Gérard CRESPO Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre Je n'ai pas vu de révolution dans les cadres de vélo depuis l'apparition du carbone. En ski alpin rien de révolutionnaire depuis les skis paraboliques. Et pourtant chaque année les fabricants de cadres de vélo et les fabricants de skis lavent plus blanc que blanc... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre Ce que je trouve déplorable dans le parcours d'achat d'un vélo, c'est qu'il est presque impossible de l'essayer. Comme le démontre très bien Pierre, chaque vélo a ses spécificités propres et untel conviendrait alors qu'un autre pas du tout, et parfois pour un détail mineur qu'on ne peut percevoir qu'en roulant dessus. Mythe ou réalité... je ne sais pas, je n'ai pas l'expérience d'autres vélos que le mien. Comment faire le bon choix? Sachant l'impossibilité de tester en situation réelle, le mauvais marketing a pris le relais et nous certifie que ce vélo là est tellement meilleur que tous les autres, à grand renfort de termes techniques abscons et de références aux résultats des pros que nous ne serons jamais. On en profite pour incrémenter au passage le compteur monétaire, histoire de crédibiliser le paquet de boniments qu'ils nous font avaler. Un bon ou un mauvais vélo, ou un qui ne convient pas, dans le fond, quelle sera vraiment la différence? Je me fais l'avocat du diable, mais après tout, faut-il absolument le vélo ultime qui nous corresponde parfaitement? Bon ok, le choix est tellement vaste que fatalement ce vélo doit bien exister, et tant qu'à donner une somme conséquente, autant que ce soit à bon escient, mais je pense que la vraie question est comment le trouver sans en acheter 20 avant d'avoir le bon? Parfois c'est un coup de chance et hop, t'as le bon du premier coup, chouette! (c'est mon cas) . Mais si ce n'est pas le cas, que faire? Je crois qu'on se pose trop de questions et que l'on peut très bien se contenter d'un vélo qui n'est pas parfait, on s'y fera avec le temps. Le problème actuel c'est qu'on nous bassine avec LE vélo fait pour TOI et toi seul, c'est celui là qu'il te faut! Mwouais, c'est c'là oui.... la belle porte ouverte vers les dépenses infinies que voilà. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eric FLEURY Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre il y a 20 minutes, Michel DURY a dit : Je crois qu'on se pose trop de questions et que l'on peut très bien se contenter d'un vélo qui n'est pas parfait, on s'y fera avec le temps. Le problème actuel c'est qu'on nous bassine avec LE vélo fait pour TOI et toi seul, c'est celui là qu'il te faut! Mwouais, c'est c'là oui.... la belle porte ouverte vers les dépenses infinies que voilà. Re, Effectivement c'est quasi impossible de faire un essai de vélo, mais en même temps aux vues des diversités, c'est compréhensible 😉 Pour moi l'achat passe par une fourchette de prix, la géométrie du cadre, un point important qui différencie certain modèle, le profil de l'utilisation, une marque, nous avons tous des préférences, basées sur le marketing, mais pas que, il y a les retours des copains, les essais (pas tj objectifs .) la monte des principaux organes mécaniques, et le coup de cœur. C'est la jungle, effectivement, il faut savoir que Giant domine le marché en terme de fabrication et des grandes marques passent par leur service (Trek, specialized....). Par la suite si l'on est bien posé sur le vélo, on va l'aimer, sinon, et bien cela sera la déception dans un premier temps, et peut être mieux par la suite après adaptation si possible ! La question c'est quoi un bon vélo ? Un vélo qui est capable de rouler vite, ben ca se sont les jambes qui font le travail non? la monture peut être un complément, qui exploite aux mieux les forces transmises, et minimises les pertes. Un vélo confortables, mais le vélo finit toujours par donner mal aux fesses et aux jambes, plus ou moins rapidement, fonction de son entrainement ! Le vélo canapé n'existe pas encore 😉 Un vélo robuste, cela par le choix de la mécanique et des matériaux . Globalement, sommes nous