Franck PASTOR

Je t'avais fait remarquer aussi que mes Roval SLX 24 pèsent ensemble 1500 g. https://www.ventoux-bikes.fr/fr/produits/roues/specialized-roval-alpinist-cl_pr601_14ac.htm

Aujourd'hui j'ai fait exception à ma règle de ne jamais sortir deux jours de suite, puisque demain je serai occupé à autre chose et que lundi les prévisions météo sont à nouveau (plus que) pessimistes. Mardi, je retourne à Bruxelles… Donc, 55 km aujourd'hui pour ma deuxième et dernière sortie en montagne grenobloise, cette fois dans le massif de Chartreuse. Et j'en ai profité pour dépasser cette fois-ci la cote des 1000 m d'altitude, en grimpant au plateau des Petites Roches via cette belle montée : https://climbfinder.com/fr/montees/saint-hilaire-le-touvet De beaux points de vue sur la vallée du Grésivaudan et sur la chaîne de Belledonne de l'autre côté de la vallée, particulièrement une fois arrivé au plateau des Petites Roches. Un exemple ci-dessous, sur cette photo prise peu après le sommet de la côte, à la sortie de Saint-Hilaire (par ailleurs centre renommé de parapentisme) : De la vallée à 200 m d'altitude aux sommets de Belledonne à 2500 m… Vers le centre, juste sous la limite du manteau neigeux, on devine les installations et les pistes de la station de ski de Prapoutel-les-Sept-Laux (où j'ai skié cet hiver).

J'ai des roues alu et des freins à disque mais bon, je crois te l'avoir dit quatre ou cinq fois…

A priori oui. La fixation à six trous est le standard (concurrencé par le centerlock de Shimano). Il peut y avoir cependant une légère différence d'épaisseur entre deux disques de même taille mais de différentes marques, vérifie sur l'emballage. Si le nouveau disque est plus épais, il faudra probablement repousser les pistons avant installation. J'ai aussi des freins TRP (Hylex), quels sont les tiens, par curiosité ?

Courage… Le beau temps arriverait (enfin !) la semaine prochaine, accompagné d'une hausse sensible des températures, ça diminuera peut-être tes maudites douleurs.

40 km de reprise de la montagne grenobloise (massif de Belledonne) en début d'après-midi. Pas encore bien haut (altitude maximale d'environ 950 m), mais c'est déjà 800 m au-dessus de l'altitude maximale brabançonne 🙂 Montée à cette altitude en deux temps principaux, deux morceaux bien consistants : la côte de Pressembois à partir de Gières et la Croix de Pinet via le raidard du Rocharey. Entre les deux, une petite partie de montagnes russes. https://climbfinder.com/fr/montees/chene-de-venon-gieres https://climbfinder.com/fr/montees/la-croix-de-pinet-murianette-la-pereree (à partir du km 3,5). Ensuite direction le hameau des Roussets, un peu plus haut (950 m environ), point culminant de la sortie, et redescente dans la vallée. Les jambes ont bien tourné (84 tours/minutes de fréquence moyenne) mais elles ont bien chauffé aussi dans les passages raides. Photo prise des Roussets. Cette vision des sommets avoisinants n'incitait guère à monter plus haut… Et puis, des Roussets on a déjà une belle vue sur Grenoble, 750 m plus bas 🙂

Arrivé à Grenoble avant-hier. Pluie continue hier. Aujourd'hui nuageux et froid mais pas de pluie. Je pense tenter une sortie en (moyenne) montagne cet après-midi. D'autant qu'à part peut-être demain les journées qui viennent ne s'annoncent pas folichonnes.

Oups, c'est vrai. Et Lipowitz, c'est plus facile à écrire en plus.

Tu nous écriras 100 fois pour t'entraîner : Uijtdebroeks ! Va falloir que tu y passes de toutes façons, comme Museeuw dans le temps, ou Kruijswijk plus récemment, autant te familiariser avec son nom dès maintenant.

Étirement du dos lors des chutes ? Les ukemis (brise-chutes) sont évidemment aussi en vigueur en judo, sport que j'ai pratiqué de dix à vingt-cinq ans. Effectuer une série de chutes avant, des deux côtés, permettait de «délasser» le dos en l'étirant légèrement. Et ce d'autant plus que la chute était longue. Je me rappelle que notre professeur nous faisait sauter avec élan par-dessus des types alignés côte à côte, agenouillés, têtes contre le sol, Et ce sont souvent des étirements qui sont prescrits pour soulager les douleurs dorsales.

Sur macos, si on utilise Aperçu (Preview), ouvrir la photo, aller dans le menu «Outils», choisir « Ajuster la taille ». Une fenêtre s'ouvre où tu peux changer les paramètres définissant ta photo. Pour réduire sa taille, le plus efficace est de diminuer sa résolution, au prix d'une diminution de sa qualité (on n'a rien sans rien…). Pour les autres systèmes, je ne sais pas.

