Franck PASTOR

J'avais lu ça… Ça vous catalogue un bonhomme. Pas le genre de type à qui je voudrais serrer la main.

Côté flamand c'est maintenant une « fietssnelweg », une autoroute cycliste et c'est un vrai billard. En Brabant wallon, c'est plus mitigé. Du côté d'Ittre, c'est en effet tape-cul, principalement à cause des racines des arbres avoisinants qui déforment la chaussée. Mais ailleurs c'est nickel. Je me rappelle qu'il y a eu des travaux l'année dernière au niveau de Clabecq-Tubize, terminés aujourd'hui. Ma foi ils ont porté leurs fruits. En Hainaut (du moins jusqu'à Ronquières), c'est très correct aussi.

92 km ce matin par un temps radieux, frisquet au départ, presque chaud en milieu de journée, par un vent sensible venant de l'est (sud-est ou nord-est, ça semblait varier). Direction le Hainaut et Ronquières (et son plan incliné) le long du canal Bruxelles-Charleroi, et de là une grosse heure à grimper, un peu au hasard, quelques belles côtes des environs. Retour par le même itinéraire. https://fr.wikipedia.org/wiki/Plan_incliné_de_Ronquières

Le poids que tu as pris se retrouve très probablement aussi au niveau de ton séant, et cette épaisseur supplémentaire fait que tu es assis légèrement plus haut qu'avant. Alain a raison, il faut donc baisser un peu la selle pour compenser.

Pour ramener les choses à leurs justes proportions : 66/34 est plus petit que 42/21. Et personne n'aurait été choqué si on avait dit que Ganna avait grimpé avec un plateau de 42 dents et un pignon de 21 dents cette côte finale pas très longue ni très pentue, je me trompe ? Quand je pense que Poulidor grimpait le Mont du Chat avec 44/23… Pour rappel, en contre-la-montre les coureurs utilisent de plus gros plateaux, non pas pour avoir de plus gros braquets, mais pour avoir une meilleure ligne de chaîne avec les pignons les plus utilisés, surtout en mono-plateau. 66/15 (équivalent à 53/12) ou 66/17 par exemple. Ils ne tirent les braquets les plus gros, 66/11 ou 66/12, qu'en descente.

50 km cet après-midi pour cette première sortie vélo après mon retour à Bruxelles mardi. Temps nuageux mais doux et sec, avec un vent sensible mais pas trop méchant. Trajet classique : forêt de Soignes, Hoeilaart, Overijse, Huldenberg, et quelques raidards (Terspout, Moerenhoutstraat) que j'ai pu grimper un peu plus vite (lisez : moins lentement) qu'avant. L'effet des sorties montagneuses, sans doute ! 🙂 https://climbfinder.com/fr/montees/terspout-overijse-sint-annastraat https://climbfinder.com/fr/montees/speelberg-overijse-alfons-moerenhoutstraat

Je ne sais pas mais il faut que tu consultes le plus vite possible, pour justement savoir ce que tu as…

Et à côté, il y a Jonathan Milan. De quoi s'y perdre si on n'est pas porté sur l'orthographe.

À Grenoble aussi (comme prévu), et en continu depuis le milieu de la nuit. Non, il n'y a pas qu'en Belgique que le temps est pourri. C'est aussi le cas 800 km plus au sud.

Je suppose qu'en montagne il va se transformer en équipier et aider Geraint Thomas autant qu'il lui est possible (donc probablement pas jusqu'à la dernière ascension) plutôt que de disparaître complètement.

Narvaez est un coureur de type flandrien, qu'on voit souvent en tête dans des bosses courtes et brutales. Il n'a rien montré jusqu'à présent en montagne.

J’étais persuadé que c’était aujourd’hui ! J’ai du mal lire.

Bon alors, comment ça s'est passé ? On veut tous les détails ! 😎

Tu as des freins TRP Hy/Rd, qui ont la particularité d'être mi-hydrauliques, mi-mécaniques. Le freinage est hydraulique au niveau de l'étrier, mais actionné par le levier via la traction d'un câble tandis que sur un système hydraulique, l'effort de freinage est transmis aux pistons via une durite remplie du même liquide que celui qui se trouve dans l'étrier. Je n'ai pas testé moi-même ce système mixte, mais je crois que Sylvain Karle en utilise un. Les pistons sont les deux cylindres inclus dans l'étrier qui poussent les plaquettes contre le disque, ce qui provoque le freinage (il y a quatre pistons dans certains étriers). Au repos, tu dois pouvoir voir une partie de ces pistons affleurer contre les plaquettes.

