Franck PASTOR

Un conséquent 177 km aujourd'hui, dont comme planifié les 149 km selon compteur (145 officiellement) de la Flèche brabançonne cyclo, les 28 km restants consistant en l'aller-retour à vélo vers le site de départ et d'arrivée à Overijse, Site de l'événement : https://brabantsepijlcyclo.be/fr/ Parcours : https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/15917355?c=tk1FMy8ccutyYTmm Parcours assez vallonné, avec les principales côtes concentrées sur les 30 derniers km, comme la Hertstraat et la Moskesstraat empruntées par les pros la veille, et en bonus mon Smeysberg fétiche qui était la toute dernière difficulté. https://climbfinder.com/fr/montees/hertstraat-overijse https://climbfinder.com/fr/montees/moskesstraat-terlanen https://climbfinder.com/fr/montees/smeysberg Temps ensoleillé, froid au départ (6°), bien plus chaud à l'arrivée (16° à l'ombre, bien plus au soleil). Tenue de mi-saison à nouveau : veste à manches longues et imper par dessus, cuissard thermique, jambières, gants longs (légers), bonnet, surchaussures. « Épluchage » progressif du cycliste au fur et à mesure que le mercure montait : les surchaussures enlevées au premier ravito, l'imper peu après, le bonnet au deuxième ravito, les jambières au troisième… Quelques chiffres : départ de chez moi à 7 h 15, entame de la cyclo à Overijse vers 8 h 15, fin vers 15 h 30, revenu chez moi vers 17 h. Temps de parcours de la cyclo de 6 h 30 et moyenne de 22,8 km/h si je décompte les ravitaillements. Cadence moyenne de 86 tours/minutes. Parfois de très beaux paysages sur le parcours, notamment durant la première moitié avec les vergers du Hageland en fleurs. Dommage que l'état des routes de cette belle région ne soit pas à la hauteur de son esthétique… Du béton aux dalles descellées, de l'asphalte défoncé, des trottoirs cyclables au revêtement aléatoire… mal au derche assuré ! Par contre, très peu de véritables pavés dans l'ensemble, les seuls vraiment conséquents étant ceux de la Hertstraat et de la Moskesstraat. J'ai fini bien rincé après quelques belles parties de manivelles au gré des groupes qui me dépassaient façon TGV. Je les ai laissés passer pendant les 100 premiers km pour ne pas me « griller » prématurément, mais sur la fin j'ai essayé d'accrocher les roues, avec plus ou moins de succès. Mais comme je l'avais craint, la principale vedette de cette journée, c'était le vent : secteur est, force 2 selon la météo, alors qu'il était suffisamment violent pour renverser sous mes yeux les barrières d'un des sites de ravitaillement… Je me demande comment l'IRM, l'Institut Royal Météorologique, établit ses estimations de vitesse du vent, mais c'est vraiment pas ça. Il était le plus souvent défavorable sur la première moitié du parcours et m'a comme prévu bien fait travailler du ciboulot, mais heureusement généralement favorable sur la dernière partie, ce qui m'a permis de me refaire une santé et de terminer sur une bonne impression (et sans crampes, ce qui est rare !). J'espère que ce sera une préparation suffisante pour Liège-Bastogne-Liège Challenge, qui présente bien plus de dénivellation. On verra bien dans quel état je terminerai samedi prochain…

L'année dernière j'étais à Overijse pour voir passer les coureurs, cette année je vais suivre de mon canapé via Sporza. En échange je ferai la Flèche brabançonne cyclo demain. Dont le parcours est assez différent, d'ailleurs, les seules côtes communes à celle du parcours pro sont celles du circuit final (Hertstraat, Moskesstraat, Holstheide, S-bocht).

Quelque part au niveau du Q ? Bon, je sors, je sors !

L'autre avantage est le gonflage facile à la pompe des pneus qu'on vient de monter, sans avoir à faire « claquer » le pneu sur la jante, et donc sans passer par le compresseur (voire la station-service pour certains 😉).

