Aller au contenu

Franck PASTOR

Membre
  • Compteur de contenus

    15 822
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    78

Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. OK, mais depuis quand un anglicisme faux-ami, « graveleux » serait un exemple de belgitude ? Ou alors tu voudrais nous faire croire que les anglicismes sont un trait caractéristique de la belgitude ? (Bon c'est pas tout, faux que je fasse mon shopping au City 2, moi, ASAP…)
  2. Tu me copieras septante fois ceci, zeveraar: confondre belgicisme et anglicisme, c'est aller un pont trop loin. Il a pas toutes les frites dans le même sachet, ce schtroumpf !
  3. Pas vu la réaction de Pacher (je suis les retransmissions sur les chaînes belges). Ou alors Gaudu a fait comme les commentateurs de la chaîne flamande Sporza l'ont dit au cours de la poursuite : perdu pour perdu, il vaut mieux lâcher l'affaire et s'économiser pour avoir plus de chances de remporter une des étapes suivantes.
  4. 69 km aujourd'hui… Je continue la remise en forme (malgré un bon rhume chopé pendant le séjour à Grenoble…en ce moment tous les virus et bactéries qui passent sont pour ma pomme !! 😡). Direction Kessel-Lo, à l'est de Louvain, via la N3. Retour par la N2. Je ne me suis pas trop cassé la tête pour l'itinéraire 🙂 Quelques petites bosses au menu, rien de transcendant encore. Temps doux, sec, alternance de soleil et de nuages.
  5. Vous êtes bien sévères avec Gaudu. Si la chute est effectivement entièrement de sa faute (et qui peut se targuer, même à ce niveau, de ne jamais faire de bêtises de ce genre?), c'est peut-être parce qu'il a été amoché par cette chute qu'il a lâché prise. Attendons d'en savoir plus.
  6. Il faut faire avec le manque de vraies montagnes dans ce « plat » pays. L'entrainement fractionné ou par intervalles a quand même fait ses preuves. 🙂
  7. Je confirme pour DTSwiss, j'ai des adaptateurs de ce genre.
  8. Si tu veux t'entraîner efficacement pour le Ventoux, choisis une pente la plus longue et pentue possible, par exemple ton « Trou du Diable » à Oignies, et répète-la suffisamment souvent, avec un minimum de temps mort, pour approcher la dénivellation du Ventoux. Pour cette côte-là, qui fait dans les 270 mètres de dénivellation de mémoire, tu devrais la répéter cinq ou six fois. Ennuyeux mais efficace ! https://climbfinder.com/fr/montees/trou-du-diable-fumay L'idéal serait bien sûr de trouver une pente dont les pourcentages se rapprochent de ceux du Ventoux, mais ta région habituelle des Ardennes n'est pas prodigue en montées à la fois longues (relativement) et pentues, on dirait. Si tu vas du côté de Stavelot ou de la Roche-en-Ardenne, par exemple, tu auras bien plus de choix. Ma côte privilégiée pour ce genre de travail serait la côte de Haussire-sud (même dénivellation que le Trou du Diable), à La Roche, dont le profil et les pourcentages font un peu penser à un Ventoux en miniature: https://climbfinder.com/fr/montees/haussire-sud Et si on trouve l'exercice fastidieux, elle présente pas mal de variantes, ce qui permet de mettre un peu de variété si on le souhaite.
  9. Dans ce cas, je suggère de ne raser que les parties des jambes exposées à l'air (certes, avec les cuissards et les chaussettes actuelles, ça ne représenterait plus grand-chose 😸). Plus sérieusement, toutes les saletés que tu cites n'ont jamais été un problème pour mes jambes poilues. Au passage, petit rappel de l'intérêt des poils sur le corps: https://www.1jour1actu.com/sante/a-quoi-servent-les-poils Autant faire son choix en connaissance de cause !
  10. La principale raison pour laquelle les cyclistes ont commencé à se raser les jambes, c'est justement le massage. Les jambes rasées facilitent grandement le massage lui-même et l'application des crèmes de massage ou d'autres produits comme ces crèmes chauffantes. Et puis très vite c'est devenu une sorte de tradition à suivre pour faire partie des « vrais » cyclistes. 😛 Pour ceux qui comme moi ne se massent jamais, se raser les jambes ne présente guère d'intérêt. À part peut-être pour la pose et surtout le retrait de pansements en cas de chute et de plaies aux jambes, mais si on ne risque pas de tomber souvent (c'est-à-dire si on ne fait pas de compétition !), on peut considérer que le jeu n'en vaut pas la chandelle.
