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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Moi, je ne les trouve pas beaux. Ni l'un, ni l'autre. L'esthétique, c'est aussi affaire de goût. Je préfère la sobriété. Si j'en avais les moyens, ce serait du sur-mesure discret.
  2. Pas de conseils à te donner, mais je te félicite pour les efforts déjà entrepris et les objectifs que tu t'es fixés. Bienvenue parmi nous et bon vélo !
  3. Les acrobates, ça leur arrive : quelques gamelles, rien de tel pour faire entrer le métier.
  4. Si les prix étaient plus bas ils en vendraient plus mais avec moins de marge et avec davantage de commandes à gérer. Ils ne seraient pas gagnants, sinon ils le feraient. Un truc que j'ignore, mais que d'autres savent probablement : les photographes qui s'installent dans les cols très fréquentés (pendant ou hors des courses et randos) ont-ils des frais à acquitter (l'emplacement, par exemple) en dehors des taxes et charges liées à leur activité ?
  5. L'idée me paraît séduisante, mais il y a certainement des "mais"... ... que d'autres ne manqueront pas d'exprimer.
  6. +1. Difficile quand on ne voit pas tout. Cette année, par exemple, on n'a presque pas vu Bakelants, qui pourtant n'est pas du genre à se cacher. Connaissant sa générosité dans l'effort, je dirais qu'il a dû foutrement bien bosser pour ses leaders.
  7. Ces prix de la combativité n'ont rien de mathématique, en plus ils sont attribués, à chaque étape, 15 km avant l'arrivée, ce qui est ridicule. Sagan avait déjà le maillot vert, c'est peut-être pour ça qu'on l'a "oublié" ?
  8. Ben oui, c'est comme aux JO : l'important, c'est le podium. On peut se consoler d'échouer à une place d'une médaille, mais la consolation ne vaut que pour celui qui la reçoit et ses supporters.
  9. C'est un point de règlement fixé avant le départ du Tour, comme tant d'autres (trois derniers km des étapes en ligne, bonifications, etc). Si l'organisateur prévoit dès le départ un point de règlement qui neutralise ceci ou cela en cas de pluie ou autre chose, pourquoi pas ? Le règlement, on fait avec, qu'on l'aime ou pas. Ce qui n'est pas bien, c'est quand il n'est pas appliqué ou appliqué avec "deux poids, deux mesures".
  10. Mais oui, c'est pour rigoler, hein ! On n'a pas la moitié de ça côté belge. Et seulement une dizaine de partants. Quand j'étais gamin, le nombre de coureurs belges au départ du TdF était impressionnant.
  11. Je partage ton avis. Et je trouve aussi dommage qu'une attaque du onzième au CG fasse réagir les équipes du neuvième et du dixième ; mais c'est comme ça. Le TdF est célèbre et, dans l'esprit de beaucoup (coureurs, sponsors...), y faire un top10 ou y gagner une grande étape de montagne, ça doit valoir un podium au Giro ou à la Vuelta.
  12. Compte tenu du nombre de Français au départ de ce Tour, ce n'est pas étonnant. 😃 (Je sors aussi.)
  13. Je n'en sais rien, mais j'ai regardé la définition : "Pédalier dont les plateaux tournent plus vite que les manivelles..." J'imagine Chris Froome avec ça : les plateaux devraient servir de ventilateur.😃
  14. Désolé, mais il suffit de voir le déroulement des étapes pour comprendre que les cadors se sont marqués entre eux et n'ont généralement pas "fait l'effort" de revenir sur les échappés pour gagner l'étape. C'est clair que dans l'étape de l'Alpe (puisqu'on parle de ça), les échappés ont bénéficié de l'attitude plutôt passive des cadors. Si l'un d'eux avait vraiment eu en tête de gagner l'étape, il n'aurait pas laissé le groupe Pinot-Rolland prendre plus de deux minutes, connaissant leurs qualités de grimpeurs. Les attaques de Quintana étaient initialement dirigées contre Froome. Ce n'est que dans les derniers kilomètres, dirais-je, qu'il a pu songer à aller chercher la victoire d'étape, mais c'était trop tard et Pinot s'est bien battu. Certain que si Pinot et Bardet n'avaient pas été distancés dès le début, "on" ne les aurait pas laissés partir, connaissant leurs qualités.
