chmotard Posté mardi à 08:01 Share Posté mardi à 08:01 (modifié) J'habites un petit village dans un secteur bien vallonné et à l'écart des grandes villes , très fréquenté par les cyclistes . Hier après midi j'en ai encore aperçu une dizaine qui s’entraînaient solo à un bon rythme en pleine chaleur (35°C à l'ombre) . N'y a t'il pas un risque de rouler coûte que coûte dans ces conditions ? Y a t'il un intérêt qui m'échappe ? D'autant plus que dans 2 jours les températures redescendront de 10 degrés. Modifié mardi à 08:01 par chmotard Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté mardi à 08:50 Share Posté mardi à 08:50 il y a 39 minutes, chmotard a dit : J'habites un petit village dans un secteur bien vallonné et à l'écart des grandes villes , très fréquenté par les cyclistes . Hier après midi j'en ai encore aperçu une dizaine qui s’entraînaient solo à un bon rythme en pleine chaleur (35°C à l'ombre) . N'y a t'il pas un risque de rouler coûte que coûte dans ces conditions ? Y a t'il un intérêt qui m'échappe ? D'autant plus que dans 2 jours les températures redescendront de 10 degrés. Nous ne sommes pas tous égaux avec la température et quand tu as certains objectifs, il faut aussi s'entrainer à supporter la chaleur. J'ai souvenir d'une mini traversée des Alpes en Juin 2019 ou nous avions eu tous les jours des températures au-delà des 40°. In fine, en s'arrosant beaucoup, on s'y fait. Il faut faire super attention à ne pas de déshydrater (consommer salé) et à rester à une température raisonnable : s'arroser, s'arroser, s'arroser... Je ne suis pas super résistant à la chaleur mais quand je m'entraine plusieurs fois avec de fortes températures, c'est moins pire... Là, la chaleur nous est tombée d'un coup alors que début Juin, il faisait vraiment frais. Dimanche je suis sorti assez tôt (7h45) mais en haut du premier col à 9H30 j'étais cramé au sens propre avec une très forte sudation. J'ai donc écourté. Au retour dans la vallée, ça allait à peu près avec le vent apparent quand tu roules un peu vite. Mais j'ai été scotché le reste de la journée. Donc depuis je privilégie la natation 🙂, mais je n'ai pas d'objectif de cyclosportive cet été... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge NAVETAT Posté mardi à 09:01 Share Posté mardi à 09:01 il y a 48 minutes, chmotard a dit : J'habites un petit village dans un secteur bien vallonné et à l'écart des grandes villes , très fréquenté par les cyclistes . Hier après midi j'en ai encore aperçu une dizaine qui s’entraînaient solo à un bon rythme en pleine chaleur (35°C à l'ombre) . N'y a t'il pas un risque de rouler coûte que coûte dans ces conditions ? Y a t'il un intérêt qui m'échappe ? D'autant plus que dans 2 jours les températures redescendront de 10 degrés. IL est clair que de faire des efforts physique par des températures pareilles c'est fortement déconseillé, après il y a des sportifs qui supportent très bien ( pas moi ). Dernièrement j'étais en pique-nique au sommet du Col du Télégraphe lors du passage de la Marmotte en 2 jours ( jusqu'à Valloire et le reste le lendemain ) j'ai discuté avec un concurrent de 66 ans , il faisait 32°, il venait de faire le Glandon, il a ajouté les lacets de Montvernier dans la foulée et il venait de faire le Télégraphe (3000M dénivelé ) et même pas il souffrait de la chaleur. Alors qu'il y en avait un qui a fini dans l'ambulance des pompiers pour coup de chaud. