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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. 114 km aujourd'hui sur le vélo de route, ma première sortie de l'année de plus de 100 bornes (pas trop tôt…). Le gros de la sortie a consisté à suivre un circuit balisé pour cycliste que je connais par cœur à force de l'avoir parcouru, la route cycliste de la Flèche brabançonne (98 km, 1000 m de dénivellation environ), qui passe à 8 km de chez moi à peu près. Il s'appelle ainsi parce qu'il reprend une bonne partie des difficultés de la course cycliste éponyme. https://www.toerismevlaamsbrabant.be/fr/producten/fietsen/fietsproducten/brabantse-pijl-cycling-route/index.html (présentation, plans du parcours) https://climbfinder.com/fr/routes/fleche-brabanconne (idem, avec le détail des côtes). Temps relativement doux : j'avais pris la tenue « pré-hivernale » (Assos Habu, «Early Winter»), et au début elle était limite trop chaude… jusqu'à ce que je chope la pluie aux deux-tiers du parcours, et ce jusqu'au retour chez moi. Après ça je n'ai plus regretté mon choix de tenue : même avec l'imper par dessus, je n'avais plus chaud ni froid, c'était parfait (enfin, autant qu'une tenue peut l'être quand il pleut). Sensations toujours médiocres : peu de jus, les passages plats consacrés à gérer le vent assez fort, les côtes grimpées à l'économie, moyenne finale de… 20 km/h. Les routes détrempées et tapissées de boue sablonneuse n'arrangeaient rien, bien sûr, mais clairement j'ai encore besoin d'un bon paquet de kilomètres supplémentaires pour retrouver une forme à peu près décente.
  2. Elle est arrivée plus vite que ça sur le centre, la zone pluvieuse : je l'ai prise vers 12 h 00 à Bierbeek, à l'est de Louvain, et elle ne m'a plus lâché jusqu'à mon retour à Bruxelles.
  3. Essaie de ne pas jouer à cache-cache-pluie s'il tombe des gouttes, tu ne connais pas aussi bien cette région que la Hesbaye brabançonne ! 😜
  4. À propos, la météo d'après-demain, jour de LBL Challenge, ne s'annonce pas folichonne non plus : à nouveau risque d'averses pendant toute la journée. Ceci dit, ce ne devrait pas être non plus des cordes qui tombent du ciel, et qui sait, avec un peu de chance, il sera possible de passer entre les gouttes. Mais ça va être a priori difficile de jouer à cache-cache-pluie puisqu'il faut suivre un parcours donné ! Tu es toujours partant ?
  5. Sortie d'entretien de la forme (enfin, ce qui m'en tient lieu actuellement) cet après-midi, à l'est de Bruxelles, pour parcourir le circuit balisé pour cyclistes « Vliegeniersroute », « Route des aviateurs », doucement vallonnée, à Zaventem. https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/177644/recreatieve-fietsroute/vliegeniersroute En tout une petite quarantaine de kilomètres, au jugé, puisque je n'ai toujours pas installé de compteur sur mon vélo gravel. J'avais hésité entre mes deux vélos, le route et le gravel pour cet après-midi. Le parcours emprunté ne présentait pas de sections en terre, juste quelques portions de bitume en mauvais état et un petit secteur pavé. Mais il y avait des risques d'averse, selon la météo… J'ai donc finalement opté pour le gravel, « blindé » contre la pluie (moyeu à vitesses intégrées, courroie, gardes-boue…), en plus de l'imper et des surchaussures et j'ai bien fait puisque j'ai effectivement pris une averse sur la fin du parcours. Pas bien méchante, mais de quoi affoler pas mal de gens autour de moi, piétons comme cyclistes, qui visiblement n'avaient pas consulté la météo et n'avaient strictement rien pris pour se protéger. Et les écoliers de courir sous leur cartable, les dames de claquer des talons en s'abritant sous leurs vestes, les hommes de foncer s'abriter sous un auvent… Ces gens-là, comme pas mal de Belges, refusent visiblement d'assumer qu'ils vivent dans un pays pluvieux, mais la réalité est impitoyable. 😜
  6. Ça casse sans doute l'aérodynamisme de la voiture, mais a priori c'est un abri supplémentaire pour le coureur, non ? Ça me rappelle que pendant la retransmission en direct sur Sporza, le commentateur a ironiquement suggéré à Leo van Vliet d'ouvrir le coffre de sa bagnole tant qu'à faire, s'il voulait fournir à Pogacar encore plus d'abri…