aptes à juger finement tout cela ? Pierre et d'autres sont spécialisés dans ce type de choix de par leur expérience et aussi le fréquence de changement de montures.... En changeant de vélo tous les 5 ans ou plus, nous observerons un changement de par l'effet nouveauté, mais qu'en est il de l'effet évolution matériaux ? sauf à passer d'un premier prix, à un top du top 🙂 Je crois que, à partir d'un certain niveau, les différences sont minimes, et le budget explose au-delà ! pour des gains de poids principalement ! tout le monde n'est pas capable de rouler en formule1 et encore moins d'apporter un jugement de réglages! et pourtant tout le monde (ou presque) roule avec une voiture... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre Il y a 1 heure, Pierre PLANA a dit : Il n'est pas besoin d'avoir un niveau très conséquent pour apprécier tous les cadres. Contrairement à ce que Sylvain dit dans les vélos de haut de gamme actuels (au moins ceux que j'ai eu la chance d'avoir/d'essayer), il y en a pour tous les gouts ou à peu près. J'ai un niveau moyen de cyclo de 55 ans, quand c'est plat mon gabarit fait que je roule quand même plutôt bien, quand ça monte plus de qques centaines de mètres, c'est pas terrible... Certains vélos sont effectivement assez durs à exploiter : personnellement les Pinarello ça a été un échec pour moi, Chez Colnago, le V4RS est fabuleux mais avec je n'avais de l'essence que pour de courtes distances, le C68 est assez doux, le Tarmac SL7 ne m'avait pas super enthousiasmé, pas très facile à faire vivre, le SL8 est un vélo joueur et facile, le Factor OSTRO VAM n'est pas extrême, le BH Aerolight actuel est un vélo assez polyvalent qui en fonction des roues peut être utilisé sur plein de terrains, le Scott Addict RC est un vélo utilisable par tout le monde, je suis plus mesuré sur le Foil, le BMC SLR01 est un peu moins confortable que les autres mais assez facile à relancer quelles que soient les circonstances, mon vélo préféré si je ne devais en garder qu'un, c'est le TIME ADH. Le comportement varie pas mal d'un modèle à l'autre et si tu combines avec différentes roues, un même cadre peut avoir un comportement différent. Le ressenti, peut-être aussi assez différent d'un cycliste à l'autre en fonction de la manière de pédaler... C'est très compliqué de faire des généralités. Le "tronc commun", c'est le confort vertical et la stabilité en descente de tous les vélos actuels, ensuite chaque modèle a des paramètres de rigidité de la douille de direction de la boite de pédalier et du triangle arrière qui lui sont propre. Ce qui est "rigolo" c'est que j'ai l'impression que les constructeurs (au moins certains constructeurs) "tâtonnent" un peu... Souvent, quand une génération de cadre est très rigide, la suivante est plus douce, la suivante plus rigide, etc... Je l'ai remarqué chez Specialized entre le SL5 (assez dur), le SL6 (plus doux), le SL7 (plus rigide), le S8 (plus élastique), mais assez chez Colnago entre le C59 (souple), C60 (très rigide), C64 (plus souple). J'ai des copains qui sont fans de Pinarello et "suivent" les générations qui m'ont déjà fait le même type de retour. Si je suis ton raisonnement on ne peu pas avoir un vélo moyen confortable et performant ? et je maintiens que pour apprécier certains vélos il faut un certain niveau ....... Tu fais de la moto ? j'ose comparer mais si tu met une ultra sportive dans les mains d'un débutant cela ne sert a rien ..... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre Il y a 1 heure, Gérard CRESPO a dit : Je n'ai pas vu de révolution dans les cadres de vélo depuis l'apparition du carbone. En ski alpin rien de révolutionnaire depuis les skis paraboliques. Et pourtant chaque année les fabricants de cadres de vélo et les fabricants de skis lavent plus blanc que blanc... Gérard, j'ai des cadres en carbone depuis 2002... tu te trompes... Et pour les skis c'est pareil, un parabolique de 2010 et un parabolique de 2024 c'est la nuit et le jour. Alors, oui, parfois les marques en font trop avec le marketing, il n'y a probablement pas eu de révolution mais une évolution quasi constante et les progrès sur les matériaux composites sont bien réels. