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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. 55/22 était justement la combinaison proposée par défaut sur mon vélo. Je l'ai fait changer précisément parce que le plus petit rapport était trop proche de ce que j'ai déjà sur le Lynskey : 24/34. Ce nouveau vélo va devoir affronter les mêmes types de pourcentages que mon Lynskey, voire plus pentu encore, et sur des revêtements encore plus aléatoires, alors qu'il est nettement plus lourd. Il m'a paru donc plus logique de l'équiper de démultiplications encore plus petites. D'autant que les pneus, plus épais, augmentent légèrement le diamètre et donc le développement. Après avoir hésité entre 50/22 et 46/22 comme combinaisons plateau-pignon, j'ai finalement opté pour 50/22, parce que je ne voulais pas avoir un grand braquet trop «petit», et parce que le plus petit braquet venant avec 50/22 était quand même déjà équivalent à 24/38. Avec 46/22, le plus petit rapport aurait été équivalent plus ou moins à 24/41, mais le plus grand à «seulement» 46/15. Mais ce sera peut-être la combinaison que j'installerai quand je partirai pour de longues randonnées avec force bagages. Dans ce genre de périple, les grands braquets ont beaucoup moins d'importance, au contraire des plus petits.
  2. Merci pour les photos, elles sont très claires. Je vais voir si l'un ou l'autre modèle sont disponibles chez le vélociste. Si les deux le sont, je choisirai la Swallow. Ces fameux rabats de la Swift ou de la B17, à quoi servent-ils, au juste ? Ils ne me gênent pas a priori, si j'en juge par ma sortie de la veille, mais quelle est la raison de leur présence ?
  3. Ben ça tombe bien, ce n'est pas un VDC, si par VDC tu entends Vélo de Course 🙂 même endurance. C'est un vélo de cross-country, de gravel ou de la grande randonnée (donc avec sacoches), selon la façon dont on choisit de l'équiper. J'ai déjà un vélo de course, et même deux si on compte celui que j'ai laissé à Grenoble chez mes parents, je n'allais pas en acheter un troisième. Ce vélo, je le répète, je l'ai choisi pour pouvoir faire du gravel, de la grande randonnée plus tard, et surtout pour m'éviter les corvées d'entretien lors des sorties en mauvaise saison. Quand il pleuvra à verse, quand les routes seront détrempées, boueuses, sablonneuses, bref quand les conditions climatiques promettront un vélo hyper-crade au retour, ce sera donc le vélo que je prendrai, avec ses grosses roues, sa courroie facile à nettoyer, et ses vitesses bien au chaud dans un moyeu scellé contre les éléments. (Mais c'est vrai que tout cela doit paraître surréaliste à quelqu'un qui ne sort pas par mauvais temps.) Quant au choix des développements, j'ai perdu avec le moyeu Rohloff une partie de l'amplitude des braquets de mon triple plateau, mais les petits braquets sont conservés, eux, et même encore diminués, avec l'équivalent d'un 24/38. Ce sont les plus grands braquets qui ont disparu. Là où j'ai 46/11 avec le Lynskey, maintenant j'ai l'équivalent d'un 50/15...Mais c'est secondaire. L'essentiel, ce sont les rapports qui vous permettent de passer partout où on veut passer. 😎Donc, priorité aux braquets de montée. Dans les descentes, je ferai un peu plus de roue libre...
