Franck PASTOR

C'est le Giro 2017 qu'il a gagné. 🆒 (Et par ailleurs, même les Néerlandais prononcent « Dumoulin » à la française, y compris ceux qui ne parlent pas français — comme Dumoulin lui-même d'ailleurs. Les néerlandophones se font un devoir d'essayer de prononcer les mots et noms étrangers de façon aussi proche de l'original que possible.) À mon avis, il va lui falloir du temps pour reprendre vraiment dans le rythme de la compétition. Je ne le vois pas ressurgir au premier plan avant la 2e partie de la saison…

43 km en soirée dans l'est de Bruxelles, entre Zaventem et Tervuren, à me balader sur un parcours agréable et doucement vallonné, pour décompresser d'un week-end et de deux jours très (trop) chargés en travail et problèmes en tous genres. J'ai très peu dormi ces trois dernières nuits. J'espère que ça ira mieux tout-à-l'heure…

Geen probleeml: ik heb al een tijdje geleden Nederlands geleerd. Ik weet wel hoe je "Huygens" moet uitspreken. 😉

C'est pourtant une bonne approximation de la prononciation correcte de «De Gendt». Tout le monde n'arrive pas à prononcer le «g» néerlandais/flamand (plus ou moins semblable à la «jota» espagnole).

Pour la chute de Delgado, c'était en 84. Victoire d'Angel Arroyo ce jour-là.

Si je me trouvais à Moutiers, j'irais grimper à Val Thorens, ce qui serait un beau challenge en raison de la longueur (36 km) et du dénivelé (plus de 2000 m) que cela représente. Mais je ne l'ai encore jamais fait.

Une alternative : départ du Bourget-du-Lac (ou d'Aix-les-Bains ou Chambéry pour s'échauffer un peu plus longtemps) et grimpée du redoutable Mont du Chat. Retour par le col de l'Epine nettement plus court et facile. Ou même parcours mais en sens inverse : col de l'Epine puis Mont du Chat (encore plus rude par ce versant). On peut aussi remplacer le col de l'Epine par le col du Chat (rien à voir question difficulté avec la route du Mont du Chat). Se renseigner sur les éventuels travaux routiers. Je suis originaire de la région mais j'écris depuis Bruxelles, je ne suis donc pas au courant d'éventuels problèmes d'infrastructure routière.

Hier j'aurais bien aimé voir un final au fort du Saint-Eynard qui se trouve juste au-dessus du Sappey-en-Chartreuse. Ça, ç'aurait été un final suffisamment difficile, jugez-en: https://climbfinder.com/fr/montees/fort-du-saint-eynard-pillonieres Le problème est que le site sommital n'est pas très vaste, peut-être pas assez pour recevoir une organisation pareille. Mais comme pour des arrivées genre Zoncolan au Giro, il y aurait eu certainement moyen de se débrouiller, par exemple en restreignant le flot des véhicules.

Ça me rappelle Thierry Geumez dont la dulcinée avait une maison au sommet du Bruine Put. L'âme sœur, visiblement, ça se mérite ! 🆒 Je devrais peut-être prospecter du côté du Smeysberg, qu'en pensez-vous ? 😇

Toi tu sais trouver les arguments pour attirer le chaland ! 😃 (Si je ne suis pas passé par chez toi c'est que de façon générale, je n'aime pas trop m'incruster chez quelqu'un sans avoir averti de mon arrivée. Et comme je n'avais pas du tout planifié à l'avance l'itinéraire de cette sortie-là…)

115 km cet après-midi, avec au milieu les 98 km (99 mesurés au compteur) de la route cycliste de la Flèche brabançonne: https://www.toerismevlaamsbrabant.be/fr/producten/fietsen/fietsproducten/brabantse-pijl-cycling-route/ (plan PDF disponible) https://climbfinder.com/fr/routes/fleche-brabanconne (détails de l'itinéraire et des difficultés empruntées) Les 99 km de cet itinéraire balisé de 1000 m de dénivellation, avec pas mal de secteur pavés et deux sections en gravel, dont une assez longue, effectués à une moyenne, disons perfectible, de 22,1 km/h (l'année dernière, j'avais réussi 25 km/h de moyenne), mais en maintenant une bonne cadence de pédalage : 93 tours/minutes de moyenne (95 l'année dernière). Temps ensoleillé, étonnamment chaud (32° relevés par un thermomètre extérieur de pharmacie !), vent d'est-sud-est très sensible.