  7. Même question (je suis de plus en plus allergique aux acronymes… je dois vieillir…).
  8. Pogacar domine tous les autres coureurs, mais prise collectivement son équipe ne domine pas particulièrement les autres. D'ailleurs, avant le Tour des Flandres, on trouvait que c'était l'équipe Jumbo-Visma (Roglic, Van Baarle, Van Aert, Laporte…) qui écrasait tout. Alors? Chez les filles, il y a pourtant une équipe, SD-Works, qui domine depuis le début de la saison, mais les courses sont en effet plus spectaculaires. Les féminines actuelles ont peut-être tout simplement un tempérament plus offensif que leurs homologues masculins actuels.
  9. Tu as vu, il avait des gants aujourd'hui, Pogacar. Il en avait aussi sur le Tour des Flandres. Mais pas sur l'Amstel. Je me demande ce qui lui fait décider d'en porter ou pas. (Oui, je fais attention à ce genre de détail. Même pas honte :-))
  10. Tu étais obligé de sortir le matin ? Les températures étaient nettement plus clémentes l'après-midi, même s'il y avait toujours ce vent sibérien.
  11. Un petit 37 km ce soir, en mode détente après le retour du boulot, sur le vélo de route. Direction la forêt de Soignes, puis Overijse, Tervuren et retour en empruntant comme souvent la promenade de l'ancien chemin de fer Bruxelles-Tervuren. Temps doux, à peine nuageux, qui aurait été agréable sans ce vent du nord bien ch… qui justifiait mon choix de la tenue « Early Winter ». C'est quand même rare que je mette celle-ci aussi tard dans le printemps ! Vivement des conditions climatiques vraiment de saison.
  12. Ce serait en fait Walter Planckaert le chauffeur: https://sporza.be/nl/2023/04/16/auto-van-koersdirecteur-leo-van-vliet-gaat-de-mist-in-maar-er-is-niets-aan-de-hand~1681656417841/ https://www.hln.be/wielrennen/michel-wuyts-over-kopbeurt-van-koersdirecteur-van-vliet-voor-pogacar-toen-van-der-poel-won-zou-hij-er-ook-voor-veel-tussen-gezeten-hebben~a948a71a/
  13. Si les températures avaient brusquement chuté d'un jour à l'autre, ça pourrait expliquer la baisse des performances. L'organisme a besoin d'un temps d'adaptation, probablement.
  14. Sincèrement, je ne pense pas que c'était volontaire. Du fait que Healy se rapprochait de Pogacar, la voiture du directeur de la course ne pouvait plus rester entre les deux coureurs. La voiture a donc dépassé Pogacar, mais malheureusement la route à cet endroit ne permettait pas d''aller suffisamment vite pour laisser un espace conséquent entre le coureur et elle. C'est ce que Leo Van Vliet (le directeur de la course) affirme pour sa défense, et je le pense sincère là-dessus, même s'il cherche (de façon peu convaincante) à minimiser l'abri qu'a apporté sa voiture. Mais je n'arrive pas à l'imaginer assez stupide pour avantager volontairement, devant toutes les caméras du monde, Pogacar (ou un autre coureur) de cette façon. https://sporza.be/nl/2023/04/16/auto-van-koersdirecteur-leo-van-vliet-gaat-de-mist-in-maar-er-is-niets-aan-de-hand~1681656417841/