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge NAVETAT Posté mardi à 09:34 Share Posté mardi à 09:34 Dernièrement avec mon pote on a fait les Balcons de Beldonne traversée du Massif d'un bout à l'autre et retour par la vallée et contrairement à Pierre Plana, toutes les ascensions nickel, même la dernière pourtant très difficile 4.6km à 8,6% avec des rampes à 12-13-15% , c'est dans la vallée que la situation c'est dégradée, on n'avait les jambes mais dès le moindre effort un peu intense Hs complet plus d'énergie. On a acheté des bouteilles pour s'arroser, on s'est hydraté mais rien n'y a fait et la dernière bosse pour rejoindre la voiture a pris des allures de Galibier, on s'est arrêtés à l'ombre 1/4 d'heure à à peine 500M du sommet. Après une boisson gazeuse on a bien récupéré, mais on s'est bien rendu compte que la chaleur et en plus à nos âges ( 65 ans ) ça peut s'avérer dangereux. Donc je relooke les objectifs à venir de manière à ne plus rouler après 12-13h en pleine chaleur. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté mardi à 09:37 Share Posté mardi à 09:37 (modifié) Il y a 1 heure, chmotard a dit : J'habites un petit village dans un secteur bien vallonné et à l'écart des grandes villes , très fréquenté par les cyclistes . Hier après midi j'en ai encore aperçu une dizaine qui s’entraînaient solo à un bon rythme en pleine chaleur (35°C à l'ombre) . N'y a t'il pas un risque de rouler coûte que coûte dans ces conditions ? Y a t'il un intérêt qui m'échappe ? D'autant plus que dans 2 jours les températures redescendront de 10 degrés. J'étais avant-hier dans les Ardennes belges où le mercure montait à 30° à l'ombre par endroits. Il y avait peu de cyclistes alors que d'habitude il y en a beaucoup le week-end dès qu'il fait beau. Dans la Redoute j'étais rigoureusement le seul cycliste, ça n'est pas arrivé souvent ! Par contre, je me suis fait dépasser par un jeune dans Stockeu, mais ça a été pour le retrouver couché de tout son long à l'ombre au sommet 🥵. De façon générale, les cyclistes belges et néerlandais n'apprécient pas trop ces conditions climatiques, semble-t-il. Je fais partie de ceux qui supportent bien la chaleur, mais j'ai constaté qu'une règle d'or est souvent oubliée dans ces conditions : l'hydratation ! Dans pas mal de cas (pas tous certes), des personnes qui disent souffrir de la chaleur ne boivent tout simplement pas assez, ou mal (de la bière bien alcoolisée par exemple, alors que l'alcool a tendance à déshydrater !). Or il faut boire très souvent, par petites quantités à chaque fois, et des boissons énergétiques de préférence, sous-dosées pour qu'elles passent mieux. Avant-hier j'en ai bu trois litres (quatre grands bidons de 75 cl) pour 7h30 de vélo, et un litre supplémentaire n'aurait sans doute pas fait de mal non plus. Modifié mardi à 09:55 par Franck PASTOR 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
chmotard Posté mardi à 10:57 Auteur Share Posté mardi à 10:57 Il y a 2 heures, Pierre PLANA a dit : quand tu as certains objectifs, il faut aussi s'entrainer à supporter la chaleur Je n'avais pas de certitude à ce propos mais ça m'avait effleuré l'esprit. Perso j'adapte mon comportement face aux températures relativement élevées mais néanmoins je n'ai pas l'impression que mon organisme soit capable de s'adapter , d'où mon incompréhension d'en voir certains rouler "plein pot" sous le cagnard. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jiib73 Posté mardi à 11:16 Share Posté mardi à 11:16 Moi je ne supporte pas la chaleur (pas dans le sens que je n'aime pas ça, ce qui est le cas, mais je me sens rapidement mal). C'est peut-être dû au fait que je transpire très peu... Contrairement à Pierre, je ne peux donc pas trop m'habituer à supporter la chaleur, je dois donc parfois annuler des cyclosportives ou des sorties en groupe, ma limite étant 28 à 30 degrés maxi à l'ombre, et encore. D'ailleurs, pour moi, l'été est la saison basse (je ne fais pas plus de km que l'hiver, et a des intensités généralement basses). Les intersaisons sont mes saisons hautes (j'adore particulièrement septembre et octobre pour ça). C'est d'ailleurs un peu frustrant, car j'adore les longues distances, et tous les évènements de ce types (genre bikingman ou race across) sont l'été, je ne peux donc pas y participer. En ce moment, mes sorties se terminent vers 9H, pour rester sous les 28°C 