Aller au contenu

Franck PASTOR

Membre
  • Compteur de contenus

    16 030
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    82

Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Bien grimper, c'est d'abord et avant tout une question de rapport puissance/poids. Le reste est une question d'adaptation musculaire à un type d'effort, et si on n'en a pas l'habitude, elle est vite prise. Ça fait d'ailleurs longtemps que les coureurs/coureuses pros néerlandais(e)s, comme les autres, s'entraînent en montagne. D'autre part, va rouler (seul !) vent de face par jour de fort vent sur la côte néerlandaise ou flamande, avec un imper déployé si tu es perfectionniste, et tu comprendras comment même dans les temps «anciens» ils pouvaient s'entraîner mentalement à grimper dans leur plat pays… Ensuite, une fois en montagne c'est leur rapport puissance/poids qui jouait, comme pour tout le monde.
  2. Peut mieux faire à tout point de vue.
  3. Correcteur orthographique en rade ?
  4. 60 km aujourd'hui, une drôle de sortie par un temps couvert et le long d'un trajet peu cohérent. L'objectif était le fort du Saint-Eynard au-dessus de Grenoble, dans le massif de la Chartreuse, mais des nuages menaçants sur le fort, bien visibles d'en bas (les nuages, pas le fort, justement !), m'ont incité à changer de programme en cours de route (c'est le mot). J'ai d'abord fait un petit tour au « Rabot », un site de résidences et de centres de recherche universitaire, juste en-dessous de la Bastille qui domine Grenoble, en empruntant cette courte bosse en cul-de-sac : https://climbfinder.com/fr/montees/le-rabot-grenoble (belles photos de l'endroit) J'ai ensuite retraversé Grenoble puis longé l'Isère, direction le massif de Belledonne pour (re)faire un de mes classiques : la Croix de Pinet via Murianette et La Pérerée, avec au bout le raidard du Rocharey : https://climbfinder.com/fr/montees/la-croix-de-pinet-murianette-la-pereree Après le sommet, j'ai prolongé un peu le plaisir avec une dizaine de kilomètres le long du balcon de Belledonne jusqu'à Saint-Jean-le-Vieux.. Puis redescente dans la vallée du Grésivaudan… et fin de sortie, ma dernière excursion cycliste en montagne cet été, snif.
  5. Ah ? Pour moi, les entailles sont toujours bien plus nombreuses sur le pneu arrière.
  6. Quand je remplace le pneu arrière, c'est qu'il est usé mais je n'attends pas qu'il le soit jusqu'à la corde. Je le fais en général quand le plat de la bande de roulement commence à être manifeste, ou quand le nombre de coupures sur la chape augmente rapidement. Toujours en général, quand je mets l'ancien pneu avant à l'arrière, cet ancien pneu avant est en suffisamment bon état pour tenir à l'arrière au minimum 2000 km supplémentaires, généralement bien plus.
  7. Sortie au kilométrage indéterminé, n'ayant pas réinitalisé mon compteur avant de partir. Disons une quarantaine de km, encore dans le massif de Belledonne. Je voulais pourtant grimper mon col fétiche, le col du Coq, dans le massif de la Chartreuse, mais juste au pied de la montée un habitant m'a averti que la route était coupée en raison de travaux au niveau du tunnel de la montée… Donc demi-tour, retour au massif de Belledonne et, vu le temps perdu, pour des côtes plus modestes. Principale montée du jour (costaude quand même) : de Domène à Saint-Jean-le-Vieux puis les Roussets. Combinaison non renseignée par Climbfinder, mais dont on peut à peu près reconstituer le profil en combinant ceux-ci: https://climbfinder.com/fr/montees/pre-du-fourneau-domene (les 5 premiers km suivis de quelques centaines de mètres répertoriés nulle part sur le site, à 9-10% à peu près) https://climbfinder.com/fr/montees/cote-de-revel-saint-jean-le-vieux (en entier) Il faisait beau et chaud, comme d'habitude ces derniers jours. Une fois arrivé aux Roussets, point culminant de la montée, j'ai suivi la route vallonnée du balcon de Belledonne jusqu'au Pinet d'Uriage, où j'ai fait un petit détour pour avoir la courte bosse suivante à mon palmarès: https://climbfinder.com/fr/montees/le-replat-pinet-d-uriage Je ne la recommande pas, d'ailleurs. La partie intéressante, c'est à dire la plus raide, est en très mauvais état. Il faut faire du slalom sur les bandes restantes de bitume en à peu près bon état, le reste étant de la caillasse ou des nids-de-poule façon nids d'autruche…. Et tellement étroite que j'ai dû y mettre pied à terre parce qu'une camionnette arrivait en face, prenant absolument toute la place disponible, pile dans la partie la plus pentue. Ça n'a pas été évident de parvenir à «clipser» les pédales pour repartir sur cette surface désastreuse à 15%… Une montée que je ne risque donc pas de refaire tant qu'elle sera dans cet état. Retour dans la vallée ensuite, par Corps d'Uriage, la Pérerée et Murianette. Pas pris de photos cette fois… N'ayez pas trop de regrets, les paysages sont en fait les mêmes que ceux de mes sorties précédentes. Ç'aurait été différent si j'avais pu aller au col du Coq comme je l'avais prévu… 😕
  8. Je recommande pour ma part d'installer systématiquement le pneu neuf à l'avant, et de mettre l'ancien pneu avant à l'arrière, ceci pour minimiser le risque de crevaison à l'avant. Tant qu'à avoir une crevaison, mieux vaut qu'elle se produise à l'arrière, c'est beaucoup moins dangereux.