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre il y a une heure, Michel DURY a dit : Ce que je trouve déplorable dans le parcours d'achat d'un vélo, c'est qu'il est presque impossible de l'essayer. Comme le démontre très bien Pierre, chaque vélo a ses spécificités propres et untel conviendrait alors qu'un autre pas du tout, et parfois pour un détail mineur qu'on ne peut percevoir qu'en roulant dessus. Mythe ou réalité... je ne sais pas, je n'ai pas l'expérience d'autres vélos que le mien. Comment faire le bon choix? Sachant l'impossibilité de tester en situation réelle, le mauvais marketing a pris le relais et nous certifie que ce vélo là est tellement meilleur que tous les autres, à grand renfort de termes techniques abscons et de références aux résultats des pros que nous ne serons jamais. On en profite pour incrémenter au passage le compteur monétaire, histoire de crédibiliser le paquet de boniments qu'ils nous font avaler. Un bon ou un mauvais vélo, ou un qui ne convient pas, dans le fond, quelle sera vraiment la différence? Je me fais l'avocat du diable, mais après tout, faut-il absolument le vélo ultime qui nous corresponde parfaitement? Bon ok, le choix est tellement vaste que fatalement ce vélo doit bien exister, et tant qu'à donner une somme conséquente, autant que ce soit à bon escient, mais je pense que la vraie question est comment le trouver sans en acheter 20 avant d'avoir le bon? Parfois c'est un coup de chance et hop, t'as le bon du premier coup, chouette! (c'est mon cas) . Mais si ce n'est pas le cas, que faire? Je crois qu'on se pose trop de questions et que l'on peut très bien se contenter d'un vélo qui n'est pas parfait, on s'y fera avec le temps. Le problème actuel c'est qu'on nous bassine avec LE vélo fait pour TOI et toi seul, c'est celui là qu'il te faut! Mwouais, c'est c'là oui.... la belle porte ouverte vers les dépenses infinies que voilà. Le marketing marche bien on pigeonne bien les cyclistes ......faut acheter le vélo qui te fait plaisir selon tes moyens . Ceci dit au club on a 3 groupes , le meilleur roule vraiment fort là je comprends le choix de vélos ultra performant mais dans les 2 autres groupes un avion de chasse ne sert a rien vu la vitesse que nous avons .....j'adore faire la nic a certains je kif t'imagine pas 😅 Q Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre-Yves DESSIMOZ Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre Il y a 1 heure, Eric FLEURY a dit : Re, Effectivement c'est quasi impossible de faire un essai de vélo, mais en même temps aux vues des diversités, c'est compréhensible 😉 Pour moi l'achat passe par une fourchette de prix, la géométrie du cadre, un point important qui différencie certain modèle, le profil de l'utilisation, une marque, nous avons tous des préférences, basées sur le marketing, mais pas que, il y a les retours des copains, les essais (pas tj objectifs .) la monte des principaux organes mécaniques, et le coup de cœur. C'est la jungle, effectivement, il faut savoir que Giant domine le marché en terme de fabrication et des grandes marques passent par leur service (Trek, specialized....). Par la suite si l'on est bien posé sur le vélo, on va l'aimer, sinon, et bien cela sera la déception dans un premier temps, et peut être mieux par la suite après adaptation si possible ! La question c'est quoi un bon vélo ? Un vélo qui est capable de rouler vite, ben ca se sont les jambes qui font le travail non? la monture peut être un complément, qui exploite aux mieux les forces transmises, et minimises les pertes. Un vélo confortables, mais le vélo finit toujours par donner mal aux fesses et aux jambes, plus ou moins rapidement, fonction de son entrainement ! Le vélo canapé n'existe pas encore 😉 Un vélo robuste, cela par le choix de la mécanique et des matériaux . Globalement, sommes nous aptes à juger finement tout cela ? Pierre et d'autres sont spécialisés dans ce type de choix de par leur expérience et aussi le fréquence de