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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Assez venteux ce matin ; un peu frais aussi, je suis donc parti en manches longues et je n'ai pas eu trop chaud pour mes 61 km et 562 mD+. Parcours agréable vers Mettet via Châtelet, Sart-Eustache et Devant-Les-Bois ; retour à Fleurus par Gougnies et Villers-Poterie. J'ai oublié de prendre quelques photos, mais il y avait quelques routes du genre sympa et en état très correct, ce qui vaut la peine d'être signalé, car ce n'est pas la coutume chez nous.
  2. Sur ma randonneuse le 34 passe aussi avec une chape moyenne (mais dérailleur SRAM).
  3. En Wallonie, ce qui grince le plus, c'est les dents des cyclistes, vu l'état des routes.
  4. Je ne sais pas si Vingegaard courait grand risque à prendre un ou deux relais dans les deux derniers kilomètres. La consigne était peut-être de ne pas le faire, c'est possible et ce serait une bonne explication. Mais pourquoi ? Ne pas prendre de risque ? Il vaut toujours mieux être devant, non ? Ne pas emmener Pogi dans sa roue et se faire griller au sprint ? Bof. Même sans cela, Vingo a été grillé et a concédé quelques secondes. Si c'était une consigne du DS, je pense que c'est une grosse erreur. C'était psychologiquement mauvais, tactiquement aussi. Au plan stratégique, l'avenir nous le dira, mais la Jumbo a beaucoup perdu mentalement pendant ces deux premiers jours et ça va laisser des traces. Vingo va avoir la pression et il devra l'assumer. Quant à Pogi, il est non seulement très fort, mais avec un bon mental, du panache à revendre et un charisme rare. C'est un coureur complet comme on n'en a plus vu beaucoup depuis Merckx et Hinault. Il a ce truc de plus qui fait la différence.
  5. Oui, avec l'âge, les raideurs se déplacent.
  6. Seul, tu te fais mal quand tu sens que tu peux te faire mal. En groupe, ça peut être les autres qui te font mal, juste à un moment où toi tu ne le ferais pas.
  7. C'est surtout un moyen de mettre la pression sur la Jumbo. Et c'est réussi. Dommage pour Van Aert qui, décidément, joue à chaque fois contre une coalition et ne peut pas compter sur Vingo dans une arrivée comme celle-là, alors que le Danois pourrait lui donner ce coup de pouce.
  8. Il Lafay !
  9. On commence déjà à jouer avec les secondes...
  10. On commence déjà à jouer avec les secondes...
  11. J'aime bien expliquer, blague ou pas.
  12. Aujourd'hui, sortie de 60km composée d'un enchaînement de différentes petites boucles locales sans grande difficulté ; le genre de boucles que je parcours à la mauvaise saison, quand elles peuvent être difficiles à cause du froid ou du vent, mais qui permettent d'abréger ou prolonger aisément la sortie suivant les conditions.
  13. Les bonifications intermédiaires au sommet des cols, ça va rendre les bons de sortie encore plus difficiles à obtenir.
  14. Oui, plutôt Madouas, je dirais.
  15. Heureusement pour moi, le jeudi, c'est ping-pong. À l'intérieur. Buvette à côté de la salle.
  16. Est-ce qu'il y a des bonifications aux arrivées des étapes de montagne ? Dans l'affirmative, je pense que c'est un atout pour Pogačar, car ils se tiendront probablement de très près et que le Slovène est généralement plus explosif sur les finales, avec des attaques plus tranchantes. Le Tour risque de se jouer sur quelques poignées de secondes. L'autre point important sera de passer à travers les faits de course, qui ne sont jamais rares. Une bonne cohésion dans l'équipe avec des partenaires fiables et expérimentés sera aussi très importante.
