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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Taille S pour moi avec un cuissard Assos (guibolles très fines, et 61 kg actuellement pour mes 178 cm). Avec un Decathlon je devrais peut-être prendre du L ? 🤔
  2. Merci 😃 49 km pour ma part, dont les trois-quarts sous une pluie constante. Je ne peux pas dire que j'ai été surpris, les prévisions météo étaient suffisamment claires pour cet après-midi. Mais m…, quoi, je sortais du boulot et j'avais envie de sortir et de me défouler dans mes bosses favorites ! Et puis le plus ch… n'a pas été la pluie finalement, c'était le vent de sud-ouest particulièrement fort qui me prenait en traitre en haut de certaines bosses. Donc, parcours vallonné dans l'est et le sud-est de Bruxelles, avec mes bosses classiques que j'ai essayé de grimper le plus vite possible. Notamment, dans le Smeysberg, j'ai essayé de rester à plus de 12 km/h… perdu, je suis descendu à 11,8. J'espère y arriver la prochaine fois. Pour ceux qui trouvent ça ridicule comme vitesse minimale, je rappelle le profil de ce raidard qui agrémentait notamment le championnat du monde de 2021 : https://climbfinder.com/fr/montees/smeysberg Très bonnes sensations globales malgré la flotte et le vent… Les effets secondaires de la récente Vélomédiane, peut-être ?
  3. 71 km pour moi aujourd'hui dans le nord-est de Bruxelles, par le même type de temps que pour Jacques: plutôt frais, sec et très venteux, de quoi travailler la position mains en bas du guidon sur de longs kilomètres. Quelques côtes en début et fin de parcours, le reste tout plat dans les communes de Grimbergen, Malines, Zemst, Vilvorde. Pause-café à Grimbergen devant l'église de l'abbaye norbertine (dont l'intérieur mérite une visite!) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Grimbergen
  4. Un rapide calcul montre qu'un cycliste de poids total de 75 kg (cycliste+vélo) va rouler à près de 21 km/h dans une pente à 20%, s'il développe 850 watts (en négligeant résistance de l'air et frottements). Y en a qui en seraient capables, ici ? Moi pas, même au sprint !
  5. Des jantes de 17 mm de largeur interne devraient accepter du 28 mm de section sans problème (compte non tenu du cadre, de la fourche ou des étriers). Quand j'étais étudiant, j'allais tous les jours à la fac sur un vieux vélo Peugeot de course sur lequel j'avais monté des pneus de 28, alors que les jantes devaient être de 15 mm de largeur interne, comme toutes les jantes de course à l'époque de commercialisation du vélo (début années 80). C'est confirmé par la norme ETRTO de 2022 (et il y a de la marge) : https://asset-media-old-lecyclo.s3.amazonaws.com/pdf/Tableau-correspondance pneus.pdf
  6. Je suppose qu'il s'agit de celui de Saint-Etienne-de-Saint-Geoirs, de son nouveau nom officiel « Grenoble Alpes Isère ». Mais cela n'a rien à voir avec le choix de la topographie de fin d'étape (plate au lieu de montagnarde).
  7. Hier après-midi, tour à vélo d'après-boulot d'une cinquantaine de kilomètres à l'est de Bruxelles (j'ai oublié de regarder le compteur pour la distance exacte parcourue, et maintenant il s'est réinitialisé). J'ai combiné la « promenade du chemin de fer » à Bruxelles même et la « Vliegeniersroute Zaventem », la route des aviateurs à Zaventem, la commune de l'aéroport national. https://www.velo-ravel.net/2016/2016-10-27 Promenade du chemin de fer - RAVeL 160.htm https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/177644 Parcours avec quelques côtes bon enfant, sous le soleil et la chaleur comme j'aime (30° à l'ombre), vent sensible mais pas trop gênant. Passage du cap des 6000 km parcourus depuis le début de l'année. Les jours suivants s'annoncent moins agréables, en plus du stress inévitable de la rentrée scolaire : chute progressive des températures (26° maxi demain, 23° jeudi, 20° à partir de vendredi), pluie garantie à 100% par l'IRM tous les jours de jeudi jusqu'au week-end compris. Et du vent de force 3 ou 4 à partir de vendredi. Youpi ! 😞
  8. En plus, fin d'étape presque toute plate alors qu'il y a tant de belles montées dans les environs. Quel gâchis ! Qu'est-ce qui a bien pu attirer la Vuelta à Voiron, si c'est pour rester dans la plaine ???
