ? (Nicolas Joary devrait peut-être s'attendre à avoir un voisin venant de Hesbaye… 😇)
  2. @ Franck: ah mais je t'en prie, roule aujourd'hui, il fait magnifique! Rhoo le coup bas. 😡 On savait que les schtroumpfs faisaient des amis capricieux pas toujours d'humeur capables du meilleur comme du pire, mais à ce point ! 😸 La pluie, c'est désagréable, mais bien moins dangereux que le vent, lequel n'est pas prévu si fort que ça aujourd'hui. 😛 Je t'accorde qu'il faut nettoyer le vélo et les vêtements après et que c'est ch… mais en cette saison où les routes restent humides quasi en permanence il faut nettoyer la bécane même après les sorties «sèches», alors je ne vois pas trop la différence. Et puis un vrai Belge devrait être immunisé contre la pluie, non ? 😎 (Je crois que je vais demander ma naturalisation bientôt, je suis en bonne voie apparemment…)
  3. Pff, on n'est pas tous des schtroumpfs en sucre pour se calfeutrer à cause de quelques petites gouttes de pluie. Et je croyais que le vent était ton ami, alors pourquoi tu ne vas pas à sa rencontre lui dire bonjour, hein ? 😜 Les gars, vous connaissez pas votre chance d'être physiquement en état de rouler, vous devriez en profiter plutôt que de vous plaindre ! Moi c'est rechute de maladie infectieuse et à nouveau sous antibiotiques et arrêt de travail jusqu'à lundi, grrr ! 😡😡😡
  4. Je n'ai jamais fait la longue distance de LBL, qui intervient trop tôt dans la saison pour que je sois prêt pour elle, mais j'ai fait la distance intermédiaire (150 km) cinq ou six fois. Et j'ai fait deux fois Tilff-Bastogne-Tilff longue distance. Les problèmes que j'ai pu constater sont de deux ordres. Au niveau individuel, certains n'ont tout simplement pas suffisamment la technique du vélo, et ça se voit surtout en descente. Peut-être est-ce lié au fait que la grande majorité des cyclistes viennent des plats pays de Flandre ou des Pays-Bas, mais même sur de longues distances, on en trouve à descendre mains au cocottes, à freiner en permanence, et à se poster en plein milieu de la chaussée… Je vois ça systématiquement lors de toutes les randonnées ardennaise auxquelles j'ai participé. Visiblement ça n'en mpêche pas certains de tenir plus de 200 bornes, Les capacités physique et la technique sont deux domaines distincts ! Mais le pire, ce sont les comportement de groupes, lorsque ceux-ci se fichent complètement du code et des autres usagers. Et ça aussi c'est certainement indépendant de la distance. Certains groupes sont suffisamment disciplinés pour ne pas causer de problème. D'autres sont capables de dépasser des cyclistes plus lents alors qu'une voiture arrive en face et en prime d'engueuler le conducteur de la voiture s'il ose klaxonner en retour ! Vu sur une randonnée de 150 km, les Géants des Ardennes.
  5. Juste pour apporter ma petite contribution au débat : il m'est arrivé de faire 200 km et plus, dont une fois en montagne, sans aucune nourriture solide. Uniquement liquide, mais pas n'importe quel liquide. L'aliment liquide clé était la "boisson 640" d'Overstims, qui est toujours à leur catalogue. https://www.overstims.com/boissons-energetiques/aliment-liquide-640?gclid=Cj0KCQiAzoeuBhDqARIsAMdH14HbCQAp57m7X2x5TlwtHWSL9YOOwsKg30g3zra3S-iQlQMD5MT1ylgaAhveEALw_wcB Une fois préparé, ça donne un liquide assez épais qui ne désaltère pas vraiment ; il ne faut pas le boire comme on boirait de l'eau. On doit alterner avec une boisson énergétique isotonique, comme l'Hydrixir d'Overstims. Deux ou trois bouches pleines de boisson isotonique, une bouche pleine de 640, puis deux ou trois bouches pleines de boisson isotonique, etc (ce qui impose donc d'avoir au moins deux bidons sur son vélo). J'ai fait le BRA (Brevet de Randonneur Alpin), 260 km, et Tilff-Bastogne-Tilff, 250 km, comme cela, sans jamais ressentir le besoin de manger quelque chose de solide.