Courte sortie (36 km) en fin d'après-midi, en mode détente comme planifié, et comme souvent quand je veux me détendre, je me suis baladé dans la forêt de Soignes. Il y avait peu de vent pour une fois, mais il faisait assez froid pour la saison (10° ?), donc tenue longue à nouveau, avec les jambières, le bonnet et les gants longs. Quelques gouttes de pluie en cours de route (qui n'ont même pas mouillé la chaussée), mais c'est à cause du froid relatif que j'ai regretté de ne pas avoir pris les surchaussures en plus. Rien à faire, je reste un grand frileux, surtout aux mains et aux pieds. Grosse frayeur au retour, entre la forêt et mon domicile : dans une descente en ligne droite, une voiture devant moi prend à droite brusquement, sans ralentir et sans prévenir (la conductrice était apparemment handicapée du clignotant), en me coupant la route alors que j'arrivais sur la bande cyclable latérale. Panique, freinage d'urgence, arrêt à un mètre de la droite de la bagnole, et la dame qui continue sa route sans même un regard sur sa droite… Si j'avais eu un klaxon, je me serais fait un plaisir de le faire hurler en continu ! Samedi, Flèche brabançonne cyclo. Il devrait faire encore plus froid au moment du partir de chez moi (je vais au départ à vélo) : 6° d'après les prévisions météo. Ça promet 🥶… Heureusement, ça devrait monter jusqu'à 17° en cours de journée.

Pareil, mais pour le moment c'est sec. Sortie prévue cet après-midi quoiqu'il en soit, si besoin avec la randonneuse, son moyeu à vitesse intégrée et ses garde-boues bien enveloppants.

J'avais bien compris que ce n'était pas sérieux, mais j'ai voulu faire mon Belge et rigoler sérieusement moi aussi. 🙂 Les Belges sont capables de vous sortir les choses les plus délirantes avec un sérieux digne d'un huissier de justice… Ils ont ça de commun avec les Anglais, semble-t-il.

Tsss, « seulement 11% » qu'il dit. En moyenne oui… mais 50 m à 15% et un autre demi-hectomètre à 14% d'après Climbfinder. https://climbfinder.com/fr/montees/rue-du-mystere-forest Cotacol, bien plus précis, liste les 300 m à 12% de moyenne et chaque centaine de mètres respectivement à 8%, 13% et 15%. Et voilà pourquoi ce zievereir n'a pas eu son KOM 😛 : il a fait comme la plupart des Belges, il n'a pas pris son pays au sérieux, jusqu'à ne pas prendre au sérieux les côtes de sa ville ! Mais la rue du Mystère, c'est du sérieux, verdomme !

J'ai pour ma part un pédalier triple Spécialités TA (46-34-24) prévu pour 9 et 10 vitesses, combiné avec une cassette à 11 pignons Sunrace 11-36, une chaîne KMC 11 vitesses et un dérailleur VTT Shimano Deore XT… Tout fonctionne à merveille. Au point que je vais tenter de passer à 12 vitesses un de ces prochains mois, pour voir si ça marche. Un triple avec 12 pignons, le rêve !

Cette histoire lamentable (une de plus) devrait parler à l'émigré que tu es : https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/04/15/aux-etats-unis-la-lutte-contre-l-immigration-au-mepris-du-droit_6596287_3232.html Peux-tu imaginer Macron décider qu'à cause de ta façon de penser qui n'est pas la sienne, tu sois obligé de passer le reste de ta vie hors de France ?

