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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Idéal pour faire du vélo, tu veux dire ? 😉 J'adore la chaleur, même grimper un col à 35° à l'ombre ne me rebute pas. Au passage, c'est là que les «maigrelets» prennent leur revanche sur les «phoques». 😛
  2. Ça vient aussi des cervicales, pour ma part. Mais je n'ai pas d'engourdissement, juste tout bêtement très mal à la nuque quand je garde longtemps une position aéro (bras fléchis au maximum) avec la tête relevée. Séquelle, je pense, de quelques mauvaises chutes en judo, que j'ai longtemps pratiqué.
  3. Si ce genre d'épreuves te plaît, il y a celle-là aussi dans un mois : https://radamring.de/en/ Bon, vu le type de circuit qu'est le Nürburgring (chaque tour fait 25 km et plus de 500 m de dénivellation), il ne faut pas t'attendre à des moyennes aussi élevées que sur le Castelet… 😛
  4. On arrête pas de me dire que je mouline trop, je vais pas en rajouter ! :-))
  5. 166 km en ce lundi de Pentecôte, avec les quelques 100 km du circuit balisé pour cyclistes « Sven Nys Cycling Route » dans le Hageland, entre Louvain et Diest, à l'est du Brabant flamand. https://www.visitvlaamsbrabant.be/fietsen/vind-een-fietsroute/sven-nys-cycling-route (néerlandais) https://climbfinder.com/fr/mes-itineraires/126367 (le même itinéraire, sur Climbfinder, avec les côtes indiquées). Temps sec, plutôt frais (10° au départ, 19° maxi), nuageux mais surtout venteux, grrr… La Sven Nys Cycling Route, du nom de l'ex-champion du monde de cyclo-cross (originaire du coin) existe depuis 2019, mais son parcours a été complètement changé en avril dernier. Il est devenu encore plus champêtre et panoramique. Ceci dit, le niveau de difficulté est resté à peu près le même, la moindre de ces difficultés n'étant pas l'état des routes, souvent aléatoire (air connu en Belgique, je sais). Encore que la principale difficulté, pour moi, a été le trajet retour de Louvain à Bruxelles avec le vent en pleine figure… 🥵 Changement de parcours ou non, le circuit se doit de passer devant la maison natale d'Eddy Merckx, à Kiezegem, avec une représentation du Cannibale assez réussie (j'ai dû photographier cette œuvre sous toutes les angles, depuis le temps). Nouveauté, par contre : juste après Kiezegem, on passe devant cette tour assez originale, appelée « Vlooybergtoren » (la tour du Vlooyberg) : Les curieux et amateurs de panoramas peuvent emprunter l'escalier contenu dans cette «tour» : Le point de départ du circuit (plutôt d'arrivée pour moi, puisque j'ai entamé le circuit quelques 15 km plus loin), se trouve comme avant au « Sven Nys Cycling Center », à Tremelo, un endroit aménagé pour la pratique du VTT et bien sûr du cyclo-cross, et où on peut se restaurer, se ravitailler et acheter quelques bibelots-souvenirs (malheureusement c'est fermé le lundi !). Le vélo isolé devant le centre, c'est le mien ! 🙂 Ce centre se trouve au sommet d'une colline lilliputienne, le Balenberg. Avec un sens de l'auto-dérision bien belge, voici comment ce Balenberg est annoncé sur le parcours (en français s'il vous plaît) : Bien fatigué au retour (le vent de face pendant les deux dernières heures m'aura vraiment fait mal !), mais j'aurai eu le plaisir de la découverte de ce circuit révisé, qui ma foi est une belle réussite.
  6. Nan, mais par contre je pourrais peut-être suivre la mode des manivelles courtes et remplacer mes 175 mm par des165 mm….🤪
  7. Oui, il est à ma taille (Jérémie Laplac, qui me l'a vendu, et moi avons le même gabarit) et d'ailleurs mon ancien vélo, un sur-mesure en acier, avait encore plus d'overlap que celui-là, malgré qu'il avait des pneus de 25 et l'actuel des pneus de 32. En fait je pense qu'il suffirait d'un centimètre de longueur de cadre supplémentaire pour que mon pied ne touche plus du tout sur mon vélo actuel. C'est assez rageant.
  8. Ce n'est pas moi qui ai un problème avec le fait que l'overlap ne te cause aucun problème réel (tant mieux pour toi :-)), mais toi qui en a un avec le fait que ça m'en cause un. Citation schtroumpfique : Alors je me pose des questions, parce que votre blabla là, c'est un peu du n'importe quoi... Ben non, c'est pas n'importe quoi. Je n'éprouverais sans doute pas de problème particulier avec cet overlap si je roulais sur tes parcours ou j'étais resté dans la vallée du Grésivaudan à grimper en montagne à chaque sortie. Mais dans ma pratique actuelle, si.
