Franck PASTOR

Vingegaard qui a quand même vaincu Pogacar deux fois sur le Tour de France (2022 et 2023). C'est déjà bien mieux que Poulidor vis-à-vis d'Anquetil et Merckx et que Zoetemelk vis-à-vis de Merckx et Hinault. 🙂 On a tendance à oublier un peu vite que les confrontations entre le Slovène et le Danois ne datent pas du Tour de cette année, mais s'étendent sur déjà quatre éditions. Comme le Tour est la seule course sur laquelle ils se confrontent vraiment, il y a match nul pour le moment, puisque Pogacar s'est montré le meilleur des deux 2021 et cette année.

J'ai déniché le type de canapé idéal pour motiver un flemmard comme toi :

Moralité : il ne faut jamais dire jamais. 😝

Pour la mienne ce n'est pas suffisant. Ce qui convient à un foyer ne convient pas pour un autre. Mais là, c'est difficile d'en dire plus sans entrer dans un domaine trop privé. Pour moi, si tout va bien par ailleurs, le planning idéal est d'une ou deux courtes sorties (moins de 50 km) dans la semaine et une plus longue sortie (entre 50 et 150 km selon la saison et la forme) le samedi OU le dimanche. Quand la forme est vraiment là, je m'autorise à approcher voire dépasser (c'est très rare) les 200 km lors de cette longue sortie.

100 km le samedi et 100 km le dimanche, tous les week-ends ? Je crois que ma petite famille y trouverait à redire. 🤪

Ou que tu étais plusieurs fois malade, ou victime d'une chute, ou avec des horaires de travail peu favorables, ou contraint par des avatars familiaux. J'ai eu droit à tout ça cette année, pas la plus propice de ma vie côté cyclisme, il faut bien avouer. Si l'année prochaine est consacrée à la recherche et (croisons les doigts) l'acquisition d'un appartement et le déménagement et les formalités qui vont avec, ça ne va être beaucoup plus folichon pour ma petite reine. Mais même lors des années les plus favorables, je peine à atteindre les 8000 km, de toutes façons. Je n'irai pas jusqu'à dire que les 10000 seront toujours impossibles dans les quinze ans qui viennent, mais ils seront certainement difficiles à chercher.

Peut-être pas si leur retraite est à 67 ans comme la mienne est prévue…

Non, qu'il devrait se regarder dans la glace en tant que pensionné pour faire à peine plus de bornes que moi qui ne le suis pas (encore 15 ans à tirer) 😝

Et moi qui viens tout juste de dépasser les 4000 bornes et qui ai roulé autant que je pouvais cette année… C'est la différence entre les pensionnés et les autres. Snif.

Tu m'as devancé, j'en ai pris une photo aujourd'hui du côté de Jezus-Eik (Overijse) pour te montrer à quoi ça ressemble en situation. C'est en effet souvent sous forme d'icône discrète, quand c'est associé à un panneau de point-nœud ou à un autre itinéraire balisé (ici, la Groene Gordelroute) :

Très courte sortie-défoulement de 24 km en fin d'après-midi, après une journée bien chargée, par un temps doux, alternativement ensoleillé et nuageux, du côté de Tervuren et de la forêt de Soignes. Rien de particulier à signaler. Demain et après-demain, on va se payer les restes de l'ouragan « Kirk ». Une grosse quantité de pluie attendue partout, carrément le code orange au sud-est du pays… https://www.rtbf.be/article/l-ex-ouragan-kirk-arrive-en-belgique-copieuses-pluies-attendues-ce-mercredi-avertissement-orange-sur-la-province-de-luxembourg-11445684

Une bonne drache en plein milieu de sortie lui suffirait. D'ailleurs, il paraît qu'ils ont un sérieux problème de sécheresse là-bas… 😇

Tu ferais pas un stage en Belgique un de ces prochains mois ? 😇

Moi non plus je ne suis pas un spécialiste, donc je reproduis ci-dessous ce que j'ai lu ou entendu de la part de (supposés) spécialistes sur le sujet… En côte, le poids de la roue en tant que système en rotation n'interviendrait que lors des changements de rythme. Ceux-ci seraient grandement facilités par une plus grande légèreté des roues. À vitesse constante, le poids des pièces en rotation n'aurait par contre ni plus ni moins d'importance que le poids du reste du vélo… et du cycliste. Sur le plat, la légèreté des roues favorise les relances également, mais une fois lancées, des roues plus lourdes «entraineraient» le cycliste, par effet d'inertie. Les roues de contre-la-montre (quand le parcours est plat ou peu vallonné) sont donc souvent plus lourdes que les roues des courses en ligne. En descente, tout ce qui est plus lourd fait aller plus vite… malheureusement elles ne durent jamais longtemps par rapport aux montées. 🙂

Moins important qu'on l'imagine souvent. Certains s'imaginent qu'ils se transformeront en grimpeurs ailés s'ils gagnent 500 g sur leurs roues ou ailleurs, ce qui n'est pas le cas : comme l'a dit Thierry, toutes choses étant égales par ailleurs, le gain de temps étant de l'ordre de la trentaine de secondes seulement sur une ascension genre Ventoux, pourtant pentue (7,7 % de moyenne, de mémoire) et très longue (21 km)… Mais s'il s'agit de compétition, chaque seconde compte, et oui, Guillaume Martin a de bonnes raisons de râler. À niveau de forme égale, le surpoids de son vélo par rapport à ceux de ses concurrents est malheureusement déterminant en côte, particulièrement sur une ascension aussi longue que la Bonette…

