Aller au contenu

Nicolas JOARY

Membre
  • Compteur de contenus

    5 098
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    116

Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. En Belgique, certains disent : "Une brune dans mon lit, une blonde dans mon verre ; une blonde dans mon lit, une brune dans mon verre."
  2. Il pleut. Doux (9°C), mais pluvieux avec un vent de sud-est bien présent. Ce n'est plus aujourd'hui que je prendrai un bain de soleil en maillot sur la terrasse. Il y a une justice de temps en temps. Les braves qui sont restés au pays n'ont pas plus à se plaindre que moi.
  3. C'est normal. L'altimètre barométrique affiche les déclivités avec plusieurs secondes de retard (il mesure la variation de pression atmosphérique - elle baisse quand on gagne en altitude). La mesure peut être en outre instable en cas de temps venteux (les rafales sont perturbantes), la déclivité affichée peut passer de zéro à dix puis cinq puis à nouveau dix alors que la pente est à peu près constante. Une variation de pression atmosphérique (début d'une dépression, par exemple) peut, elle, perturber la mesure globale de la sortie. Enfin, l'allure à laquelle on grimpe une bosse peut aussi influencer sur la mesure. En gros, ne se fier à l'affichage de déclivité qu'en connaissance de cause. Quand on franchit fréquemment les mêmes côtes, on comprend mieux.
  4. On a discuté abondamment du sujet le mois dernier. Tu devrais trouver facilement avec la fonction de recherche.
  5. Merci, Pierre. Je connais très bien ce que tu décris, l'ayant déjà parcouru il y a quelques années (les gorges, le Ventoux par Sault, Roussillon, Sénanque... de bien beaux endroits), puis encore l'an dernier pour les gorges. Les deux autres montées sont donc encore à faire. Un défi pour moi comme pour beaucoup. Mais je suis absolument de ton avis quant à la beauté des gorges de la Nesque.
  6. Tout à fait. En partant le matin, je compte bien arriver en haut avant la tombée de la nuit.
  7. Surtout qu'après ça descend jusque Bédoin. Mais bon... jusque St-Estève, c'est aussi pas mal pour s'échauffer.
  8. Certes. Mais depuis Valréas, Malaucène c'est déjà à 40km/600m+. En hiver, ça ne me tente pas trop. Je préfère travailler un peu ma condition, qui était assez mauvaise l'an dernier (pratique trop irrégulière avec mes deux déménagements), sans rien brusquer et sur des parcours plus locaux. Au printemps, par contre, et quitte à me rapprocher en utilisant la voiture, le jeu sera plus ouvert. Un de mes projets sera de partir de Malaucène pour grimper par Bédoin avec la Madeleine en guise de mise en jambes.
  9. Pour le climat, en effet ! Pour l'environnement aussi. Pour le reste... c'est beaucoup moins évident !
  10. Pour répondre à la seconde partie de ton message : N'importe quel vélo en bon état de fonctionnement permet de faire du cyclotourisme. C'est toutefois plus facile d'installer des porte-bagages si le constructeur a prévu les œillets adéquats. À défaut, il existe des dispositifs qui permettent la fixation autour des haubans, par exemple, ainsi qu'autour de la tige de selle (Thule et Topeak en proposent, si j'ai bonne mémoire). Rester toutefois très très prudent avec les cadres, fourches et tiges de selle en carbone, qui demandent beaucoup de précautions quand il s'agit de serrer quelque chose autour. L'acier et l'alu, c'est généralement plus tolérant. Avec un vélo en carbone, je me limiterais à un chargement léger, de type bike packing. Faire gaffe aux roues, aussi. Plus c'est léger et orienté vers la performance, moins ça supportera les suppléments de poids.
  11. La chance, il faut aussi un peu la provoquer ; ce que nous avons fait malgré les incertitudes, le stress... Les journées que nous vivons nous confortent dans nos convictions d'avoir fait le bon choix. Qu'on ne s'y trompe pas : les nuits sont froides, ici. C'est le soleil plus généreux et notre terrasse au sud qui font la différence. Et aussi l'environnement attrayant.
  12. Gel et givre ce matin ! 1°C sur la terrasse. Il fait plutôt gris sur l'Enclave des Papes. Un peu de vent, aussi, avec des rafales. Pas très envie de sortir.
  13. Pas au point de faire ça ici, mais hier après-midi, je suis resté trois quarts d'heure en slip de bain sur la terrasse. Au soleil et à l'abri du vent, ça chauffait bien !
