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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. La différence de gabarit ne doit pas être énorme, Cavendish étant petit et mince pour un sprinter. Mais oui, leurs régimes doivent être assez différents.
  2. Si tu as vécu à La Rochette, tu dois connaître aussi par cœur la montée de Val Pelouse. J'aurais souhaité la faire cette année, malheureusement un éboulement à 5 km du sommet a provoqué la fermeture de la route à cet endroit… Aujourd'hui, une autre montée inédite pour moi, celle du versant sud du col de la Charmette, en Chartreuse (1261 m d'altitude, 1080 m de dénivellation). https://climbfinder.com/fr/montees/col-de-la-charmette-saint-egreve Mine de rien, c'est selon Climbfinder la troisième montée la plus difficile des environs de Grenoble, derrière Chamrousse par Séchilienne et le col du Sabot, mais devant la Croix de Fer et le Glandon versant Allemont et les autres montées vers Chamrousse ! https://climbfinder.com/fr/regions/grenoble Et c'est vrai que c'est particulièrement pentu. De plus, très peu de lacets, de très longues lignes droites, donc peu de repères pour estimer la pente et la progression, donc un bon test également pour le mental. Temps de montée plutôt moyen (pour moi) de 1 h 16 minutes. Au 2/3 de la montée, j'ai progressivement rattrapé une dame, la cinquantaine, allure sportive, sur un vélo gravel. Ce que je ne comprenais pas, c'est qu'à chaque fois que je la rejoignais, elle trouvait le moyen d'accélérer et de me laisser à nouveau à 10 mètres derrière, puis elle ralentissait, ce qui me permettait de la rejoindre à nouveau, puis elle réaccélérait et ainsi de suite plusieurs fois. Je me demandais comment elle s'y prenait… jusqu'à ce que je remarque le moteur électrique à sa roue arrière et le ronronnement caractéristique de l'assistance électrique lors d'une de ses accélérations. 🙂 Au bout d'un certain temps de ce manège, je l'ai dépassée sans plus de réaction de sa part (on s'est quand même dit «bonjour»). Peut-être que son assistance était épuisée ou qu'elle avait décidé de ne plus s'en servir. En tout cas, je ne l'ai plus revue, y compris, curieusement, quand je suis redescendu par le même versant du col. Quelques photos prises au sommet : Mon bolide à la croix sommitale 🙂 Le début de la descente sur le versant nord, aujourd'hui fermée à toute circulation y compris cycliste un peu plus bas :-(. Quel dommage, cette route forestière, que j'avais grimpée il y a longtemps, était tout simplement grandiose. Aujourd'hui, ceux qui s'y risquent rapportent tous que la route est particulièrement dégradée… Un peu d'histoire ! (Agrandir l'image pour lire le texte du panneau). Ensuite, je suis redescendu de même côté donc (descente particulièrement désagréable par ailleurs, la chaussée est assez dégradée sur une bonne partie du trajet) pour rentrer au bercail. En tout, 76 km de sortie aujourd'hui.
  3. Dans son « Guide de vélo en montagne » (édition de 1990), Jacques Roux évoque son vélo de randonnée datant de… 1955 et équipé déjà à l'époque d'un double plateau de dentures… 48-34. Après ça, quand j'entends dire que le double compact est une invention récente, ça me fait toujours doucement rigoler. Pour parler de ce que j'ai pu voir moi-même, mon père avait acheté vers 1978 un Peugeot en triple plateau équipé ainsi : 52-42-32 au pédalier et roue libre cinq vitesses 14-16-18-21-24. Il a fait le BRA (Grenoble-Lautaret-Galibier-Mollard-Croix de Fer-Grenoble) avec ce vélo en 1979. À cette époque (milieu-fin 70), les roues libres 6 pignons existaient déjà et des braquets du genre genre 30/28 (en triple) étaient déjà envisageables, voire probablement moins encore. Je crois que les cyclistes pratiquant des environs de Grenoble avaient déjà (ont toujours?) des vues sur les braquets quelque peu différentes de celles qu'avaient les cyclistes hennuyers… 😉
  4. Oui, j'avais probablement roulé entre-temps, mais c'est quand même loin dans le temps (plus ou moins 25 ans) pour que je m'en souvienne avec certitude. Mais je suis quasiment certain, par contre, que j'étais déjà à l'époque à mon pic de forme, qu'il s'agissait donc plutôt d'entretenir. Je ne me serais jamais attaqué en méforme à la Bastille, vu sa réputation.