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre-Yves DESSIMOZ Posté mardi à 11:21 Share Posté mardi à 11:21 Il y a 1 heure, Franck PASTOR a dit : J'étais avant-hier dans les Ardennes belges où le mercure montait à 30° à l'ombre par endroits. Il y avait peu de cyclistes alors que d'habitude il y en a beaucoup le week-end dès qu'il fait beau. Dans la Redoute j'étais rigoureusement le seul cycliste, ça n'est pas arrivé souvent ! Par contre, je me suis fait dépasser par un jeune dans Stockeu, mais ça a été pour le retrouver couché de tout son long à l'ombre au sommet 🥵. De façon générale, les cyclistes belges et néerlandais n'apprécient pas trop ces conditions climatiques, semble-t-il. Je fais partie de ceux qui supportent bien la chaleur, mais j'ai constaté qu'une règle d'or est souvent oubliée dans ces conditions : l'hydratation ! Dans pas mal de cas (pas tous certes), des personnes qui disent souffrir de la chaleur ne boivent tout simplement pas assez, ou mal (de la bière bien alcoolisée par exemple, alors que l'alcool a tendance à déshydrater !). Or il faut boire très souvent, par petites quantités à chaque fois, et des boissons énergétiques de préférence, sous-dosées pour qu'elles passent mieux. Avant-hier j'en ai bu trois litres (quatre grands bidons de 75 cl) pour 7h30 de vélo, et un litre supplémentaire n'aurait sans doute pas fait de mal non plus. Il y a 1 heure, Franck PASTOR a dit : J'étais avant-hier dans les Ardennes belges où le mercure montait à 30° à l'ombre par endroits. Il y avait peu de cyclistes alors que d'habitude il y en a beaucoup le week-end dès qu'il fait beau. Dans la Redoute j'étais rigoureusement le seul cycliste, ça n'est pas arrivé souvent ! Par contre, je me suis fait dépasser par un jeune dans Stockeu, mais ça a été pour le retrouver couché de tout son long à l'ombre au sommet 🥵. De façon générale, les cyclistes belges et néerlandais n'apprécient pas trop ces conditions climatiques, semble-t-il. Je fais partie de ceux qui supportent bien la chaleur, mais j'ai constaté qu'une règle d'or est souvent oubliée dans ces conditions : l'hydratation ! Dans pas mal de cas (pas tous certes), des personnes qui disent souffrir de la chaleur ne boivent tout simplement pas assez, ou mal (de la bière bien alcoolisée par exemple, alors que l'alcool a tendance à déshydrater !). Or il faut boire très souvent, par petites quantités à chaque fois, et des boissons énergétiques de préférence, sous-dosées pour qu'elles passent mieux. Avant-hier j'en ai bu trois litres (quatre grands bidons de 75 cl) pour 7h30 de vélo, et un litre supplémentaire n'aurait sans doute pas fait de mal non plus. Oh! Ne me dis pas que les Belges mettent de la bière ds leurs gourdes? Une fois, après une sortie un peu plus longue et montagneuse que d’habitude, j’ai voulu en boire une puis une deuxième et une panachée… je ne sentais plus les pédales pour les 20 km qui ne restaient à parcourir!!! La fois précédente j’avais subi une crise d’hypoglycémie!!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté mardi à 11:36 Share Posté mardi à 11:36 il y a 9 minutes, Pierre-Yves DESSIMOZ a dit : Oh! Ne me dis pas que les Belges mettent de la bière ds leurs gourdes? Une fois, après une sortie un peu plus longue et montagneuse que d’habitude, j’ai voulu en boire une puis une deuxième et une panachée… je ne sentais plus les pédales pour les 20 km qui ne restaient à parcourir!!! La fois précédente j’avais subi une crise d’hypoglycémie!!!! Ils n'en mettent pas dans leurs bidons à ma connaissance, mais ils s'arrêtent volontiers en cours de route sur les terrasses des bars locaux pour relâcher la pression… en en descendant quelques-unes. 