  4. S'agissant de Sram : le système s'appelle Rohbox (contraction de Rohloff et box) et combine poignées Sram (au mécanisme interne modifié), moyeu Rohloff et freinage soit à disques (hydraulique/mécaniques) soit à patins. J'ai essayé ce système Rohbox/Sram au magasin qui m'a vendu le vélo, sur un Cross Lite d'essai. Question ergonomie, c'est très bien pensé : on monte les vitesses en actionnant le levier droit et on les descend en actionnant le levier gauche. https://www.cyclingabout.com/gebla-rohbox-road-mountain-shifters-with-rohloff-hubs/ Mais j'ai trouvé le freinage Sram (à disques, hydraulique) très désagréable, j'avais une sensation spongieuse au niveau des leviers qui gênait le dosage du freinage. Et les vitesses refusaient parfois de passer : plusieurs fois, j'actionnais un levier et rien ne se passait. Cela m'a fait opter pour des freins TRP Hylex comme sur mon autre vélo, et cette poignée tournante de marque Co-Motion, moins ergonomique mais bien plus efficace pour passer les vitesses du Rohloff (d'après le vendeur lui-même). https://co-motion.com/products/rohloff-shifter-for-speedhub-500-14 Il existe un autre système de leviers intégrés pour moyeu Rohloff, les Cinq5, de la marque allemande ToutTerrain, apparemment mieux pensés (et compatibles avec les TRP Hylex, en plus), mais ils sont donc en rupture de stock… https://tout-terrain.de/en/cinq-innovations/shifting-technology/360/shift-r-road-for-rohloff À propos de ces TRP Hylex, ils ont donc l'inconvénient de n'avoir pas de changement de vitesses intégrés mais ils sont un pur bonheur de confort et d'efficacité sur ce Cross Lite comme sur mon autre vélo (équipé lui de manettes Gevenalle, fixées en bout de cocottes). Et cette efficacité est encore augmentée par la taille des disques (180mm). Un dernier point que je n'ai pas encore évoqué : la dynamo. Elle est de marque Son et son mécanisme est intégré au moyeu avant. Elle est vraiment impressionnante d'efficacité. On ne sent pas la différence de roulement quand elle est enclenchée. Et la lumière produite semble très puissante, mais il faudra que j'essaie de nuit pour en être sûr. Il y a eu clairement une sacré évolution depuis ma précédente dynamo, sur mon vélo d'étudiant (il y a une trentaine d'années…), qui était actionnée par frottement sur le pneu… et qui dérapait à la moindre pluie !
  5. Quand je disais « affoler les chronos » en haut du Ventoux, je blaguais, bien sûr ! Je n'ai encore jamais grimpé le Ventoux à vélo, et si je le faisais je serais loin, très très loin des vrais costauds. En extrapolant sur mes temps lors de montées analogues, j'ai calculé que je devrais monter le Ventoux versant Bédoin en 1h50min-1h55 min.
  6. Pas pesé, mais pour Michel et la plupart d’entre vous elle est clairement dans la catégorie enclume. À vue de nez, au moins 12 kg tout équipée (pédales, dynamo, porte-bidons…) C’est une machine prévue pour rouler sur tout type de piste et pour les grandes randonnées par tous les temps (toutes les attaches pour les garde-boue et portes-bagages sont là), pas pour affoler les chronos en haut du Ventoux 🙂 Pour ça, j’ai mon Lynskey titane !
  7. Aucun problème avec la position plus relevée. J'ai eu plus de mal avec le guidon plus large que sur mon autre vélo (44 cm contre 42 cm), c'était peut-être une erreur de ma part de l'avoir choisi ainsi. Mais je vais patienter un peu avant d'éventuellement changer. Quant à mettre un autre plateau ou un autre pignon : oui, bien sûr, c'est possible. Ceci dit, il y a plus de marge d'évolution avec une chaîne classique. Avec une courroie, les possibilités sont nettement plus limitées. Ça vient essentiellement du fait que les courroies ne peuvent être raccourcies ou rallongées, contrairement aux chaînes, et donc elles viennent chacune avec une longueur donnée et fixe. Chez Santos, ils proposent quatre combinaisons de plateau/pignon pour les courroies. Du plus grand au plus petit : 55/20, 55/22, 50/22 et 46/22. J'ai opté pour la troisième. D'autres fabricants proposent d'autres combinaisons.
  8. Si j'ai choisi ce système, c'est d'abord qu'il est censé diminuer l'entretien au maximum : plus de chaîne ou de pignons à nettoyer mais une courroie qui se nettoie à l'eau et à la brosse et s'use beaucoup moins vite. L'indexation et le mécanisme de changement de vitesses sont à l'abri dans le moyeu et ne souffrent donc pas des conditions climatiques et de roulage. Question rendement, il paraît que c'est quasi comparable à celui d'une transmission classique, en restant légèrement inférieur. Mais pour moi c'est secondaire. Si je voulais avoir un grand braquet équivalent à 50/13, il faudrait que je change le plateau pour un 58 dents… donc un braquet de base (la vitesse neutre) de 58/22 ! Beaucoup trop gros pour moi, d'autant que le plus petit rapport augmenterait lui aussi et serait l'équivalent de 24/32, ridiculement petit pour toi mais plus grand que celui de mon Lynskey. Donc c'est exclu ! Pour la selle, est-ce qu'une autre possibilité ne serait pas la Brooks Swift ?
