Olivier DARGE

Météo et prévisions. Je ne regarde plus jamais les prévisions officielles, à quoi bon, c'est toujours trop global et imprécis, voire alarmiste/sensationnel ou dans l'autre sens optimiste/touristiquement correct. Bref, je fais confiance depuis des années à l'app (ou le site) meteoblue (c'est une société suisse). En conjonction avec Buienalarm annonçant la flotte dans les 2 prochaines heures. C'était mon billet du soir pour @Franck PASTOR la crève depuis 2 jours, je sens que la sortie du WE va tomber à l'eau, zut (sans doute pas capable de bosser demain, ce serait mon premier jour de maladie pour 2023, j'espérais n'en prendre aucun)

Il y a 4-5 ans je suis finalement passé chez SMP pour mon vélo de course et je n’ai plus cherché autre chose depuis lors. J’etais de passage chez un vélociste réputé, également revendeur Assos (les fameux cuissards), et spécialiste en posture ; après étude il m’a conseillé la Lite 209 qui épouse bien mon derrière. Les pressions de mon poids se répartissent bien sur la selle, fini les points durs. Je ne conseillerais pas une SMP à l’aveugle sans une étude du bassin et des os ischio. Il y a différentes méthodes pour cela. Avantage, je peux rouler avec un simple cuissard Décathlon occasionnellement , la selle protège déjà bien le séant.

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une vielle dame frippée, sans lifting, joli non ? je roule depuis le centre , dans le brun clair. Vers le sud à 30 km on voit Namur dans le brun, on côtoie les crevasses de la Meuse, sa vallée verte s’étirant vers Liège au NE. Liege et Bastogne sont dans le brun (foncé). Pas étonnant que ce pays ait pu forger d’excellents cyclistes, il y a de quoi s’endurcir par ici 😀

le parcours est bosselé dirons-nous, comme le sont les 2 provinces brabançonnes (flamandes et wallonne). En roulant par ici on s’habitue aux changements de rythme fréquents dictés par le relief. Du côté des provinces de Liège et Luxembourg (Est et Sud du pays) ça peut devenir très solide et cassant (et fun !). Le terrain plus plat se rencontre plus à l’Ouest en Flandre (orientale et occidentale).

il y a un bon esprit , une cohésion, cela motive les gens à venir sans doute. À Ottignies c’est aussi la popularité des sorties gravel en parallèle qui « décime » les rendez-vous route du dimanche, cela peut l’expliquer en partie. Quand t’as pas ton gravel à 60 ans, t’as raté ta vie cycliste 😇😀

Les news du Brabant Wallon… La semaine dernière 2 sorties à vélo, un velotaf (57 km) et la sortie du we déplacée du samedi au dimanche pour cause de fortes pluies. Sortie venteuse mais sèche et avec éclaircies. Rdv avec le club dimanche matin à 9h et c’est parti pour une boucle jusque Oud-Heverlee, il faisait 9 °C au départ. Le groupe s’était pourtant entendu pour rouler plus calmement, on a quand même sué un peu, on ne se refait pas. 96 km, 29.3 km/h et d+750 Parti avec une chemise thermique, le maillot été et une veste légère coupe-vent, j’ai dû l’enlever car trop chaud et je n’étais pas confortable. Un peu frisquet au redémarrage, le temps que la transpiration puisse s’évaporer, après c’était bon et aucun arrêt n’a été nécessaire , parcours fluide et sympa. Lorsqu’on a tourné vers le sud puis l’ouest et donc pris le vent dans le pif , ça rigolait encore moins dans les faux-plats, les choses sérieuses ont commencé 😃. Bien contents d’être sorti au final, avec le verre de l’amitié toujours bienvenu. (On va me prêter une veste mi-saison du club, c’est la meilleure combinaison avec un sous-vêtement thermique.) Je crois que je vais revendre mon HT Wahoo Kickr. Bien content au début , pendant le Covid, ça fait 2 ans que je n’y touche plus, je préfère m’aérer dehors et éventuellement courir si une sortie vélo n’est pas envisageable. D’autant qu’avec un VTT maintenant, je peux pédaler quand je veux ou presque, sur des routes et chemins pas très propres.

