Nicolas JOARY

Bravo ! "Faut l'faire", comme on dit. Compte tenu de mon allure moyenne plus-que-pépère, dix mille bornes, c'est déjà dans les cinq cents heures de vélo ! Alors, dix-huit mille...

Finalement, une accalmie en milieu de journée m'aura permis de sortir une heure. De quoi faire une vingtaine de bornes avec la mule, sur les routes bien sales non seulement à cause de la météo, mais aussi des innombrables chantiers qui fleurissent par chez moi. C'est d'ailleurs étonnant, l'état des routes wallonnes, en dépit de toutes les réparations qu'on y entreprend chaque année...

Et les gants ? (Je sors, moi aussi, mais pas à vélo et vu la météo.)

Et les lunettes ?

C'était peut-être autorisé à l'époque pour l'épreuve olympique ? Je n'en sais rien, en fait. Mais le port du casque n'a pas été imposé en même temps pour toutes les épreuves. Est-ce qu'au TdF, il n'était pas facultatif pour les étapes de montagne, à une certaine époque ? C'est dingue, quand on sait les vitesses atteintes dans les descentes...

Pluie+vent, cela me semble les pires conditions, surtout en hiver. On finit toujours par être mouillé, avec comme conséquence une forte probabilité de prendre froid.

Moi, je dis mieux : je travaille pas.

Pareil. Plus de microclimat ce matin. C'est la grève des TEC hier qui a fait effet.

Moi qui les croyais radins au DKat, avec 11cm tout compris pour celui de la ViooClip... 😳

C'est Ryanair. Cherchez plus. 😂

Je suis aussi automobiliste, voici donc ce qui se passe avec ces dispositifs lumineux : - Au loin, mais sans pouvoir vraiment estimer la distance qui m'en sépare, je vois une lumière rouge qui clignote. - Par expérience, je me dis que c'est un cycliste ou un jogger ou un promeneur avec son clebs... (cas vécus). En approchant, si ça tressaute, c'est un jogger. - Quand je suis assez proche, la lumière des phares (2x1000 lumens, environ) rend insignifiant le clignotement rouge. Ce qui permet alors d'identifier de qui je m'approche et l'éviter correctement, ce sont les catadioptres et vêtements réfléchissants. Et plus y en a, mieux c'est.

Ici, du côté de Fleurus, il a neigé. Température à -1°C ce matin.

Ce qui compte, c'est le pouvoir isolant qui est assuré par la couche d'air entourant le pied. L'air est dans les fibres textiles. Si les chaussures sont trop serrantes, une paire de chaussettes épaisses ça peut déjà être trop. Mais s'il y a place pour une paire fine et une épaisse sans comprimer les pieds, c'est mieux que seulement une épaisse. Le sang doit bien circuler et l'isolant doit garder son volume naturel. C'est la théorie, en tout cas.

J'ai les pieds et surtout les mains très sensibles au froid. Les pieds, je gère avec des chaussettes en laine et des surchaussures. Les mains, c'est plus compliqué. Pommade grasse, fins gants de soie ou de mérinos et, par-dessus, gants de ski ou carrément des moufles. Certains utilisent des gants... de motard. Il paraît que c'est efficace, mais je n'ai pas essayé moi-même. Si d'autres ont essayé ça... Edit : Je viens juste de recevoir cette pub.

-8°C ce matin NE Hainaut ; mais la sonde extérieure est au nord. C'est quand même froid ! Points positifs : de vraies températures hivernales, il faut ça pendant quelques jours consécutifs, c'est bien pour la Nature, à défaut de faire le bonheur des sans-abri. Et c'est bon aussi pour la production des panneaux solaires.

Les moufles, c'est plus efficace que les gants, sauf pour les pouces où, fort logiquement, c'est pareil. Évidemment, changer les vitesses ainsi équipé, c'est pas facile. Cela dit, on n'est pas tous égaux face au froid. Je suis plutôt sensible des pieds et des mains ; mais en me couvrant bien... la tête, le problème s'atténue. Je mets donc une cagoule de ski.

Pas vu de verglas ici, j'ai peut-être eu du bol ou été bien inspiré dans mon choix de parcours. Les routes étaient sèches par endroits, humides à d'autres, mais c'était surtout à cause du sel. L'après-midi, c'est revenu à zéro degrés, mais on est déjà repartis dans le négatif. Décembre, c'est pas gai. Il y a les fêtes pour mettre un peu de couleur, mais c'est long à revenir, le printemps.

Le JDD n'est peut-être pas le bon. C'est bizarre cet écart en bas. C'est sans doute de là que viennent les vibrations.

Pour tester, serrer le frein avant et, roues au sol, pousser le vélo d'avant en arrière. Bien peser sur la selle en même temps. On voit facilement comme ça s'il y a du jeu entre la fourche et le tube de direction.

-7°C ici, ça va pas le faire... Edit : Finalement, je suis quand même sorti 1h30 avec mon vélo de voyage (14 kilos et des poussières), garde-boues, porte-bagages, cintre plat et bar-ends, sur lequel je peux rouler avec des moufles. Faisait -6°C.

Finalement on a atteint +1°C en tout début d'après midi, mais au sol c'est resté négatif. Pas essayé de sortir. Dans les ronds-points, c'est vraiment dangereux : sol gras et en dévers, avec des débris et gravillons en bordure extérieure. Il vaut mieux couper la trajectoire, au grand courroux de certains maniaques du klaxon qui non seulement voudraient bien nous faire l'intérieur, mais aussi quitter les lieux en nous coupant dangereusement le passage.

En effet. -5°C ce matin. Je suis sorti presque tous les jours (1h à chaque fois) la semaine dernière, mais aujourd'hui ça va être difficile. Peut-être cet aprem'...

Changer les roues, je ne sais pas si c'est une bonne idée, mais mettre des pneus de route, souples et légers, ça fait déjà une belle différence pour rendre un VTT un peu plus roulant sur le bitume.

Un compte en banque bien garni, ça peut aussi faire l'affaire.

Il y a un seuil à trouver en matière d'effort : en faire assez pour ne pas se refroidir (surtout les mains et pieds), sans en faire trop pour éviter la transpiration, comme tu l'indiques.