Marquez

Ce qui est amusant c'est pendant des decennies on nous a bassiné avec le poids des vélos en démontrant que c'était (entre autres bien sur) ungage de performance et que depuis qu'il est devenu plus difficile de faire des vélos plus léger qu'il ya 4 ou 5 ans cela ne semble plus avoir d'importance du tout et on trouve des machines à 9 kgs (2kgs d'embonpoint quand même ) à 4000 balles. En réalité les vélos de 7 kgs s'envolent maintenant à près de 10.000. De mon coté quand je monte sur un vélo de 8.5/9 ce n'est pas exactement la même chose niveau rendement qu'un de 7 kgs et je ne roule pas en montagne. Par exemple l'Emonda SL6 à près de 4000 balles, on l'a pesé à 9 bons kilos avec ses pédales Shimano. Mais bon on fait et on pense ce qui nous plait et c'est tant mieux pour tout le monde.

110 bornes aujourd'hui et les 4000 sont tout juste dépassés pour ces 4 premiers mois, bon un pote du groupe, jeune retraité en est à 7500.

Oui ce qui m'a étonné c'est que ce n'est pas le premier pedalier Shimano semblable que je monte et démonte mais ça n'était jamais arrivé, peut être que je serrai plus

Non comme le serrage de la vis de réglage était légèrement insuffisant, ce n'est qu'après les 50/100 premiers kms que le jeu a du augmenter d'où petits craquements, un premier resserrage a semblé régler le pb mais il était encore insuffisant et les craquements sont réapparus assez vite, avec détection d'un très léger jeu en appuyant de travers sur la manivelle gauche. Resserrage un poil plus énergique et ce matin 110 bornes à 8 du GR1 (dont un licencié FFC) avec évidemment "beaucoup d'énergie au pédalage" pas un bruit, c'est bien mieux comme ça 🤣🤣

Des news au sujet de la question initialement posée, les craquements venaient d'un excès de jeu dans le serrage du pédalier (Shimano) Ce jeu se règle via la vis plastique du coté de la manivelle gauche. Finalement ces matériels made in China (boitier Bucklos ceramique) marchent plutôt pas si mal, hein... c'était le monteur qui était en cause. (ce NB pour rassurer ceux qui en doutait)

CSC (Carbon Speed Cycle), ICAN Wheels, Elite Wheels, en achat direct (RPC, Taïwan),pour 500/600€ à moins de 1.300 grs, si on a pas trop de moyens c'est le top du top,nfaut pas hésiter.

En résumé, certains refusent mordicus de passer à l'assistance électrique, d'autres non et pourrait l'envisager, c'est très bien tout ça. De là à critiquer voire à honnir ceux qui font du VAE pour les non adeptes , c'est tt à fait autre chose, avoir le choix c'est carrément bien, c'est tout. me semble t il. Quand un cyclo nous dépasse avec un VAE débridé à 60 kmh cela ne me fait ni chaud ni froid exactement comme pour un booster ou autre engin motorisé.

Ah ben il suffit de peser la bête pour s'en rendre compte. Au club on s'amuse avec un petit pese bagage numérique à peser les vélos des uns et des autres c'est souvent édifiant et un peu attristant dans certains cas, surtout au vu des chèques correspondants. Enfin du coup ça diminue les prix au kg. Mais comme prétexté parfois :"bof il suffit de perdre 2 kgs de poids corporel et ça roule; Et bien non ça ne marche pas exactement comme ça malheureusement.

Il ne semble pas qu'on discute ici "d'aimer ou pas", le fait d'évoquer les pb de dopages éventuels et de l'évolution des méthodes dans ce domaine, n'a rien à voir avec l'appréciation qu'on peut avoir de la manière de courir, des performances, etc etc de tel oui tel coureur. Se prendre d'admiration (ou plus parfois) inconditionnelle pour un sportif donné, qu'on ne connait finalement que par écran interposé c'est un peu puéril et excessif tout de même.