  9. Sortie de 42 km en fin d'après-midi, sans but précis, du côté de la forêt de Soignes, Hoeilaart, Overijse, Tervuren. Les jambes n'ont pas été trop affectées par la Vélomédiane, apparemment.
  10. De fait, je n'en ai vu aucun pendant qu'il flottait, mais je n'ai pas non plus le souvenir d'en avoir vu sur la portion de parcours correspondante lors des éditions précédentes.
  11. Et là, elles sont sèches ? 😛 Je précise que ce mollet musclé n'est pas le mien :-))
  12. Deux bonnes nouvelles pour moi : j'ai enfin mon nom dans la liste des cyclistes ayant bouclé la Vélomédiane, et les photos de Sportograf sont arrivées ! Morceaux choisis :
  13. Pas assez grand… J'avais cet espace libre sur mon ancien vélo entre la fourche et le pneu de 25, espace qui était plus petit que celui entre l'étrier et le pneu sur ce vélo. Il a suffi d'un petit branchage de ce diamètre collé au pneu pour qu'il vienne se coincer entre le pneu et la fourche, alors que je roulais en automne dans la forêt de Soignes. Heureusement, c'était en montée…
  14. Je connais bien le Triple mur, mais pas le Stampia, juste la rue de Besinne qui en est une variante, moins ardue. Parmi les raidards locaux, si tu n'as pas grimpé la montagne de la Croix à Dinant, tu as raté ta vie. 😛 https://climbfinder.com/fr/montees/montagne-de-la-croix-dinant
  15. Exact. J'ai investi dans ces deux modèles-là pour cette raison : https://fr.ortlieb.com/products/saddle-bag https://fr.ortlieb.com/products/saddle-bag-high-vis L'un de 1,6 l, l'autre de 4,1 l. Les deux sont à soufflet, ce qui est justement très pratique pour accueillir des vêtements en plus. Et tant pis pour ceux qui trouvent ça beaucoup trop lourd. Comme un habitant de la Hesbaye brabançonne, notamment, qui ne partage donc clairement pas la même philosophie 😛 En règle générale j'utilise la première, la moins imposante, durant l'été, quand on a a priori moins de choses à transporter. En plus du matos d'urgence, j'y avais glissé les gants longs et un bonnet samedi. L'autre sacoche sert pour le reste de l'année… et elle va reprendre du service plus tôt que prévu, si les prévisions météo actuelles se confirment
  16. Dieu merci, j'avais pris un imper bien épais, Je l'avais sur moi au début de la cyclo pour ne pas avoir froid, je l'ai retiré vers Nadrin une fois bien échauffé… pour le remettre au sommet de la côte de Chabrehez, une quinzaine de km plus loin, quand il est devenu clair que la pluie qui avait commencé quatre ou cinq km plus tôt était partie pour durer. C'est là où notre ami Schtroumpf a raison, je pense : en Ardenne, mieux vaut toujours prévoir le pire. S'il y a le moindre risque de précipitation prévu, il faut donc avoir une protection conséquente. J'avais regretté de ne pas avoir pris d'imper épais lors de la Chouffe Classic de cette année (j'avais bien un imper mais particulièrement fin, pour limiter l'encombrement), erreur que je n'ai pas voulu commettre à nouveau hier. Qu'est-ce qui t'a manqué dans l'ambiance de la Vélomédiane cette année ? Pour ma part je l'ai trouvée fidèle à elle-même.
  17. C'est vraiment dur en effet, mais d'expérience (sur moi-même), sans gants, même humides, c'est pire ! 🥶 J'étais parti avec des gants courts, ma seule concession à la tenue d'été. Mais j'avais pensé à prendre une paire de rechange dans ma sacoche de selle, des gants longs (de mi-saison), ce qui m'aurait permis de remédier à ce froid aux mains pour quelques dizaines de km encore. Mais au moment où je pensais m'arrêter pour les mettre, la pluie a cessé. Les gants et le reste de la tenue ont séché (très) progressivement ensuite. Des vêtements de rechange (imper compris), c'est le seul véritable remède pour rouler sous la pluie pendant longtemps, mais c'est un remède provisoire… et limité puisqu'on ne peut pas prendre toute une garde-robe sur soi, à moins d'avoir une voiture suiveuse, luxe réservé aux compétiteurs sur parcours fermés, ou d'avoir placé des personnes de confiance à des endroits-clés du parcours avec lesdits vêtements.
