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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. 1 h 30 de vélo environ, avec le gravel-randonneur à moyeu Rohloff, comme détente traditionnelle après le boulot (pénible aujourd'hui)… Direction Hoeilaart, au sud de la forêt de Soignes, pour faire une côte repérée grâce au site Climbfinder : la Bergstraat (littéralement, rue de la montagne). Vu les pourcentages annoncés, et sur pavés en plus, mieux valait prendre le vélo de randonnée à moyeu Rohloff et son plus petit rapport équivalent à 24/41, même s'il est bien plus lourd (15 kg) que le vélo de route (9 kg) qui n'a «que» 24/34… https://climbfinder.com/nl/beklimmingen/bergstraat-hoeilaart Grimpée assis sur le bec de selle et le maximum de mon poids sur le guidon pour ne pas cabrer le vélo, tellement les pourcentages sont extrêmes à certains endroits. Au bilan, j'ai trouvé un bon rival au «Kardaan» d'Overijse, pas très loin. La différence essentielle est que les pavés de la Bergstraat sont en fait des carreaux impeccablement disposés, tandis que ceux du Kardaan sont bien plus irréguliers. Par contre la Bergstraat me semble encore plus pentue ! Je suis repassé ensuite sur cette montée, mais à pied, pour prendre quelques photos (au passage je confirme que pousser un vélo de 15 kg, même sans bagages, sur des pourcentages pareils, c'est vraiment pénible. Mieux vaut rester sur la bécane quand c'est possible.) Le début de la venelle… Là commencent les choses sérieuses… Une mini-courbe au cœur de la section la plus pentue, avec un jardin à la déco chargée. Sommet en vue. Tiens, un chat là-haut… Coucou Mistigris ! Vue arrière au sommet. On voit bien la sente « plonger » 20 mètres plus loin… Descendre ça à vélo, ça doit aussi procurer des sensations ! Faudra que j'essaye…
  2. Franck PASTOR

    Mur de Sormano

    De même que quelqu’un d’averti ne se lance pas dans Paris-Roubaix avec des pneus de 23 mm, il ne faut pas se farcir le Sormano avec des braquets de montagne ordinaires… autrement dit, la prochaine fois, n’hésite pas: monte avec un vrai braquet de vététiste.
  3. J'ai eu régulièrement mes vélos qui «grinçaient» et à chaque fois ça venait soit de la liaison cintre-potence, soit de la liaison fourche-potence. Mettre de la graisse épaisse au niveau de ces liaisons résolvait le problème… jusqu'à ce qu'il réapparaisse quelques milliers de km plus tard.
  4. D'accord Grand Schtroumpf, tant que j'ai le droit de l'aimer, moi, et de le montrer, malgré ses routes pourries — que je ne me prive pas de montrer aussi. À ce sujet, j'ai noté une évolution de la situation dans la région ardennaise : on voit de plus en plus de routes principales refaites à neuf, en gros celles qui relient le plus directement telle commune à telle autre, essentiellement le long des vallées en fait, celles de l'Ourthe, de la Lienne, de l'Amblève — du moins partiellement pour celle-là. Par contre les routes secondaires restent globalement négligées. Malheureusement ce sont celles que nous fréquentons le plus, forcément, nous autres cyclistes.
  5. Tant qu'elles ne se mettent pas à nous courir après… C'est déjà bien pénible les cabots qui nous coursent, pas envie qu'en plus les bovidés s'y mettent !!
  6. Merci ! En prime, quelques photos de Sportograf, le photographe officiel de l'événement : Avec encore l'imper sur le dos… plus pour longtemps. Descente vers Ferrières. Admirez l'état de la chaussée aux endroits où passent les pneus des voitures et camions… C'est (trop) souvent comme ça en Belgique, et tout particulièrement en Ardenne. Pour ne pas être secoué comme des pruniers, on se déporte donc vers le centre… quand le trafic le permet. Côte de Fagnoul. Là aussi, chaussée perfectible… Descente rapide de Stoumont à Targnon. Chaussée impeccable cette fois 🙂 Notez que je suis le seul mains en bas du guidon 😕 Le problème de la Redoute, quand on est cycliste et touriste, c'est que la vue est vers l'arrière… Le décor abominable de la côte de Fagnoul, à Ferrières 🙂 « Quel pays atroce », dit régulièrement le Schtroumpf… Meuh non, pas pour tout le monde ! 🙂 Encore un échantillon d'horreur insoutenable pour les yeux le long du parcours. Arrêtez, c'est trop de laideur cumulée!