C'est exactement ce que j'ai pensé aussi ! Et c'est sous tous les angles que ça évoque une bestiole embrochée. Edit : on trouve une meilleure photo de cette œuvre bizarre sur Wikipédia (néerlandais) : https://nl.wikipedia.org/wiki/Congoberg#

Très beau temps aujourd'hui en Belgique ! Doux (maxi 18°), ensoleillé, vent de secteur sud sensible mais bien moins gênant que la quasi-tempête d'hier. Il fallait en profiter et c'est ce que j'ai fait : 126 km au compteur, dont les 95 km de la « R.EV 1703 cycling route ». Derrière ce nom abscons se cache un circuit nommé en l'honneur de Remco Evenepoel, originaire de Schepdaal, code postal 1703, à l'ouest de Bruxelles. https://www.toerismevlaamsbrabant.be/producten/fietsen/fietsproducten/r.ev-1703-cycling-route/ (néerlandais) Ce circuit parcourt le « Pajottenland », à l'ouest de Bruxelles, grosso modo entre la capitale belge et Grammont (Geraardsbergen) et est censé être représentatif des parcours d'entrainement du jeune prodige belge. Et de fait, le parcours, bien que très esthétique (jolis paysages presque tout du long) est assez gratiné, avec des secteurs pavés conséquents (dont un, la Schavolliestraat, ne déparerait pas dans Paris-Roubaix !) et de belles côtes, les principales étant les très célèbres mur de Grammont et Bosberg, tout deux pavés, et le méconnu Congoberg. https://climbfinder.com/fr/montees/mur-de-grammont https://climbfinder.com/fr/montees/bosberg https://climbfinder.com/fr/montees/congoberg Cet article en anglais présente assez bien le parcours et les difficultés, pour ceux qui maîtrisent la langue de Shakespeare: https://www.cyclinginflanders.cc/routes/rev-1703-cycling-route Sensations très correctes tout du long, mais je n'ai jamais voulu forcer la machine. Je me suis juste permis de petits sprints aux sommets des principales difficultés du jour. Que la forme semble revenir petit à petit semble se confirmer, entre autres par la fréquence de pédalage moyenne : 88 tours/minutes. Ça faisait longtemps que je n'avais pas tourné les jambes aussi allègrement pendant une sortie ! Je me suis aussi permis deux pauses-café, dont l'une au sommet du «Muur», ce qui m'a permis de prendre quelques photos : Un aperçu du panorama sommital (à environ 100 m d'altitude, c'est presque dans les nuages en Flandre !), avec une stèle d'orientation. Le héros du jour, au même endroit 🙂 La fameuse chapelle du sommet. À l'intérieur… L'autel… À la terrasse du café, un chat se prélasse dans un hamac assez particulier 🙂 Un peu plus loin, au Congoberg, on peut voir cette œuvre d'art assez particulière, censée représenter une scène de la mythologie grecque, l'enlèvement d'Europe par Zeus, métamorphosé en taureau pour l'occasion. On apprécie… ou pas :

Si ce n'est pas indiscret, pourquoi seras-tu sans vélo ? Tu le laisses à Nyons ?

Heu, les Vosges l'année dernière, c'était pas lorsque tu t'es pris une telle saucée que tu en avais eu les chaussures trempées pendant plusieurs jours ? 😇 Ceci dit, c'est pas moi qui vais te jeter la pierre : je m'apprête à rejoindre mardi ma famille à Grenoble pour une semaine, séjour planifié depuis longtemps, et la météo y prévoit la pluie tous les jours de cette semaine. Tous. Sans exception. 😞

En effet ma pratique est loin d'être courante, mais je ne l'impose à personne, rassure-toi, pas plus que mes braquets. Mais ce n'est pas parce que ces braquets ne sont pas courants que je vais en changer. Ce sont ceux qui me conviennent, à moi et à ma pratique, et si certains questionnent mes choix, c'est leur problème, pas le mien. Personne ne pédale à ma place, personne n'éprouve à ma place les sensations que j'éprouve, et je ne vois pas pourquoi je serais obligé de me conformer à une norme de braquets alors qu'elle ne me convient pas. Même si elle convient à 99,99% des autres cyclistes. Et ce n'est pas faute d'avoir essayé : j'ai commencé à grimper des cols de montagne avec 40/24, et j'ai expérimenté pour ainsi dire tous les braquets intermédiaires qu'on peut imaginer entre ce 40/24 et mon 24/34 actuel. Quant aux régions où je roule (Brabant, Ardennes, Alpes…) et aux côtes que j'emprunte, je les décris suffisamment souvent et en détail dans ce forum, en particulier dans cette rubrique. 😎 Quant à Nicolas, il faisait allusion aussi à un autre type de pratique : le cyclotourisme avec bagages. Les braquets proposés dans ce créneau-là, généralement ceux du gravel, sont clairement encore trop gros. Même en dehors des raidards. Grimper la même côte sans bagages, ou avec le même vélo mais avec 20-30 kg de bagages, ce sont deux mondes bien différents.

