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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. La maladie dont j'ai souffert la semaine dernière ne semblant plus qu'un mauvais souvenir, à part une légère toux résiduelle, je me suis permis une courte sortie citadine après le boulot cet après-midi. 36 km plutôt plats dans les environs est et nord-est de Bruxelles : Zaventem, Diegem, Machelen, Vilvorde, et retour via la N1 et Schaerbeek. Temps gris, venteux mais sec. Deux monuments intéressants au passage : l'église de Diegem, dont le clocher original me fait invariablement penser à une pièce montée ; À Vilvorde, au centre d'un rond-point et à proximité de l'ancien site de Renault-Vilvorde (certains se souviennent peut-être du scandale causé par la fermeture de cette usine en 1997), le « Poing », le monument en métal de 8 m de haut commémorant la lutte ouvrière contre cette fermeture. Petite piqûre de rappel sur cette affaire, en cas de nécessité : https://www.lavenir.net/regions/2022/02/27/cetait-il-y-a-25-ans-la-fermeture-de-lusine-renault-de-vilvorde-etait-annoncee-YQTNRQ54NFCNHET3SF6U6HDPZU/
  2. Ça ne me gêne pas qu'il continue, pour ma part. Par contre je me demande ce que son équipe peut trouver comme intérêt à le garder.
  3. Pour ma part, ça s'est déclaré jeudi matin : légère toux, courbatures, nez qui coule, sensation de fatigue générale. Pas de mal de gorge. Ça ressemblait à un gros rhume banal mais samedi matin la fièvre est venue s'y ajouter. Ce matin, la fièvre est complètement tombée (36,6), le nez coule nettement moins et les courbatures ont disparu. Restent la toux occasionnelle et cette fatigue prononcée. Je vois le médecin tout-à-l'heure, au passage j'en profiterai pour faire un test de détection du COVID…
  4. Docteur, je ne sais pas pourquoi, mais tout à coup Gargamel et Azraël me paraissent sympathiques. C'est grave ?
  5. Bande de veinards qui s'ignorent, vous, vous avez eu au moins la possibilité physique de sortir ! Pas moi, coincé chez moi par je ne sais quel virus/bactérie et 38,5 de fièvre, grrr ! Décidément j'aurai chopé toutes les cochonneries qui traînent cette année ! 😡😡
  6. Pour un VTT c'est assez gros, au contraire. La première chose à faire, si on ne tient pas à changer tout l'équipement d'un coup, serait donc de monter une cassette avec 30 dents ou plus au plus grand pignon, et voir si c'est suffisant pour se sentir à l'aise. Le VTT de mon oncle a d'ailleurs également un triple à 7 vitesses et 22/30 comme plus petit braquet, et c'était le montage originel de son vélo, qu'il n'a pas changé. Il est donc possible d'avoir 22/30 en standard avec 7 pignons. Si ce n'est pas suffisant pour se sentir à l'aise, il faudra carrément changer de groupe pour un autre avec plus de pignons, ce qui permettra d'avoir des braquets encore plus petits.
  7. Pour le grand plateau ça devrait être possible si le dérailleur avant peut être rehaussé suffisamment pour encaisser un 50, plus grand que le précédent de 4 dents. Mais le plateau intermédiaire doit être usiné spécifiquement pour faciliter le passage au petit plateau (et vice versa). Ce n'est pas le cas du plateau de 34 dents d'un pédalier compact 50-34. Il faut prendre un plateau intermédiaire conçu pour un triple. Chez Spécialités TA par exemple : https://specialites-ta.com/triple/115-470-triple-plateau-specialites-ta-zephyr-compact-110mm-intermediaire-9-10v-argent-specialites-ta-pl50110202.html#/17,denture,34-dts
  8. Ils sont surtout utiles si on a tendance comme moi à avoir les bouts des doigts frigorifiés après une descente bien froide de 15 ou 20 km…
  9. Pour le savoir avec certitude, il faudrait d'abord essayer… 😇
  10. Complément de Franck PASTOR, dit « le frileux » : des gants longs légers et un bonnet sous-casque en haute montagne (à partir de 1500 m d'altitude), et même en moyenne montagne si le temps est incertain. Auquel cas l'imperméable remplace la chasuble coupe-vent.