  5. Pas tout à fait d'accord avec ça. Je me rappelle avoir essayé à une époque de grimper la Bastille de Grenoble avec un 30/26 : j'ai mis deux fois pied à terre. Une semaine plus tard, j'ai réessayé avec un 30/28 : je ne suis pas descendu du vélo jusqu'au sommet. Ceci dit, si on est dans l'incertitude, 4 dents de plus à l'arrière est en effet forcément une meilleure marge de sécurité que 2 dents. Même si c'est trop petit, mieux vaut avoir trop petit que trop grand, pour des raisons évidentes.
  6. En 11 vitesses Shimano VTT, on pouvait monter un triple (42-34-24) avec 11-40 comme plus grande cassette tolérée «officiellement». Donc un braquet minimal de 24/40. C'est aussi le braquet minimal qu'il est possible de monter sur ma machine (j'ai un triple — TA — et un dérailleur arrière VTT 11 vitesses Shimano). Je ne sais pas ce qu'ils proposent en 12 vitesses, mais ça doit être du même ordre, même s'il n'y a plus de triple à ce niveau.
  7. Je n'ai pas dit d'arrêter la bière ou l'alcool, j'ai dit de le limiter drastiquement, et ça s'adressait à des gens qui veulent maigrir. Ce qui ne veulent pas maigrir ou n'en ont pas besoin n'étaient pas visés par ma remarque. Ce que je constate autour de moi à Bruxelles, c'est que les gens visiblement en surpoids ne se contentent pas d'un verre de bière par jour, mais s'enfilent joyeusement plusieurs canettes quotiidiennement 🙂 Pour ce qui est du pain : ce n'est pas tellement lui le problème, mais ce qu'on met dessus… De même que les pâtes sont rarement un problème, plutôt les sauces qui viennent avec.
  8. Je vais me faire mal voir 😇 mais les premières choses à drastiquement limiter si on veut maigrir, ce sont les calories inutiles. C'est-à-dire l'alcool (particulièrement la bière) et tout ce qui est grignotage.
  9. Kristoff en effet, dans un sprint… à trois (Campenaerts, Van Gestel et lui). Sacrément mérité, c'est lui qui avait fait le gros du travail dans l'échappée décisive. Impressionnantes images de l'ascenseur à bateaux de Strépy-Thieu et de ses bassins…
  10. 88 km aujourd'hui, dont une escalade inédite pour moi : le Collet d'Allevard, ou plus exactement le « Super Collet », un peu au-dessus. J'étais allé skier plusieurs fois dans cette station de ski dans ma jeunesse, mais jamais encore je n'en avais fait la route d'accès à vélo. Lacune comblée aujourd'hui donc ! https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Collet_d'Allevard Pour la montée en elle-même, temps pas folichon de 1 h 33 minutes pour 1200 m de dénivellation environ. Je n'ai pas souffert, mais jamais je n'ai pu vraiment «débloquer le moteur» non plus. L'âge qui vient, peut-être, ou alors une prudence instinctive devant une montée inconnue. Et il faut dire qu'elle est sacrément pentue par endroits, le tout-à-gauche a été nécessaire plusieurs fois. De tous les accès à des stations de ski que j'ai pu grimper (Alpe d'Huez, Chamrousse, Pipay, Prapoutel…), il me semble que c'est la plus raide. https://climbfinder.com/fr/montees/super-collet Quelques photos prises au sommet puis en redescendant : Au Super-Collet, les remontées sont encore en service, pour les randonneurs et sans doute les vététistes… Ça donne envie d'aller là-haut… Vue plongeante sur la cluse de Montmélian, entre l'Isère et la Savoie. Tout au fond, dans la brume, Chambéry et le Mont du Chat. Vue sur le Granier, extrémité nord du massif de Chartreuse. Dans le creux bien marqué à droite de la falaise passe le col du Granier.