La station-service «du coin» la plus proche qui soit munie d'une pompe à pneus est à trois bons kilomètres de chez moi (30 min de marche), mais pourquoi pas…

Comme ce truc-là, apparemment ? https://www.probikeshop.fr/pompe-compresseur-airshot/113858.html

L'exemple de Roger qui a roulé pendant longtemps avec une 165 d'un côté et une 170 de l'autre, sans rien remarquer, est quand même assez frappant. De même il y a des gens dont la selle peut être baissée brusquement sans qu'ils ne remarquent rien. La proprioception est très, très variable d'un individu à l'autre. Je n'ai donc aucun problème à admettre que certains sentent tout de suite la différence entre des manivelles de 170 et d'autres de 172,5, tandis que d'autres ne ressentent rien du tout. Pour ma part, je suis passé de 170 à 175 il y a 20 ans. J'ai mis quelques temps à m'y adapter, mais j'y ai réussi. Et quand j'ai effectué un bref retour aux 170 sur un ancien vélo à moi, j'ai tout de suite ressenti une nette différence, en défaveur des 170. Mais il est vrai que l'écart de 5 mm est nettement plus important.

Cette anecdote-là, plus ton avatar actuel, forcément ça a fait tilt dans ma tête. 😇

Je suis toujours en pneus à chambre à air (butyl) et je vérifie systématiquement la pression de mes pneus à la pompe à pied avant chaque sortie. Vous me direz sans doute que je suis maniaque, mais j'assume. 🆒 Ce n'est donc certainement pas ce détail qui m'empêcherait de passer au tubeless. Mais, sans l'avoir encore essayé, j'ai pour le moment le sentiment que ça m'apporterait, à moi, bien plus d'emm… que d'avantages, contrairement aux disques. Notamment, cette histoire de compresseur qui serait souvent nécessaire pour monter un tubeless correctement. 🙁 Un engin pareil ferait bizarre dans mon petit appartement… J'attends quand même de faire un essai en situation avant de vraiment me prononcer. Mes jantes sont déjà « tubeless ready ». Quand j'aurai usé mon stock de pneus de rechange, je me lancerai, juste pour voir. Sans compresseur, de préférence.

Tiens, ça me rappelle quelqu’un... ;-)

Courage dans cette mauvaise passe, Michel. D'ailleurs moi non plus je ne traverse pas une période bien rose, sous pas mal d'aspects, j'y ai fait allusion quelques fois ici. Mais la roue tourne, des jours meilleurs arrivent. Déjà au moins, le soleil est revenu, c'est un début, aussi insignifiant qu'il puisse paraître. 🆒

Je me cite moi-même dans l'extrait qui suit, parce que je trouve la coquille (due au correcteur automatique de mon iphone) assez éloquente. 😃 Le vrai Smeysberg aussi a son faux-plat sommital, mais la plupart choisissent de considérer la fin de la portion pendue comme la fin de la côte :-)

Le vrai Smeysberg aussi a son faux-plat sommital, mais la plupart choisissent de considérer la fin de la portion pendue comme la fin de la côte :-) Pour la N275, ça reste malheureusement et de loin l’itinéraire le plus direct pour aller à Villers-la-Ville à partir du sud-est de Bruxelles, et comme je n’ai pas beaucoup de km depuis le début de l’année...