Ajoutes-y donc un peu moins de 300 g, le poids de deux disques Swissstop Catalyst de 140 mm. Je n'appelle toujours pas cela une enclume. Surtout quand ce poids supplémentaires se trouve aussi près du centre de rotation.

Je t'avais fait remarquer aussi que mes Roval SLX 24 pèsent ensemble 1500 g. https://www.ventoux-bikes.fr/fr/produits/roues/specialized-roval-alpinist-cl_pr601_14ac.htm

Aujourd'hui j'ai fait exception à ma règle de ne jamais sortir deux jours de suite, puisque demain je serai occupé à autre chose et que lundi les prévisions météo sont à nouveau (plus que) pessimistes. Mardi, je retourne à Bruxelles… Donc, 55 km aujourd'hui pour ma deuxième et dernière sortie en montagne grenobloise, cette fois dans le massif de Chartreuse. Et j'en ai profité pour dépasser cette fois-ci la cote des 1000 m d'altitude, en grimpant au plateau des Petites Roches via cette belle montée : https://climbfinder.com/fr/montees/saint-hilaire-le-touvet De beaux points de vue sur la vallée du Grésivaudan et sur la chaîne de Belledonne de l'autre côté de la vallée, particulièrement une fois arrivé au plateau des Petites Roches. Un exemple ci-dessous, sur cette photo prise peu après le sommet de la côte, à la sortie de Saint-Hilaire (par ailleurs centre renommé de parapentisme) : De la vallée à 200 m d'altitude aux sommets de Belledonne à 2500 m… Vers le centre, juste sous la limite du manteau neigeux, on devine les installations et les pistes de la station de ski de Prapoutel-les-Sept-Laux (où j'ai skié cet hiver).

J'ai des roues alu et des freins à disque mais bon, je crois te l'avoir dit quatre ou cinq fois…

A priori oui. La fixation à six trous est le standard (concurrencé par le centerlock de Shimano). Il peut y avoir cependant une légère différence d'épaisseur entre deux disques de même taille mais de différentes marques, vérifie sur l'emballage. Si le nouveau disque est plus épais, il faudra probablement repousser les pistons avant installation. J'ai aussi des freins TRP (Hylex), quels sont les tiens, par curiosité ?

Courage… Le beau temps arriverait (enfin !) la semaine prochaine, accompagné d'une hausse sensible des températures, ça diminuera peut-être tes maudites douleurs.

40 km de reprise de la montagne grenobloise (massif de Belledonne) en début d'après-midi. Pas encore bien haut (altitude maximale d'environ 950 m), mais c'est déjà 800 m au-dessus de l'altitude maximale brabançonne 🙂 Montée à cette altitude en deux temps principaux, deux morceaux bien consistants : la côte de Pressembois à partir de Gières et la Croix de Pinet via le raidard du Rocharey. Entre les deux, une petite partie de montagnes russes. https://climbfinder.com/fr/montees/chene-de-venon-gieres https://climbfinder.com/fr/montees/la-croix-de-pinet-murianette-la-pereree (à partir du km 3,5). Ensuite direction le hameau des Roussets, un peu plus haut (950 m environ), point culminant de la sortie, et redescente dans la vallée. Les jambes ont bien tourné (84 tours/minutes de fréquence moyenne) mais elles ont bien chauffé aussi dans les passages raides. Photo prise des Roussets. Cette vision des sommets avoisinants n'incitait guère à monter plus haut… Et puis, des Roussets on a déjà une belle vue sur Grenoble, 750 m plus bas 🙂

Arrivé à Grenoble avant-hier. Pluie continue hier. Aujourd'hui nuageux et froid mais pas de pluie. Je pense tenter une sortie en (moyenne) montagne cet après-midi. D'autant qu'à part peut-être demain les journées qui viennent ne s'annoncent pas folichonnes.

Oups, c'est vrai. Et Lipowitz, c'est plus facile à écrire en plus.

Tu nous écriras 100 fois pour t'entraîner : Uijtdebroeks ! Va falloir que tu y passes de toutes façons, comme Museeuw dans le temps, ou Kruijswijk plus récemment, autant te familiariser avec son nom dès maintenant.

Étirement du dos lors des chutes ? Les ukemis (brise-chutes) sont évidemment aussi en vigueur en judo, sport que j'ai pratiqué de dix à vingt-cinq ans. Effectuer une série de chutes avant, des deux côtés, permettait de «délasser» le dos en l'étirant légèrement. Et ce d'autant plus que la chute était longue. Je me rappelle que notre professeur nous faisait sauter avec élan par-dessus des types alignés côte à côte, agenouillés, têtes contre le sol, Et ce sont souvent des étirements qui sont prescrits pour soulager les douleurs dorsales.