  11. Comme je l'ai dit, je le reconnais volontiers ! Si le schtroumpf consentait à mettre plus petit comme braquet, ça irait sûrement mieux… mais il persiste dans ses braquets malgré tous mes efforts. 😢
  12. … plaisir ? Je n'ai jamais dit cela, au contraire. Par exemple, je trouve la montée de Chamrousse par Séchilienne, de pente moyenne semblable mais plus court de 3 km, bien difficile, et donc je n'irai jamais taxer le Ventoux de partie de plaisir. https://climbfinder.com/fr/montees/chamrousse-sechilienne Mais j'aime bien la précision dans les stats, c'est une déformation professionnelle. 😎
  13. Si on le réussit par Malaucène, on doit pouvoir le faire par Bédoin. Les deux versants ont la même longeur et quasiment la même pente moyenne (7,5% contre 7,7%). Question difficulté, ça doit être donc plus ou moins kif-kif. Sauf si des facteurs comme la direction du vent viennent changer la donne, bien sûr. https://climbfinder.com/fr/montees/mont-ventoux-malaucene
  14. À force d'aller dans le sud, tu te mets à exagérer. Pas encore comme un Marseillais, mais quand même 😛: le Ventoux par Bédoin, c'est en fait 21 km à 7,7 % de moyenne. https://climbfinder.com/fr/montees/mont-ventoux-bedoin
  15. Elle est malheureusement aussi connue comme l'autoroute des embouteillages à chaque grande migration touristique ! Je ne sais pas quel temps vous allez avoir en Provence pour la semaine qui vient, mais plus haut au nord, à Grenoble et dans mes montagnes environnantes où je viens de passer une semaine pour skier, le temps était franchement morose. En particulier, j'ai passé deux journées à skier dans un brouillard total. Je n'avais jamais expérimenté cela jusqu'à présent, malgré toutes mes années de skieur : ne rien voir du tout au-delà de cinq mètres devant soi… sacrée expérience ! Je suis dans un des trains du retour en ce moment. D'après l'IRM, ils prévoient enfin du beau temps en Belgique, et ce pour toute la semaine qui vient. Le monde à l'envers ? Vous êtes peut-être partis au mauvais moment… 😜
  16. Tu adaptes comment ? Tu passes d'un braquet beaucoup trop gros à un braquet trop gros ? 😸
  17. Ça ne m’est arrivé qu’une fois mais quand ça vous arrive, ça vous marque à vie : actionner les freins en descente de col sous la flotte… et ne pas ralentir d’un km/h. J’avais négligé de « sécher » les jantes par petits coup de freins répétés. Après ça, je ne l’ai plus jamais oublié sur mes vélos à patins. Il m’arrive encore de le faire, par réflexe, avec mes freins à disque !
  18. Surtout lorsqu’un camp se montre ouvertement incrédule voire dénigrant envers l’autre. Je me pose souvent la question: c’est si difficile que ça de reconnaître qu’on n’est pas le centre du monde? C’est-à-dire d’admettre que d’autres personnes que soi peuvent vivre des expériences complètement différentes de la nôtre, tout en étant aussi réelles?
  19. Je ne crois pas, pas de cette façon-là. Ce n'est pas le froid qui est un problème pour le liquide de frein, mais la chaleur excessive, au contraire, celle subie par les disques lors du freinage et transmise au liquide via l'étrier. Par contre, ce fil me fait aussi penser à un problème d'eau infiltrée dans le circuit. Il y a deux types de liquides de frein : les huiles minérales, non standardisées, et les liquides conformes au standard DOT 5.1 (ces derniers aussi utilisés pour les automobiles) Les huiles minérales (Shimano, Campagnolo, TRP…) sont hydrophobes et ne se mélangent donc pas à l'eau. Elles conservent donc leurs température d'ébullition (généralement entre 200° et 250°). Mais si de l'eau rentre quand même dans le circuit hydraulique, elle reste donc bloquée quelque part, généralement près de l'étrier, et cette partie-là se change rapidement en gaz si la température à l'intérieur de la durite dépasse les 100°, ce qui est fréquent lors de freinages répétés et intenses. Résultat, invasion de bulles d'air dans le circuit et on freine «dans le vide». Les liquides de frein au standard DOT 5.1 (utilisés par Sram, surtout), de température d'ébullition très élevée, (250°) sont hydrophiles, ils se mélangent donc à l'eau. Elles ne présent pas a priori le problème précédent. En revanche, le mélange avec l'eau diminue leur température d'ébullition, et s'il en rentre suffisamment dans le circuit, on risque de se retrouver avec le même phénomène que précédemment. Ces phénomènes sont excessivement rares et à vrai dire je n'ai vu ni entendu parler de personne autour de moi qui l'aurait subi. Mais le danger existe potentiellement quand même. Si le dispositif de freinage est très ancien, en mauvais état ou mal monté, c'est peut-être une piste à suivre.
