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Bernard MOREAU

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Tout ce qui a été posté par Bernard MOREAU

  1. C'est le genre de discours qui fleurissait aux US dans les années 70 pour justifier le racisme. On les voyait même dans le Scientific American 🤮
  2. https://www.strava.com/activities/16194423163 Il nous a fait un TMB un peu particulier. Arrivé au sommet du GSB il est redescendu de 7-8 km pour trouver un resto je suppose et repartir dans le sens anti-horaire. En tout il a mis plus de 15h. contre 12h + de roulage. Je n'ai pas regardé en détail les altitudes. Il n'a pas osé prendre l'autoroute pour descendre de Chamonix vers Passy.
  3. C'est probablement à celui-là que fait allusion Michel Roth un peu plus haut.
  4. Il est certain que les pros ont amélioré leur position en course depuis 30-40 ans. La traînée aérodynamique de l'ensemble cycliste+vélo est due essentiellement au cycliste, pas au vélo. Il faudrait que je me reporte aux études de Chester Kyle à ce sujet, mais ce doit être de l'ordre de 80-90% pour le cycliste et donc 10-20% pour le vélo. (Bien que les 2 ne puissent être totalement séparés) Or les cyclistes pro, s'il ont modifié leur position par rapport aux années 80, sont loin d'avoir leur position de clm dans les courses en ligne en tête de peloton. Donc ton argument ne tient pas.
  5. Et pourtant on est bien obligé de penser que Froome était assez aéro puisqu'il se défendait fort bien en clm sur le plat, sa position dans ces clm ne devait pas être celle qu'on lui voit quand il roule en peloton.
  6. Sans quelques explications complémentaires je ne peux pas en 5 minutes comprendre ce que sont censées m'apprendre ces graphiques. D'autre part, je vois qu'il n'est question que de puissance ESTIMÉE. Estimée comment ?
  7. Ta réponse n'est pas satisfaisante. Si cette augmentation saute au yeux tu devrais facilement trouver des tonnes d'exemples concrets pour le démontrer.
  8. Comme quoi la vitesse moyenne sur un tour ne veut pas dire grand chose, contrairement aux résultats des calculs sur les ascensions (avec les précautions d'usage). Cf Chronowatts
  9. Tu compiles des résultats de courses sur circuits similaires ou identiques sur 10/15/20 ans ?
  10. Je n'ai pas de données pour vérifier ce que tu affirmes concernant les vitesses des jeunes cyclistes (dont les parents n'ont pas forcément les moyens de les équiper à la pointe du matériel), mais pour ce qui concerne les pros il me paraît évident que plusieurs facteurs contribuent à augmenter les moyennes : -- L'internationalisation qui élimine les moins performants dans tous les pays. Aujourd'hui, sur le TdF, chaque étape ou presque devient une classique. Chaque participant ou presque est assez costaud pour gagner une étape. -- La couverture télé en continu. Quand elle n'y était pas, il n'y avait guère d'intérêt à débuter l'étape à plus de 50 km/h s'il n'y avait personne pour le voir à l'écran. -- Les D.S. qui poussent dans les oreillettes, parce qu'ils ont eux-mêmes la pression des parraineurs. Enlève tous ces facteurs, il ne reste plus grand chose pour le matos. Un facteur sur lequel j'attends d'en savoir plus : l'alimentation.
  11. Là on ne fait pas dans le détail. 40 km/h sans vent, avec un SCx de 0,3, ça approche des 300 watts. 5% de 40 km/h = 2000 m. verticaux à l'heure. Pour un total cycliste + vélo de 75 kg, ça demande 736/2 = 368 watts. Inutile d'ajouter le résistance de roulement, il faut autour de 650 watts minimum, donc on parle d'un sprint.
  12. Ça m'a toujours fait sourire ces affirmations qu'il y aurait une vitesse où les roues aéro deviendraient efficaces.
