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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Somme toute, c'est bien le printemps : inconstant et instable. Tous les types de temps sont possibles en cette saison, et on peut passer sans transition de l'un à l'autre. Raison pour laquelle c'est la saison que j'aime le moins, contrairement à la plupart des gens.
  2. 93 km cet après-midi au sortir du boulot (cours le matin seulement). De retour au moment où la nuit tombait. Mais il ne fallait pas manquer de profiter de cette dernière journée de temps sec. Température quasi estivale (21°), soleil resplendissant pendant la première partie de la journée, nuageux au retour. Mais toujours un fort vent, de secteur sud-est cette fois. Malgré ça, de bonnes sensations, me traînant moins que d'habitude face au vent et pouvant envoyer les chevaux dans les côtes. 🙂 Direction Ronquières à l'aller, le long du canal Bruxelles-Charleroi, donc trajet tout plat, et retour avec un max de bosses, la plupart déjà parcourues il y a deux semaines avec Michel et Thierry, comme les Gaudy, Charly-des-Bois dans le bois de la Houssière et bien sûr le Bruine Put. Après celui-ci, j'ai prolongé par d'autres bosses (comme l'obligatoire rue du Mystère) jusqu'à chez moi, Et comme les deux allergiques aux pavés n'étaient pas là cette fois, je suis aussi passé par la côte la plus dure de tout le Brabant : la côte de la rue Sainte-Croix, à Braine-le-Château. 🙂 https://climbfinder.com/fr/montees/reposoir-de-la-vierge-chateau-des-comtes-de-hornes-chapelle-sainte-croix Au rayon pittoresque, au pied de cette même côte se trouve un ancien moulin à eau, le « Moulin Banal ». J'aime bien m'arrêter à ce moulin pour voir couler le Hain quelques instants, et cette fois-ci j'en ai pris une photo rapidement : Autre photo bien plus réussie ici, avec l'explication de ce nom « banal » : https://www.braine-le-chateau.be/tourisme/decouvrir/visites-monuments/moulin-banal/le-moulin-banal
  3. 58 km cet après-midi, aller-retour classique Bruxelles-Louvain, à l'aller sur la N2, au retour parallèle à la N3 mais le long d'un itinéraire balisé pour cyclistes. Quelques bosses sans prétention et un passage « gravel » imprévu à travers champs au retour, entre Leefdaal et Tervuren (ma faute, je cherchais un détour permettant d'éviter une zone en travaux…). À part ça, rien à signaler de particulier sur la sortie. Temps printanier (18°), vent de sud-est assez fort.
  4. Une sortie vers Hoegaarden, une autre à Gembloux… donc en Hesbaye, avec des routes ouvertes à tous les vents, beurk ! Une partie de mon itinéraire fléché d'hier était aussi en Hesbaye (Nethen, Beauvechain, Bierbeek) et c'était de loin la partie du parcours qui m'avait fait le plus mal. À cause du vent, évidemment. Mais c'est vrai qu'en groupe, c'est autre chose, on peut gérer avec l'abri…
  5. 116 km aujourd'hui pour moi, dont les 98 km (99 selon compteur) d'un circuit balisé pour cyclistes que j'emprunte souvent : la route cycliste de la Flèche brabançonne. Environ 1000 m de dénivellation et plusieurs raidards au programme, dont les «vedettes» de la course pro qui aura lieu dans un mois. https://www.toerismevlaamsbrabant.be/fr/producten/fietsen/fietsproducten/brabantse-pijl-cycling-route/ https://climbfinder.com/fr/mes-itineraires/106717 Temps ensoleillé, départ à 4°, maxi 9°… mais toujours ce vent glacial de nord-est avec rafales limite dangereuses, qui m'aura proprement assassiné au moral comme au physique lors de la première moité du parcours, quand il était le plus souvent défavorable. Faut savoir gérer mentalement les descentes à 25 km/h qu'on fait habituellement à 40 km/h et les montées à 8 km/h qu'on fait généralement à 12 km/h… En prime, une douleur au genou s'est déclarée, qui s'est heureusement calmée lors de la seconde moitié du parcours (comme par hasard, avec le vent devenu favorable). Bref, je me suis traîné et maintenant j'ai mal partout, comme après la sortie de la semaine dernière. Mes bourreaux étaient Thierry et Michel, aujourd'hui c'était Éole. 😡