  7. Franck PASTOR

    Mur de Sormano

    Joliment raconté ! On dirait moi lors de ma première ascension de la Bastille de Grenoble ! 😄 Ne condamne pas comme ça cette montée, si définitivement. Tu l'as dit toi-même, un braquet de 36/28 était inadapté à un truc pareil. Si tu y reviens avec nettement plus petit, tu verras certainement le Mur de Sormano d'un autre œil. 😉 Pour info, lors de ma première ascension de la Bastille (montée très proche du Sormano en longueur et en pourcentage), j'avais 30/26, équivalent grosso modo d'un 36/30. Ça ne m'a pas empêché de mettre pied à terre deux fois… J'ai bien plus petit depuis !!
  8. Certainement pas et ce n’est pas mon but. Je veux juste insister sur le fait que trouver la Belgique belle ou moche, est très relatif, et dépend énormément des personnes. Asséner que la Belgique est moche, comme vérité absolue et incontestable, comme le font beaucoup trop de Belges par ce goût de l’autoflagellation qui m’exaspère, n’a pas de sens. D’autres la trouvent splendide, parfois pour les mêmes raisons… “La beauté est dans les yeux de celui qui regarde”.
  9. Ben moi le Grenoblois, si. Au nord du pays tu as des cités éparpillées un peu partout avec des monuments d'une beauté surnaturelle et des maisons en brique rouge à tomber par terre. Les campagnes sont rayées de routes incroyablement nombreuses, mais aussi de toutes sortes de canaux et d'écluses (dont je ne savais même pas à quoi ça servait), canaux longés par des rangées arbres inclinés dans la direction des vents dominants ; tout ça m'a complètement dérouté et dépaysé dès le début. Au sens propre, parce qu'à l'époque sans GPS il était facile de se perdre dans ces paysages quand la signalisation faisait défaut. 🙂 Au sud, tu as ces Ardennes densément boisées et ses pentes escarpées (---> pentes raides des courses wallonnes) basses en altitude mais tellement panoramiques, et de temps à autres ces villages typiques aux toits d'ardoise et aux châteaux incroyablement beaux… Qu'est-ce que ça changeait de mon horizon du Grésivaudan grenoblois, limité par trois massifs montagneux de 2000-3000 m d'altitude encerclant une cuvette toute plate de 200 m d'altitude, accessoirement l'endroit le plus pollué et le plus surchauffé de France en été, où souvent il n'y a pas un brin de vent. Oui, parfois les montagnes elles-mêmes me manquent, mais il me suffit d'y retourner 15 jours - 3 semaines en vacances sur l'année pour combler ce manque, et largement. La vie que je mène est bien plus agréable que celle que je menais à Grenoble.