  20. Je connaissais, Bernard Moreau, je crois, avait déjà du poster ce film. Ça te tenterait, toi aussi ? 😇
  21. Lui se débrouille mieux que moi : il a trouvé le truc pour rouler vent dans le dos même quand il est de face ! https://www.midilibre.fr/2019/05/21/willy-43-ans-montpellierain-signe-particulier-fait-du-velo-a-lenvers-assis-sur-le-guidon,8213228.php
  22. J'habite à Bruxelles, mais je n'y roule à vélo en général que pour en sortir et y rentrer. Le reste du temps, mes trajets cyclistes consistent en une alternance d'autres villes et de quelque chose que tu n'appellerais sûrement pas la campagne. Je crois que tu ne pourras pas vraiment te représenter ce qu'est le Brabant (et plus loin encore), puisque tu n'as probablement jamais vu son équivalent : c'est une sorte d'immense conurbation, des maisons un peu partout et des routes qui partent dans tous les sens. Partout. Entre tout cela, des maisons, des pâtés de maison, des champs, des canaux, des petits bois. Très peu de véritables forêts (sauf la forêt de Soignes, au sud de Bruxelles, la plus grande forêt du nord de la Belgique avec ses… 4000 ha), On passe en fait son temps à aller d'une zone urbaine ou semi-urbaine à une autre, avec souvent aucune véritable possibilité de savoir quand on a quitté l'une pour entrer dans l'autre. C'est une gageure de faire 100 m sans voir au moins une habitation dans son champ de vision, c'est impossible qu'il se passe une minute sans croiser au moins une personne, une cycliste, une voiture, etc. « Un village à l'échelle planétaire », disait mon Guide du Routard de la Belgique quand je suis arrivé dans le pays… et c'est assez bien décrit ainsi.
  23. Ce que tu dis n'est pas valable pour moi, ni pour aucun cycliste du même endroit. Ça fait plus de 20 ans que je roule à Bruxelles et en Brabant et je ne peux toujours pas prétendre connaître parfaitement les routes locales. Dans un rayon de 30-40 km autour de la capitale, la densité du réseau routier est proprement ahurissante, et même au-delà elle reste bien supérieure à la moyenne française. Je n'aurai peut-être pas assez du reste de ma vie pour connaître l'endroit comme ma poche, d'autant que ce réseau est en lente mais constante évolution. Je n'utilise pas (encore) de GPS, ou rarement, et dans ce cas je me sers de mon smartphone qui est fixé sur la potence, mais je peux donc certainement en voir l'utilité : même si ça m'arrive de moins en moins souvent il m'arrive encore de me perdre, ou de tourner en rond, si je m'écarte un peu de parcours que je connais déjà. Ceci dit, je trouve que cela fait aussi l'attrait des routes de l'endroit : on n'est jamais à l'abri d'une surprise. 🙂 Et c'est essentiellement pour cela que je ne me sers pas de GPS en temps normal.
  24. Après coup, je regrette un peu de n'avoir pas regardé. J'ignorais que le parcours faisait un large crochet par le Pays des Collines dans le Hainaut. Ils donc sont passés par des côtes que je grimpais souvent quand je vivais à Tournai : La Houppe, le Hameau des Papins, le Bourliquet, lee Mont-Saint-Laurent, la côte de Trieu… Ça m'aurait rappelé de chouettes souvenirs ! Je vais essayer de trouver une rediffusion…
×
×
  • Créer...