changement de montures.... En changeant de vélo tous les 5 ans ou plus, nous observerons un changement de par l'effet nouveauté, mais qu'en est il de l'effet évolution matériaux ? sauf à passer d'un premier prix, à un top du top 🙂 Je crois que, à partir d'un certain niveau, les différences sont minimes, et le budget explose au-delà ! pour des gains de poids principalement ! tout le monde n'est pas capable de rouler en formule1 et encore moins d'apporter un jugement de réglages! et pourtant tout le monde (ou presque) roule avec une voiture... BMC a offert la possibilité d’essayer le vélo de nos » rêves « , en juin dernier, le parcours s’y prêtait bien, un long faux plat puis le final ( plutôt facile) d’un col et la descente par le même côté, une trentaine de bornes, temps idéal, un peu de vent dans la descente, parfait pour comprendre les roues carbone de 45 ( pas pour moi, trop déporte, trop sur les freins). Le problème est que l’on essaie le top modèle (13000frs) mais quand sera t’il lorsque je recevrai le mien ( 5500frs), roues bas de gamme et ce carbone « économique « dont on ne sait rien? Cet essai reste t’il valable??? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre il y a 1 minute, Sylvain KARLE a dit : Si je suis ton raisonnement on ne peu pas avoir un vélo moyen confortable et performant ? et je maintiens que pour apprécier certains vélos il faut un certain niveau ....... Tu fais de la moto ? j'ose comparer mais si tu met une ultra sportive dans les mains d'un débutant cela ne sert a rien ..... Tu déformes doublement mes propos : je n'ai jamais dit qu'on ne pouvait pas avoir un vélo "moyen" confortable et performant... Les vélos "moyens" j'en ai déjà utilisé. L'an passé j'ai loué un Scott Addict 50 (prix catalogue 2600€) et pour moi c'est un vélo confortable et performant. Mais si je le compare avec mon Time dont le cadre seul coute 4000€ que j'ai monté avec des roues de montagne, tu n'as clairement pas le même niveau de réactivité. Et je n'ai pas dit non plus que tous les vélos étaient adaptés au niveau physique de tous les cyclistes. Au contraire j'ai expliqué que en changeant régulièrement de vélo, de temps en temps je me trompais de casting et que je prenais des fessées. Ce que je dis (abstraction faite de toute considération de géométrie/taille/position) : - globalement les vélos ont beaucoup progressé (quelle que soit la gamme), en confort, en sécurité, en polyvalence. - Tous les vélos ne sont pas "faciles à utiliser" quelle que soit la gamme, mais quelle que soit la gamme il y a des vélos faciles à utiliser. Il faut juste choisir le vélo adapté à sa pratique. - Généralement, parmi les vélos adaptés à sa pratique, malheureusement, plus on tape haut en gamme et meilleures seront les sensations. et enfin, il faut faire attention au roues, qui sont très importantes... j'ai même l'impression que il faut faire attention à l'adéquation entre les roues et le cadre (et le bonhomme). Ton analogie à la moto est malvenue à deux titres : - en premier parce que paradoxalement, je descends les cols à 80+km/h, mais j'ai une trouille bleue sur une moto à 30km/h...🥶 - en second parce que sur une moto, le pilotage entre principalement en jeu, alors qu'en vélo, le pilotage n'entre en compte que quand tu roules vite en peloton ou dans les descentes de col. Si tu prends un débutant que tu le mets sur un vélo adapté à sa puissance physique, il fera la différence entre le vélo d'entrée de gamme et le vélo haut de gamme (j'ai déjà fait l'exercice avec des sportifs de niveaux différents). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre il y a 16 minutes, Pierre-Yves DESSIMOZ a dit : BMC a offert la possibilité d’essayer le vélo de nos » rêves « , en juin dernier, le parcours s’y prêtait bien, un long faux plat puis le final ( plutôt facile) d’un col et la descente par le même côté, une trentaine de bornes, temps idéal, un peu de vent dans la descente, parfait pour comprendre les roues carbone de 45 ( pas pour moi, trop déporte, trop sur les freins). Le problème est que l’on essaie le top modèle (13000frs) mais quand sera t’il lorsque je recevrai le mien ( 5500frs), roues bas de gamme et ce carbone « économique « dont on ne sait rien? Cet essai reste t’il valable??? Ton essai est clairement n'importe quoi. On te donne un haut de gamme et tu vas acheter un moyen , allez, c'est pas sérieux. Pour reprendre la comparaison avec les motos, c'est comme si tu essaies une 1250 GS contre une 750 GS, ça n'a rien à voir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