  11. Apparemment tu ne m’as pas bien lu….
  12. Ça m'est arrivé de rouler à 5 km/h oui. À chaque fois que je passe dans les 100 ou 200 derniers mètres de cette ascension-là, au-dessus de Grenoble: https://climbfinder.com/fr/montees/col-de-vence-grenoble-chantemerle Les derniers 500 mètres (chemin de Château-Pilon) y sont indiqués à 13% de moyenne, mais les 100 ou 200 derniers mètres sont beaucoup plus raide que ça (25%? Plus encore?). À chaque fois que j'y passe, le compteur indique 5 km/h et des poussières. Même les passages les plus raides de la Bastille de Grenoble (24% maxi) ne me font pas rouler aussi lentement. Et oui, j'arrive à rouler droit, ce n'est pas un problème pour moi à cette vitesse avec un 24/34. Je suppose que c'est lié au fait que ma cadence, autour de 60 tours/minutes, est encore suffisamment élevée pour que le passage des points morts soit suffisamment rapide pour ne pas provoquer de perte d'équilibre.
  13. À quelqu'un qui peine dans les cols je conseillerais les braquets les plus petits possibles pour commencer, quitte à ce qu'ils soient affinés ensuite. L'avantage de braquets trop petits est qu'on peut se rabattre en roulant sur des braquets plus grands, alors que si les braquets sont trop grands, hé bien on n'a plus qu'à avoir des regrets. Donc je conseille un triple du genre du mien (46-34-24) s'il veut être ou rester en 10 vitesses ou moins, avec la cassette la plus étendue possible. Sinon, vu qu'il n'y a plus de triple de série au-delà de 10 vitesses et qu'on ne cherche pas forcément à sortir des standards comme moi (qui ai actuellement un triple 11 vitesses complètement hors série), je conseille comme toi un double sub-compact, ou si nécessaire encore plus petit que ce que tu proposes, avec des pédaliers de type VTT, 36-26 ou 38-24 par exemple, s'ils sont complètement débutants ou si je sais que leur niveau est très bas. Parce que mine de rien, 30/32 ou 30/34, ça fait rouler à 6-6,5 km/h à une cadence encore pas trop basse de 60 tours/minutes, et je vois plein de personnes rouler déjà à ces vitesses dès que la pente avoisine les 8%, voire moins… On se rejoint sur le mono-plateau, par contre, que je ne conseille a priori à personne dans l'état actuel des choses.
  14. Je suis d'accord avec un point, c'est qu'on choisit d'abord sa transmission sur le critère des développements fournis. Raison pour laquelle, pour ma part, je suis resté en triple. Pas facile avec un double de descendre jusqu'au 24/34, comme le fait mon triple actuel, tout en conservant des braquets pas trop petits en descente (46/11 maxi). Par contre, la notion de braquet(s) de base me semble importante aussi, elle vient juste après dans l'ordre de mes priorités. c'est-à-dire le(s) braquet(s) qu'on utilise le plus sur une sortie ordinaire. En général ils correspondent aux passages plats ou très peu pentus, pas trop venteux, et à des dépenses d'énergie qui conviennent pour tenir longtemps. Si la transmission est bien choisie, ces braquets ne doivent surtout pas correspondre à des lignes de chaîne trop croisées, ce qui userait prématurément la chaîne et diminuerait le rendement, ce qui est d'autant plus préjudiciable que ces braquets sont les plus utilisés. Pour certains, il n'y a qu'un seul braquet de base, pour ma part, je considère que j'en ai trois : 34/15, 34/17 et 34/19. Ce sont les braquets que j'utilise le plus.