  9. Premier véritable essai de mon nouveau vélo gravel aujourd'hui, un Santos Cross Lite à moyeu Rohloff à 14 vitesses intégrées, courroie de transmission et selle en cuir Brooks B17. Parcours de mise au point des réglages, surtout de la hauteur de la selle (plus haute maintenant de 2 cm environ que sur la photo), effectué sur les routes et pistes tranquilles de la forêt de Soignes au sud de Bruxelles (4300 ha). J'ignore le nombre de km, je n'ai pas encore installé de compteur sur cette nouvelle bête, mais la sortie a duré deux heures environ. La courroie «Gates carbon» s'est fait complètement oublier, parfaitement silencieuse et efficace. Après tout, c'est bien son rôle 🙂 La selle Brooks B17 est bien dure sous mon séant, mais c'est peut-être la fameuse phase de rodage. Ceci dit, c'est très supportable pour le moment. Aucun problème pour changer de vitesse dans le moyeu Rohloff avec la poignée rotative Co-Motion (ci-dessous) placée en haut du cintre, alors qu'on m'avait averti que si on forçait trop sur les pédales, les vitesses pouvaient ne pas passer. Mais ça a tout le temps passé, avec parfois un temps supplémentaire. Sans doute qu'instinctivement je «lève le pied» à chaque changement de vitesse… Par contre, comme prévu, c'est pas top ergonomiquement de devoir lâcher le levier de frein droit pour tourner cette poignée. Vivement un changement de vitesse intégré à ces poignées de freins, compatible avec le Rohloff ! De telles poignées existent, mais celles que je souhaite sont actuellement en rupture de stock. Patience donc… On m'avait aussi prévenu que le moyeu Rohloff pouvait faire un bruit de moulin à café sur ses sept premières vitesses (les plus petites). Je confirme, et c'est particulièrement vrai pour la vitesse 7. Le rendement n'a pas l'air d'en souffrir, mais c'est un contraste désagréable avec le silence quasi complet des vitesses 8 à 14. Il paraît que ce bruit s'atténue avec les kilomètres. Là aussi, on verra. En tout cas, c'est sacrément agréable de pouvoir changer de vitesses à l'arrêt, surtout quand on habite en ville comme moi. Je n'ai pas encore eu à utiliser la première vitesse du moyeu, la plus faible, mais comme elle permet sur ma machine un rapport à peu près équivalent à… 24/38, ce n'est pas trop surprenant, le parcours d'aujourd'hui ne comprenant aucun « mur ». La vitesse la plus grande, la quatorzième, permet elle un rapport à peu près équivalent à 50/15, un grand braquet que le Schtroumpf trouverait idéal, mais pour moi un peu petit dans les descentes. Je l'ai utilisée plusieurs fois, et pourtant les descentes n'étaient pas très pentues. À noter que la vitesse 11, dite «neutre» (celle où le pignon tourne à la même vitesse que le moyeu et donc la roue, et donc où aucun mécanisme interne n'est enclenché), correspond à un rapport de 50/22, les dentures de mon plateau et de mon pignon. C'est un bon « braquet de base » a priori, celui que je vais probablement utiliser le plus souvent. Rien à signaler de particulier pour les pneus, des Schwalbe G-One Allround de 40 mm de section. Les pistes que j'ai empruntées n'étaient vraiment pas exigeantes, de toutes façons.
  10. Ce qui signifie en l'occurence qu'il fait partie des mauvais élèves de la classe, contrairement au mien (Finish Line Cross Country, alias Finish Line Wet) qui figure à gauche. 😎
  11. Pour toi, oui, qui ne sors que par temps sec. Mais ne prends pas ton cas particulier pour une généralité absolue. Pour moi, par exemple, c'est un peu plus long que de contrôler la pression des pneus… Avant de lubrifier, avec un vrai lubrifiant (Finish Line Cross Country en cette saison bien humide), je dégraisse toujours, avec un vrai dégraissant (Finish Line Degreaser ou tout simplement pétrole désaromatisé), et je nettoie en passant le reste de la transmission (plateaux, pignons, dérailleur, chaîne). Ce que je fais dès qu'il y en a besoin (tous les 200 à 400 km selon le terrain, par temps sec), ou à chaque fois qu'il pleut ou lorsque les routes sont détrempées (en ce moment, à chacune de mes sorties 🥲).