  6. J'ai toujours mon vieux vélo acier sur mesure à freins à patins, stocké depuis cinq ans chez ma mère à Grenoble. Je l'utilise quand je retourne là-bas sans avoir pu amener mon vélo actuel. Quand je fais le trajet en train, par exemple. Depuis, j'ai changé les roues de ce vélo… les jantes étaient vraiment trop creusées pour que je continue à rouler avec, surtout en montagne. Soit dit en passant, c'est quelque chose qui ne risque plus de se produire avec les freins à disques. En tant que cycliste qui sort par tous les temps, c'est pour moi l'un des principaux avantage de ce système, voire le principal. 😉
  7. Ça fait penser à une endofibrose iliaque… https://cyclotourisme-mag.com/conseil/sante-lendofibrose-de-lartere-iliaque/
  8. Je ne crois pas. Des pros tels que Sastre, Contador, Schleck (Andy), Zakarin, Reichenbach… descendaient mains aux cocottes avant que les freins à disques apparaissent dans le peloton. Et d'ailleurs, autour de moi j'en voyais déjà régulièrement le faire dans les descentes de cols autour de Grenoble, donc depuis une trentaine d'années. À commencer par moi-même à mes tout débuts… jusqu'à ce que mes mains décollent des cocottes après un passage à haute vitesse sur un nid-de-poule que je n'avais pas vu. À mon avis, cette mauvaise habitude s'est très progressivement popularisée, jusqu'à finir par atteindre le plus haut niveau, à partir du moment où le changement de vitesses s'est effectué au niveau des leviers de freins.
  9. Certains systèmes hydrauliques en VTT ont un réglage de la garde du levier et un réglage du « point de contact » des plaquettes de freins. Je ne sais pas ce qu'il en est sur route (si mes freins TRP Hylex ont un réglage de la garde du levier, ils n'ont pas de réglage du point de contact, mais ils datent de 2015.) https://www.probikesupport.com/freins-disque-entretiens/?srsltid=AfmBOoqP8zodbzBEaV8xyr_K9kk1EREydsLlhDMaVYrSSBAJJeugkhCN
  10. C'est ce qu'on appelle le comique de répétition, non ? 😎
  11. « Quand tu a des freins a patins et qu'il pleut ben tu vas moins vite tu fais + attention voila tout .... » Oui, mais ça ne suffit pas toujours. Quand un obstacle (genre voiture qui traverse derrière une maison, grosse branche à la sortie d'un virage, chien qui échappe à son maître, gamin qui échappe à ses parents…) que tu ne pouvais pas voir ou même anticiper se retrouve soudainement devant toi, tu n'as pas le choix de la distance entre l'obstacle et toi, et un mètre de moins en distance de freinage peut faire la différence. J'ai tellement pratiqué d'environnements différents sur mon vélo de route, du cœur de Grenoble à la descente du Galibier en passant par les routes désastreuses et le trafic du Brabant… Ça m'a appris qu'on a beau faire l'effort d'anticiper, il peut toujours toujours quelque chose qu'on n'aura pas su ou pas pu prévoir. Alors (si on a le temps d'y toucher) des freins efficaces peuvent faire la différence. Tout gain en efficacité de freinage est bon à prendre. Même sur la route. Et ce n'est pas incompatible avec la prudence. Contrairement aux coureurs, on n'est pas obligé de rouler à la limite du freinage 😎.
  12. Il y a même beaucoup de chutes où le freinage n'est pas impliqué, qu'il soit à disques ou patins ou tambours ou rétropédalage ou… 😇 Genre glissade sur du verglas, pneu qui explose, dérailleur ou branche d'arbre dans les rayons, pédale ou manivelle brisée, etc. Et quand le freinage aurait pu servir à quelque chose, parfois on n'a tout simplement pas le temps de toucher aux freins. Au moins, quand on freine, les plaquettes accrochent mieux sur les disques que les patins sur les jantes par temps humide. Toujours ça de pris. Mais prudence d'abord !