  9. Je ne roule pas en moto. Je roule en vélo très régulièrement depuis trente ans. Depuis vingt-cinq ans j'habite en pleine ville (trois ans à Tournai, le reste à Bruxelles, pas vraiment une ville à petit trafic) et les freinages d'urgence sont dus le plus souvent aux imprévus de la ville : le gamin qui échappe à ses parents, le chien qui fait de même avec son maître avec la laisse bien tendue derrière lui, la voiture qui vient de te dépasser et qui tourne brusquement à droite alors que tu es sur la bande cyclable du bas-côté, celle qui surgit en marche arrière sur ta droite en sortant de son parking, la portière qui s'ouvre devant toi, l'obstacle sur la piste que tu n'as pas vu alors que le trafic bloque toute esquive, etc. Ce n'est heureusement pas systématique, mais régulier si, genre une fois par mois ou tous les deux mois. Quant au pied qui touche la roue avant, j'ai déjà relaté mon expérience plus haut sur ce même fil, et d'autres que moi aussi. Je reste sidéré que sous prétexte que ce phénomène ne vous gêne jamais, vous soyez incapables de concevoir que ça puisse en gêner d'autres. Et ce malgré les expériences concordantes relatées ici même. C'est donc si dur que ça de réaliser que d'autres personnes peuvent avoir d'autres expériences que la vôtre ? Au moins, on aura essayé de vous faire comprendre.
  10. Et si on parlait des freinages d'urgence ? 😇 Pour ceux qui ne sont pas au courant : Gérard a affirmé un jour, apparemment sans rire (mais qui sait avec lui) que les freinages d'urgence à vélo, ça n'existait pas. Pour ceux qui comme moi sont régulièrement obligés de freiner en urgence, ce genre d'affirmation ne s'oublie pas. Pas plus que celle qui affirme que le pied qui touche la roue n'est pas un sujet, d'ailleurs. Un sujet de 7 pages déjà, quand même 😛
  11. Depuis 25 ans que je vis en Belgique je n'ai pas réussi à changer mon mental vis-à-vis du vent, et j'ai 53 ans. Tu crois vraiment que j'ai encore une chance ? 🤔
  12. On est à peu près du même gabarit tout frêle (178 cm et 62 kg pour moi), cela joue sûrement un rôle déterminant. Et oui, le fait que l'ennemi soit « invisible » (même si souvent bien audible) contrairement à une montée bien pentue doit sûrement jouer dans la gestion mentale de la chose. Faute de mieux, je gère comme je peux : quand le vent est fort, je travaille la position mains en bas, pas forcément la plus aéro mais certainement la plus stable. Généralement, je cherche le creux des quelques vallées brabançonnes ou l'abri des rares forêts (celle de Soignes, notamment), je grimpe des raidards qui m'abritent eux aussi de par leur pente… 🙂
  13. En quelque sorte… C'est Jean-Paul II :-))
  14. Ce n'est pas une question de technique, ni de braquet (je sais parfaitement gérer tout cela face au vent), c'est une question de mental pour moi. Je viens d'une région (le Grésivaudan, au nord-est de Grenoble) abritée des vents dominants par les massifs montagneux environnants (Chartreuse, Belledonne, Vercors, Bauges). J'ai pour ainsi dire appris à pédaler dans les cols de montagne, mais donc pas à gérer le vent. Depuis que je suis en Belgique, j'ai appris à le faire, mais je n'ai jamais réussi à l'apprécier, au contraire. À cause du vent, devoir pédaler à 25 km/h dans une descente où tu atteins normalement les 40 km/h en roue libre, ou pédaler à 15 km/h sur un braquet de montée, pendant 30 km voire plus encore, sur une route plate comme une crêpe… ça me plombe toujours le moral, même si je sais que ma forme n'a rien à voir là-dedans. Et je suis probablement trop vieux pour que ça change.
