Thierry GEUMEZ

et pourtant je ne suis pas costaud Tout est relatif… comme disait Einstein ! Par rapport à Eric, c'est vrai que tu n'es pas costaud. Bon, Eric ne compte pas, il a un peu de sang d'extraterrestre dans les veines. Mais tu te défends quand même honnêtement dans les côtes. Moi, je me rattrape dans les descentes 😢

Michel a prévu la Citadelle de Namur, c'est une côte (pavée, mais pas la trouée d'aremberg, hein ) de 2 km à 6% de moyenne et 7.5% maxi. Je ne sais pas pour les autres côtes.

Demande plutôt les pourcentages maxi, parce que Michel aime pousser assez gros dans les courtes bosses 🆒

Aaahhhh ! Les géométries (et les études posturales)… Un sujet inépuisable, comme les braquets ! Ton recul de selle te convient et tu aimerais comprendre pourquoi la tendance actuelle est de pédaler sur l'avant ? Les pros d'aujourd'hui accordent plus d'attention à la résistance aérodynamique. Ils descendent la potence, ce qui referme l'angle formé par le tronc et la cuisse, et avancent la selle pour compenser. Et comme l'a rappelé Eric, une position avancée fait travailler davantage les quadriceps qui permettent de développer plus de puissance (mais sont moins endurants). Cette position n'est pas la plus confortable, mais ils sont jeunes et ont des impératifs de performance. Mais tout le monde n'est pas obligé de pédaler comme un pro et nous n'avons pas tous la même morphologie, notamment le rapport fémur/tibia comme Eric le mentionne. Et puis, il y a peut-être un effet de mode... Si tu n'es pas un coureur et si tu ne souffres d'aucune douleur, il n'y a pas de raison de changer ta position.

J'ai fait un changement de monture récemment avec application de mes côtes……Tout allait bien lorsque mes sorties étaient courtes mais depuis quelques temps, je ressens une vive douleur au niveau des trapèzes. 2 possibilités : 1) les cotes ne sont pas rigoureusement identiques. Il est difficile de retrouver sa position avec une selle et un cintre différents 2) tu n'avais pas expérimenté de longues sorties avec l'ancien vélo, ta nouvelle monture t'a donné l'envie de rouler plus.

La probabilité ne suffit pas pour évaluer un danger, il faut aussi prendre en compte la gravité des conséquences en cas d'accident. Ton choix est donc pertinent.

je pense que la bonne position c'est quand on est bien assis .lorsque l'on a plus tendance soit d'd'avancer ou de reculer sur la selle C'est une bonne approche. Ce qui complique la manière de parvenir à ce but, c'est qu'on peut jouer à la fois sur le réglage de la selle et sur celui du cintre...

L'IRM vient de revoir ses prévisions à la baisse : 5 mm d'eau au lieu de 7. J'attendrai jusque vendredi soir pour me décider...

Hélas ! Les prévisions météo peu réjouissantes se confirment de plus en plus...

Tu as déjà essayé avec une autre pompe ?

Selon sa forme, sa largeur et son inclinaison, nous ne nous positionnons pas toujours au même endroit de la selle. Certains fabricants, notamment Selle Italia et Fizik estiment qu'on a tendance à se centrer à l'endroit où la selle a une largeur de 70 (ou 72) mm. Et Vincent Blondeau (étude posturale Mecacote) prend en compte "le creux de selle", c'est à dire l'endroit qui est le plus bas. Tu devras tâtonner un peu. Comme point de départ, remets ton ancienne selle avec ses réglages habituels et mesure l'endroit (son recul) où sa largeur fait 70 mm, puis l'endroit situé au plus bas. Puis tu remets ta nouvelle selle et tu la règles en prenant en compte les deux valeurs mesurées sur l'ancienne.

J'attendrai également jusqu'au dernier moment pour me décider (pour le 150 km). La pluie, la fraîcheur et le vent forment un trio redoutable... @ Michel : c'est toujours décevant de renoncer à un rendez-vous pour lequel on s'est préparé, d'autant plus lorsque c'est la première participation à ce genre d'épreuve. "L'important n'est pas le but, mais le chemin" (proverbe chinois) 😇

C'est pas faux… mais Jean-Pierre a également raison. Les tableaux des géométries des constructeurs ne sont pas toujours exacts. Pour mon CKT par exemple, l'angle du tube de selle était théoriquement de 74,5° et c'est à la suite d'une incohérence des cotes reportées à partir d'un autre vélo que j'ai mesuré et constaté qu'il était plutôt de 75°, soit 6 mm de différence pour le recul de selle (et donc aussi pour la longueur en position). Ceci dit, Jean-Pierre a sans doute de toutes façons un tempérament hésitant. A 4000 euros le morceau, je mettrais aussi un certain temps à de me décider...

un énorme hématome à l'épaule qui fait qu'on voit mal à la radio l'étendue des dégats Tu es sans doute passé tout près de la fracture de la clavicule… La patience est de rigueur. J'ai eu un gros hématome à la hauteur du col du fémur après une chute sur l'asphalte à 30 à l'heure et le médecin avait évoqué la nécessité d'une intervention chirurgicale. Le chirurgien consulté avait heureusement émis des réserves (risque d'infection lié à l'incision) et ça s'est finalement résorbé spontanément, très lentement. Il a fallu 4-5 mois pour que le gonflement et la douleur disparaissent complètement.