  10. Moi j'aime les deux. 🙂 Et plus je vis dans ton pays, qui est de plus en plus le mien à mesure que le temps passe, plus je m'aperçois qu'un de ses principaux problèmes, c'est l'autodénigrement (à ne pas confondre avec l'autodérision, qui elle est positive) que ses autochtones ont érigé en sport national. La plupart sont persuadés, comme dit l'expression, que l'herbe est plus verte ailleurs. Alors que ceux qui viennent d'ailleurs comme moi adorent souvent ce pays, et souvent y restent. Comme quoi…
  11. Si la Hesbaye de Michel n'est effectivement pas un attrape-touriste (quoique, certains coins ne sont pas moches non plus), il y a de beaux endroits naturels en Belgique. Tu devrais essayer les Ardennes un jour. Altitude nettement moindre (maxi 700m) que les Vosges certes, mais les paysages peuvent aussi y être de toute beauté, comme l'Alpin d'origine que je suis l'a encore constaté hier. Il va falloir que je me mette à photographier la Belgique plus souvent, que je puisse apporter la contradiction à Michel, qui parle exagérément en mal de son pays selon moi. J'en ai été tenté plusieurs fois hier, mais je ne voulais pas descendre de vélo… La seule critique que Michel et moi partageons sur la Belgique concerne l'état des routes, mais là c'en est à un tel point qu'il n'y a plus de place pour la subjectivité… 😖
  12. Hier, c'était la dernière randonnée printanière organisée par le Proximus Cycling Challenge : Tilff-Bastogne-Tilff. https://tilffbastognetilff.be/fr/ Autrefois il s'agissait de la version cyclotouriste de Liège-Bastogne-Liège, mais depuis que Liège-Bastogne-Liège Challenge a repris ce rôle, Tilff-Bastogne-Tilff suit un parcours notablement différent, même s'il s'agit toujours d'accumuler les bosses ardennaises dans grosso modo la même région. Tilff est une (ancienne) commune du sud de Liège et l'ancien point de départ et d'arrivée de la rando, d'où le nom de celle-ci, mais hier ce rôle était assumé par la commune d'Esneux (dont Tilff fait aujourd'hui officiellement partie). Comme souvent, plusieurs distances étaient proposées : dans ce cas, 94 km, 147 m et 215 km. Seule la plus longue va jusqu'à Bastogne. Ma forme (encore perfectible) et mon kilométrage actuel (1400 km…) étant ce qu'ils sont, j'ai opté pour la distance intermédiaire, qui se contentait d'aller jusqu'à Manhay, au nord de la province du Luxembourg belge (Bastogne est nettement plus au sud, voisine du Grand Duché). Ça faisait quand même 2400 m de dénivellation selon l'organisation, et vu le parcours proposé, ça ne m'a pas semblé surestimé. https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/12620029/racefietsroute/tilff-bastogne-tilff-2023-147km Arrivé en voiture de Bruxelles (1 h 20 de trajet), et parqué au pied d'une courte côte menant au site de départ et d'arrivée, j'enfourche le vélo d'abord pour joindre celui-ci, retirer le dossard et la plaque d'immatriculation, et partir pour de bon vers 8 h 30. Cette fois-ci, contrairement à ce qui s'était passé lors de la Flèche de Wallonie il y a deux semaines, je n'ai rien oublié de notable 🙂. Ma pompe, en particulier, est bien sur le vélo, ce que j'ai vérifié cinq ou six fois ! Il fait d'ailleurs le même type de temps qu'il y a deux semaines et qu'il fait toujours depuis, quoiqu'un peu plus chaud : très beau, ensoleillé, mais frisquet le matin (12°-13°), et venteux. Pendant toute la sortie, ce réfrigérant vent de nord-est sera une constante impossible à négliger. J'ai donc à nouveau opté pour le cuissard thermique (court mais plus épais qu'un cuissard classique), un maillot de corps mi-saison sous le maillot cycliste, des manchettes, et un imperméable par-dessus pour le départ. Pour cette fois, j'ai laissé les jambières, bonnet et gants longs dans la voiture. Autour de moi, la plupart des cyclistes se passent de l'imper mais la plupart ont opté également pour les manchettes. La première partie de la randonnée est presque complètement plate sur une quinzaine de bornes, le long de la rivière Ourthe : on traverse les communes de Poulseur, Comblain-au-Pont, Comblain-la-Tour. Le plat, c'est pas pour moi et donc je roule tranquille, autour de 25 km/h, d'autant que mes muscles sont encore bien «froids». Ce n'est pas le cas des différents TGV qui me