  12. Et voilà, de retour de 30 km effectués cet après-midi, entre boulot et coucher du soleil, dont une vingtaine sous une pluie bien glaçante, un vent assez fort et des températures bien de saison (maxi 7°), du côté de Tervuren, Duisburg puis Overijse, sur un terrain moyennement bosselé. Pas la peine de décrire l'état des routes ni celui du vélo et des vêtements du cycliste au retour. Malgré ça, les jambes étaient quand même relativement en ordre de marche :-) J'aurais voulu étrenner mon nouveau Santos Cross Lite, mais les conditions climatiques n'étaient pas idéales (euphémisme) pour bien écouter ses sensations et peaufiner les réglages de la bête (vivement que ce soit fait car ce sont justement les conditions climatiques où il devrait être utilisé!). J'ai donc préféré ce «baptême» à demain, journée à priori sèche. Et c'est donc le malheureux Lynskey qui a trinqué aujourd'hui. J'en connais un qui a bien mérité son thé chaud, on goûter roboratif et une petite sieste ! 😎
  13. Et qui c'est qui bossait jusqu'à maintenant et qui ne peut donc sortir que cet après-midi ? 😧 Ça va être le type de sortie qui m'a fait renoncer au WD40, dans le temps… Oups, j'ai rien dit, je sors (justement) !
  14. D'ailleurs, ne l'utilisez surtout pas pour dégraisser vos disques ou vos jantes ! 😄
  15. « L'expert diktateur » que je suis partage juste son expérience du vélo en Belgique, même si cette expérience paraît invraisemblable à un cycliste de l'ouest de la France. La flotte de l'ouest de France n'a peut-être pas les propriétés «délubrifiantes» de la pluie belge? 😞 C'est qu'après une sortie sous une ou plusieurs draches bien intenses je les entends encore régulièrement couiner, mes chaînes ! Juste moins souvent maintenant que j'ai exclu le WD40 comme lubrifiant. Avec lui, il suffisait d'une pluie, disons, normale, pour qu'il se fasse la malle en un rien de temps. Note que j'avais pris l'habitude de l'utiliser comme lubrifiant quand j'étais encore Grenoblois, le Bruxellois que je suis devenu a assez vite pris la décision d'utiliser autre chose. (En fait, ça m'a conduit à réaliser que la seule protection de la chaîne vraiment durable et complètement efficace contre les éléments, c'est le carter de chaîne, que personne ici ne va utiliser sur son vélo sportif, évidemment, moi pas plus qu'un autre. 🎃)
  16. Qu'il ne lubrifie que partiellement, ce n'est plus à moi qu'il faut le dire, je m'en suis rendu compte il y a longtemps ! 🙂 Mais en fait c'est tout à la fois un dégraissant, un lubrifiant, un dégrippant (je l'emploie surtout pour ça maintenant), etc. C'est une sorte de couteau suisse : il peut faire plein de choses, mais on peut trouver mieux pour chacun de ses usages.
  17. Bien sûr que je m'y opposerai. Il croit un peu trop au Père Noël ou à Saint Nicolas, le Schtroumpf. Mais s'il veut, je lui revends mon vieux Gir's (« l'enclume ») à prix d'ami ! 😎
  18. Pareil. Pour moi, c'est cet appareil-ci: https://www.bol.com/be/fr/p/nettoyant-pour-chaine-finishline/9200000020435656/ Quand j'utilisais le WD40 pour lubrifier ma chaîne, cette lubrification ne tenait jamais longtemps. Surtout quand il faisait mauvais, comme le précise Nicolas : la chaîne se mettait alors à couiner très vite. Quand on roule par mauvais temps, le WD40 (comme lubrifiant) est à proscrire.
  19. La mienne est bien la standard, couleur noire, avec ces trois petits trous au centre. Quand je compare avec ta Swallow, je constate que celle-ci est nettement plus étroite. Comme je suis moi-même très mince, je me demande maintenant si la B17 n'est pas trop large pour mon séant ! Peut-être qu'une Swallow ou une Swift me conviendraient mieux. Mais bon, ça sert à rien de gamberger, il me faut l'essayer pour de bon. De toutes façons, le vélociste m'a dit qu'il pouvait me la changer gratuitement contre une autre selle (comme modèle de chez Brooks, il a la Cambium en stock, et d'autres marques) d'ici deux semaines, si la B17 ne me va vraiment pas.