  17. On en est déjà à la seconde page de discussion, donc je ne crois pas qu'on puisse dire que le sujet n'intéresse pas grand monde. Dire cela ne me semble d'ailleurs pas très sympa envers ceux qui ont pris la peine d'écrire. Je pense que l'initiateur du sujet est un peu déçu que le débat n'aille pas dans le sens qu'il souhaitait, ce qui peut se comprendre, mais c'est avant tout un forum : celui qui lance un sujet propose, les autres intervenants disposent. Certains se fient aux appareils, aux chiffres ; d'autres préfèrent les sensations. Chacun sa manière. L'avantage des sensations, c'est qu'elles ne dépendent que de nous et que nous apprenons à connaître notre corps et à comprendre les signaux qu'il envoie. Ce n'est pas nécessairement moins fiable que des appareils qui ont besoin de piles, d'applications et de la bonne manière d'en tirer les bons enseignements. L'inconvénient est que les sensations ne sont pas chiffrables. Seuls les résultats peuvent l'être, si quelqu'un prend la peine de lancer un chronomètre. Il n'y a pas de bonne et de mauvaise méthode, il y a juste celles qui nous conviennent ou pas.
  18. C'est vrai que c'est très pentu, surtout sur la première photo ! 🤪 Merci pour les images, c'est toujours sympa de voir où les autres roulent.
  19. Je parle de la force appliquée verticalement sur la boule d'attelage. Tu peux charger une remorque avec 300 kilos et que ça fasse plus de 450 kilos avec le poids de la remorque elle-même, et en soulever le timon d'une seule main. Tu peux même, sur terrain plat, la manœuvrer à la main si le chargement est bien équilibré. C'est l'essieu qui porte l'essentiel de la charge, l'appui sur la flèche de la remorque est moindre. Il DOIT être en principe inférieur à la charge verticale supportable par la boule. Si la remorque est mal équilibrée, elle peut soulever ou abaisser fortement l'arrière du véhicule tracteur, ce qui est dangereux pour la tenue de route. Il reste évidemment la force de traction du véhicule et sa puissance de freinage, pour pouvoir entraîner et arrêter le train complet (poids de la voiture + poids de la remorque + poids du chargement). Le problème du porte-vélos avec 4 vélos n'est pas de l'emmener et de l'arrêter. C'est le bras de levier exercé sur la boule par une charge placée trop loin vers l'arrière. C'est dangereux pour la tenue de route, outre le fait de risquer d'endommager l'attelage par une trop forte poussée verticale.
  20. Et une remorque, ce n'est peut-être pas plus cher que le porte-vélos arrière + le porte-vélos de toit. C'est aussi plus sûr et polyvalent. Et je pense que ça se loue aussi.
  21. Deux à l'arrière, deux sur le toit, ça me semble plus sûr que quatre à l'arrière, en effet. En tenant toutefois à l'esprit les points suivants : - Ne jamais oublier qu'il y a des vélos sur le toit ! - Être tolérant sur la consommation de carburant, qui sera nettement plus importante. - Manipuler des bicyclettes pour les monter et descendre du toit du véhicule, ça nécessite des précautions. À deux et avec une parfaite coordination, on peut éviter casse et rayures. - C'est valable pour toutes les méthodes de transport, mais plus encore avec la charge sur le toit : s'assurer du bon arrimage du chargement et vérifier à chaque pause que ça reste OK.
  22. Ces données de poids maximal pour la boule sont relatives au poids appliqué verticalement au niveau de la boule. Un porte-vélos de 20 kilos chargé de 40 kilos de vélos est moins contraignant s'il porte un VAE de 26 kilos à l'emplacement proche du crochet et un autre vélo de 14 kilos sur le second poste que s'il porte quatre vélos de 10 kilos chacun sur ses 4 emplacements. Une remorque de 300 kilos, si son chargement est bien équilibré, ne pèse pas aussi lourd verticalement sur la boule (il faut que la voiture puisse tracter et freiner les 300 kilos, mais c'est une contrainte très différente, possible pour la plupart des voitures).
  23. 11,5 km pour moi aujourd'hui. Je voulais rentrer juste pour l'apéro. Il est vrai que les kilomètres, c'était pour aller chercher ledit apéro ! 🤪
  24. Je trouve très crédible cette analyse de C. Saugrain.
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