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Thierry GEUMEZ

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Tout ce qui a été posté par Thierry GEUMEZ

  1. Bravo pour cet essai, Nicolas ! La montagne doit s'apprivoiser, c'est une femme un peu farouche. Si tu augmentes la distance de 2-3 km tous les 15 jours, tu atteindras le sommet au printemps... si la météo le permet. Ne lâche pas l'affaire !
  2. Par Sault ça compte pas
  3. Mon père a presque connu cette catastrophe : une valve s'est détachée de la chambre en retirant l'embout de la pompe... juste avant d'entreprendre l'ascension du Ventoux. Son ange gardien a bien travaillé ce jour-là. Inspecter minutieusement cette zone lorsqu'on remonte un pneu n'est pas un luxe. Penser aussi qu'une chambre ne dure pas éternellement, il vaut mieux la remplacer régulièrement. Ce serait bête de mourir pour avoir économisé 5 €.
  4. Bonne question ! Une valve qui se désolidarise de la chambre dans la descente du Ventoux (cyclistes belges ou pas dans les parages, Pierre l'a bien cherché), ça fait des dégâts !
  5. Ta description est assez fidèle à la réalité et ne manque pas d'humour, je n'ai rien à y redire 😛
  6. 64 kg pour 1m66, tu trouves que c'est trop mince ? Ce n'est pas le problème, ma résistance à la fatigue n'est tout simplement pas exceptionnelle. Ou alors je devrais rouler (encore) plus lentement et je passerais ma vie sur le vélo pour augmenter mon kilométrage.
  7. Huile fine
  8. C'est bien ce que je disais, c'est pour les sports de combat : https://www.bing.com/videos/riverview/relatedvideo?q=scène+de+violence+hockey+sur+glace&mid=A78245E8C14056000CFDA78245E8C14056000CFD&FORM=VIRE
  9. On dirait des exercices d'échauffement pour les sports de combat, je faisais les mêmes au judo lorsque j'avais 14 ans.
  10. Le repos et l'alimentation n'expliquent pas tout. Je n'ai jamais été en mesure supporter un tel régime, j'ai très rarement dépassé 500 km en une semaine il y a 25 ans et maintenant, c'est 300 km/sem maxi trois ou quatre fois par an.
  11. Mine de rien, ces parcours sont très exigeants et en décalage par rapport à notre pratique habituelle (mais notre organisme ne tolérerait pas forcément d'en faire beaucoup plus, je le constate lorsque j'augmente ma charge d'entraînement et que la fatigue fait régresser mes performances) . Les pros sont capables d'enchaîner la Flèche wallonne le mercredi et LBL le dimanche... un autre univers !
  12. L'effort est plus difficile à gérer en groupe sur un parcours accidenté. Je ne sais si tu accepteras de laisser partir les plus grimpeurs de tes copains, ce serait pourtant la meilleure solution pour bien finir, parce qu'on perd toujours beaucoup de temps quand les crampes arrivent. Comme évoqué plus haut, je me suis mis la pression lorsque j'ai fait le petit parcours avec Michel et je l'ai payé sur la fin. Alors qu'avec Franck P. en 2021 sur le 150 km, nous avions convenu que nous monterions chacun à notre rythme et qu'il m'attendrait en haut des côte. J'avais donc pris un départ très prudent et ce mode "économique" m'a même permis de le rattraper dans la Roche-aux-Faucons (mais pour tout dire, cette édition de LBL avait lieu en septembre à cause du covid et j'avais monté 3 fois le Ventoux pendant mes vacances au mois d'août, et ma condition physique est toujours meilleure en automne qu'au printemps).
  13. Je connais, à mon niveau de cyclo vieillissant, le même problème : je suis largué dans les bosses par des cyclistes que je tiens sur le plat et je termine souvent avec des crampes, par excès de fierté... comme l'année où j'ai fait le petit parcours avec le schtroumpf. Sur les cyclos ardennaises, je suis à présent proprement déposé dès le pied des côtes par de jeunes compétitrices qui attaquent en danseuse, presque au sprint. Il me reste à accepter avec philosophie... non sans une pointe de jalousie
  14. Tu es un cycliste expérimenté, endurant et habitué aux ascensions, Pierre ! Pas de panique... Les dénivelés des cyclosportives ardennaises ne sont pas nettement inférieurs à ceux des cyclos montagneuses mais le rythme est différent. En montagne, il faut adopter un rythme de grimpeur et lisser ses efforts alors que dans les Ardennes, la succession des côtes et des descentes est rapide, les parcours sont du genre "casse-pattes". Comme tu dis, c'est la répétition qui use et les plus grosses difficultés arrivent à la fin, il faut donc se retenir au début. Avec ta constitution puissante, LBL devrait te plaire.
  15. Ce qui me fait peur, c'est le comportement de certains cyclistes qui roulent comme s'ils étaient seuls au monde. En troupeaux, les gens deviennent bêtes et le contexte récréatif de l'événement fait oublier le code la route.
  16. Si ça peut te rassurer, les vrais sont beaucoup plus nombreux...
  17. Dis plutôt que t'es pas cap, tu as trop peur de la Redoute et de la Roche-aux-Faucons
  18. Un autre modèle de lunettes m'a effectivement changé la vie. Les anciennes m'obligeaient à trop redresser la tête dans les descentes, mains en bas du cintre.
  19. 548 km ? Tu es un sacré rouleur !
  20. 84 km cet après-midi, avec une large incursion "outre-Quiévrain" et ce n'est pas un mensonge parce que je suis passé par Quiévrain au retour 😛 J'ai espéré que la route soit sèche pour ne pas salir mon vélo tout beau tout propre... Bof, c'était presque réussi. Je n'ai pas reconnu ma transmission avec les nouvelles gaines + câbles : waouh, ça passe en douceur ! Les anciennes gaines avaient presque 3 ans 😌
  21. La pluie a cessé de tomber sur Mons, j'attends que la route sèche. J'ai nettoyé le vélo hier, j'ai remplacé les patins de freins, les gaines et câbles de dérailleurs... je n'ai pas trop envie de tout baptiser aujourd'hui
  22. Il ne nous dit pas tout !
  23. Je ne sais pas pourquoi, j'ai toujours cru que ta rencontre malheureuse avec une Belge avait eu lieu côté Bedoin. Pour la stèle, tu la voudrais plutôt funéraire ou revancharde
  24. Tu es tombé également sur ce versant ? 😇
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