  9. Ça n'explosera pas même dans cet état, mais ça présente bien plus de risque de percer à l'endroit découvert et le préventif n'est pas toujours suffisant pour boucher le trou. Et tout le monde sait ce que signifie, un pneu à plat dans un virage ou une descente. Pas la peine de se créer plus de risques qu'on en a déjà à affronter.
  10. 72 km pour moi aujourd'hui. Comme prévu, je suis monté à Chamrousse, par les 28 km et 1560 m de dénivelé de la variante ci-dessous, relevée par Climbfinder; https://climbfinder.com/fr/montees/chamrousse-murianette Une variante assez peu naturelle selon moi, avec quelques long faux-plats et même quelques courtes redescentes. Je n'avais d'ailleurs jamais combiné ces différentes portions de route pour accéder à Chamrousse. Mais comme cela je peux revendiquer avoir fait cette variante, et ainsi ne plus avoir à la refaire :-)). Sensations moyennes le long de ces presques 30 km d'ascension. Temps splendide, chaud comme je l'aime, y compris au sommet (25° au jugé). Climbfinder dit 1786 m d'altitude au sommet, mais le panneau au sommet dit autre chose : Le « col » de Chamrousse. Cet endroit n'a pourtant strictement rien d'un col géographique, on reste sur le même versant d'une montagne… C'est juste le point routier le plus élevé de la station, et en fait le point le plus haut atteignable par la route près de Grenoble. Après être redescendu de quelques centaines de mètres, je me suis arrêté à un bar pour prendre mon traditionnel café en cours de sortie. Ce qui m'a permis de voir que les remontées mécaniques tournaient à plein régime, pour les vététistes de descente entre autres. Beaucoup de monde dans la station, essentiellement des randonneurs à pied. De là aussi partent beaucoup d'itinéraires « classiques » de la région. Bien sûr, on a de beaux points de vue à partir de certains points de la station, par exemple celui-ci, qui montre une partie la région du Trièves, dont le pittoresque et bien nommé Mont Aiguille (facile à identifier sur la photo 😉)et juste à côté le point culminant du massif du Vercors, le Grend Veymont (2340 m d'altitude). Et on ne peut pas dominer Grenoble de plus haut si on se contente des routes goudronnées : Grenoble, 1600 m plus bas. Et puis, mauvaise surprise : juste après l'entame de la redescente, je m'aperçois que mon pneu arrière est à moitié dégonflé : crevaison lente. Ma première crevaison depuis trois ans, et depuis bien plus longtemps encore sur ce vieux vélo (pour rappel, je n'ai pas pu prendre mon vélo le plus récent avec moi en venant à Grenoble, j'ai dû ressortir ce vélo-ci de la cave parentale). Je répare en remplaçant la chambre à air percée par une neuve, fait l'erreur de regonfler avant de vouloir remettre la roue en place : et m…,, le coup classique, le pneu regonflé ne passe pas entre les patins de freins, même après avoir ouvert l'étrier au maximum ! Un piège que j'avais oublié depuis que je suis passé aux disques en même temps qu'à mon vélo récent… Bon, je dégonfle, ça passe enfin, je finis de remonter le bazar et gonfle ce fichu pneu une deuxième fois (au moins ça muscle les bras). Puis je redescends enfin vers la vallée sans autre histoire.