Si sa recette pour finir 7e du Giro est d'être inexistant et transparent, ça laisse rêveur sur les capacités du bonhomme…

Ce sont bien des ruines, malheureusement. Ne te laisse pas abuser par la photographie de première page du site que j'ai pointé, elle montre l'intérieur de l'ancienne église abbatiale, le monument le mieux conservé de l'abbaye et de loin. Ailleurs sur ce site web, on voit des vues d'ensemble des ruines, qui montrent bien qu'elles méritent hélas ce nom. Mais ce qui a pu être sauvé a été restauré de façon exemplaire. Il s'agit d'une ancienne abbaye cistercienne très prospère laissée à l'abandon depuis la révolution française puis convertie en… carrière de pierre 🙁 jusqu'à la fin du 19e siècle, quand l'état belge en a fait l'acquisition pour sauver ce qui pouvait l'être. Pour ne rien arranger, les anciens jardins de l'abbaye, disposés en terrasses, sont traversés par une ligne de chemin de fer. 😠 En gros, il ne reste rien d'intact, presque toutes les toitures et bien des murs des monuments ont disparu, mais ce qui demeure laisse facilement deviner à quoi ressemblait cette abbaye du temps de sa splendeur. Quel gâchis qu'un site pareil n'ait pas pu être complètement sauvegardé…

569 km ce mois-ci, donc en progrès par rapport aux mois précédents, mais ce n'est pas encore Byzance… je viens seulement de dépasser aujourd'hui la barre des 2000 km parcourus depuis le début de l'année.

Sortie de 91 km ce matin, plein sud de Bruxelles. Objectif : aller à Villers-la-Ville via la N275 (La Hulpe, Genval Rixensart, Céroux-Mousty, Court-Saint-Etienne…) et ses nombreux vallonnements (avec des pistes cyclables très, très perfectibles, euphémisme…) pour jeter un œil sur les ruines de la célèbre abbaye de Villers et adjoindre un nouvel élément à ma collection de côtes de l'encyclopédie « Cotacol » : la drève du Tumulus, entre Villers-la-Ville et Mellery. https://www.climbbybike.com/fr/col/Dr%C3%83%C2%A8ve-du-Tumulus/644 Pas un foudre de guerre a priori, cette côte méconnue, avec ses 800 m à 6,8 % de moyenne selon Cotacol, mais elle propose un hectomètre à 10 % suivi d'un autre à 13 %, on peut donc la sentir passer si on est fatigué. Et elle est située dans un endroit particulièrement agréable, le bois Cochet, avec de belles villas pas trop tape-à-l'œil. J'aurais voulu faire aussi la «côte de l'abbaye», la montée pavée la plus longue de Belgique, mais la route est fermée pour cause de de travaux. Ce qui heureusement n'empêche pas de profiter de quelques belles vues sur les ruines de l'abbaye, toujours aussi impressionnantes. https://www.destinationbw.be/decouvrir/les-incontournables/abbaye-de-villers-la-ville/ Après Villers-la-Ville, retour vers Bruxelles en passant par Hévillers, Mont-Saint-Guibert, Wavre (et la côte de la chaussée d'Ottenbourg), Ottenbourg, Terlanen (et la Moskesstraat), et Overijse. https://climbfinder.com/fr/montees/chaussee-ottenbourg-wavre https://climbfinder.com/fr/montees/moskesstraat-terlanen Au final une belle sortie par un temps radieux, un peu frisquet au début (10°), agréable au retour (20°) malgré un vent de nord-est bien sensible.

Mais si finalement le choc est suffisamment violent pour te montrer que tu ne tenais pas tes cocottes suffisamment fort, tes mains vont s'envoler du cintre. Vécu. Et la force du choc est d'autant plus forte que tu descends vite. C'est ainsi : en descente, il y a beaucoup moins de risque que les mains décrochent du cintre quand elles maintiennent le bas du guidon. Si elles décollent quand même, c'est pour être retenu par une autre partie du cintre. Quand les mains décollent des cocottes par contre, il n'y a pas de recours. Pour ma part, je m'étais retrouvé la poitrine sur le cintre en pleine descente. Je me demande encore comment je n'étais pas tombé...