  11. Armstrong a fait toute sa carrière pro avec des manivelles de 175 mm, qu'on considère aujourd'hui souvent comme bien trop grandes pour quelqu'un de taille moyenne comme lui (177 cm). Ce n'est donc pas ça qui le gênait pour tourner les jambes… D'ailleurs c'est aussi ma longueur de manivelles, pour une taille de 178 cm et un entrejambes de 84,5 cm, et comme tu le sais je suis quand même véloce. En fait, quand je suis passé de 170 mm à 175 mm suite à deux études posturales dont le point commun était de me recommander cette même longueur de manivelles, ma cadence n'a pas changé d'un iota. Franchement, je ne pense pas qu'une différence de quelques millimètres puisse changer la cadence de façon significative. Ou alors, c'est qu'elle a été accompagnée d'une diminution des braquets, et alors c'est de ce côté qu'il faudrait regarder pour expliquer la hausse de la cadence.
  12. Il n'y a que la région parcourue par la partie finale de cette 6e étape que je connais bien, soit les 70 derniers kilomètres, à partir des Echelles jusqu'à l'arrivée. https://www.francebleu.fr/sports/cyclisme/criterium-du-dauphine-2024-decouvrez-la-6e-etape-de-hauterives-au-collet-d-allevard-174-1-km-km-1249754 Les principales difficultés de cette étape sont concentrées cependant dans cette partie finale : le col du Granier et le Collet d'Allevard. Le col du Granier est abordé par son versant le plus facile, celui de Saint-Pierre d'Entremont, Ce versant-là, bien qu'assez long et irrégulier, n'est pas un foudre de guerre, il n'est jamais très pentu. Le versant le plus problématique du col du Granier, celui de Chapareillan, est parcouru en descente. Celle-ci est particulièrement rapide et traitresse, et avec les tendances kamikazes du peloton actuel, qu'il y ait des chutes à cet endroit ne m'étonnerait pas plus que ça. Le vrai gros morceau est le Collet d'Allevard, après une transition « tranquille » entre Chapareillan et Allevard. J'ai indiqué un lien vers le profil du Collet dans mon message précédent, je le place directement ci-dessous. Cette côte est suffisamment longue et pentue pour faire des dégâts, même si apparemment les coureurs n'iront pas jusqu'au sommet de la station (Super-Collet) et s'arrêteront au Collet d'Allevard lui-même (approximativement le km 11 ). Ceci dit, ce sont les coureurs qui en décideront. Globalement, je dirais que c'est une étape se prêtant à trois types de scénario: on peut imaginer une échappée prenant forme dans la partie initiale de l'étape, apparemment assez accidentée, et qui tienne jusqu'à l'arrivée. Ou bien une échappée prenant forme dans l'ascension du Granier. Quoiqu'il en soit, dans ces deux cas de figure, il faudra que l'avance soit encore conséquente au pied du Collet. Ou bien on peut imaginer une étape bloquée par les équipes des leaders jusqu'à cet endroit, et alors seulement les favoris feraient parler la poudre.
  13. Comme d'habitude avec cette épreuve. 🙂 L'étape 6 me parle tout particulièrement, elle arrive dans ma région natale. L'ascension finale du Collet d'Allevard est assez difficile, elle pourrait faire des dégâts. https://climbfinder.com/fr/montees/super-collet
  14. Ben justement en vrai ce n'était pas plat du tout mais bien vallonné, et ce que j'avais sous les yeux était bien plus vaste et contrasté. Et je trouvais ça suffisamment beau pour m'arrêter et en prendre une photo, Mais il n'y pas grand'chose de ce qui me plaisait qui transparaisse sur cette photo. 😞 C'est difficile à expliquer mais j'ai très souvent la frustration, quand je veux photographier un paysage qui me plait, de ne pas retrouver ce qui m'a plu dans la photo que j'en fais. Il faut vraiment que je m'améliore à ce niveau.
  15. 47 km aujourd'hui après le boulot, à grimper un bon nombre de collines des vallées de l'IUse et de la Dyle, au sud et à l'est de Bruxelles, Pluie quasi continue et un fort vent d'ouest. Des conditions bien belges, quoi. 😎 Inutile de préciser l'état du vélo au retour. Les paysages brabançons, même par un temps aussi mauvais, ne sont pas forcément moches. Je leur trouve même parfois une certaine allure. J'ai essayé de capturer un de ces paysages, mais ce qu'on voit surtout, c'est la piste bétonnée que je parcourais à ce moment-là. Je ferais mieux la prochaine fois !