  15. A priori, la Chartreuse ce sera dans le sens Chapareillan - Saint-Nazaire-les-Eymes. Mais rien n'est gravé dans le marbre, ça pourra aussi bien être dans l'autre sens. Ce sera selon l'inspiration du moment 🙂 La Vélomédiane, c'est justement 3300 m de dénivellation mine de rien, donc ça correspond bien. Ennuyeux que la fontaine des Ayes soit à sec, j'avais pris l'habitude de m'y ravitailler. Merci du renseignement. Mieux vaut alors ne pas trop compter sur les fontaines, avec cette sécheresse… Va falloir que je m'arrête à un commerce ou un bar à Theys ou Allevard pour faire le plein,
  16. À Grenoble, il faut chaud et trop sec, comme partout ailleurs. Depuis samedi, un incendie fait rage à une vingtaine de km au nord de l'agglomération, à La Buisse, près de Voreppe. Déclenché par la foudre, il n'a toujours pas pu être maîtrisé, essentiellement en raison du vent et de la nature très escarpée du terrain (flanc de montagne). https://www.placegrenet.fr/2022/08/07/lincendie-dans-le-secteur-voreppe-la-buisse-devient-critique-avec-louverture-dun-front-de-flammes-attisees-par-le-vent/577128 https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/incendie-a-voreppe-et-la-buisse-des-renforts-de-pompiers-envoyes-depuis-les-departements-voisins-1659951523
  17. Ce n'est pas vraiment une « montagne » au sens de sommet ou de col, c'est en fait une des routes d'accès à un des points hauts de la route du Balcon de Belledonne, la Croix de Pinet. C'est une ascension de 2e catégorie selon Climbfinder (le chiffre 2 est indiqué juste sous le titre), qui utilise pour cela la même hiérarchie que sur le Tour de France : Hors catégorie, 1ere catégorie, 2e, 3e, 4e… du plus difficile au plus facile. Ce qui lui confère un supplément de difficulté (d'où le sigle en forme de bombe juste à côté du numéro de catégorie), ce sont les 4 derniers kilomètres, la côte de Rocharey, un sacré morceau. Les pourcentages indiqués sur le profil sont d'ailleurs, à mon avis, un peu sous-évalués.
  18. Peut-être, mais je me jugerai vraiment prêt quand je pourrai au minimum faire à fond la caisse chaque bosse, raide ou non, du balcon de Belledonne par exemple, et j'en suis encore loin. Je garde encore instinctivement de la réserve dans chaque côte, de peur de devoir baisser nettement de régime à la côte suivante. À la fin de mon séjour, j'ai l'intention d'enchaîner le balcon de Belledonne et son pendant de Chartreuse, le plateau des Petites Roches, juste de l'autre côté de la vallée du Grésivaudan. Pour accéder à l'un puis l'autre, je devrai deux ascensions assez longues (une dizaine de km chacune) mais pour tout le reste du parcours, ce ne sera que des bosses de type ardennais. Si je passe ce parcours dans de bonnes conditions, je serai sûr d'être au point. 🙂
  19. À Grenoble pour une quinzaine de jours en famille. Ce matin, sortie de reprise de contact de 46 km avec la vraie montagne, direction la Croix de Pinet par Murianette et la Pérerée, une montée méconnue et pourtant splendide, avec des points de vue époustouflants pour les touristes et un raidard final pour les sportifs (côte de Rocharey). https://climbfinder.com/fr/montees/la-croix-de-pinet-murianette-la-pereree Ensuite, comme je me sentais encore des jambes, j'ai emprunté la route en montagne russe du balcon de Belledonne sur une dizaine de kilomètres, jusqu'au hameau du Mas Julien, pour grimper ensuite au lieu-dit « Pré du Fourneau », à 1130 m d'altitude, un cul-de-sac routier. La route est en très bon état (sauf au tout début, où ils ont eu l'idée géniale de gravillonner…), et grimpe sans un lacet en longeant un ruisseau qui, il n'y pas si longtemps encore, alimentait une centrale hydro-électrique dans la vallée. Mais ce qui rend cette route attractive, ce sont surtout ses pourcentages (les quatre derniers km du profil suivant). On y trouve un kilomètre entier à 13% de moyenne, et irrégulier en plus, ça laisse imaginer les pourcentages maximaux. https://climbfinder.com/fr/montees/pre-du-fourneau-lancey La route est ensuite remplacée par une piste caillouteuse jusqu'au col de Pré-Long, 2,5 km plus loin, sur des pentes bien plus faibles, mais je n'ai pas eu le courage cette fois de faire subir ça à mes pneus et suis donc redescendu directement dans la vallée.