Sur internet la dernière étape du Tour de Bretagne cet aprem, des courses palpitantes et indécises, plus sympa à suivre je trouve que beaucoup de WT actuels

Pour étayer cette analyse, il est clair que disposer de plusieurs vélos différents dans la conception est un très gros avantage pour juger de celui qui convient. Pour ma part je dirais que le V3RS me plait beaucoup par ses qualités de retransmission de l'énergie sur le plat et en relance, il n'est pas pénalisant dans les bosses mais moins intéressant pour moi (profil (vieux) grimpeur) qu'un vélo un peu plus élastique qui va permettre de beaucoup mieux accélerer brusquement , récupérer vite ensuite,, réaccélérer etc etc sans que ces dépenses d'énergie se paient trop chères. De même sur un pourcentage élevé on risque de na pas pouvoir maintenir si facilement la vitesse qu'avec un cadre plus "élastique". La démo m'a été faite ce dimanche où avec le GR1 (et pas mal de quadras quinquas) on a abordé une des côtes les plus marquées du coin (Montigné sur Moine, l'uranium) un bon petit km et des passages à 10% avec sans doute 7% de moyenne. Mal placé au pied, j'ai vu les bons partir devant à belle allure, le temps de boucher les 50 m de retard avec eux comme je pensais pouvoir le faire et bien non avec le V3RS le démarrage a été nickel mais ensuite j'ai du temporiser trop longtemps et n'a pu suivre le tempo des premiers. Il me semble qu'avec mon vélo plus élastique j'aurai sans doute moins facilement bouché le trou mais la récup aurait été plus efficace. Enfin c'est ce que je me suis dit peut être à tort, mais qui peut savoir dans ce genre de situation . Il faudrait que j'emmène ce V3RS en haute montagne pour vraiment juger de ce que j'avance.

Un examen très précis de ces liaisons, une pression latérale forte avec le pied sur la pédale en position basse, avec le vélo bien incliné et avec quelqu'un qui à les doigts posés sur la liaison, il sentira si le tube carbone et le raccord sont tout à fait homogènes ou pas. Sinon le Synapse de 2020 à moins de 100.0 balles c'est une super occas. Pas un foudre de guerre mais attention il faut savoir de quoi on parle, la différence reste marginale pour peu qu'on ait les bonnes jambes

Attention si ce sont des raccords collés, au triangle AR, car ces raccords acier collés n'ont pas toujours eu une fiabilité à ttes épreuves (décollements, fissures, ....) il faut bien contrôler ça notamment si le vélo a pas mal roulé.

En tout cas on peut apprécier les coureurs à leur courage dans l'adversité, leur manière de courir, leurs performances (encore que, là dessus????????). je necrois pas qu'i faille etre plus ou moins fan d'un, ou plusieurs coureurs et détester d'autres c'est plutôt puéril. Comme dans le monde de tous les jours il y a des caractères de toutes sortes dans le milieu des courses et ce n'est pas ça qui fait l'intérêt du spectacle des compétitions.

Effectivement ces problèmes de douleurs doivent bien pouvoir trouver des solutions quand même. Plusieurs pistes évidemment sont envisageables, je pencherai en premier lieu pour une séance chez un ostéopathe reconnu (j'ai un fils qui est plutôt bon mais ça fait loin, très loin) afin de détecter d'éventuels déséquilibres , tensions, contractures...., Si d'anciennes blessures(fractures ) se sont mal réparées se sera sans doute plus complexe à solutionner. Mais je suppose que ces pistes ont déjà été suivies. Quand il m'est arrivé de ressentir des douleurs style postérieur, il s'agissait souvent d'un réglage de selle sinon de la selle elle même, abaisser (légèrement )l'inclinaison de la selle m'a permis de régler ça. J'ai adopté depuis peu la mode des selles plus larges (142 au lieu de 135) et plus courtes. Elles sont relevées de l'AR et plus inclinées de l'AV, je dois dire que je les trouve parfaite en ergonomie. Diminuer la distance selle cintre permet souvent de prendre plus d'appui sur sa selle et moins dans les bras et le haut du corps, et limite l'influence des chocs, ce qui soulage toute cette partie. Pédaler" rond" et en souplesse est également très profitable pour diminuer les tensions . sans parler des pressions moindres dans les pneus plus larges qu'auparavant et aussi pourquoi pas adopter le tubeless qui permet de rouler à 4.5 bars. Je ne suis en revanche pas adepte des positions relevés qui induisent une plus forte pression sur une partie plus réduite du périnné. Ainsi qu'une transmission plus directe de ts les chocs et vibrations dans la colonne vertebrale. Tous mes (vieux) potes souffrent bien évidemment comme moi d'une usure et d'une fragilité des lombaires et cervicales et tous sans exception roulent bien à plat et ça nous délasse ainsi bien le dos Je ne sais pas du tout si tt ce discours pourra être utile car nous avons tous nos propres histoire, hérédité, physiologie et les solutions sont de fait très personnalisées. A propos des roues il me semble (de mon expérience personnelle) que la jante carbone retransmet moins les chocs que la jante alu, la tension des rayons en revanche est à prendre en compte dans la relation rigidité/confort.