  16. Ben moi j'aime pas le plat ni les faux-plats, je hais le vent et sauf rares exceptions j'aime pas rouler en groupe (ça c'est mon côté individualiste : il faut vraiment que le groupe me convienne, j'ai du mal avec les compromis). Ai-je besoin de préciser que je suis taillé en fil de fer ? 178 cm, 62 kg. Et encore j'ai progressé dans la normalité. Quand j'avais 16 ans je mesurais 172 cm et pesait… 47 kg. Ma mère m'appelait le «passe-lacet», ma grand-mère le « squelette », ça vous catégorise une personne. Je suis donc condamné en Belgique à enchaîner les nombreuses mais courtes côtes locales et à minimiser les portions planes, que j'essaie de faire le plus possible à l'abri de ce $%&€£ de vent (toujours présent lui !). En attendant avec impatience les prochaines vacances dans mes montagnes grenobloises natales…
  17. 67 km pour ma part ce matin, Bruxelles-Louvain par l'autoroute cycliste F3, puis Louvain-Bruxelles en « slalomant » autour de la N3 avec quelques petites collines au menu. Départ sous la bruine, qui s'est assez vite arrêtée. Temps sec, peu venteux mais plutôt frais pour le reste du trajet, au point que j'ai préféré garder les jambières. Mais comme il avait fortement plu sur Bruxelles juste avant mon retour, mon vélo est finalement aussi crade que si cette pluie m'était tombée dessus. 😡 Bonnes sensations sinon. Il a fallu aussi prendre un « itinéraire bis » sur les derniers kilomètres puisque aujourd'hui ont lieu les 20 km de Bruxelles, une course à pied très, très… courue, qui emprunte les grands axes du sud de Bruxelles… ceux que j'emprunte d'habitude pour partir de/revenir chez moi . https://www.20kmdebruxelles.be/
  18. Ce n'est pas qu'une question d'esthétique mais de deux représentations équivalentes d'une même diphtongue, ce « ij » néerlandais qui était autrefois orthographié « y ». Orthographe d'ailleurs conservée en afrikaans, une langue parlée en Afrique du sud et dérivée du néerlandais. Et pour les Francophones qui n'ont aucune notion de néerlandais, un « y » est bien plus lisible qu'un « ij », forcément.
  19. Si j'en crois mes vieux cours de linguistique néerlandaise, Lille était certes flamande mais pas de langue flamande, ou alors cela remonte à très tôt dans le Moyen-âge. À Lille et dans ses environs immédiats, les dialectes prédominants étaient déjà picards, donc romans (comme à Tournai, Douai, Arras, etc) avant même l'annexion de la région sous Louis XIV. Jusqu'à la francisation à marche forcée commencée à la Révolution et achevée au cours du XXe siècle « grâce à » l'éducation obligatoire, la frontière linguistique romane-germanique passait alors au nord de Lille, du côté d'Armentières, où les dialectes dominants devenaient flamands. Edit : c'est plus ou moins confirmé par l'article de Wikipedia en néerlandais sur Lille : https://nl.wikipedia.org/wiki/Rijsel Pour l'anecdote, Bergues, la ville où se déroule « Bienvenue chez les ch'tis, était en fait, elle, de langue flamande jusqu'à très récemment. On n'y a jamais parlé « ch'ti » (picard), du moins de façon dominante. J'imagine, ceci dit, que beaucoup de gens dans toute la région du nord pouvaient passer d'un type de dialecte à un autre au besoin.
  20. Ce sont surtout l'Allemagne et le Luxembourg qui seront à plaindre, on dirait…
  21. 22 km aujourd'hui, sortie-détente post-travail. Cadre : forêt de Soignes et parc de Woluwe. Beau temps, routes détrempées, et… c'est à peu près tout ce qu'il y a à mentionner. 🙂
  22. N'oublie pas d'amener la pluie avec toi, ça leur fera les pieds aux sudistes ! 😛
  23. Puisqu'on te dit qu'il s'appelle Uijtdebroeks. 😊
  24. On aurait été le 1er avril, j'aurais cru à un canular, mais c'est malheureusement tout à fait authentique. J'ignorais que ces batteries pouvaient présenter un danger pareil : https://www.lalibre.be/regions/bruxelles/2024/05/17/la-surchauffe-dune-batterie-de-velo-provoque-un-incendie-dappartement-a-uccle-lappartement-est-inhabitable-4F37DBMOVZBD5NGLZMZ2KITX7Y/
  25. Moi au moins, je connais la Belgique en plus de ma région grenobloise natale. Belgique que tu ne connais pas, ni le Vercors on dirait. Tu ne sais pas ce que tu manques. 😛 Pour l'anecdote, un de mes arrières-grand-oncles a malheureusement franchi à vélo un des parapets des Gorges de la Bourne, une autre des routes vertigineuses du Vercors. 200 m de vide à l'endroit de la chute. Évidemment il n'en a pas réchappé. La Combe Laval atteint, elle, jusqu'à 600 m de profondeur, et est encore plus large que cela. J'y ai roulé plusieurs fois, dans les deux sens, et à chaque fois j'avais la trouille, tandis que je n'ai jamais eu peur dans les Gorges de la Bourne. C'est dire si le spectacle est impressionnant…
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