  13. Pour clarifier certaines choses. Le clm avec 2 roues carénées dont j'ai parlé et qui m'a fait gagner de l'ordre de 10% en vitesse n'est pas totalement comparable à l'usage de 2 roues profilées. J'ai fait de très nombreuses sorties moyennement vallonées et assez longues (80-120 km) avec un même vélo muni de roues "plates" ou de mes Corima profilées et je n'ai jamais vu de grosses différences entre ces 2 configurations. Peut-être au mieux 1 ou 2 km/h. Mais entre 1 jour et un autre, selon le vent, les différences peuvent dépasser 2 km/h. Donc, pour en revenir à ce clm +10%, il est possible que j'aie été dans une super journée ou supermotivé et aussi que l'absence totale de vent ait joué un rôle. Par ailleurs, la roue avant joue un rôle aérodynamique bien plus important que la roue arrière et il est rare de pouvoir en utiliser une totalement carénée (je me souviens de LeMond qui avait pris ce risque dans le clm final d'un Giro, 1989 ou 90, qui lui avait servi simplement de préparation pour le TdF et n'avait guère fait que cette étape à fond.) Comme je n'ai jamais fait de sorties test dans les configurations évoquées plus haut, je ne veux pas être trop affirmatif quant à mes observations.
  14. Effectivement, je ne me souvenais plus sur le moment qu'il y avait également des échantillons 1998. Ce qui ne blanchit nullement Axel Merckx, pas plus que Bobby Julich. https://www.sudouest.fr/sport/cyclisme/dopage-sur-le-tour-de-france-1998-un-pantheon-des-annees-noires-8743844.php 1998 c'est le pire des années EPO. Les années 94-98 sont bien sûr encore pires que les années suivantes. Il fallait avoir le culot de L.A. pour oser en prendre autant que lui en 99 après le coup de tonnerre 1998.
  15. Non. Je suis resté vraiment très souple jusqu'à un âge assez avancé. Par contre, c'est après que j'ai dégommé avec les coups de soleil sur les ... paupières et les 15 cm^2 de peau qui me manquaient sur les fesses : ça frottait forcément toujours au même endroit puisque je ne changeais pas de position.
  16. Certains sont plus souples que d'autres, s'entraînent davantage à la tenir, etc. Le contre-exemple : Jean Nuttli, sont entraîneur J-J Petitpierre m'avait expliqué qu'il ne tenait que 10 minutes dans la bonne position. Tout partait en .ouille après ces 10 mn. J'ai fait 1 clm de 24 h une fois dans ma vie, je n'ai jamais lâché le bas du guidon pendant ces 24h.
  17. Je ne sais pas si Marquez a tout compris, mais toi par contre tu n'as pas compris que dans le cas du record de l'heure on parle de gains aérodynamiques qui sont bien davantage dûs à la position du cycliste masculin ou féminin qu'à son vélo.
  18. 🤔😂
  19. On suppose que tu veux parler du TdF 1999. Axel Merckx a-t-il seulement été contrôlé? Il a abandonné à la 10e étape.
  20. J'ai mis un 💙, mais je ne suis pas d'accord avec ce bout que j'ai gardé. Pour le record de l'heure il est évident qu'il faut réduire le SCx tout en limitant au minimum les pertes de puissance. Monter en altitude, pas plus haut que 1500m c'est mieux, procure un avantage. J'ai estimé mon SCx en descendant le col de la Faucille dans la position de recherche de vitesse sur mon vélo route normal et obtenu un peu plus de 0,3 m^2 alors que ne faisait que 61-62 kg et taille à l'avenant. Boardman, sur son Lotus était à 0,18 m^2. En obtenant le SCx de Boardman sur le plat, j'aurais gagné dans les 20% de vitesse, donc +7 ou 8 km/h quand je roulais autour de 38 km/h autour du Lac de Divonne. 45-46 au lieu de 38. D'ailleurs j'ai raconté comment en collant des chemises en plastique sur les rayons de mes roues avant et. arrière j'avais gagné autour de 2'30" sur un clm que j'ai fait plusieurs fois en 24'30" à 25' (malgré une belle bosse), donc 10% de gagné avec juste ça. C'était un matin sans vent, d'où la possibilité d'utiliser cette roue avant bien carénée. Le sujet a été discuté en détail autour de cette page : https://forum.velo101.com/topic/29193-etiez-vous-fan-deddy-merckx/page/8/#comments Les gains que l'on peut espérer d'un meilleur aérodynamique sur le plat dépassent largement ce que peut procurer la chimie.
  21. https://www.cyclingnews.com/news/its-not-taken-seriously-at-all-marc-sarreau-lifts-lid-on-effects-of-concussion-in-cycling-following-retirement/ C'est l'original.