Autrement dit, tu t'es habillé comme moi aujourd'hui près de ton ancien chez toi. Au moins, tu n'es pas trop dépaysé ! 😄

Voir ces photos m'a rappelé des souvenirs, ayant vécu à Annecy (enfin, à Cran-Gevrier exactement) pendant quelques mois il y a… un bon quart de siècle :-). J'en avais profité pour faire quelques ascensions de la région, Leschaux justement, Semnoz, Forclaz… plus bien sûr le tour du lac. Pour en venir à ma sortie d'aujourd'hui : une bonne longue sortie bien éprouvante de 142 km, trajet Bruxelles-Namur-Bruxelles. L'aller en ligne quasi droite par la N4 avec une piste cyclable tout du long (mieux vaut avoir de bons pneus, vu les débris qui s'y trouvent parfois)… et le vent en pleine figure en permanence :-(((. Le retour plus sinueux avec le vent généralement favorable 🙂 via l'EuroVélo5 jusqu'à Wavre, itinéraire que je recommande : peu fréquenté, champêtre, et routes (globalement) en bon état. https://ravel.wallonie.be/home/itineraires/international/eurovelo-5/de-wavre-a-namur.html À Wavre, j'ai quitté l'EuroVélo pour prendre des routes familières par Overijse, Huldenberg, Tervuren et enfin Bruxelles. À Namur même, j'ai bien sûr gravi la citadelle. Vous me connaissez, j'ai bien sûr choisi un itinéraire bien pentu… et pavé dans sa plus grande partie : la route des Canons. https://climbfinder.com/fr/montees/route-des-canons-avenue-jean-ier Heureusement que j'ai des pneus de 32… parce que même avec ces pneus, ça secouait vraiment un max ! Les pavés sont particulièrement gros et disjoints, on passe son temps à rebondir de l'un à l'autre. Cyclistes à pneus étroits, passez votre chemin et grimpez plutôt par la « Route merveilleuse » (par laquelle je suis redescendu, ses klinkers font vraiment tapis roulant à côté !) ou la route des Panoramas, entièrement asphaltée celle-là. Pas étonnant qu'une partie de cette route des Canons soit empruntée par le cyclo-cross de la Citadelle de Namur… Quelques photos en vrac prises au sommet de la citadelle : Le château de Namur, côté cour… Idem, côté jardin. Point de vue sur Namur, au sommet de la Route Merveilleuse. Autre point de vue, sur la Meuse cette fois.

Je peux me tromper bien sûr, mais je le vois mal gagner Paris-Roubaix. Je me rappelle l'étape des pavés du Tour 2022 où il s'était échappé, mais sans l'aide opportune de Jasper Stuyven il n'aurait pas été bien loin. Pour le reste…

Et on parle même pas des participants à l'objectif 10 000 sur un an ! Quelles feignasses ! 😆

Salut Didier, Tout dépend de ce que tu utilises habituellement sur route. Si tu viens des Look par exemple, il y a des chances pour que tu doives baisser sensiblement la selle (bien que l'épaisseur des semelles et la cambrure des chaussures entre aussi en ligne de compte). En venant des Time route ou des Speedplay, ce serait plutôt le contraire. Pour ma part, je suis passé aux pédales de type Time Atac, donc VTT, il y a déjà longtemps, en venant des Time route. J'avais dû alors remonter ma selle d'environ 5 mm pour retrouver les mêmes sensations de pédalage.

Sortie hier après-midi, de kilométrage indéterminé (j'ai oublié de regarder le compteur hier et il s'est remis à zéro ce matin), par un temps sec et frisquet pour la saison (maxi 14°), avec un vent secteur nord-est qui renforçait cette sensation de froid. Pas grand'chose d'autre à signaler au-delà de ces considérations climatiques, à part des sensations mitigées dans les bosses… Il faut dire aussi que la motivation pour aller au-delà d'un rythme de balade a pris un coup en cette fin de saison.

Ces cales s'usent très lentement. Pour ma part, je m'aperçois qu'elles sont usées (souvent après plusieurs années) lorsque l'enclenchement devient plus problématique. Le clac-clac dont tu parles pourrait venir de l'usure de la pédale (ressort ? roulement ?), éventuellement de la semelle de la chaussure si les arceaux de la pédale ont imprimé leur marque…

Comme Danois, il y a eu Leif Mortensen, coéquipier d'Ocaña chez Bic. Pas un coureur de premier plan, mais il a obtenu quelques résultats (6e du Tour 71, par exemple). https://fr.wikipedia.org/wiki/Leif_Mortensen Edit : j'oubliais Ole Ritter, le recordman du monde de l'heure précédant Merckx.

Bon, désormais, tous les habitants de France seront appelés Franciliens, d'accord ? 😛

50 km tout rond ce matin. Temps sec, assez ensoleillé, peu venteux, bref idéal s'il n'y avait eu ces températures atypiques pour une fin septembre, variant entre 8° au début de la sortie et 13° (au soleil !) à la fin. Tenue longue à nouveau de rigueur, et quelque chose me dit que c'est définitif jusqu'au printemps prochain. Parcours vallonné comme de juste, trajet passant par la forêt de Soignes, Hoeilaart, La Hulpe, Overijse, Huldenberg, Tervuren et retour, comme souvent. Sensations correctes. Bientôt la barre des 4000 km au compteur depuis le début de l'année va être franchie. Ça faisait longtemps que j'avais aussi peu roulé sur une année… 😕