  6. Comme souvent, ce sont des comportements de groupe qui sont en cause…
  7. Première sortie de l'année : 20 km à une allure de facteur sur un parcours peu vallonné : Bruxelles-Wezembeek-Tervuren-Bruxelles. Temps doux (11°), mais venteux et un crachin constant alors que la météo prévoyait un temps gris (en effet) mais sec (non). Je récupère encore de cette fichue bronchite qui m'avait proprement allongé pendant presque deux semaines. Si la fièvre est définitivement tombée depuis une dizaine de jours, je tousse encore pas mal, et surtout j'avais tellement toussé pendant la maladie proprement dite que j'ai réussi à me froisser des muscles inter-costaux. Résultat, quand je tousse ou j'éternue, mêmes sensations que lorsque j'avais des côtes vraiment cassées l'année dernière : comme des décharges électriques dans la poitrine. À vélo, ça allait encore… sauf quand la route était cahoteuse. Et de façon générale, la forme est au niveau zéro. Bref, j'ai connu des périodes plus heureuses. Prochaine sortie : mystère. J'aimerais autant que ces douleurs intercostales aient disparu entretemps…
  8. Ce sera descendre en-dessous du 34/34 qui sera plus problématique, maintenant qu'ils ont retiré leurs triples du catalogue. Soit on prendra un pédalier ultra-compact du genre 46-30 ou plus petit (s'ils existeront encore, vu la progression du mono-plateau…), soit on utilisera une cassette plus large et moins bien étagée que 11-34, ce qui semble la voie choisie par les équipementiers actuellement (les cassettes du genre 11-52 ne sont plus rares en VTT, malgré leurs trous gigantesques). Mais la marge de manœuvre restera bien plus réduite que si on disposait encore de triples plateaux : il faudra toujours sacrifier quelque chose, les grands développements ou l'étagement… Mais je suppose qu'ils pensaient, avec le nombre de pignons dont on dispose maintenant, que cela n'affecterait qu'une faible minorité de pratiquants, par exemple ceux qui aiment grimper les cols difficiles et les murs sans disposer de moyens physiques exceptionnels. Catégorie de pratiquants dont je fais partie, malheureusement pour moi. Il n'est jamais bon d'être en marge 😕 Ce n'est pas ton cas, donc profite bien de ta nouvelle bécane !
  9. Certains ici, plus ou moins de la même génération, étaient plutôt Reiff ou Roelandts quand ils étaient gamins, je suppose. 😇
  10. Je suis déçu. Comme tu es Belge et probablement adepte des compromis à la belge, je m'attendais plutôt à te voir proposer un compromis de ce type : un pignon unique à mi-distance entre les deux. Donc comme (11+34)/2 = 22,5, pourquoi pas un pignon unique de 22 ou 23 dents à la place ? Couplé à un plateau unique de disons 44 dents (ovale bien sûr), voilà un braquet passe-partout qui satisfera les cyclistes, les vrais, les tatoués, ceux qui savent s'entraîner et souffrir sans se poser de question. Pfff, je vais devenir plus Belge qu'un Belge, moi…
  11. Le plus curieux, c'est que le nom de cette rue (plutôt particulier :-)) et ses images Google me disent quelque chose. Mais sans certitude. Si j'y suis passé un jour, ce n'est pas récemment. De fait, j'ai résidé deux mois à Hévillers puis Mont-Saint-Guibert alors que je faisais un stage de maths appliquées à Louvain-la-Neuve (j'étais encore Grenoblois à l'époque et c'était dans le cadre de mes études à l'université de Grenoble), et j'arpentais le coin à vélo lors de mes loisirs… mais c'était l'été 93 !