Des vrais relais ce n’est pas souvent, il faut que la route soit en bon état, qu’elle soit assez large, sur une portion suffisamment longue et que le trafic auto le permette. Ça arrive plus souvent avec mon nouveau club au groupe 1 qu’avec le club précédent. Quant au groupe 2 cela arrive aussi , naturellement les plus forts, les plus jeunes, tirent et aident le groupe spontanément, mais je n’appellerais pas ça un vrai relai tournant structuré. Je manque d’expérience en plus… Un relai, faut-il redescendre à gauche ou à droite ? Quand reprendre sa place , après combien de cyclistes qui remontent ? Cela exige de bien connaître ses camarades et de se mettre d’accord.

Dans les bosses remarquables, c’est justement là que chacun roule pour soi, les grimpeurs s’en donnent à cœur joie, les lourds y souffrent parfois et sont à la peine (mais pas forcément) et on s’attend en haut. Le plus embêtant c’est de perdre des gars sur le plat, on ne s’en rend pas compte tout de suite, car déjà qu’il a du mal derrière, il doit à présent lutter seul contre le vent. il « explose », il peut se décourager en voyant les autres devenir tout petits à l’horizon 😜. c’est aussi un jeu et une nouvelle occasion puérile mais salutaire de s’amuser, tant que le groupe de tête et les suivants se rejoignent plus loin. Habituellement on attend le retardataire isolé dès que possible, au prochain carrefour ou quand on s’en rend compte. certains clubs encadrent ce type de parcours libres, d’autres l’improvisent , il n’y a pas de mal en général, pour revenir au titre du fil, quand on est en forme, entrainé et au poids de forme, tout ceci se passe bien. Y a intérêt à être fort et en bonne santé pour supporter les sorties sportives en club. En fin de compte on passe la plupart du temps de bons moments , c’est le plus important.

rouler en groupe, en club, offre ces avantages : sortir de sa bulle de confort et s’arracher juste ce qu’il faut pour progresser, c’est la fête de l’adrénaline, l’entraide contre le vent avec des sensations de vitesse à la clé, un peu de papote , le plaisir de voir ses amis, motivation face à une météo difficile, un support en cas de pépin technique. Et lors des jours de moindre forme, pouvoir choisir un groupe plus facile dans le même club. rouler seul c’est la liberté , le contrôle total sur son effort, le tourisme, l’ouverture comme le dit Nicolas ci-dessus. heureusement nous avons le choix !

Je dirais peut-être « du vent et des routes mouillées », ou « vent et bruine ». C’est vrai le mauvais temps peut abimer plus facilement les roues qui freinent avec des patins, moi j’ai encore des patins pour la route. Chaque pluie sale fait le « zand papier » sur mes roues

salut Johan, En hiver tu roules aussi avec ton beau F10 ? Sinon, je ne connaissais pas encore le « waterkoud » 😉

Quelle effervescence sur ce fil, heureusement que le modo l’a vu. On peut poster de façon anonyme alors ? Attention aux photos, certaines ont la tête dans le cul (à l’envers 😉)

samedi passé, presque 100 km en club, un rythme moyen qui s’est accéléré vers la fin, le cycliste et le vélo furent repeints de flotte boueuse. Un peu décourageant le dimanche pour le nettoyage, l’huile n’a pas suffit pour protéger la chaîne, elle était « rincée » et couinait (ou plutôt grinçait et craquait dans l’effort pour être précis). Je comprends l’utilité de ces lubrifiants spéciaux pour l’hiver et la pluie. Bien content d’être sorti et d’avoir pu socialiser avant, et après ! Cette semaine, 2 jours de velotaf froids sur un sol humide glissant (feuilles), j’ai sorti l’équipement hiver, le rythme est plus calme et plus prudent. Cela donne 114 km accumulés et pas sûr de rouler ce WE.

en hiver il m’est arrivé de pédaler avec les gants 3 doigts de ski Wedze, par une température proche de zéro (Celsius !) et temps sec. Avec le Rohloff pour le changement de vitesse, pas de soucis. J’ai facilement froid aux doigts.

ok merci, j'en tiendrai compte. ces systèmes colmatants (me) permettraient surtout de rentrer chez moi et ne pas rester planté au milieu de nulle part avec des conditions météo précaires. Après ce serait poubelle pour la CAA.