😎 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté mardi à 12:04 Share Posté mardi à 12:04 il y a 47 minutes, jiib73 a dit : Moi je ne supporte pas la chaleur (pas dans le sens que je n'aime pas ça, ce qui est le cas, mais je me sens rapidement mal). C'est peut-être dû au fait que je transpire très peu... Contrairement à Pierre, je ne peux donc pas trop m'habituer à supporter la chaleur, je dois donc parfois annuler des cyclosportives ou des sorties en groupe, ma limite étant 28 à 30 degrés maxi à l'ombre, et encore. D'ailleurs, pour moi, l'été est la saison basse (je ne fais pas plus de km que l'hiver, et a des intensités généralement basses). Les intersaisons sont mes saisons hautes (j'adore particulièrement septembre et octobre pour ça). C'est d'ailleurs un peu frustrant, car j'adore les longues distances, et tous les évènements de ce types (genre bikingman ou race across) sont l'été, je ne peux donc pas y participer. En ce moment, mes sorties se terminent vers 9H, pour rester sous les 28°C Si tu transpires peu, il faut que tu t'arroses... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Geoffroy CACHAT Posté mardi à 12:47 Share Posté mardi à 12:47 Je viens de faire une petite heure d'endurance entre 12h30 et 13h30 par 38°c. Sans effort particulier (plat) en tournant les jambes, la chaleur reste "supportable" car il n'y avait pas d'exigence particulière. En montée de col, cela aurait été une autre affaire. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge NAVETAT Posté mardi à 13:31 Share Posté mardi à 13:31 De toute façon on n'aura beau dire ce qu'on veut, rouler en pleine canicule c'est pas bon, il faut mesurer entre les bénéfices et les risques pour la santé et je pense qu'il n'y a pas photo. Partir à la Fraîche, choisir voir adapter les parcours, ombragés, sans difficulté particulière et faire demi-Tour à temps, pauses, hydratation, s'arroser.... vêtements clairs . 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gdev00 Posté mardi à 13:34 Share Posté mardi à 13:34 Plutôt que de rouler dans ces conditions , une bonne heure de marche bien tranquille tôt le matin ! Mon séant pourra ainsi mieux se rétablir ....Et puis "on est pas au pièces".... ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Geoffroy CACHAT Posté mardi à 13:42 Share Posté mardi à 13:42 il y a 8 minutes, Serge NAVETAT a dit : De toute façon on n'aura beau dire ce qu'on veut, rouler en pleine canicule c'est pas bon, il faut mesurer entre les bénéfices et les risques pour la santé et je pense qu'il n'y a pas photo. Partir à la Fraîche, choisir voir adapter les parcours, ombragés, sans difficulté particulière et faire demi-Tour à temps, pauses, hydratation, s'arroser.... vêtements clairs . C'est certain, mais pas toujours le choix 🤪 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté mardi à 13:58 Share Posté mardi à 13:58 Hier à la fin de ma sortie (vers midi) dans les Pyrénées Orientales, ma fréquence cardiaque était de 148 bpm dans la montée de 4 km qui mène à mon logement alors que ma puissance ne dépassait pas 120 W ! Je suis plutôt vers 180-190 W à ce rythme cardiaque quand la température est clémente. Mon gps indiquait 40-42°C. En clair, la régulation thermique me "coûtait" près de 30 bpm ! Je me suis arrêté 5 minutes sous un arbre pour faire retomber un peu la température avant de grimper les 2 derniers kilomètres. J'avais rempli mes 2 bidons de boissons énergétiques et ne pouvait donc pas m'arroser, je m'en souviendrai demain matin avant une sortie que je prévois plus courte. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Geoffroy CACHAT Posté mardi à 14:46 Share Posté mardi à 14:46 (modifié) @Thierry GEUMEZ D'accord. Pour faire un parallèle : sur mon parcours plat du jour, avec 4°c de moins que toi hier, mes BPM étaient conformes à cette puissance habituelle, à savoir 135 bpm moyens pour 185w moyens sur la sortie. Sur la seule bosse à la fin de la sortie, 143bpm moyens pour 222w moyens, donc là aussi cohérent. Je pense que la longueur de la sortie et l'enchainement des difficultés doit varier avec la température extérieure. Ma sortie était sans doute trop