  18. D'un autre côté, le meilleur moyen de mieux supporter ce genre de conditions climatiques, c'est de s'entraîner à rouler dans ces conditions, et de ne pas reproduire les erreurs qu'on fait, surtout vestimentaires. Autrement dit, plus tu fuis ces conditions climatiques, moins tu les supportes, et vice versa. C'est un cercle vicieux/vertueux, selon le point de vue. Et on est tous différents… La majorité des participants étaient en en tenue d'été. Pas d'imper ou coupe-vent, même pas de manchettes pour certains, même au départ (12°…). Certains grelottaient sous la pluie, d'autres par contre semblaient parfaitement à l'aise. Des nordiques pur jus, quoi. Ceux-là, je les envierai toujours !
  19. Rectification partielle : mon numéro de dossard (1932) figure bien dans les entrées du classement, mais pas mon nom. Pourtant je m'étais inscrit avec mon patronyme en bonne et due forme. 🤔 J'ai dû donc entrer mon numéro de dossard pour voir mes résultats. Mon temps exact serait de 8 h 27 min 56 secondes sur les 165 km officiels et je serais classé en 661e position (sur 895). J'ai donc fait un meilleur temps que lors de mes deux dernières participations (2022: 8 h 36, 2023: 8 h 39). Ça reste bien plus que mon meilleur résultat, environ 7 h 35 en 2016, de mémoire. Mais ça fait 9 ans et j'ai 53 ans, donc il y a peu de chances que j'améliore ce résultat-là ! 😎
  20. La Vélomédiane, sans hésitation. L'ambiance est conviviale (plusieurs mini-orchestres sur le parcours, les gens vous encouragent sans cesse), les routes sont moins fréquentées, les paysages sont plus jolis (avis subjectif bien sûr). Question difficulté, la Vélomédiane est un peu plus difficile que le parcours médian de LBL Challenge, qui a à peu près la même distance. Mais évidemment, elle l'est nettemennt moins que le grand parcours de LBL. Points faibles de la Vélomédiane : il n'y a que deux ravitaillements (contre trois sur le parcours médian de LB), et l'état des routes, déjà pas toujours reluisant sur LBL Challenge, l'est encore moins sur la Vélomédiane.
  21. Oui, j'ai continué, et j'ai terminé, en 8 h 30 environ tout compris. J'ai eu la pluie de la moitié de la montée de Chabrehez jusqu'à Bérimesnil, plus ou moins. Heureusement j'étais habillé en tenue de mi-saison (cuissard court thermique, maillot de corps épais, manchettes) et j'avais l'imper. Mais j'ai eu bien froid jusqu'à Maboge… et les muscles bien raides dans le mur de la Vélomédiane. Heureusement le temps est resté sec ensuite, ce qui m'a permis de retrouver mes jambes progressivement. Gros point négatif : je ne figure pas dans la liste des participants ayant terminé, du moins celle qui se trouve ce soir sur le site de la Vélomédiane. Ma plaque de cadre, qui servait au contrôle de certains passages, devait avoir un problème.… Je devrai donc me passer de la preuve formelle d'avoir bouclé cette édition 😞
  22. Le tubeless et la transmission électronique ne se sont pas (encore) généralisés sur les vélos de route actuels, au contreaire des axes traversants et les freins à disques. Tu peux donc encore bénéficier d'une certaine gradation dans ta mise à jour. 😁
  23. Toujours sarcastique, Bru…, pardon, Marquez. Non, mais on en a d'autres (principe de conservation des emm…) : comme devoir fouiner à quatre pattes dans la pièce où on bricole, pour retrouver ce fichu ressort qui est tombé quelque part après démontage du blocage rapide. 😡
  24. C'est ce que je suggérais plus haut. Peut-être que pour optimiser leurs frais, les fabricants de roues proposent le même type d'axes pour toutes leurs roues, quitte à les munir d'adaptateurs s'il s'agit de les utiliser avec des blocages rapides. Mais bon, je n'y connais pas grand'chose…
  25. Oui, tenue de mi-saison probablement pour moi. 😕 Et peut-être même un coupe-vent par-dessus, en tout cas au début.
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