  12. T'es trop gentil, ça te perdra un jour. As-tu poussé le dévouement jusqu'à grimper quelques murs pour moi ? 😇
  13. Ça va te paraître présomptueux, mais je pense que si. (*) Généralement, je grimpe à 200 watts, ou un peu moins, sur une ascension de 1000 m environ de dénivellation (beaucoup d'ascensions grenobloises sont de ce type). Maintenir cette puissance sur une assez longue période (une heure environ) est donc dans mes cordes. Sur une pente de 20% de moyenne, en supposant que mon poids total cycliste-vélo tout équipé est de 75 kg (poids un peu surestimé, mais ça vaut mieux que le contraire), un rapide calcul m'apprend qu'il me faudrait grimper à 5 km/h de moyenne pour respecter cette puissance de 200 watts. Avec le 24/34 actuel de mon vélo de route, c'est peu probable que je maintienne une cadence qui me convienne pour rouler à 5 km/h. Mais le minimum que je peux monter sur mon vélo de route (qui n'est pas équipé comme un route ordinaire:-)), c'est 24/40. Avec ce braquet-là, il me faut tourner à 65 tours/minutes pour rouler à 5 km/h (circonférence de roue : 2,13 m). C'est pas mal forcer pour moi, mais c'est supportable. Pour certains ici, ça leur paraîtrait même une cadence à se mettre les jambes autour du cou, n'est-ce pas ? 😜 Et donc en une heure environ, j'aurais grimpé ce mur. (*) Pas dans mon état actuel, c'est sûr, récupérant d'une méga-bronchite… Edit : tout ceci suppose que les pourcentages effectifs de la route ne varient pas trop autour de 20%… s'il y a de longs passages à 30% et plus, le 24/40 pourrait ne pas suffire, et je pourrais même avoir du mal à ne pas faire cabrer le vélo !! Un braquet du genre 24/45 serait plus adapté, c'est d'ailleurs le rapport minimal qui peut équiper mon autre vélo, un gravel, qui est muni d'un moyeu Rohloff. Malheureusement ce vélo est nettement plus lourd, 14 kg tout nu.
  14. Gris, doux et sec, en résumé le temps qu'il fait du côté de Bruxelles. J'ai repris le boulot, mais ne me sens encore pas prêt pour reprendre le vélo…
  15. Chez moi, c'est la température… corporelle qui est enfin en baisse : grande nouvelle, c'est mon premier jour sans fièvre depuis dix jours ! 🤐 En cause une sale bronchite qui m'arrache la gorge à chaque quinte de toux. Apparemment d'origine non virale mais bactérienne, cas peu fréquent. Maintenant qu'elle est traité aux antibiotiques, ça va progressivement mieux mais elle prend tout son temps pour partir ! Il a gelé cette nuit, il fait grand soleil en ce moment. Mais je suis encore bien trop faible pour sortir le vélo. Demain si l'amélioration se confirme, je me contenterai d'une sortie à pied si le temps se maintient. Peut-être lundi après-midi ?
  16. Se remettre en selle n'est pas à prendre au sens propre puisqu'en remontant sur son vélo, Van Aert a fait sauter sa selle. Il a dû terminer sans… heureusement il était tout proche de l'arrivée. https://www.rtbf.be/article/wout-van-aert-satisfait-de-sa-victoire-a-benidorm-malgre-sa-chute-j-ai-du-parcourir-les-derniers-metres-sans-selle-11316594 https://sporza.be/nl/2024/01/21/video-zadel-van-wout-van-aert-vliegt-weg-hij-rijdt-zonder-naar-winst~1705850096864/
  17. Relis attentivement : il disait que ses fils à lui ne font pas de vélo. Ce n'est pas tout-à-fait la même chose que de dire que le VAE n'est pas du vélo…
  18. Sérieusement, qu'est-ce qui t'en empêche ? Tu n'as strictement rien à perdre. Ce n'est pas dans le Ventoux que tu souffriras de l'étagement, et le 34 dents diminuera probablement ta souffrance (certainement même, selon moi !) Et si finalement tu ne ressens pas le besoin de passer le 34 dents, il ne t'en voudra pas 🙂 et tu auras toujours ton 30 dents.