chmotard Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre il y a 10 minutes, Pierre-Yves DESSIMOZ a dit : BMC a offert la possibilité d’essayer le vélo de nos » rêves « , en juin dernier, le parcours s’y prêtait bien, un long faux plat puis le final ( plutôt facile) d’un col et la descente par le même côté, une trentaine de bornes, temps idéal, un peu de vent dans la descente, parfait pour comprendre les roues carbone de 45 ( pas pour moi, trop déporte, trop sur les freins). Le problème est que l’on essaie le top modèle (13000frs) mais quand sera t’il lorsque je recevrai le mien ( 5500frs), roues bas de gamme et ce carbone « économique « dont on ne sait rien? Cet essai reste t’il valable??? Le but est de te faire craquer , surtout ne pas venir avec son chéquier 😁. C'est déjà bien de la part de BMC , et c'est normal qu'il fasse essayer le meilleur de leur gamme , c'est révélateur de leur savoir faire. Si l'expérience est positive ça te permet quand même d'orienter ton choix pour une marque plutôt qu'une autre , et même si tu as acheté une Mercedes avec moteur Renault , Mercedes y aura mis sa patte quand même 😉. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre il y a 22 minutes, Pierre-Yves DESSIMOZ a dit : BMC a offert la possibilité d’essayer le vélo de nos » rêves « , en juin dernier, le parcours s’y prêtait bien, un long faux plat puis le final ( plutôt facile) d’un col et la descente par le même côté, une trentaine de bornes, temps idéal, un peu de vent dans la descente, parfait pour comprendre les roues carbone de 45 ( pas pour moi, trop déporte, trop sur les freins). Le problème est que l’on essaie le top modèle (13000frs) mais quand sera t’il lorsque je recevrai le mien ( 5500frs), roues bas de gamme et ce carbone « économique « dont on ne sait rien? Cet essai reste t’il valable??? ce sera une bonne information pour nous tous... Mon avis aujourd'hui c'est que entre les cadres il n'y a pas une différence folle, que la différence de poids se fait sur le groupe (peu d'importance pourvu que le groupe fonctionne bien), sur les périphériques (encore moins d'importance) et sur le train roulant (important), qu'on peut changer à postériori... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eric FLEURY Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre il y a 13 minutes, Pierre PLANA a dit : - en second parce que sur une moto, le pilotage entre principalement en jeu, alors qu'en vélo, le pilotage n'entre en compte que quand tu roules vite en peloton ou dans les descentes de col. Si tu prends un débutant que tu le mets sur un vélo adapté à sa puissance physique, il fera la différence entre le vélo d'entrée de gamme et le vélo haut de gamme (j'ai déjà fait l'exercice avec des sportifs de niveaux différents). Re, En partie, le pilotage te permet d'exploiter la machine, mais une routière et une sportive ne procure pas la même sensation en termes d'accélération de tenue de route. le néophyte sera capable de rouler, avec l'une ou l'autre, mais pas dans les mêmes conditions, et la même assurance. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre à l’instant, Eric FLEURY a dit : Re, En partie, le pilotage te permet d'exploiter la machine, mais une routière et une sportive ne procure pas la même sensation en termes d'accélération de tenue de route. le néophyte sera capable de rouler, avec l'une ou l'autre, mais pas dans les mêmes conditions, et la même assurance. je veux bien te croire... de loin 🙂 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eric FLEURY Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre il y a 3 minutes, Pierre PLANA a dit : ce sera une bonne information pour nous tous... Mon avis aujourd'hui c'est que entre les cadres il n'y a pas une différence folle, que la différence de poids se fait sur le groupe (peu d'importance pourvu que le groupe fonctionne bien), sur les périphériques (encore moins d'importance) et sur le train roulant (important), qu'on peut changer à postériori... Re, Je pense que oui, les roues apportent beaucoup à la prise en main du vélo et de son comportement! Plus que le reste ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sylvain KARLE Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre (modifié) Il y a 3 heures, Pierre PLANA a dit : Tu déformes doublement mes propos : je n'ai jamais dit qu'on ne pouvait pas avoir un vélo "moyen" confortable et performant... Les vélos "moyens" j'en ai déjà utilisé. L'an passé j'ai loué un Scott Addict 50 (prix catalogue 2600€) et pour moi c'est un vélo confortable et performant. Mais si je le compare avec mon Time dont le cadre seul coute 4000€ que j'ai monté avec des roues de montagne, tu n'as clairement pas le même niveau de réactivité. Et je n'ai pas dit non plus que tous les vélos étaient adaptés au niveau physique de tous les cyclistes. Au contraire j'ai expliqué que en changeant régulièrement de vélo, de temps en temps je me trompais de casting et que je prenais des fessées. Ce que je dis (abstraction faite de toute considération de géométrie/taille/position) : - globalement les vélos ont beaucoup progressé (quelle que soit la gamme), en confort, en sécurité, en polyvalence. - Tous les vélos ne sont pas "faciles à utiliser" quelle que soit la gamme, mais quelle que soit la gamme il y a des vélos faciles à utiliser. Il faut juste choisir le vélo adapté à sa pratique. - Généralement, parmi les vélos adaptés à sa pratique, malheureusement, plus on tape haut en gamme et meilleures seront les sensations. et enfin, il faut faire attention au roues, qui sont très importantes... j'ai même l'impression que il faut faire attention à l'adéquation entre les roues et le cadre (et le bonhomme). Ton analogie à la moto est malvenue à deux titres : - en premier parce que paradoxalement, je descends les cols à 80+km/h, mais j'ai une trouille bleue sur une moto à 30km/h...🥶 - en second parce que sur une moto, le pilotage entre principalement en jeu, alors qu'en vélo, le pilotage n'entre en compte que quand tu roules vite en peloton ou dans les descentes de col. Si tu prends un débutant que tu le mets sur un vélo adapté à sa puissance physique, il fera la différence entre le vélo d'entrée de gamme et le vélo haut de gamme (j'ai déjà fait l'exercice avec des sportifs de niveaux différents). L'analogie avec la moto n'était peu être pas le meilleur exemple c'est vrai sauf a haute vitesse ou le vélo devient de la moto niveau courbes ,freinages, reflexes .... Je trouve juste que le gap n'est pas si important que ça entre un vélo moyen de gamme et haut de gamme pour un cyclo je parle , chez les pros c'est évident que chaques watts compte ... Il faut être passionné et aussi avoir un bon portefeuille et de l'expérience pour apprécier le haut de gamme , un débutant je ne vois pas comment il peu déjà apprécier du haut de gamme idem pour quelqu'un qui roule pépère , il n'exploitera pas les qualités de sa belle machine ..... Modifié le 19 novembre par Sylvain KARLE 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre il y a 10 minutes, Sylvain KARLE a dit : L'analogie avec la moto n'était peu être pas le meilleur exemple c'est vrai sauf a haute vitesse ou le vélo devient de la moto niveau courbes ,freinages, reflexes .... Je trouve juste que le gap n'est pas si important que ça entre un vélo moyen de gamme et haut de gamme pour un cyclo je parle , chez les pros c'est évident que chaques watts compte ... Il faut être passionné et aussi avoir un bon portefeuille et de l'expérience pour apprécier le haut de gamme , un débutant je ne vois pas comment il peu déjà apprécier du haut de gamme idem pour quelqu'un qui roule pépère , il n'exploitera pas les qualités de sa belle machine ..... Je pense que tu as partiellement raison... aux roues près... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre CÔTÉ Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre Il y a 4 heures, Pierre PLANA a dit : ce sera une bonne information pour nous tous... Mon avis aujourd'hui c'est que entre les cadres il n'y a pas une différence folle, que la différence de poids se fait sur le groupe (peu d'importance pourvu que le groupe fonctionne bien), sur les périphériques (encore moins d'importance) et sur le train roulant (important), qu'on peut changer à postériori... En parlant de BMC, j'ai toujours entre autre mon Slr01 de 2010 avec lequel je roule en cette fin de saison. J'ai déjà dit sur ce forum que jamais je ne me séparerais de cette machine de folie de 6kg tout monté en Dura méca roues Dt Swiss 38mm. Comme tu sais, j'ai plusieurs vélos (moderne) dont un petit dernier FAD reçu fin Septembre. Là ou je ne suis pas spécialement d'accord avec toi, c'est ton approche des vélos moderne comparativement à ceux de plus de 10 ans haut de gamme évidemment. Mon BMC est celui que je garderais si j'en avais qu'un à conserver, qu'à t-il à envier à mes autre vélos question confort, rendement, nervosité? La réponse est dans la question. Un bon vélo est celui sur lequel on est bien posé et qui nous ne fracasse pas le dos et les jambes. Mes référence lors d'achat d'une nouvelle machine, le reach et le type de fibre de carbone en référence à mes autres engins, je sais déjà sur quoi je poserais les fesses. La seule erreur que j'ai faite et ce en 2002, c'était un Giant tcr tige de selle intégrée, une barre à mine qui me détruisait le corps, je l'ai vite revendu. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre-Yves DESSIMOZ Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre il y a une heure, Pierre CÔTÉ a dit : En parlant de BMC, j'ai toujours entre autre mon Slr01 de 2010 avec lequel je roule en cette fin de saison. J'ai déjà dit sur ce forum que jamais je ne me séparerais de cette machine de folie de 6kg tout monté en Dura méca roues Dt Swiss 38mm. Comme tu sais, j'ai plusieurs vélos (moderne) dont un petit dernier FAD reçu fin Septembre. Là ou je ne suis pas spécialement d'accord avec toi, c'est ton approche des vélos moderne comparativement à ceux de plus de 10 ans haut de gamme évidemment. Mon BMC est celui que je garderais si j'en avais qu'un à conserver, qu'à t-il à envier à mes autre vélos question confort, rendement, nervosité? La réponse est dans la question. Un bon vélo est celui sur lequel on est bien posé et qui nous ne fracasse pas le dos et les jambes. Mes référence lors d'achat d'une nouvelle machine, le reach et le type de fibre de carbone en référence à mes autres engins, je sais déjà sur quoi je poserais les fesses. La seule erreur que j'ai faite et ce en 2002, c'était un Giant tcr tige de selle intégrée, une barre à mine qui me détruisait le corps, je l'ai vite revendu. Salut, j'ai déjà fait l'essai du moyen (bas de gamme?) chez BMC avec le granfondo 02, je le conserve, il a aussi dix ans, est bien adapté à mes cotes, nerveux, pas trop lourd, de simples roues shimano alu-carbone, tous les cables en extérieur (plus facile à réparer), moins confortable que le trek domane mais plus adapté à la montagne. Juste un dernier vélo musculaire pour mes 65, pour essayer ces foutus FAD et le DI2, toute une saison pour trouver les bonnes roues! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre il y a 12 minutes, Pierre-Yves DESSIMOZ a dit : Juste un dernier vélo musculaire pour mes 65, pour essayer ces foutus FAD et le DI2, toute une saison pour trouver les bonnes roues! Houlà, Pierre-Yves.... On n'est pas vieux à 65 ans !!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gérôme BORGER Posté le 19 novembre Share Posté le 19 novembre il y a 13 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Houlà, Pierre-Yves.... On n'est pas vieux à 65 ans !!! Tu disais pas ça il y a quatre ans 😊 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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