Jamais goûté, ce sera peut-être l'occasion 🙂

Températures enfin en hausse du côté de la Belgique, mais le temps reste particulièrement instable. Mais je suis en vacances depuis hier soir, ce qui me donne bien plus de liberté pour planifier mes sorties en fonction de la météo. Du moins jusqu'à mardi prochain, jour de mon départ pour Grenoble où je compte passer une semaine chez ma mère. Moi qui ne sors jamais deux jours de suite, je me trouvais devant un dilemme ce matin : faire une seule sortie, mais longue, demain dimanche (prévisions : temps sec mais très venteux, limite tempétueux) , ou deux sorties plus courtes aujourd'hui samedi (a priori pluvieux mais moins de vent) et lundi (temps sec et pas trop venteux de prévu ?) Finalement mon aversion pour le vent l'a emporté et je me suis lancé pour une sortie cet après-midi et une autre lundi. Et j'en ai été récompensé car il n'a quasiment pas plus, juste quelques gouttelettes inoffensives de temps en temps, même pas de quoi enfiler l'imper. 🙂 64 km au total, sur un trajet à nouveau à cheval sur les trois régions belges : Bruxelles et la forêt de Soignes, Flandre (Hoeilaart), Wallonie (La Hulpe, Genval) et retour en Flandre (Overijse, Huldenberg et Tervuren) et à Bruxelles. Bien sûr, quelques belles côtes au passage : https://climbfinder.com/fr/montees/champ-de-wo-lac-de-genval-rue-de-genval https://climbfinder.com/fr/montees/chaussee-ottenbourg-wavre et mes classiques Moskesstraat et Smeysberg: https://climbfinder.com/fr/montees/moskesstraat-terlanen https://climbfinder.com/fr/montees/smeysberg Bonnes sensations pour cette sortie, au point que je n'ai pas eu à utiliser le « tout à gauche » (24/34) aujourd'hui. La forme semble revenir, enfin ! Demain, repos pendant que le vent souffle, et lundi, normalement, direction Grammont et son Muur !

Moi je vois pas trop ce que ça vient faire dans un fil sur le Tour de Romandie 😉 Ça mérite un sujet à part.

Qu'il était contraint de renoncer à se présenter au Giro, bien sûr. 😉 Mais on n'en est qu'au tiers de la saison cycliste, il y a encore pas mal de belles courses où il peut briller, s'il prend le temps nécessaire pour se rétablir complètement… et si la scoumoune veut bien le lâcher un peu.

J'attends d'ailleurs encore le premier cycliste devenu piéton qui soit plus rapide, voire aussi rapide que moi dans quelque pente que ce soit. Et j'en vois assez fréquemment, des cyclistes devenus piétons… Il m'est arrivé récemment de me faire doubler par un piéton en montée, à vue de nez dans du 10%, mais c'était un jogger courant à fond la caisse, tandis que moi que je venais de sortir de chez moi. Ceci dit, quand je vois les performances de coureurs à pied à l'Alpe d'Huez, je constate que les meilleurs le grimpent plus vite que je le faisais à vélo… et je l'ai grimpé il y a trente ans, donc dans ma prime jeunesse. C'est qu'ils ont une «caisse» autrement plus développée que la mienne. Sur le vélo, ils iraient probablement carrément deux fois plus vite que moi 🙂

Mes parents y étaient allés en touriste et m'avaient dit exactement la même chose. 😛 Mais je parie qu'il y fait très venteux aussi et je HAIS le vent. Déjà que j'ai du mal à supporter le vent de Belgique…

Je m'en sers presque à chaque sortie (les murs — certes courts — ne manquent pas dans la région où j'habite et c'est un de mes plaisirs de les grimper en série) et je vais généralement entre 6,5 et 8,5 km/h avec ce braquet. Dans des pentes pareilles, c'est deux à trois fois plus rapide qu'un piéton… surtout s'il pousse un vélo, alors qu'il est perché sur des chaussures de route 😸.

Même un 34/32 te paraîtrait trop gros dans le passage mesuré à 25%. À mon avis, on doit même être dans les 30% sur deux ou trois mètres. À chaque fois que je me trouve dans ces deux-trois mètres-là, j'ai toujours l'impression que mon vélo va basculer en arrière. Mais mon 24/34 m'aide permet justement à ne pas louvoyer : quand on zigzague, c'est la plupart du temps que le braquet est trop gros. Ou alors que le revêtement est très dégradé, mais justement les pavés du Kardaan, sans être un tapis princier, ne sont pas trop mauvais. Rien à voir avec les horreurs du Koppenberg, par exemple. Je ne l'ai encore jamais fait en descente mais ça ne doit pas être si difficile que ça à négocier… avec des freins à disque de préférence. 😎 Sauf si les pavés sont humides, mais dans ce cas je ne m'y risque pas, même en montée : dans ce boyau qui ne voit que très peu le soleil, le risque est trop grand que la roue arrière patine sur les pavés.

On devrait les interdire aux cyclistes suisses munis d'un 34/25 comme plus petit braquet, c'est sûr 😜 Je n'ai pas marre des gaines apparentes, au contraire, ça facilite grandement le démontage et le remontage.