Un petit 45 km cet après-midi, à bonne allure avec quelques côtes significatives grimpées à fond, du côté d'Overijse, au sud-est de Bruxelles. Temps sec, 18°, mais vent sensible comme d'habitude qui ne m'a pas fait regretter d'avoir opté pour la tenue de mi-saison (veste à manche longue, cuissard thermique). Alors que cette fois quasiment tous les cyclistes que j'ai croisés étaient en tenue d'été, sans même les manchettes. Prochaine sortie prévue jeudi, en mode détente, pour me ménager en vue des 145 bornes de la Flèche brabançonne cyclo deux jours plus tard. Le dénivelé annoncé n'est « que » de 1150 m, mais il y a quelques belles côtes quand même, notamment la Moskesstraat et le Smeysberg en toute fin de parcours. Comme c'est « dans mon jardin », je sais à quoi m'attendre, et je prévois aussi quelques belles parties de manivelles face au vent… De quoi me forger le moral pour Liège-Bastogne-Liège Challenge, j'espère. https://brabantsepijlcyclo.be/fr/ https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/15917355?c=tk1FMy8ccutyYTmm Et pour ceux qui veulent suivre la Flèche brabançonne des pros, c'est ce vendredi ! Qui sera le successeur de Benoit Cosnefroy ? Evenepoel, dont c'est la rentrée ? Van Aert, pour se rattraper de Paris-Roubaix ? https://www.debrabantsepijl.be/fr

À propos de situation «intérieure», la tienne est maintenant celle de la Bolivie 😉 Qu'en est-il ?

Si donc tu es sérieux, j'en suis désolé pour toi. Il ne me reste plus qu'à t'inviter à une sortie cycliste dans ma région, si un jour tu passes dans les environs, pour t'aider à concevoir d'autres réalités de pratique du vélo. Quoique, je ne suis pas sûr que tu supporterais l'expérience 😉

J'ai du mal à déterminer s'il est sérieux ou s'il est simplement provocateur, ou un mélange subtil des deux…

Rassure-moi : tu arrives à concevoir que si ça ne t'arrive jamais (volontairement), ça peut quand même arriver à d'autres ? On est plusieurs à l'avoir confirmé ici, pour rappel.

Bon, au moins j'aurai appris que je ne suis personne. 😪

De fait, mon deuxième vélo (gravel/randonneur) n'a pas le problème dont on parle, il y a même tellement de marge que je pourrais poser le milieu du pied sur la pédale. Parce que son cadre est très long et sa potence très courte, 7 cm seulement. C'est en fait un cadre de VTT au départ. Mais mes premiers vélos de route n'avaient pas ce problème non plus, et les potences étaient « normales » (10 et 12 mm respectivement). C'était respectivement des cadres de 58 et 56 au carré (je mesure 178 cm). Il n'y a donc pas que la taille du cadre qui intervient dans ce problème, et il faudrait agir sur ces autres paramètres.

Et si ce virage est en montée, on doit pédaler ou alors, pas le choix, on met pied à terre pour faire ce virage. J'en suis parfois réduit à faire cela à Bruxelles, qui est tout sauf une ville plate. Mais quand on n'est pas prévenu du risque du pied qui touche, on continue à pédaler et c'est le risque de chute. Un autre cas de figure que je ne risque pas d'oublier, c'est au redémarrage d'un feu rouge, où à l'arrêt la roue avant avait pivoté et où j'avais omis de mettre les manivelles à la verticale. Quand je l'ai remise dans l'axe en repartant au feu vert, elle a heurté le pied avancé. J'ai été déséquilibré et ai évité la chute de justesse. Au milieu des bagnoles qui redémarraient en même temps que moi. Ça ne s'oublie pas.

J'ai échappé d'extrême justesse à des chutes à cause du pied qui touche la roue, et en pleine circulation en plus, donc je sais que ce n'est pas une histoire d'en… des mouches. Faut parfois savoir se placer dans d'autres contextes que celui de sa propre pratique.

Les douleurs au niveau du périnée, zone molle qui ne peut donc pas, ou très lentement, modifier la forme d'une selle rigide, même en cuir, ont tendance à ne pas partir, au contraire des douleurs au niveau des ischions, si on ne fait rien pour y remédier. Le seul moyen de remédier à une douleur au niveau du périnée, si on garde la même selle, est de changer l'inclinaison de la selle (ou celle du buste, ou les deux) mais ce n'est pas toujours suffisant. Et si on tarde à faire quelque chose, cette douleur peut devenir chronique. Manque de bol, c'est au niveau du périnée que j'avais mal avec une selle Brooks B17 non évidée. Douleur devenue chronique qui m'a fait passer à une selle SMP (Hybrid gel) évidée… et désormais je ne peux utiliser que des selles évidées. Tout ça pour avoir tardé à réagir à mes douleurs, dans l'espoir qu'elles disparaîtraient d'elles-mêmes.