dépassent, roulant probablement à 35-45 km/h. Et puis à partir de Comblain-la-Tour, le parcours se vallonne : d'abord les longues côte relativement peu pentues de Xhoris, puis de Filot, qui ne m'ont pas laissé de souvenirs particuliers. J'en profite pour enlever l'imper, ne conservant que les manchettes comme protection contre ce qui me reste des sensations de froid. Et puis c'est la commune de Ferrière, dans un cadre magnifique, au bout d'une longue descente en ligne droite, et là le premier vrai casse-pattes de la journée : la côte de Fagnoul. https://climbfinder.com/fr/montees/la-fagnoul-ferrieres Points positifs : elle est bien pentue comme je les aime, et le cadre, forestier, champêtre et panoramique tout à la fois, est tout simplement splendide (au point que certains randonneurs en prendront des photos au sommet). Gros point négatif : la chaussée est dans un état particulièrement dégradé, même selon les standards belges, et ça signifie quelque chose ! Trous, gravillons, «rustines» grossières et nids-de-poule à foison comme j'en ai rarement vus aussi concentrés sur une route ici. Heureusement l'état de la voirie s'améliore ensuite et ne sera plus jamais aussi catastrophique, bien que loin d'être idéale à certains endroits. Le cadre restera splendide sur la plus grande partie du parcours qui suit, en montagnes russes jusqu'à la localité de Manhay. Entre-temps, nous sommes passés dans la province du Luxembourg belge, et avons pu profiter du premier ravitaillement, à Heyd, à mi-chemin d'une autre côte bien difficile : le col du Rideux, versant nord (seul côte belge reconnu comme véritable col par l'Institut Géographique National de Belgique). https://climbfinder.com/fr/montees/rideux (la rando s'est contenté des 1,8 premiers km, déjà bien corsés). Je profite du ravitaillement pour enlever les manchettes (et me tartiner de crème solaire sur toutes les portions de peau exposées au soleil). Le parcours repart ensuite «à flanc de montée» en négligeant hélas de monter au véritable col. C'est alors une succession de côtes soit courtes et non recensées, soit longues mais généralement peu pentues, dont celle de Lamormesnil et d'Odeigne (Manhay) mais qui commencent à faire mal aux jambes. D'ailleurs je ressens les prémices de crampes aux deux cuisses. C'est toujours la même explication : dans les côtes, il m'est difficile de ne pas «faire la course» avec les cyclistes avoisinants… ce qui est le meilleur moyen de se mettre dans le rouge ! Puis on revient dans la province de Liège, via la commune de Lierneux, traversée déjà lors de la Flèche de Wallonie. On longe maintenant la vallée de la Lienne comme alors, mais dans l'autre sens, et sur une partie seulement. Le temps pour moi de me refaire une santé, que ces sensations de crampes disparaissent. Ce qui implique à nouveau de laisser filer des groupes lancés à haute vitesse dans ce faux-plat descendant. Et ce jusqu'au pied de la côte suivante : l'Ancienne Barrière. https://climbfinder.com/fr/montees/ancienne-barriere C'est une des plus longues montée de la région (4,8 km), relativement peu pentue et très régulière, un régal pour les rouleurs et les amateurs de gros braquets. Une côte pour le schtroumpf et le coiffeur de Lorraine, quoi 😉. Mais comme pour le col du Rideux on n'en fera qu'une partie, les trois premiers kilomètres en l'occurrence : le parcours oblique alors vers la gauche pour emprunter à nouveau une série de montagnes russes, qui se conclut par le deuxième ravitaillement, à Rahier. 103 km déjà parcourus. Je ne me sens pas particulièrement fatigué, ce qui est bon signe. Après être reparti, et avoir grimpé un énième casse-pattes (la côte de Froidcour), on arrive à la commune de Stoumont, qui annonce une descente assez longue sur une route large et sinueuse dans laquelle je m'amuse à retrouver mes vieilles sensations de descendeur de cols alpins. Mais beaucoup de participants n'ont pas l'habitude de telles descentes et cela se voit : crispés, bras tendus, mais aux cocottes, le plus au centre de la chaussée possible, voire au-delà à l'amorce des virages… je vois toutes les erreurs de pilotage possibles et imaginables être commises dans cette descente, et parfois même par des cyclistes visiblement aguerris. Ça fait peur ! D'autant qu'un