  13. Phénomène normal, il faut malheureusement se faire à cet inconvénient des freins à disques. Certains types de plaquettes, notamment les organiques, sont plus silencieuses que d'autres par conditions humides, mais si ces conditions perdurent elles finissent toujours par couiner à la longue. C'était moins fréquent, mais il arrivait aussi que mes freins à patins « chantent » dans ces conditions.
  14. Micro-sortie défoulement d'après-boulot de 26 km vers le sud de Bruxelles, la forêt de Soignes, Hoeilaart et Overijse. Temps sec mais encore froid (6°). Mais surtout il y avait ce vent proprement glacial de nord-est qui me mordait les bouts des doigts des pieds et des mains quand il était défavorable. 😡 Ma phobie du vent ne va pas s'arranger à ce rythme… Côte notable de la sortie : le Vlierbeekberg à Overijse, doté d'un virage en S à 17% d'après un panneau local, qui rappelle un peu le mur de Huy : https://climbfinder.com/fr/montees/vlierbeekberg-overijse
  15. Il tient à avoir un prétexte pour rouspéter… c'est son côté français qu'il ne veut pas assumer !
  16. Moi je te propose le Québec, il y fait un temps idéal l'hiver pour la pratique du vélo. (*) (*) D'appartement.
  17. Sortie de 42 km cet après-midi, dans ce froid revenu brutalement sur tout le Benelux, comme le mentionnent Johan et Michel. 8° degré au départ, 7° au retour. Vent nordique glacial qui aggravait grandement cette sensation de froid. Parcours plus ou moins plat en mode récupération (après la sortie de samedi, mémorable à tout point de vue et en particulier pour mes jambes !) le long de la Woluwe vers le nord-est, vent défavorable jusqu'à Grimbergen puis du canal de Willebroek vers le sud-ouest pour revenir à Bruxelles, vent favorable cette fois. Orteils engourdis par le froid au retour, brrr…
  18. Je suis perclus de courbatures actuellement, et un type venu de Mons qui traçait comme un malade le long du du canal n'y est pas pour rien ! 😡 Il y avait deux tronçons du parcours (respectivement dans bois de la Houssière et peu avant celui de Hal) dont je ne m'attendais pas à ce qu'ils se soient autant dégradés (recouverts de boue séchée) depuis la dernière fois que j'y étais passé, donc l'année dernière. Surtout après la semaine de temps sec et presque chaud qu'on venait d'avoir. Mes excuses encore pour cela. Pour le reste du tracé, disons qu'il était représentatif de l'état actuel des revêtements en Belgique… 😇 Flandre et Wallonie, pour cela, même combat, et encore je vous ai épargné Bruxelles. 😝
  19. Je suis assez d'accord (même si nos notions respectives de braquets adaptés divergent légèrement ;-)). De Muur van Geraardsbergen n'est pas si affreux en soi : tout dépend du contexte dans lequel on l'emprunte. Les seules fois où le Muur m'a paru problématique étaient quand je l'avais grimpé pour une montée chronométrée il y a une quinzaine d'années (donc à fond)… et une autre fois lorsque le passage le plus pentu était recouvert de feuilles mortes. La roue arrière s'était mise à patiner et j'avais dû mettre pied à terre. https://climbfinder.com/fr/montees/mur-de-grammont
  20. Mais si tu le connais, c'est le mur pavé à Saint-Sauveur entre Frasnes et Renaix. On l'appelle aussi « Beau-Site », versant sud-ouest, dans Cotacol. https://climbfinder.com/fr/montees/mont-saint-laurent Tu avais dit être passé par là, l'année dernière je crois, et ça m'avait surpris, connaissant ton aversion pour les pavés. Je m'étais donc dit que cette aversion n'était pas définitive… Il faudrait donc que les organisateurs de course rendent cette ascension mythique comme le « Muur » pour que tu acceptes d'y passer 🙂