  20. Je ne sais pas de qui c'est à l'origine, c'est une maxime que j'ai lue plusieurs fois sous des formes différentes. Aujourd'hui, pour l'anecdote j'ai grimpé quelques raidards dans le massif de Belledonne, pour faire chauffer mon 24/34. Mon compteur est descendu assez souvent à 6-7 km/h, sur des portions de cols à 15 % et plus. Je n'ai jamais eu de complexe à grimper à ce genre de vitesses lorsque nécessaire. Peut-être parce que roulant quasiment tout le temps seul, je n'ai pas la tentation me comparer à d'autres éléments d'un même groupe et je n'écoute donc que moi-même pour me dicter mon rythme Je suis d'ailleurs tenté de monter un 24/36 pour l'année prochaine, afin d'enchaîner plus de raidards encore sur une journée, ou bien pour grimper des pentes raides encore plus longues (un de ces jours, j'irai faire l'Angliru ou le Zoncolan). J'ai encore de la marge, le développement minimal que je peux monter sur mon vélo est 24/40. Peut-être que lorsque j'arriverais à 70-75 ans, je serai sur ce braquet-là ou un équivalent, qui sait ? Je la mesure aussi comme ça, la baisse progressive de mes performances : mes braquets baissent tout aussi progressivement, mes cadences de pédalage restant les mêmes,
  21. J'ai 50 ans, donc presque 30 ans de pratique régulière du vélo, et j'ai pris conscience de la baisse de mes performances physiques depuis bien plus longtemps que vous apparemment : ça fait au moins 15 ans que j'ai constaté que mes performances en montagne régressent. Très lentement mais indiscutablement. Je sais fort bien que cette tendance est définitive, mais je suis décidé à lutter contre. Il n'y a que comme cela qu'on peut ralentir ce vieillissement inéluctable ! Et puis après tout, vieillir est l'unique façon de ne pas mourir. 😇
  22. Des pelotons de dix, vingt cyclistes oui, j'en vois assez souvent en Brabant flamand, mais au-delà, je n'en ai pas le souvenir (sauf bien sûr lors d'épreuves organisées). J'en voyais par contre quand je vivais à Tournai. À l'époque je trainais souvent les roues dans les Flandres occidentale et orientale voisines, particulièrement le long de l'Escaut et dans les environs immédiats. Parfois je me faisais enrhumer par de véritables TGV à trente ou quarante wagons. J'aimerais d'ailleurs pas me trouver dans des groupes pareils, ça doit pas être très convivial !
  23. Quand on le connait, on n'est pas surpris ! 🙂
  24. C'est quand il était cadet qu'elle aurait été rejetée, donc autour de 2012 puisqu'il est né en 97. Les choses ont dû donc s'arranger entre 2012 et 2017 🙂
  25. En 2017 il avait 19 ou 20 ans. Sa demande de naturalisation a pu être rejetée dans un premier temps et acceptée ensuite. Mais en fait je n'en sais rien. Et finalement ce n'est pas important. Aujourd'hui en plus d'être russe il a aussi la nationalité française et court sous licence française. Le reste est littérature.
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