  22. Je viens de lire un article dans Cyclingnews au sujet de Marc Sarreau qui arrête le vélo. Je le retranscris ici parce que c'est un sujet important et j'espère que Cyclingnews ne m'en voudra pas. Je vais essayer de demander à DeepL de le traduire, en fait il faut le faire en plusieurs fois car le texte fait 5000 mots et DeepL ne fait 1400 à la fois. Je vous mets le début et vous laisse vous débrouiller avec le reste. ------------ « Ce n'est pas pris au sérieux du tout » – Marc Sarreau lève le voile sur les effets des commotions cérébrales dans le cyclisme après sa retraite Par Dani Ostanek, publié il y a 5 heures « J'ai compris que le cerveau est comme un permis à points. J'ai lentement perdu tous les points de mon cerveau et j'étais sur le point de n'en avoir plus aucun », explique le Français Marc Sarreau a pris sa retraite à la fin de l'année 2024 (Crédit image : Getty Images) Un an après avoir pris sa retraite de la compétition en raison des séquelles de multiples commotions cérébrales, l'ancien coureur de Groupama-FDJ Marc Sarreau a déclaré que cette blessure n'était « pas prise au sérieux » dans le cyclisme. Le Français, qui a mis fin à sa carrière de 10 ans à la fin de la saison 2024, a levé le voile sur ses difficultés liées aux commotions cérébrales ces dernières années dans une interview accordée au Parisien. « La prise de conscience que ce type de choc est très dangereux viendra progressivement », a déclaré Sarreau, qui a couru et s'est entraîné dans des situations dangereuses la saison dernière. « On ne peut pas se permettre de dire : « Bon, serrons les dents et repartons le lendemain. » Pour moi, ce n'est pas pris au sérieux du tout. » Le coureur de 32 ans avait continué à courir pendant la seconde moitié de l'année 2024, après avoir subi une commotion cérébrale lors du Tour de Slovénie en juin, dans l'espoir d'obtenir un nouveau contrat de deux ans avec son équipe. Il a déclaré au Parisien qu'il souffrait « tous les jours de maux de tête, d'un manque d'attention et de fatigue » en raison de sa blessure et a fait remarquer qu'il était « en fait inhabituel » qu'il ait pu quitter la course à cause de cela. « Avec le recul, je pense que je me suis mis en danger en revenant Traduit avec DeepL.com (version gratuite) ----------- 'It's not taken seriously at all' – Marc Sarreau lifts lid on effects of concussion in cycling following retirement By Dani Ostanek published 5 hours ago 'I understood that the brain is like a points-based license. I slowly ate away at the points in my brain and I was close to having none left' says Frenchman Marc Sarreau retired at the end of 2024 (Image credit: Getty Images) A year on from his retirement from racing due to the after-effects of multiple concussions, former Groupama-FDJ rider Marc Sarreau has said that the injury is "not taken seriously at all" in cycling. The Frenchman, who drew his 10-year career to a close at the end of the 2024 season, lifted the lid on his struggles with concussions in recent years in an interview with Le Parisien. "The realisation that this type of shock is very dangerous will come gradually," Sarreau, who raced and trained through dangerous situations last season, said. "We can't afford to say: 'Okay, let's grit our teeth and leave the next day.' For me, it's not taken seriously at all." The 32-year-old had been racing on in the latter half of 2024, having suffered a concussion at the Tour of Slovenia in June, in the hopes of securing a new two-year contract with his team. He told Le Parisien that he had suffered from "headaches every day, lack of attention, and fatigue" due to the injury and noted that it was "actually unusual" he was able to leave the race as a result. "Looking back, I think I put myself in danger by returning after the Tour of Slovenia," he said. "I followed the concussion protocol… however, things weren't going very well, even though I felt a slight improvement. "When I started racing again, the symptoms worsened. The headaches increased. As soon as I pushed myself, my blood pressure rose. But I couldn't see myself asking to stop racing" In the end, the decision was almost made for Sarreau. He had been negotiating a new contract with his team and forcing himself to continue racing. Sarreau said, however, that Groupama-FDJ boss Marc Madiot called him in September 2024 to cancel his proposed two-year contract extension. "He called to tell me that, with the head problems I'd been having since June, which weren't healing, they preferred to keep me safe," Sarreau said. "They feared that another crash would cause something worse. "The more the races went on, the more fatigue I accumulated. It got worse and worse. There were times when I thought I could crash at any moment. I didn't feel responsive, and nothing was going right. "After a few races, I still said I couldn't come back. It was during