Nicolas JOARY

C'est parti pour Pogi !

Abandon de Vingo !

Être accueilli, soutenu et encouragé, ça fait du bien au moral, c'est sûr. S'ils ne s'étaient pas inquiétés de moi sur la fin, j'aurais déboursé une minute au km !

11°C au départ de la sortie club de ce matin, avec un mistral en train de se renforcer. Le parcours prévu s'en est trouvé modifié et raccourci à 69km/633m+, avec un dernier tronçon à se battre contre un mistral à écorner les bœufs soufflant de 10-11h. J'ai bien tenté de tourner dans les relais (file montante par la droite), mais quand je prenais ma dose de vent, même pour une poignée de secondes, c'était très dur. J'ai lâché prise deux ou trois fois, mais les copains m'ont systématiquement aidé à recoller. Chouette esprit de groupe ! J'apprends, par moments c'est difficile, mais je progresserai petit à petit. La motivation est là. 🙂

Avec le mistral à écorner les bœufs, la course pourrait nous réserver quelques surprises. Cela ne devrait pas favoriser les attaquants ! Pogi ne devrait pas nous refaire le coup de Kigali.

Oui, le Wilier Garda en taille M fait 54cm au TT virtuel. J'ai la même taille que toi, Franck, mais avec un EJ de 88. Raison pour laquelle je suis bien sur le 54, même si le drop est important à cause d'une grande sortie de tige de selle. Pour moi, un 56 est moins stable en raison, je pense, d'un manque de poids sur l'avant.

Je suis très curieux aussi de voir comment elles réagissent au vent de travers (ça ne manque pas, ici).

D'une façon comme d'une autre, tu l'as dans le dos !

C'est l'épaule qui met le plus longtemps à guérir. Pas de souci pour rouler à vélo ; c'est quand la musculature se refroidit que les douleurs reviennent (la nuit, par exemple), mais c'est de plus en plus supportable. Je parviens à dormir sur ce côté-là, maintenant. Quant au vélo, c'est très bien. Très bonne tenue de route, je m'adapte à la position plus "agressive" (drop selle-cintre de 10cm). Rouler sur un vélo a priori trop petit pour moi est une révélation. Les calculs sur les sites de VPC me mettent presque toujours sur du L/56. Origine, sur son site, voyait mieux le coup en me suggérant du M/54 avec potence de 110. Je suis curieux de voir comment le vélo se comportera avec les Drive40 (moins de 1300g) plutôt qu'avec les Shimano RS171 (qui doivent avoisiner les 2 kilos malgré leur profil très bas).

Ici, en Drôme Provençale et Haut Vaucluse, c'est un bon gros mistral qui nous (m')en a bien fait baver ce matin en fin de sortie club. Le ciel est partagé entre nuages et éclaircies ; à l'abri du vent nous avions 11°C de bon matin, 16 maintenant que la mi-journée approche.

C'est à peu près ce que je fais en ce moment. Une sortie club le dimanche matin où je tape dedans (je rentre bien cuit, mais j'apprends à prendre quelques relais, m'abriter dans les roues...), une autre sortie club en semaine avec un groupe plus calme ; et une troisième sortie seul à mon rythme sans forcer ou avec Chérie à une allure encore plus touristique.

Ouf ! Remarque, il existe du béton maigre.

Non ! Pas du béton ! 😳 Au secours ! Entretemps, j'espère que ça s'arrange pour Pierre. Les urgences, c'est souvent usant pour la patience. Il en faut pour attendre d'être pris en charge... Et plus tard il en faut aussi pour être autorisé à rentrer chez soi.

À noter que les gravillons sont moins dangereux sur les droits chemins que dans les descentes sinueuses.

C'est une explication... Peut-être que le climat que nous avons ici le justifie. Qui sait ? Peut-être que la surface rugueuse et plus claire d'une route gravillonnée réagit mieux à la chaleur, aux ruissellements d'orages, etc ?

Merci de recentrer le débat sur les conseils pour le tubeless, Gérard. Comme je l'ai indiqué au début, cette discussion est consacrée aux conseils pour le passage et la maintenance des tubeless ; pas pour savoir si c'est utile ou pas, ni pour savoir s'il faut plutôt rouler avec des freins à patins. Merci beaucoup de rester dans le sujet. 😇

Concernant le gravillonnage, ici à Valréas j'ai vu autre chose il y a quelques mois : une route bien refaite, asphaltée, bien noire, un vrai billard. Deux ou trois jours plus tard, ils sont venus répandre dessus une couche de goudron et de gravillons. Il y a certainement une bonne raison à cela ?

Courage et patience, Pierre ! Pour te consoler, une petite image de ma dernière pizza. L'épaule droite avait bien dégusté :

On dit ça souvent aussi pour ceux qui sortent ou pas d'un grand tour... Les résultats ne sont pas davantage corrélés.

Déjà, il faut bien programmer ses zones d'entraînement. Il y a tout un tas de formules ; et celle utilisée de base par Garmin est exagérément prudente, par exemple. Mais c'est un point de départ qu'on peut adapter à sa propre physiologie. Je n'y connais pas grand chose, donc je suis allé pêcher tout un tas de formules différentes, qui souvent donnent en plus des fourchettes de calcul pour pourcentages à choisir pour les différentes zones ; et j'ai fait un mix de tout ça pour trouver ce qui était le plus souvent recommandé. Pas d'autres bases pour moi, je n'ai pas de capteur de puissance. Juste une ceinture cardio.

Eh ben voilà. Je demande... Alors, Jean-Pierre, pourquoi ces attachements ? 🤪

Oh ! C'est naturel, dirais-je. Nous essayons toujours de justifier nos choix, quels qu'ils soient, dès que quelqu'un d'autre s'avise de les questionner. Je pense qu'il est vain d'essayer de justifier le passionnel par du rationnel. J'assume mon changement de vélo. Bon, l'autre est kaput, changer n'était pas une option. Ce que j'ai acheté, par contre, ça mêle du passionnel et du rationnel. 😇

Ici, il fait plutôt doux, avec très peu de vent. Nous avions 10,5°C à 7h00. Le ciel est bleu, avec quelques passages nuageux qui empêchent le soleil de briller tout le temps. À 11h40, 17°C sous abri sur la terrasse.

Tiens, moi, c'est l'inverse. C'est la peur d'éclater une chambre dans une descente de col qui m'incite à passer au tubeless (et aux disques). Comme quoi, la peur, ça peut fonctionner dans les deux sens.

J'ai lu que certains utilisent une chambre pour installer un nouveau pneu tubeless. Ils font claquer avec la chambre, dégonflent et, avec un seul côté à remettre en place dans le crochet après enlèvement de la chambre, c'est plus facile de faire claquer le pneu avec une simple pompe à pied.