  21. Tu vas pourtant bien au Mur de Grammont de temps en temps ? et même au Mont Saint-Laurent ? 😇
  22. Et encore j'ai été gentil, il manquait la plus dure de toutes les côtes du Brabant, aussi bien selon Cotacol que selon Climbfinder, alors qu'on passait tout près. Rappelle-toi, on a parlé récemment de cette perle… pavée 😺 : https://climbfinder.com/fr/montees/reposoir-de-la-vierge-chateau-des-comtes-de-hornes-chapelle-sainte-croix
  23. De retour en Belgique depuis hier soir, et sortie très sportive cet après-midi, par le temps radieux actuel (19° maxi selon la météo) et un vent sensible de secteur sud-est. Si cette sortie a été aussi sportive c'est que 76 km ont été fait en bonne compagnie : Thierry Geumez et Michel Dury (alias le schtroumpf). On s'était donné rendez-vous à Ronquières, dans le Hainaut, à une trentaine de km au sud-ouest de Bruxelles, au pied du « plan incliné » local : https://fr.wikipedia.org/wiki/Plan_incliné_de_Ronquières Pour ma part j'ai parcouru 95 km en tout, parce que j'ai pris le métro puis le train de Bruxelles jusqu'à la gare voisine de Braine-le-Comte, et de même au retour, et donc effectué à vélo les trajets de cette gare jusqu'à Ronquières et vice versa, ce qui m'a ajouté au total 17-18 km à la sortie (le reste étant effectué à Bruxelles pour joindre domicile, métro et train). Le parcours commun, que j'ai concocté moi-même, est celui-ci (à quelques différences mineures près dues aux approximations du créateur d'itinéraire du site Climbfinder): https://climbfinder.com/fr/mes-itineraires/121585 C'est un tinéraire aussi vallonné qu'il est possible de l'être dans la région pendant les deux premiers tiers du parcours, avec une douzaine de bosses plus compliquées les unes que les autres (voir lien plus haut), le dernier tiers étant tout plat jusqu'à Ronquières, à une dernière bosse près. On a pu profiter de paysages souvent très agréables malgré quelques portions de routes dans un état peu reluisant, ce qui est malheureusement trop fréquent dans ce pays. Certaines portions, à ma surprise, s'étaient fort dégradées depuis l'année dernière où elles étaient en bien meilleur état (désolé pour ces mauvaises surprises les gars !). Pour résumer la teneur sportive et plus ou moins inévitablement compétitive de la sortie, Michel était intraitable dans les bosses, Thierry dans les descentes et le plat, et moi, encore peu en forme avec 540 km depuis le début de saison, j'ai essayé de suivre l'un et/ou l'autre avec plus ou moins de succès. Mais pour finir l'un et l'autre m'ont « tué » dans la portion plate qui concluait le parcours le long du canal Bruxelles-Charleroi (je suis nul de chez nul sur le plat) et j'ai fini avec un mal de jambes carabiné… mais sans crampes, ce qui est un point positif pour moi qui ai l'habitude d'en avoir lors d'une sortie collective aussi « rythmée ». Au retour, j'ai pris une photo de mes deux compagnons de sortie (qui s'est malheureusement révélée floue). À gauche Michel, à droite Thierry : Au bilan, une belle sortie en très bonne compagnie ! 🙂 (Mais les gars, si vous pouviez rouler un peu moins fort sur le plat la prochaine fois, ça m'arrangerait ;-))
  24. Idem. Quand on fait du vélo en milieu citadin ou semi-citadin, ce qui signifie croiser énormément de cyclistes, ça devient compliqué de dire bonjour systématiquement. Ça reviendrait à dire bonjour toutes les cinq à dix secondes 🙂. Je ne le fais donc que lorsque je me trouve en milieu plus ou moins campagnard.
  25. Et dire que je viens à peine de dépasser les 500 km… J'en connais un qui va morfler bientôt ! 😪
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