  20. Désolé, j'avais oublié. Non, on ne peut pas le monter sur n'importe quelle roue, déjà parce que ses flasques sont fixes et ne le rendent compatible qu'avec des jantes à 32 ou 36 rayons, selon le modèle. Et j'imagine que la taille du moyeu implique des contraintes supplémentaires au niveau des têtes de rayon, ce qui doit imposer des jantes assez solides. Mais j'avoue ne pas avoir creusé la question à ce niveau-là. À noter que le Rohloff a un concurrent direct, le Kindernay, sorti tout récemment, également à 14 vitesses, et qui est bien plus polyvalent à ce niveau-là (flasques amovibles) : https://kindernay.com/products/complete-gear-hub/product-landing-kindernay-xiv/ Mais il a ses propres spécificités, particulièrement un changement de vitesses hydraulique, et n'est compatible pour le moment qu'avec des vélos à guidons plats…
  21. Ah ben si… Mais pour combler cette lacune j'aurais besoin d'une année avec un horaire vraiment favorable au boulot (et tant qu'à faire une année sans maladie ni chute !). Et donc ça risque d'être compliqué l'année prochaine pour rouler autant que cette année. Ayant changé d'établissement et donc n'ayant pas pu introduire à temps mes préférences en matières d'horaires dans mon nouveau bahut, j'ai récolté un horaire assez merdique qui m'oblige, sauf exception, à ne sortir que deux fois par semaine, du moins jusqu'au retour à l'heure d'été. En plus, je suis à la recherche d'un nouveau logement (à acheter cette fois, jusqu'à présent j'ai toujours été locataire), ce qui va me prendre du temps supplémentaire.
  22. Au juste, j'ai dépassé les 7000 récemment (lors de ma sortie de jeudi). Ce n'est pas tous les ans que je fais plus de 7000 km dans l'année, ça méritait donc d'être souligné. 😎
  23. J'avoue d'ailleurs ne pas bien comprendre en quoi ça peut être jouissif de dépasser un autre cycliste, juste parce que celui-ci utilise un certain type de freins ou de changement de vitesses. 🥺
  24. Tu as l'œil, la douille de direction fait 12 cm exactement et c'est bien un cadre de VTT, le même que celui de ce vélo: http://www.santosbikes.com/nl/fietsen/all-terrain/429 Le tableau des cotes, assez succinct (c'est la taille L) : https://www.santosbikes.com/nl/fietsen/gravel/cross-lite/specs Avec un peu d'astuce et de trigonométrie, on peut en déduire d'autres cotes, comme l'inclinaison du tube de selle (73,2°). Grâce à ce type de cadre (alu, pour info), ma bécane peut «digérer» des pneus de section comprise entre 35 mm et… 60 mm ! J'ai choisi pour commencer des pneus de 40 mm, quitte à évoluer ensuite dans un sens ou dans l'autre. Et c'est avec chambre à air : je n'ai pas encore l'intention de passer au tubeless, mais je testerai ça un de ces prochains mois. Le cintre droit était en option, ce qui en aurait fait presque un véritable VTT… mais très peu pour moi, j'aime empoigner un guidon par le bas quand ça descend ou quand le vent souffle fort, ce qui est bien plus fréquent ici qu'en Grésivaudan… Par rapport à mon autre destrier, je l'ai équipé ceci dit d'un cintre plus large (44 cm contre 42 cm) et d'une potence plus courte (9 cm contre 11 cm). La selle est une Brooks (B17), parce que je voulais voir ce que donnait une selle en cuir… mais elle est sacrément dure, et nécessitera d'être entretenue régulièrement, surtout s'il pleut. Je me demande donc si je ne vais pas en changer assez vite rien que pour cette raison, puisqu'après tout j'ai choisi ce vélo pour minimiser son entretien global (moyeu à vitesses intégrées, courroie).
  25. 56 km aujourd'hui, en milieu de journée, par des températures qui commencent à annoncer vraiment l'hiver (maxi 8°). Temps couvert d'abord, pluie de saison pendant la dernière heure. Routes à gerber évidemment. La corvée de nettoyage devient systématique après chaque sortie, comme d'habitude en cette période, et ça peut durer jusqu'en mars si on est malchanceux avec la météo. Au programme : passage habituel à Tervuren, Huldenberg et Overijse, avec le Smeysberg, la Moskesstraat, le Holstheide, la IJskelderlaan, la Moerenhoutsstraat et le Schavei… Bref, les joyeusetés traditionnelles de la Flèche brabançonne, sauf que je remplace le Hagaard moyennement pentu et bitumé par la Moerenhoutsstraat plus pentue et pavée. J'y aurais bien ajouté la Hertstraat, elle aussi part de la Flèche, mais elle était fermée : c'était la rue où se parquaient les mobil-homes des participants au Druivencross, le cross des Raisins qui avait lieu aujourd'hui à 0verijse. Ce nom curieux vient du fait qu'Overijse et les communes voisines (Hoeilaart, Huldenberg) sont connues pour leur culture du raisin en serre. Il y a eu du spectacle, semble-t-il, pendant le cross masculin, d'après cette série de vidéos (en néerlandais, mais les images sont parlantes) : https://sporza.be/nl/2022/11/20/fase-per-fase-bekijk-de-fantastische-inhaalrace-van-tom-pidcock~1668956355750/
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