de ces cyclistes frôle une des bagnoles arrivant en face (et a le culot de protester après le coup de klaxon du conducteur). En bas de cette descente, c'est une dernière portion roulante d'une quinzaine de kilomètres qui se présente : la vallée de l'Amblève, de Targnon à Sougné-Remouchamps. Un long faux-plat globalement descendant, avec quelques courts ressauts de route, le type même de profil que je déteste. Comme le vent y est en plus défavorable, je fais l'effort cette fois de prendre la roue d'un cycliste qui ne me dépasse pas trop vite. On se relaie régulièrement, jusqu'à en rattraper un troisième qui lui aussi entre dans la danse. Le compteur oscille entre 30 et 40 km/h : à part dans les (vraies) descentes, je n'aurai jamais roulé aussi vite sur toute la sortie (oui, je sais, ça n'étonne que moi 😜). Fin de cette partie de manivelles à Sougné-Remouchamps, où nous attend la côte vedette de la journée : la très fameuse Redoute, célèbre pour Liège-Bastogne-Liège. https://climbfinder.com/fr/montees/redoute Au début de la côte, je paie l'effort de groupe effectué juste avant : les crampes surviennent, en force, des deux côtés, à l'intérieur des cuisses. Je grimpe les premiers 200 m de la côte en alternant position assise, moulinant un max, et en danseuse pour me détendre. Et puis ces contractions musculaires si désagréables finissent par se calmer puis disparaître. Je me permets alors d'accélérer et j'en profite pour rattraper et dépasser quelques cyclistes en «croustille», notamment dans les parties les plus pentues. Au sommet, tout le monde s'arrête pour «discuter le coup», mais pas moi. Je continue sur ma lancée et enchaîne les 15 derniers kilomètres sur le même rythme. La côte de Sprimont notamment, puis à nouveau une longue et sinueuse descente de Dolembreux à Esneux, où je re-peste contre ceux qui décidément ne savent pas descendre, puisque je dois passer la moitié de la dégringolade coincé derrière deux cyclistes taillés pourtant en athlètes, mais qui eux aussi descendent comme des pieds, et l'un à côté de l'autre pour ne rien arranger ! Une fois arrivés à Esneux, il ne reste qu'une courte côte, peu pentue, celle qui mène au site d'arrivée. Là, je fais un petit bilan : 147,8 km selon mon compteur effectués à une moyenne générale de 21,9 km/h (ravitaillements décomptés), et à une cadence moyenne de 87 tours/minutes. Chiffres plutôt positifs car légèrement supérieurs à ceux de la Flèche de Wallonie, alors que le parcours d'aujourd'hui était plus long et plus vallonné 🙂 Je m'empresse de déguster mon traditionnel hot-dog moutarde en guise d'attentat contre les principes de récupération alimentaire, avant de remballer toutes mes affaires dans la voiture et de rentrer chez moi. Une bonne journée de vélo au final, avec un temps splendide et des paysages à l'avenant. Mais je me prends quand même à souhaiter un retour prochain de conditions pluvieuses : si le beau temps persiste, il ne va bientôt plus rester grand'chose du côté verdoyant de ces paysages… sans même évoquer les autres problèmes, d'ordre écologique, que cela finirait par entraîner.
  13. Oui, en triple 11 vitesses. Plateaux 46-34-24 et cassette 11-13-15-17-19-21-23-25-27-30-34. Je préfère 24/21 à 34/30 car la ligne de chaîne est alors meilleure. Je ne mets le 34/30 que lorsque la montée me paraît trop courte pour que je prenne le temps de changer de plateau.
  14. Quand j'avais lu ça avant-hier, ça m'avait laissé songeur. Je savais que c'était un braquet bien trop gros pour moi à 13 km/h, mais je ne savais pas exactement quel braquet j'utilisais à cette vitesse, avant de faire un calcul. Et j'ai vu ce calcul confirmé par mon compteur lors de ma randonnée ardennaise d'hier : à 13 km/h, c'est généralement le… 24/21, ou son équivalent 34/30, que j'utilise. Un braquet dont tu ne disposes même pas en ce moment ! C'est dire la différence de nos styles de pédalage respectifs. Il faut de tout pour faire un monde ! 😎
  15. Je viens juste de boucler les 147 km du parcours médian de Tilff-Bastogne-Tilff. 2400 m de dénivellation, 21,9 km/h de moyenne en décomptant les ravitos, 87 tours/min de fréquence moyenne de pédalage… Il fait toujours aussi beau et venteux et la Redoute est toujours aussi pentue. Plus de détails demain !