  15. 34 km de sortie d'après-boulot, dans la forêt de Soignes et les alentours immédiats. Séance de petits sprints au sommet des bosses, pédalage en décontraction et vélocité le reste du temps. Pas mal de vent (moins sensible en forêt, merci les arbres pour votre abri !) et une légère bruine en fin de parcours, mais rien de méchant de ce côté. À propos de forêt de Soignes : a priori les quatre roues sont interdits sur les pistes que j'ai empruntées… sauf ce genre-là, bien sûr, vu à l'entrée du chemin des Tumuli, un des itinéraires favoris des cyclistes dans la forêt. Ça fait pittoresque 🙂 https://climbfinder.com/fr/montees/chemin-des-tumuli
  16. Ça fait TRÈS longtemps que je n'ai plus connu en Belgique de sortie sans vent gênant. Certes, j'y suis hypersensible, mais quand même… Quand il n'y a pas de vent, c'est que je suis retourné pédaler dans le Grésivaudan près de Grenoble. 🙂
  17. Je suis sorti par des conditions semblables, voire pire que celles d'aujourd'hui, qui me faisaient râler sur ce forum contre ce p… de vent, et qui régulièrement me valaient cette remarque de ta part : « le vent est ton ami ». Si c'est une question de proportionnalité, alors c'est ton coefficient de proportionnalité qui a dû changer ces derniers temps. 😉
  18. Es-tu bien la même personne que celle qui me répétait sans arrêt : « le vent est ton ami » ? 🤔
  19. 58 km pour un aller-retour traditionnel Bruxelles-Louvain cet après-midi. Aller plat par l'autoroute cycliste F3 et fort vent dans le dos, retour « ondulé » par la N3 avec le même vent mais de face, de quoi travailler le mental. Mais je n'ai pas essayé de forcer outre-mesure. Temps venteux donc, et nuageux, mais doux (dans les 22° C) et sec.
  20. Pas étonnant, il a un faible pour les grandes dentures. 😛
  21. Je sais que tu plaisantes, mais j'imagine que certains seront tentés de te prendre au sérieux, donc je précise que ce moment-clé de la course a été retransmis en direct sur Eurosport (la version néerlandaise en tout cas), dont je suivais la retransmission. Edit : grillé par Olivier.
  22. 126 km aujourd'hui, dont les quelques 98 km de la «route cycliste de la Flèche brabançonne» (Brabantse Pijl Cycling Route), et au retour, 14 km en balade décontraction avec ma fille à Bruxelles même. https://www.visitvlaamsbrabant.be/fietsen/vind-een-fietsroute/de-brabantse-pijl-cycling-route (néerlandais) Sur un panneau de présentation du circuit, à Overijse, on peut lire ça: Les obstacles traditionnels de la course étaient bien sûr au rendez-vous : Moskestraat, Hertstraat, Holstheide… et d'autres en rab comme le Smeysberg ou la rue de Pécrot. https://climbfinder.com/fr/mes-itineraires/122666 Cette « route cycliste de la Flèche brabançonne » est devenu un peu mon circuit-repère : c'est tout près de chez moi, il reprend pas mal de mes côtes d'entrainement habituelles, et je le fais donc plusieurs fois par an, pour étalonner ma forme. C'était la 2e fois cette année aujourd'hui, et ma foi les sensations étaient clairement meilleures que la première fois. J'ai pu noter que les panneaux de fléchage avaient changé (pourquoi ? aucune idée). Avant, c'était des panneaux hexagonaux comme celui ci-dessous (au centre) : Maintenant, ce sont des panneaux rectangulaires, en néerlandais dans le Brabant flamand : ou en français dans le Brabant wallon : (Notez le doublage discret en néerlandais… il faut dire que c'est l'office du tourisme du Brabant flamand qui est à l'origine de ce circuit et de son fléchage.) Côté météo : temps doux (maxi 20°), sec, mais gris et malheureusement suffisamment venteux pour me faire garder les manchettes toute la sortie. Mais je n'étais pas le seul, beaucoup d'autres cyclistes croisés avaient également des manchettes voire carrément un maillot à manches longues.
  23. Fais gaffe, la maladie du canapé Schtroumpf, c'est contagieux. Symptômes indubitables : n'avoir envie de sortir le vélo que lorsqu'il fait plus de 25° à l'ombre et sans le moindre nuage dans le ciel. empâtement des articulations des jambes, empêchant de tourner les jambes correctement ; engourdissement des doigts empêchant de changer de vitesse quand il y en a besoin ; baisse de l'oxygénation (peau bleuie) ; déformation des plateaux (tendance à l'ovalisation) ; augmentation exponentielle de l'envie de se goinfrer de chocolat… Il n'est pas trop tard pour réagir. Courage !
  24. Il faut quand même se rappeler qu'au début du Giro il sortait juste de maladie. https://www.rtbf.be/article/je-ne-sais-pas-si-je-suis-en-bonne-condition-wout-van-aert-amoindri-au-depart-du-giro-11543690
  25. 42 km pour moi ce matin de jeudi d'Ascension. Parcours vallonné mais sans raidard dans le sud-est de Bruxelles, sous un temps gris et venteux. Quelques gouttes en début de sortie puis temps sec.
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