  15. Ouille!!! C'est LE lapsus qu'il ne fallait surtout pas faire devant des cyclistes wallons !
  16. Sortie de 86 km aujourd'hui, toujours dans le triangle Bruxelles-Louvain-Overijse. Après les 25 premiers km à peu près plat le long de l'autoroute cycliste F3, un maximum de côtes et un trajet pas roulant pour un sou : Raffelberg, Veeweidestraat, Smeysberg, Moskesstraat, Holstheide, IJskelderlaan, Schavei, Moerenhoutstraat, Hertstraat et la Brusselsestraat chère à Michel Dury pour finir. Le même temps que pour Olivier et ses compagnons de sortie (nos itinéraires étaient très proches) : froid, humide, venteux. Une bruine constante pendant les deux premières heures, puis temps sec ensuite mais évidemment les chaussées étaient détrempées et le vélo est dans un état à faire peur. Frileux de nature, j'avais pris soin de prendre la tenue hivernale, et donc je n'ai pas eu froid, mais le bruit du vent dans mes oreilles me portait sur les nerfs et les sensations ont été deux crans au-dessous de la sortie précédente : j'étais plus lent dans toutes les côtes, sauf le Smeysberg où j'ai fait la course avec un cycliste qui m'avait doublé au pied de la côte sans même me dire bonjour. Comme il s'est ensuite «planté» au milieu du talus, en danseuse sur un braquet de schtroumpf 😜, je me suis fait un plaisir de le rattraper et de le laisser sur place en moulinant mon petit braquet (le 24/27) à 10-11 km/h. Je l'ai payé juste après dans la Moskesstraat, gravie «au pas» (7 km/h dans la partie la plus pentue sur le 24/34) et pour le reste des côtes, c'était un peu mieux mais toujours pas folichon. Bien content de rentrer pour finir, avec le sentiment d'avoir bien travaillé la forme… future! 🙂
  17. Voilà qui relèverait de la science-fiction en Belgique, même en Ardenne !!
  18. On en verrait quelques-uns en tenue d'été même s'il faisait dix degrés de moins qu'aujourd'hui. Plus rien ne m'étonne dans ce pays.
  19. À nouveau une sortie-détente ce soir au retour du boulot (l'heure d'été a du bon, quand même), à nouveau 1 h 30 environ, à nouveau avec le gravel, mais cette fois dans la forêt de Soignes au sud de Bruxelles, Beau temps, température assez douce, du vent mais sans excès, tout s'est bien passé, sauf vers la fin de la sortie, quand un clébard m'a coursé en aboyant bien fort pendant quelques dizaines de mètres. Montée d'adrénaline superflue et malvenue. Et son maître qui l'appelait en vain… Certains devraient prendre des cours de dressage pour leur chien, quand même !
  20. De même, je ne suis pas les modes : je tournais déjà les jambes en côte avant qu'Armstrong ne popularise la chose et que tout le mode grimpait «en force», j'ai toujours roulé sur des cadres en métal, j'ai utilisé le même vélo pendant 18 ans (le Gir's que tu appelais une enclume), j'utilise un triple plateau encore aujourd'hui sur mon vélo de route (le Lynskey qui te tenterait bien pour faire une infidélité à ton Merckx) et mon autre vélo a un moyeu Rohloff et une transmission par courroie, ce qui paraît encore plus hors des sentiers battus qu'utiliser des plateaux ovales, non ? Sauf que pour la «mode» des petits braquets, il faudra t'y résoudre : ce n'est pas une mode, mais quelque chose qui va rester, et qu'a permis l'augmentation du nombre de pignons. Désormais, on n'est plus obligé de tourner les jambes moins vite en côte que sur le plat, et on s'apercevra de plus en plus souvent, comme je m'en suis aperçu il y a plus de trente ans, qu'il n'y a pas de raison particulière de le faire, tant qu'on a les braquets qui le permettent. Ce qu'on ne pouvait pas avoir avant… sauf équipement particulier (triple plateau).
  21. Heu, en 81 il était en retraite sportive depuis trois ans, il me semble!
  22. C'est pas parce qu'on a et qu'on garde un vélo estampillé Eddy Merckx qu'on doit forcément garder dessus les braquets d'Eddy Merckx. Surtout quand on n'a pas le niveau d'Eddy Merckx. 😛
  23. Oui, si j'ai bonne mémoire les facilités linguistiques ne concernent que les habitants de'communes à facilités d'une part, et d'autre part seulement pour leurs contacts avec l'administration de leur commune.
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