Oui, il y a souvent un écart entre le rêve et la réalité… Tu es marié ? 😇🤐

… et en plus en taille 48 pour avoir des infos et dimention exacte du cadre Le site de la marque renseigne les géométries. Tu n'y as pas jeté un coup d'œil ?

Indépendamment d'une éventuelle pathologie, une reprise trop brutale de l'activité sportive entraîne des douleurs inhabituelles. D'après ce que tu dis, forcer dès la troisième sortie ne respecte les règles de progressivité et il serait judicieux de reprendre plus calmement, tant en distance qu'en intensité. Concernant le réglage des cales, l'absence de douleurs pendant 3 ans est déjà une bonne indication, sans être une garantie absolue. Et quant à ton diagnostic de syndrome de l'essuie-glace et à un traitement aux anti-inflammatoires, je trouve que tu vas un peu vite en besogne. A moins que tes antécédents médicaux t'aient donné une expérience en ce sens. Mon impression globale est que tu es impatient de retrouver ton niveau. Accepte de repartir de zéro, de limiter ton kilométrage et d'éviter les dénivelés importants dans un premier temps. Sans connaître ton âge et ton potentiel, je t'inviterais à augmenter progressivement la distance hebdomadaire de 100 km au début pour arriver à maximum 200 km au bout d'un mois. Et ensuite, à aborder les côtes, toujours en respectant une progression. Patience ! Le cyclisme est un sport d'endurance... Edit : Cédric a répondu pendant que je tapais mon message… nos idées se rejoignent !

la première des choses, c'est de ne pas se faire d'illusions sur son niveau Les autres ne roulent jamais comme tu l'aimerais et la capacité d'adaptation est la première vertu à travailler. Tout-à-fait, Maurice ! Belle invitation à la réflexion !

Tu attends de devoir changer la guidoline pour purger les freins ? Et pour vérifier la pression des pneus de ta voiture, tu attends d'être passé au car-wash ? 😲

Nous règlerons cette affaire en combat singulier, au chant du coq. Choisissons nos armes et nos témoins 😃

Je me souviens avoir eu une discussion du même genre avec Grégory (qu'on ne voit plus depuis un bon moment sur le forum). Alors qu'il roulait seul, il avait rejoint un autre cycliste qui s'était mis dans sa roue et ne l'avait plus lâché sans prendre le moindre relai. Grégory exprimait son dépit et je m'étais fait l'avocat du diable (ou empêcheur de tourner en rond légèrement emmerdeur), tu n'as aucune peine à m'imaginer dans ce rôle 😇 Lorsqu'on est un cyclo anonyme qui ne vise pas le haut du classement, a fortiori quand on roule seul sur ses parcours d'entraînement, on se mesure essentiellement par rapport à soi-même, pour autant qu'on soit animé par le désir de progresser sportivement (après tout, on peut aussi rouler pour se promener ou aller au boulot ou partir en voyage). Dans cette optique, être suivi par un "suceur de roue" ne change rien à notre pratique et ne nous prive de rien du tout… sauf si nous nous mettons inconsciemment en situation de rivalité et que nous craignons que la confrontation ne tourne pas à notre avantage. Personnellement, je ne cache pas que j'ai l'esprit de compétition, mais j'accepte d'être battu. Je considère que c'est d'abord un jeu, pas une question de vie ou de mort. Si on s'accroche à ma roue, mon premier réflexe est de me sentir flatté. Mais si je sens qu'on s'économise derrière moi en attendant de placer un démarrage pour me lâcher, je réduis progressivement mon rythme. Finalement, toute cette question ne tourne qu'autour de notre problème d'ego (je ne parle pas des pros, leur carrière est concernée) 😛

Bon, 22,5 c'est lent, un petit 24 serait plus adapté à nos vélos actuels. Tu as déjà oublié tes moyennes dans les Pyrénées ? L'allure audax, c'est sur tous les parcours !

J'attends de gagner à l'Euromillions 🆒 Mais je ne joue pas 😳

En lisant ton questionnement à l'infini, je me dis que les gars du marketing sont quand même bien malins. Ils nous font croire que nous pourrions être meilleurs en allongeant les euros. L'année dernière, je suis passé des Eurus vieillissantes (pas un seul souci en 60000 km) à des Bora 35mm. Dès les premiers tours de roue, j'ai senti une petite différence dans la manière d'absorber les bruits sur les revêtements rugueux. Les relances en danseuse donnaient aussi une sensation un peu différente et la sensibilité au vent latéral était un poil moins importante. Mais je me suis rapidement habitué à ces différences… et j'ai constaté que je roulais toujours à la même vitesse. Ou alors, l'amélioration de mes performances était tellement faible que je ne pouvais pas la mesurer. Pour le dire honnêtement, les Bora n'étaient pas un achat utile. J'ai pris des Zonda pour mon prochain vélo… Elles fonctionneront aussi bien que les Eurus et les Bora et elles sont moins chères. Et ça me fera moins mal au ventre si j'en abime une. Concernant ta question sur le confort, si elle ne sert pas seulement à justifier un achat qui te fait hésiter, pense d'abord aux pneus et à leur pression.

ô temps ! suspends ton vol...