Une question de type de parcours. Les miens ressemblent souvent à des gymkhanas. En ville surtout, parfois ailleurs. Souvent le même contexte : route étroite + sommet de montée + virage sec à droite + circulation intense… Essayez de vous placer dans ce contexte…

C'est ton expérience, ce n'est pas la mienne. Ça m'arrive presque à chaque sortie de devoir faire très attention à ne pas toucher le pied avec la roue avant tout en pédalant, dans des virages très serrés pris à allure lente. Notamment en ville (j'habite en pleine ville, pour rappel), au sommet de côtes qui aboutissent à une intersection à virage à 120° et plus sur la droite. Vitesse réduite obligatoire et pas de roue libre possible.

Je n'ai pas vu la course et les articles que j'ai lu ne parlent pas de cette voiture UAE. Qu'est-ce qui s'est passé ? Les sites web des médias belges évoquent ce scandale-là : https://www.rtbf.be/article/paris-roubaix-un-supporter-lance-un-bidon-au-visage-de-mathieu-van-der-poel-en-plein-secteur-pave-11532723

119 km pour moi aujourd'hui selon Climbfinder (121 selon compteur), en suivant un itinéraire le plus bosselé possible dans la zone la plus vallonnée des environs de Bruxelles : la région de Halle, Ittre, Braine-le-Château et Ronquières. Pour faire simple, j'ai repris toutes les ascension, à une exception près, du parcours que Michel, Thierry et moi avions fait il y a quelques semaines, sauf que cette fois je suis allé au départ de cet itinéraire à vélo et bien sûr j'en suis revenu de la même façon, en y ajoutant autant de côtes que possibles. Ça a donné 25 côtes recensées par Climbfinder et environ 1600 m de dénivellation, le tout en vue de LBL Challenge bien sûr. Sensations assez moyennes, mais bien meilleures que lors de la sortie cauchemardesque de dimanche dernier. https://climbfinder.com/fr/mes-itineraires/124216 (Ne pas se fier aux 24 km/h de moyenne indiqués par ce lien, ce n'est qu'une estimation globale arbitraire de Climbfinder ; ma vitesse moyenne effective a été de… 18 km/h. Ce qui ne surprendra pas ceux qui connaissent le terrain, comme maintenant Thierry et Michel ;-)) Les deux premières heures effectuées par un temps très gris et pluvieux, ensuite temps sec et ciel de plus en plus dégagé pour finir par un beau soleil. Températures clémentes mais nettement plus fraîches qu'hier (entre 11° et 16°), et vent sensible de secteur sud-ouest. Tenue de mi-saison toujours de rigueur avec veste à manches longues, cuissard thermique et jambières (et l'imper au début, évidemment !). Quelques photos prises au passage : Vue sur le centre de Dworp à partir du « Bruine Put » (à mi-chemin de la côte) : Les jacinthes du bois de Hal ont commencé à fleurir, mais ce n'est pas encore la pleine floraison (il y avait quand même pas mal de promeneurs-visiteurs) : Un des plus beaux châteaux de la région : celui de Beersel (cadre d'un des meilleurs albums de Bob et Bobette, « Le trésor de Beersel », pour ceux qui connaissent cette série) :

Même taille, et même poids actuellement. En été je descends jusqu'à 62 kg, voire 61 kg, sans doute parce que je roule plus fréquemment (merci les vacances), dont une bonne partie en montagne. Par contre je ne mange pas comme quatre, j'essaie au contraire de ne pas faire d'excès et de manger équilibré tout en ne m'interdisant aucun aliment (sauf l'alcool). Ma seule discipline est de ne pas grignoter entre les repas, ce qui n'est pas toujours évident vu ma faiblesse prononcée pour le chocolat.