  11. Triple 46-34-24 sur mon vélo le plus récent, à 11 pignons. 48-36-24 sur mon ancien vélo, à 10 pignons, que j'ai ressorti de la cave familiale ces derniers jours, Merci pour la légende 😉
  12. 56 km ce matin (compteur enfin remis en état de marche), toujours par beau temps, avec cette fois-ci les 18 km de l'ascension vers la station de Pipay-les-Sept-Laux (1564 m d'altitude), dans le massif de Belledonne, une des montées de la région grenobloise avec le plus fort dénivelé (1320 m). Pour avoir une idée du profil sur le site Climbfinder, c'est la combinaison de cette ascension (le col des Ayes en partant de Froges) : https://climbfinder.com/fr/montees/col-des-ayes-froges enchaînée avec celle-ci à partir du km 11 environ (là où se trouve le col des Ayes): https://climbfinder.com/fr/montees/pipay-tencin Sensations assez médiocres cette fois, avec une baisse sensible de régime dans les quatre derniers kilomètres, au point que j'ai préféré ne pas regarder mon temps de montée, sachant pertinemment qu'il a été bien supérieur à mes standards habituels (record personnel à 92 minutes). Mais une fois arrivé au sommet, tout était oublié bien sûr ! 🙂 Tartelette au chocolat et café au restaurant Le Farinaud au sommet, que je recommande, accueil très sympa: https://www.lefarinaud.com/ Panorama de la terrasse très intéressant par temps clair, ce qui n'était malheureusement pas tout à fait le cas ce matin vers 11 h, comme le montre cette photo : Je la trouve quand même intéressante, car elle montre bien quatre « paliers » d'altitude notables : le parking de Pipay avec la voiture bleue (qui était bien seule sur ce grand parking), les bâtiments de la station-sœur de Prapoutel-les-Sept-Laux à gauche (altitude 1300 m environ), les villages et prairies du balcon de Belledonne en contrebas au centre (altitude variant entre 800 et 1000 m), et tout en bas, au loin la vallée du Grésivaudan et Grenoble, à 200 m d'altitude. Dommage que les nuages cachent les massifs de la Chartreuse et du Vercors. Ce week-end, c'est normalement l'ascension vers la station de Chamrousse qui est à mon programme, autrement dit la route goudronnée qui grimpe le plus haut dans la région grenobloise (à un peu moins de 1800 m d'altitude, pour un dénivelé proche de 1600 m), à nouveau dans le massif de Belledonne. Je n'ai pas encore décidé entre les différentes variantes qui y mène, je verrai bien le matin même.
  13. … la pluie s'intensifiait.Heureusement, il ne faisait pas froid, c'était rafraîchissant et ma respiration était plus aisée et mon rythme plus soutenu que dans le cagnard habituel en cette saison. Là, c'est le Belge en toi qui ressurgit. 😁
  14. Au moins une exception : mon père roulait à cette époque en pneus de 23 avec crochets sur son vélo… Peugeot. 😛
  15. Ça, je ne pourrai en être sûr qu'au dernier moment…
  16. Je me suis contenté d'une sortie plus modeste que les vôtres aujourd'hui, une quarantaine de km au jugé (je n'ai toujours pas pu réparer le compteur de mon vieux vélo), mais avec le col des Mouilles via Villard-Bonnot, immédiatement enchaîné avec la montée vers le Pré Marcel, qui part de ce col. Soit 1020 m de dénivellation pour une montée continue de 12,5 km, avec de sérieux pourcentages au programme : https://climbfinder.com/fr/montees/col-des-mouilles-villard-bonnot https://climbfinder.com/fr/montees/pre-marcel-mouilles C'est surtout la montée du Pré Marcel qui présente de forts pourcentages : son profil les sous-estime assez largement. C'est en fait une succession de nombreux murs (une demi-douzaine) de 100 m à 300 m de long environ, dont certains doivent approcher les 20%, entrecoupés de passages moins pentus. Si notre schtroumpf belge me lit, il peut imaginer un « Triple Mur de Monty », mais deux fois plus long et avec deux fois plus de murs, et il aura une bonne idée de la difficulté réelle de la chose… en y ajoutant le fait que le pied de ce machin est au sommet d'un col de 1000 m d'altitude 🙂 Et à propos de Belges, j'ai tapé la converse au