semaine passée : lundi 16 km VTT en Flandre orientale avec beaucoup de boue, en duo pépère. mardi 16 km VTT solo et 8 km de marche pour rentrer (pneu AR plat, pas l'outil (allen) pour démonter/réparer, et pas de tubeless. Assistance indisponible 😉. Totale loose, pas de commentaires svp 😄. La mini écharde bien planquée a été difficile à trouver/extraire, et encore le pneu était propre lors de la réparation). J'emporte dorénavant une bombe contenant de l'air et du liquide colmatant, pour le dépannage. J'ai vu au Decathlon des CAA déjà remplies de produit colmatant (Michelin, Decathlon), c'est peut-être également une idée pour qqn qui ne veut pas passer au tubeless. samedi 50 km VTT dans la merdouille encore, en solo, direction Genappe. ça bouge, ça bouge dans les "single" boueux, ne pas tomber dans la rivière, ne pas tomber dans les ronces 😄 . Peut-être que je gonfle trop mes pneus, ou je suis nul. dimanche, 67 km VTT avec un groupe gravel/vtt, direction Meerdaalbos. Sympa et difficile (équilibre, boue, ne pas tomber, les bosses, etc). Je n'ai jamais été si sale et couvert de boue. Faut vraiment que je monte des GB ! avec des moyennes proches de 17-19 km/h, 50 km de "VTT "représentent donc un bel effort déjà (durée)! cette publication est purement VTT et publiée ici, j'espère que ça ne dérange pas trop.

Beaucoup de plaisir aujourd’hui matin, j’ai enfourché mon vtt, en avant pour un tour très forestier, ça m’a fait bcp de bien moralement. Presque pas d’asphalte, des chemins, les arbres et l’automne. Les stigmates de la tempête étaient nombreux, damned tous ces arbres arrachés ! 68 km et 19,3 km/h, D+790 (+ 1 kg de boue sans doute) J’ai suivi un tracé prévu pour gravel, c’était donc sans grande difficulté pour un vtt, et c’est ce que je voulais. J’ai quand même réussi à me planter tout doucement lors d’un arrêt glissant (un bout de bois glissant). Pauvre collant le voilà troué. Note sur le vent, le retour entre Huldenberg (sans Smeysberg!!) et Wavre était par moment en rase campagne bucolique, mais sans arbres, avec ce vent c’était comme si je n’avançais plus, et ça montait ! 😛

1er novembre, sortie du matin en club, pour une fois j’étais le plus âgé du petit groupe (8 puis 7). (54, 50, 49, 46, et 3 ou 4 jeunes trentenaires). Le tour était varié avec des nouveaux morceaux sympas, de belles bosses, et le retour s’est fait par moment avec un vent favorable, gaz !. 116 km et D+1000, Vmoy 29 km/h. Un mal aux cuisses bien réel qui fait du bien …quand c’est terminé, et la forme est là quoique tardivement pour cette année. Avec une première moitié de 2023 principalement course à pied, la fin est nettement cycliste. Ce sera de bon augure pour 2024. Je prendrai du temps ce matin pour décoller la boue et nettoyer le vélo 🤨. PS: 5000 km franchis, enfin 🤩

salut. Demain je franchirai les 5000 km à vélo depuis janvier à l'occasion de la sortie du 1er Novembre. Une remontée nettement plus régulière depuis août. Les vélos doivent être lavés, frottés et vérifiés plus souvent, comme c'est bizarre ! L'application météo est consultée plusieurs fois par jour, comme c'est bizarre ! Obscurité, vent, solitude sur la route parfois, mais aussi plein de feuilles oranges et de belles flaques, on s'amuse en automne (vélotaf hein 😉 ).

ça me rappelle « vol 714 pour Sydney »… ☺️

Ben pas si cher finalement. Pour une sortie de 130 km vallonnée par exemple, j’emporte 2 grands bidons 700cc avec du sirop grenadine, et j’ajoute une tablette électrolyte Decathlon (0,35 €). Avec cela des barres céréales ou énergétiques de ton choix, des biscuits éventuellement, voire du pain de bonne qualité avec miel ou fromage, de quoi remplir ton estomac. J’oublie la banane , évidemment un autre choix évident 🍌. Cela fait des années que j’ai arrêté les poudres sportives à diluer et je ne m’en porte vraiment pas plus mal. Les gels ? terminé. Seulement pendant des compétitions jogging.

tout pareil

courage Fluo, courage 😥😫

non, je change de vélo seulement quand le cendrier est plein 😛 😄