Les résultats d'Evenepoel sont tout sauf ridicules et les déclarations des sportifs avant les compet sont tout sauf à prendre au pied de la lettre. Mais bon vu du canapé devant un écran de tv, l'impression est peut être un peu faussée pour le spectateur. Et ceux qui ont fait de la competition savent bien qu'il y a loin de l'espoir d'un bon résultat au résultat lui même. ceci dit sans vouloir être désobligeant bien sur, juste une tentative d'explication de l'impression de "ridicule"

Le fait de pouvoir monter sans pb à 7/8 barset plus ne signifie pas de rouler avec cette pression bien sur. Cela démontre l'efficacité de la pompe sans plus. Et pour claquer un tubeless si c'est possible sans compresseur c'est tant mieux. Avec la Leyzine à pied je suis monté à 10 bars avec un tubeless et j'aurai pu continuer à monter. Pour mettre entre 6 et 7 bars avec cette pompe c'est 😍.

Encore une question pour laquelle j'ai du mal à trouver la réponse: le montage des cuvettes acier (ou alu) qui se vissent dans le filetage (carbone) de la boite de pédalier et sont destinées à recevoir le boitier PF, se fait il à sec ou avec au préalable application de graisse? Pas distributeur Colnago près de chez moi et pas de réponse trouvée sur le net. D'avance merci aux éventuels connaisseurs.

Leyzine depuis plusieurs années ça marche bien, les 8 bars sans soucis, je n'ai jamais essayé plus.

Ce dimanche belle météo dans l'Ouest, 9° et petit vent de N, 110 bornes avec le D+ qu'on peut en prenant ttes les cotes qui se présentent (600m) dans le vignoble Sèvre, Maine et Moine . Un bon groupe de 15 assez homogène, mais beaucoup de d'accoups dans l'allure qui vont en dissuader certains de relayer régulièrement . Normal mais c'était bien. Au retour vent de 3/4 AR on veut à tout prix atteindre les 50kmh en stabilisé et ça marche sur plusieurs kms .....et personne ne saute🤩🤩

C'est tout à fait ça, les mêmes produits, mais à des doses bien différentes, c'est le discours qu'on entend dans les discussions autour d'une (ou plusieurs ) bières des anciens pros de 50 et 60 ans. Actuellement les couts sont hallucinants (il y a plusieurs années déjà etait cité plus de 50.000€ pour une cure mensuelle d'Aicar et de GW1516) pour des produits quasi indétectables efficacement, mais pas à la portée de n'importe quelle portefeuille de coureurs.

Sauf que les méthodes à l'époque étaient un tant soit peu les mêmes pour tous, alors que maintenant il y a énormément de différences et comme les meilleures ( efficacité, impossibilité à détecter, ....) se paient très chers....... Personne n'a jamais rien pu déceler chez Mark Padun (Bahrain) au Dauphiné, et quelle démonstration d'efficacité alors🤣 Sinon dans le cyclisme moderne on a tjs le cul sur la selle, les mains sur le cintre et des pédales à faire tourner, ça n'a pas changé une miette.

Bizarre de qualifier un coureur de "ridicule", quand on a un tant soit peu couru, ce n'est pas le genre de compliment qu'on donne à un coureur et même si on ignore tout de la course cycliste, d'ailleurs. Enfin bon, ce que j'en dit. Pour Pogacar je dirais en revanche que c'est plutôt son Mauro Gianetti qui un vrai "monstre d'efficacité". Là encore c'est un avis sans plus, et normal qu'il y en ait pleins de différents 😜😛😜😛

Oui merci de l'avoir signalé à temps, j'ai pu voir la fin de course qui était superbe.

Parole du Cid (Corneille): "A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire" Quand à Evenepoel, il fallait méconnaitre un petit peu ce sport pour le mettre comme favori à sa 3ème course après un aussi long arrêt. En témoigne sa course sur la Flêche.