col des Mouilles avec un groupe de cyclistes en VAE, qui venaient de… Namur passer leurs vacances ici. Pour donner une teinte encore plus belge à cette sortie, les dernières épingles à cheveux de cette montée vers le Pré Marcel sont revêtues de béton, strié de façon particulière : Quand le revêtement en dur s'arrête, on est au Pré Marcel proprement dit, un centre de départ de nombreuses randonnées alpines du massif de Belledonne, avec plusieurs parkings. En même temps que j'arrivais, un hélicoptère y atterrissait (imaginez l'ambiance sonore), avec un chargement non identifié. D'après ce que me disait un des gars présents, il devait prendre en charge certains matériaux dans le coin. Je n'ai pas cherché à en savoir plus: Lors de la redescente, quelques beaux points de vue bien sûr sur la vallée du Grésivaudan et le massif de la Chartreuse, avec son point culminant, Chamechaude (2082 m): On trouve aussi le long de la route, avant et après le col de Mouilles, quelques statues sculptées dans le bois, façon île de Pâques : Sensations meilleures que lors de la sortie précédente, les adducteurs se sont fait complètement oublier cette fois, même en danseuse. Comme certaines de ces photos le montrent, le temps était radieux, avec une température idéale (dans les 25 degrés en plaine, une vingtaine au sommet), mais il faut dire que c'était le matin. Cet après-midi, comme de tradition vers Grenoble en été, il fait dans les 30°, et ils annoncent encore plus chaud au cours de la semaine. Pas pour me déplaire 🙂
  17. À propos de journalistes sportifs, j'ai apprécié ceux qui commentaient le match France-Egypte sur France3. Bien qu'évidemment partisans de l'équipe française, ils s'efforçaient clairement d'être justes et équilibrés dans leurs commentaires. Je ne sais pas leurs noms, j'aimerais bien les savoir.
  18. Parce qu'Enzo Millot s'était stupidement cru permis de chambrer le banc argentin au coup de sifflet final. Ce qui lui a valu d'ailleurs après coup un carton rouge de l'arbitre, qui l'a privé de la demi-finale. https://www.sofoot.com/breves/enzo-millot-sur-son-chambrage-apres-france-argentine-larbitre-est-severe-de-mavoir-mis-rouge https://www.ouest-france.fr/jeux-olympiques/jo-2024-football-tout-ce-quil-ne-faut-pas-faire-henry-fulmine-apres-le-rouge-de-millot-1901f0ce-5120-11ef-a7c8-0c2e04d72c1d
  19. Z'avez qu'à vous restreindre un peu côté assiette, les gars ! 😛 Bon, je sors (vite fait).
  20. Le revêtement n'est pas top, mais parfaitement roulant, à part certains endroits en travaux, qui font que la route est barrée aux voitures. Mais oui, c'était « tout à gauche » pendant la plus grande partie de la montée.
  21. L'absence totale de célébration de la part de Faulkner sur la ligne a dû te convenir, alors 🙂
  22. Dommage que Blanka Vas ne finisse pas sur le podium, cette coureuse très polyvalente (cyclo-cross, route, VTT) et de tempérament très offensif l'aurait vraiment mérité. Et elle est la seule à avoir essayé de chercher Faulkner. Quel enterrement de première classe pour Vos et Kopecky…
  23. Certes, mais je connais bien « mon » Revel et j'ai du mal à l'imaginer accueillir une course cycliste. Quand j'étais gamin, donc bien après la carrière de Huot, c'était encore un simple village de montagne (aujourd'hui de plus en plus une banlieue très aisée de Grenoble). Qu'une course importante ou une cyclosportive y passe, oui. J'y suis passé lors d'une Vaujany, et il me semble qu'un Tour de France récent y est passé aussi au début d'une étape. Mais qu'une course importante y ait son épicentre, non. « Mon » Revel : https://fr.wikipedia.org/wiki/Revel_(Isère) Les autres Revel : https://fr.wikipedia.org/wiki/Revel_(Haute-Garonne) https://fr.wikipedia.org/wiki/Méolans-Revel https://fr.wikipedia.org/wiki/Revel-Tourdan Edit : je n'avais pas lu ta rectification, qui a confirmé mes doutes 🙂
  24. Ça devait pas être le même Revel, parce que ça signifierait des parcours particulièrement escarpés, plutôt rares en championnats.
×
×
  • Créer...