the Renewi Tour where I gave up. The team then entered me in the GP Fourmies and GP d'Isbergues. Then there was the phone call from Marc." Sarreau said that he later saw a specialist in Paris for tests, which "turned out to be very bad." The specialist told him that his brain was not recovering properly from the concussions and crashes, which had included major falls at the 2020 Tour de Pologne and 2021 Tour de Limousin. Sarreau was warned that "the more I fell to the ground, the worse it would get." Sarreau admitted that the crash in Poland – which came a day after Fabio Jakobsen's own career-threatening crash with Dylan Groenewegen – had been the start of his problem. "That was the beginning of the problems, but I didn't know it. It was just the first of the concussions," he said. "I understand now that we no longer absorb shocks in the same way. Normally, if you fall on your head, you can return after a week. Paradoxically, in Poland, I was lucky that I had also broken my collarbone and damaged my knee, which made a longer break mandatory." Sarreau said that the issue of concussions is "not taken seriously at all" in cycling, even after the introduction of the concussion protocol. Following his fall in Slovenia, which resulted in Sarreau shattering his helmet, he got back on his bike and rode the final 40km – "I dropped out of the peloton, realising I was barely lucid" – alone. He withdrew from the race overnight after being seen by another team's doctor (Groupama-FDJ's doctor wasn't at the race). "I saw another team's doctor, who told me that the symptoms were minimal. Yet I couldn't even write a proper text message to my partner. The next day, I didn't want to start," Sarreau said. "[Later] I respected the seven days without training. In the morning, I was 'stoned', as if I hadn't slept all night. During my rides, I was in pain after 10 minutes. The team had to consult a neurosurgeon by video, but he told me to do the opposite of the concussion protocol, which says to ride quietly until the headaches go away. He told me to do very intensive rides. "But in the morning, to go to training, I had to take [pain medication] Doliprane. I was able to resume competing after that. There were times when it was fine and others when I scared myself. I would put myself right at the back of the peloton because in the middle, if a guy touched me, I was no longer reactive – while part of my job was to protect our sprinter, Paul Penhoët." Sarreau is thankfully out of the peloton now, but the after-effects of his concussions still linger, he said. "Before, I didn't forget anything. Now, my partner has to remind me of a lot of things. I understood that the brain is like a points-based license. I slowly ate away at the points in my brain and I was close to having none left."
  23. Maintenant que tu connais Stefan, je te propose de te familiariser avec George, George Zweig bien sûr, le physicien qui n'a pas reçu le prix Nobel et qui plus tard s'est tourné vers la neurobiologie. Son grand fait d'arme (1963) c'est d'avoir proposé des particules constitutives des protons. A peu près en même temps que Gell-Mann, il avait proposé de les appeler "Aces" (As dans les jeux de cartes), Gell-Mann optant pour le terme quark qui a prévalu. Si tu es curieux, wiki t'en dira plus.
  24. En fait ce que tu dis sur Hinault va beaucoup dans le même sens que ce que je raconte. Il n'a jamais compris qu'il était particulièrement doué et donc n'avait pas besoin de tactique adéquate puisqu'il gagnait dans tous les cas, sauf une fois, en 86 (2e étape des Pyrénées). On peut ajouter son attaque contre Fignon dans l'étape de l'AdH en 84 où Fignon s'était fichu de lui, mais en 84 il n'avait pas totalement repris tous ses moyens. Voeckler, lui, avait besoin de tirer toutes les ficelles pour arriver à s'imposer. Si Hinault était aigri (je ne sais pas si c'est le cas), il me semble que ce serait surtout de ne pas pouvoir devenir un grand éleveur de bovin,
  25. COPIé SUR 7SUR7.be Axel Merckx, manager sportif de l'équipe jeunes d'Armstrong 25 septembre 2008, 15:21 Axel Merckx fait son retour dans le cyclisme. Un an après avoir pris sa retraite sportive, le fils d'Eddy Merckx a accepté de devenir le directeur sportif de l'équipe américaine espoirs Trek-Livestrong, mise sur pied par Lance Armstrong. Merckx et Armstrong sont de vieilles connaissances. En 1995 et 1996, les deux hommes portaient le même maillot au sein de l'équipe américiane Motorola. L'objectif de Merckx sera de recruter une dizaine de jeunes coureurs talentueux et de leur donner une préparation adaptée. Il prendra également place dans la voiture suiveuse. Basée aux Etats-Unis, l'équipe comptera notamment un jeune Américain très prometteur: Taylor Phinney, fils de Davis et Connie, tous deux médaillés olympiques. (belga)
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