  15. J'ai trouvé ce TdF très intéressant, avec du suspense (même s'il n'y en a pas eu beaucoup pour la première place au DG). Contrairement à Didier Salembier, je n'écrirais pas que "seule la première place compte", sans cela, il n'y aurait pas une telle bagarre pour les accessits (même les places hors podium) ! Le plus fort a gagné, et on a un beau podium. C'était un Tour pour grimpeurs, c'est sûr : pas de gros CLM individuel et plusieurs étapes de montagne pas piquées des hannetons ! De ce point de vue, Quintana a loupé une belle occasion, mais je reste convaincu qu'il a fait tout ce qu'il pouvait et que Froome a bien géré son avantage. Certains regretteront que le Colombien n'ait pas attaqué de plus loin dans les Alpes, mais s'il l'avait fait et était passé par la fenêtre, d'autres diront qu'il aurait été mieux inspiré d'attendre la dernière montée. Bref, après coup, c'est toujours facile, surtout depuis son fauteuil. Les moins : - Le CLM par équipe placé beaucoup trop tard. C'est vraiment une grosse bévue. - L'absence de vrai CLM individuel (par exemple entre les Pyrénées et les Alpes). Il fut un temps (époque Indurain) où on exagérait dans ce sens-là avec deux CLM dont un de plus de 50 km. Il faut un juste milieu, me semble-t-il. - La foule, mal contenue par endroits (mais comment faire ?) et truffée d'imbéciles qui, même s'ils sont minoritaires, se font très vilainement remarquer. - La grosse déveine (crevaison) de Nibali au pied de l'Alpe d'Huez. - Les oreillettes. Je n'aime pas ça, ça tue la spontanéité. Les plus : - Ceux qui n'ont pas manqué leur entrée en matière et fait ce qu'on attendait d'eux : Sagan, Greipel, Van Avermaet, Gallopin et quelques autres, très en vue dès le début sur un terrain qui leur convenait. - Ceux qui avaient manqué leur entrée en matière et se sont bien repris sur la fin : Bardet, Pinot, Nibali et, dans une moindre mesure, Quintana. - L'équipe MTN-Qhubeka, qui a fait honneur à son invitation. Bravo ! - Beaucoup d'arrivées à suspense dont celle, intense, à l'Alpe d'Huez.
  16. La solidarité entre professionnels existe quand il s'agit de l'intérêt général. Dès que les intérêts des équipes et des coureurs eux-mêmes sont en jeu, le solidarité n'existe plus. Surtout sur le TdF, très médiatisé donc porteur de gros enjeux financiers. Aujourd'hui, sport et fric vont de pair, hélas ! On ne "partage" plus, à l'exception des primes au sein d'une équipe (je présume).
  17. Sur le site officiel du TdF : "L'homme de tête rentre dans la montée de l'Alpe d'Huez avec 1'50'' sur ses premiers poursuivants, et 3'50'' sur le groupe Maillot Jaune."
  18. Dans l'Alpe d'Huez, les images donnaient le frisson ! Sûr que de nombreux coureurs ne devaient pas être rassurés en côtoyant certains excités qui n'adressent pas que des encouragements.
  19. Avec la version en ligne, c'est quand même pas pratique.
  20. 40 bornes entre le sommet de la Croix de Fer et la base de l'Alpe d'Huez, dont un bon paquet par vent défavorable, qui aurait roulé ? Valverde ? Il se serait sacrifié dans la vallée pour empêcher les équipiers de Froome de revenir, mais il aurait emmené Nibali et Contador au pied de l'Alpe. Je ne suis pas sûr que ça aurait été un bon calcul.
  21. Je ne suis pas féru de calculs, mais il me semble que Pinot a attaqué la montée de l'Alpe avec environ 2min30 d'avance sur le groupe Froome-Quintana-Valverde. Il termine avec une avance de moins de 20sec sur Quintana. Comment aurait-il monté même pas une minute moins vite que le Colombien ?
  22. C'est sûr que Froome n'était pas au mieux ; mais il a su gérer l'écart sans paniquer. Combien de km de "plat" y aurait-il eu entre le Galibier et le début de l'Alpe, sans la modif de parcours ?
  23. Je te réponds ici comme sur l'autre fil : il me semble que le Galibier a rarement été décisif pour une victoire dans le TdF. Généralement trop loin de l'arrivée de l'étape.
  24. Est-ce qu'on a vu de grandes victoires dans le TdF se forger dans le Galibier ? Il y a longtemps, peut-être... Généralement, le Galibier est trop loin de l'arrivée de l'étape pour être décisif. Mais avec des si...
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