  16. C'est plutôt le Schtroumpf qui est particulier. Je ne connais pas de lacs de montagne (les Alpes, pour moi) qui ne soient pas super-froids. Au-delà d'une certaine altitude, disons 1000 m, impossible de m'immerger dans un lac au-delà des genoux… sauf une fois, pour un pari stupide que je n'ai pas recommencé.
  17. La prochaine fois que tu comptes aller à Grammont, fais-moi signe, comme c'est à peu près à mi-distance de nos domiciles respectifs, on pourrait se retrouver là-bas pour une pause café commune et/ou faire quelques km ensemble dans le coin (et casser du sucre sur le dos du Schtroumpf, cela va de soi 😇).
  18. Pont-de-Claix 🙂 Il y aura aussi bien Belledonne que la Chartreuse au menu ! D'abord le balcon de Belledonne, de Saint-Martin-d'Uriage jusqu'au col des Mouilles et un peu au-delà apparemment, puis la fameuse trilogie de Chartreuse : les cols du Granier (versant Chapareillan, le plus pentu), du Cucheron et de Porte, juste avant la Bastille. Sacré parcours ! https://www.criterium-du-dauphine.fr/fr/etape-8
  19. 54 km relativement cools cet après-midi du côté de la vallée de la Dyle (Leefdaal, Huldenberg, Overijse), à tourner les jambes sans trop me dépenser, et en alternant quelques côtes et des secteurs roulants. Temps toujours splendide, presque chaud, 20°-22° maxi (s'il n'y avait pas encore ce fichu vent de secteur nord-est). C'était la première fois de l'année que j'ai roulé en tenue courte complète 🙂 Ceci dit, à cause de ce vent particulièrement réfrigérant, j'avais opté pour les manchettes (au départ seulement, et vite enlevées), un maillot de corps de mi-saison sous le maillot cycliste et encore une fois le cuissard thermique, donc le moment de la tenue vraiment estivale n'est pas encore venu. Samedi, randonnée ardennaise au programme : Tilff-Bastogne-Tilff, parcours médian, soit 147 km et 2400 m de dénivellation (chiffres officiels), ce qui est déjà conséquent. Le grand parcours en fait lui 215 km (voire 230 km selon une autre source), ce qui est beaucoup trop pour moi vu ma forme du moment. https://tilffbastognetilff.be/fr/
  20. À ce sujet, n'oublie pas de te restreindre au niveau des churros, tapas et autres paellas pendant ton voyage, sinon la reprise du vélo va être d'autant plus difficile au retour ! 😛
  21. Moi j'ai adoré ! Impeccablement rédigé et sans temps mort dans le récit. Tu ne serais pas écrivain dans le civil ? Et les splendides photos ne gâchent rien 🙂 Pour ma première sortie sur plusieurs jours, je vais probablement prendre moins de bagages que toi. En particulier parce que j'ai l'intention de coucher à l'hôtel ou dans des chambres d'hôtes, pour commencer. J'ai peu d'expérience du camping, et les quelques fois que j'en ai fait ne constituent pas toujours un bon souvenir !
  22. Si c'est le prix à payer pour avoir de la pluie, d'accord. 🙂 Il y a quelque chose que je trouve plus déprimant que la pluie (outre le vent…), c'est l'herbe jaune et sèche qui commence à apparaître… J'aime la verdure moi, c'est signe de vie. Et donc vive la pluie (sans excès) !
  23. Hier soir, sortie-détente avec le gravel-randonneur, pendant 1 h 30 avec rien de particulier à signaler. Juste que ce beau temps qui dure commence à m'inquiéter… Non, ne me sautez pas dessus, c'est sérieux. Il y a déjà eu un incendie de forêt dans les Ardennes ce week-end, dû très probablement à un randonneur négligent (comme souvent), mais qui s'est très vite propagé à cause de la sécheresse… Je commence donc à souhaiter le retour de la pluie, moi !
  24. ? Je ne comprends pas quel rapport il peut y avoir entre le fait de pousser le vélo à la montée et celui de descendre en roue libre ensuite. Quelle que soit la façon dont on monte, on peut descendre en roue libre ensuite ! (À moins évidemment d'être en pignon fixe, mais ça c'est pour des fous furieux genre Patrick Seabase.)
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