courte (30km/200m D+) pour ressentir les effets de la chaleur. Modifié mardi à 14:46 par Geoffroy CACHAT Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté mardi à 14:46 Share Posté mardi à 14:46 il y a 43 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Hier à la fin de ma sortie (vers midi) dans les Pyrénées Orientales, ma fréquence cardiaque était de 148 bpm dans la montée de 4 km qui mène à mon logement alors que ma puissance ne dépassait pas 120 W ! Je suis plutôt vers 180-190 W à ce rythme cardiaque quand la température est clémente. Mon gps indiquait 40-42°C. En clair, la régulation thermique me "coûtait" près de 30 bpm ! Je me suis arrêté 5 minutes sous un arbre pour faire retomber un peu la température avant de grimper les 2 derniers kilomètres. J'avais rempli mes 2 bidons de boissons énergétiques et ne pouvait donc pas m'arroser, je m'en souviendrai demain matin avant une sortie que je prévois plus courte. En plus, dans les PO c'est compliqué de trouver une fontaine... Ca va, vous n'avez pas trop chaud ? Je ne sais pas si ton analyse est correcte. Peut-être étais tu simplement partiellement déshydraté non ? Dimanche, j'avais l'impression de ne plus avoir de force mais ma puissance (calculé par Strava) était correcte, mais j'ai transpiré comme un porc et j'ai fini partiellement déshydraté. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté mardi à 14:53 Share Posté mardi à 14:53 Quand il fait trés chaud il faut rouler doucement ou vite mais pas longtemps c'est aussi simple que cela .... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté mardi à 15:33 Share Posté mardi à 15:33 il y a 17 minutes, Pierre PLANA a dit : En plus, dans les PO c'est compliqué de trouver une fontaine... Ca va, vous n'avez pas trop chaud ? Je ne sais pas si ton analyse est correcte. Peut-être étais tu simplement partiellement déshydraté non ? Dimanche, j'avais l'impression de ne plus avoir de force mais ma puissance (calculé par Strava) était correcte, mais j'ai transpiré comme un porc et j'ai fini partiellement déshydraté. Je ne sais pas si j'étais déshydraté, je ne me suis pas pesé à l'arrivée. J'ai bu 1,8 litre pour 66 km. Par comparaison, j'ai bu 1,6 litre vendredi dernier lors de ma sortie de Port de Balès par Mauléon avec 20 minutes de roulage en plus, 4-5°C de moins et 125W moyens au lieu de 106 hier. Je me sentais vraiment accablé par la chaleur hier, même en début de sortie par 28°C. Peut-être l'air plus humide ? Ou alors un jour "sans". Concernant le séjour à Castelnou, ça cogne sévère... mais nous avons la clim et une piscine 😎 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté mardi à 16:21 Share Posté mardi à 16:21 il y a 43 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Je ne sais pas si j'étais déshydraté, je ne me suis pas pesé à l'arrivée. J'ai bu 1,8 litre pour 66 km. Par comparaison, j'ai bu 1,6 litre vendredi dernier lors de ma sortie de Port de Balès par Mauléon avec 20 minutes de roulage en plus, 4-5°C de moins et 125W moyens au lieu de 106 hier. Je me sentais vraiment accablé par la chaleur hier, même en début de sortie par 28°C. Peut-être l'air plus humide ? Ou alors un jour "sans". Concernant le séjour à Castelnou, ça cogne sévère... mais nous avons la clim et une piscine 😎 Il faut faire attention même quand tu bois beaucoup (surtout quand tu bois beaucoup). A un moment, si tu transpires trop et que tu élimines beaucoup de sels minéraux, boire ne sert plus qu'à remplir ton estomac. Lors de l'étape du tour très chaude il y a deux ans, on a un copain qui a fait une déshydratation sévère (comme beaucoup de monde ce jour là), à un moment ça n'allait plus du tout, il a vomi un litre d'eau, a du être évacué en ambulance, et à Morzine, le corps médical à réglé le problème en 5 minutes avec une soupe salée... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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