  19. Ben, justement… La principale sensation des pros, dans le Ventoux et ailleurs, c'est la souffrance. 😄 Bien supérieure à celle qu'on peut éprouver nous-même, puisque la pression de la compétition, de l'employeur, du résultat les conduit souvent à dépasser leurs limites. T'es partant pour connaître cette sensation-là ? 😸
  20. C'étaient des jantes Mavic alu, c'est sûr (je n'utilisais que ça à l'époque). Je ne me rappelle pas si elles disposaient d'un revêtement céramique ou non
  21. (Ce ton me rappelle quelqu'un… j'espère me tromper…) 50 km, c'est approximatif, parce que ça fait quand même une petite trentaine d'années, mais ça doit être une bonne approximation, vu ma connaissance du terrain. Sur ce parcours en montagnes russes, je dirais qu'il y avait un peu moins de 20 km de descentes tantôt sinueuses, tantôt rapides, dont une de 10 km, la dernière. Pour info, c'était au Balcon de Belledonne, près de Grenoble. J'habitais à 4 km de la première montée qui menait au balcon (de Murianette vers Corps puis Revel et les Roussets, pour les locaux), je suis redescendu du balcon pour me retrouver sur le plat à un peu moins de 10 km de chez moi (du col des Ayes à Froges, pour les locaux), où la pluie a été la plus violente — mauvais souvenir), et oui, j'ai freiné quasiment totalement en descente. Les quelques 13 km de plat, en ligne droite contrairement au très sinueux balcon, ne nécessitaient guère de freinage, sauf pour s'arrêter éventuellement à un feu rouge. Les patins n'étaient pas exactement neufs, ils avaient été montés deux ou trois sorties auparavant, il me semble. Après cette sortie, il devait rester dans les 2 mm de gomme au frein arrière, à peine plus au frein avant. J'ai vite changé les deux. C'étaient des patins Shimano, estampillés RX100, toujours si si ma mémoire est bonne. Ensuite, j'ai essentiellement utilisé des 105 avec porte-patins, et sinon des monoblocs Ultegra. En tout cas je n'ai plus jamais eu d'usure aussi rapide, même après les 160 km du challenge du Dauphiné en 1997, en plein Vercors et avec la pluie du début à la fin. Comprenne qui pourra mais c'est ainsi…
  22. Je suis doublement jaloux : surtout pour être coincé au lit par une sorte de grippe 😡, et d'autre part pour l'absence de neige ! Ici à Bruxelles, ce que je voyais aujourd'hui de la fenêtre de ma chambre était plus ou moins la même chose que pour Gérôme, niveau enneigement… mais en moins champêtre, forcément ! Demain après-midi et surtout lundi, redoux général annoncé… avec de la pluie. En général, dans le nord, l'un va avec l'autre. On passe de Charybde à Scylla, mais bon, Scylla est préférable, c'est bien connu. Au moins on peut pédaler sous la pluie… si on n'est pas malade…
  23. En effet : c'est tout simplement du VAE, vélo à assistance électrique. (La Palice, me voilà !) 😎 Soit dit en passant : appeler le vélo sans assistance du vélo «musculaire» est clairement inadapté, puisque le VAE sollicite aussi les muscles et donc est aussi, littéralement, un vélo «musculaire]. Appelons le vélo sans assistance «vélo» simplement, et appelons le VAE, «VAE». Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?
  24. Franck PASTOR

    c'es quoi ca??

    Je pense que c'est un ajusteur de tension du câble du dérailleur arrière. Quand il est placé ici, on peut régler le passage des pignons (en le tournant) sans avoir à descendre de machine.
  25. Tu ne l'avais pas dit, ça… du coup ça m'étonne beaucoup moins !!
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