  14. Temps calme, ensoleillé, mais frais (2°C) ce matin sur Valréas. Bravant le froid, je suis quand même parti vers Nyons pour quelques emplettes sur le marché hebdomadaire. Le Topeak d-beam rack (qui se fixe à la tige de selle - merci l'alu !) et le top case de la même marque en guise de panier à provisions. L'aller s'est fait par un itinéraire tourmenté, via Vinsobres et la route des Crêtes d'où l'on voit si bien le Ventoux (beaucoup moins de neige qu'il y a quelques jours, côté nord) et les Dentelles. Frais et venteux sur Nyons (le pontias, ce n'est pas obligatoirement mieux que le mistral car, lui, il souffle presque quotidiennement le matin). Un maraîcher m'a dit qu'à 8h, lors de son installation, c'était vraiment très froid. Après les emplettes, retour par Venterol, Novésan et Rousset-Les-Vignes. 52km et 874m+ pour me garder au chaud, une pointe de mistral s'était même invitée pour mes derniers kilomètres, motivation supplémentaire pour pédaler aussi dans les descentes.
  15. 4°C en ce moment sur la terrasse abritée. Plus de givre très visible, un ciel dégagé et un soleil qui se lève de plus en plus tôt. Le printemps approche, mais l'hiver est encore bien là et n'a pas dit son dernier mot. Surtout quand le mistral entre dans la danse. C'est annoncé. Mieux vaudra aller pédaler ce matin !
  16. La barrière est fermée, là-haut. L'accès au gouffre qui déborde est donc interdit pour l'instant. Les tempéraments un peu aventureux (comme moi) peuvent descendre sur les rochers pour être très proches des flots bouillonnants et prendre quelques belles images. Les très aventureux (plus moi à mon âge) peuvent prendre davantage de risques, mais je dirais qu'à ce point-là, autant franchir la barrière et advienne que pourra ! 🤪
  17. Une belle journée encore sur la Provence, mais un peu brumeuse tôt le matin (gelées au sol en prime), pour être ensuite plus claire mais venteuse. Les 10°C n'ont pas été atteints partout ! Pas de vélo pour moi, mais une excursion jusque Fontaine de Vaucluse, qui déborde copieusement en cette saison. Un privilège de pouvoir s'y balader début février, quand l'eau est abondante et les touristes rares. À peu près le contraire de ce qui se produit six mois plus tôt ou plus tard.
  18. Pertinente remarque ! Sur la suggestion de Thierry, je vais essayer de m'en servir un petit peu ailleurs que dans les descentes. Je verrai si ça me remuscle un tantinet les guimolles.
  19. Merci pour les suggestions. De la musculation en salle (ainsi que la plupart des sports en salle ou en statique), ça me ferait trop ch*r. Par contre, ici à l'extérieur, le terrain se prête bien aux exercices que tu suggères et qui me seraient certainement bénéfiques. Roulant presque toujours seul, j'ai tendance à prendre les choses très à l'aise et, probablement, à "diéseliser".
  20. Dans un autre style, c'est à cet âge-là que j'ai commencé à avoir des soucis de rythme cardiaque au repos. J'ai abandonné 7 kilos dans l'aventure. J'écris "abandonné" parce que je ne parviens pas à les retrouver. J'ai perdu du muscle et n'ai repris vraiment le vélo que depuis 3 ou 4 ans. La condition physique est bonne, mais, à plus de 60 balais, difficile de refaire du muscle. Il me manque toujours 5 kilos.
  21. C'est drôle, comme on peut être différents ! Pierre sait ce qu'il va faire, mais pas encore tout à fait avec quel vélo. Moi, ce serait plutôt l'inverse... 😂
  22. Et, qu'on se rassure, pour cette dernière option, le tutu et les ballerines sont superflus. Par contre, sur la voie publique, les vêtements restent requis.
  23. Bien sûr. C'est essentiel. Mais les nouvelles technologies et méthodes d'entraînement n'en sont pas moins efficaces. Et ce sont, je pense, des outils très performants dans l'optique d'une progression ou, à tout le moins, dans celle d'un ralentissement de l'inévitable régression imposée par le vieillissement. Un aspect sur lequel je m'interroge, c'est celui de savoir si, quand on s'appuie sur les nouvelles techniques d'entraînement impliquant l'usage d'un équipement de pointe, on ne risque pas, justement, de mettre sous silence les signaux d'alerte que notre organisme nous envoie. Un peu comme, parfois, quand on sent bien que quelque chose d'anormal se passe, mais que les examens et analyses prescrits par le médecin retournent des résultats normaux. Le toubib et l'entraîneur vont se fier aux tracés et aux chiffres. Les sensations, c'est le sujet et lui seul qui les connaît.
×
×
  • Créer...