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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. J'ai apprécié aussi le respect par Péraud de son matériel (et en même temps remarqué, avec les commentateurs de la chaîne de télé que je regardais, qu'il avait oublié de transférer son bidon sur le nouveau vélo, ça aurait pu lui coûter cher!). Faut quand même rappeler que pour Riis c'était la troisième ou quatrième fois qu'il avait des problèmes mécaniques sur le même contre-la-montre. Quand on est fou de rage, on perd tout contrôle… Ça arrive à tout le monde de péter un plomb. Mieux vaut alors que ce soit sur du matos que sur une personne!
  2. Pour certains le plaisir est aussi dans l'amélioration de ses performances, aussi ridicules qu'elles puissent paraître. Pour ma part, je ne cherche pas à les améliorer particulièrement, tant que j'atteins les objectifs que je me fixe. Si je n'avais pas besoin de m'entraîner pour faire Liège-Bastogne-Liège Challenge, hé bien je ne m'entraînerais pas! 😇Ce qui fait que je ne me range pas parmi les cyclosportifs, du moins selon le sens que j'accorde à ce terme.
  3. Martin n'emmène pas le 58/11 sur le plat! À sa cadence habituelle de 95 tours/minutes, que j'ai constatée en regardant la retransmission, un 58/11 le ferait aller à plus de 60 km/h! Du reste quand il pédalait sur le plat, on voyait que sa chaîne était vers le milieu de sa cassette, donc j'imagine un braquet du genre 58/14, 58/15 sur le plat.
  4. Bonsoir Jacques! Même les cyclistes d'un niveau modeste peuvent avoir envie de tirer le maximum de leurs capacités. Je pense même que c'est le principe fondamental du cyclosport. Le but n'est pas d'atteindre le haut niveau, mais d'atteindre son plus haut niveau. Alors même si cela ne signifie que de passer de 200 W à 250 Watts sur une longue ascension, c'est bon à prendre, et c'est à cela que cette science pourrait leur servir.
  5. Mon compteur tient compte uniquement du temps où le vélo se déplace pour le calcul de la vitesse moyenne (donc les temps de pause ne comptent pas) et même si je voulais qu'il en soit autrement il n'y aurait pas moyen. C'est un modèle assez cheap après tout, mais il a tout ce que je voulais — sauf le chronomètre. Question à mille euros : quand peut-on considérer qu'on est sorti de Bruxelles? Quand on sort des limites de la Région bruxelloise officielle ou quand on sort de sa véritable agglomération? Dans le premier cas, je peux sortir de la Région bruxelloise en dix minutes de vélo, en allant vers le nord ou vers l'est. Problème, c'est qu'alors c'est tout aussi citadin (Zaventem, Kraainem, Wezembeek-Oppem…) et en plus c'est nettement moins intéressant sportivement parlant. Les côtes les plus intéressantes des environs sont quasiment toutes dans le pourtour sud de Bruxelles, à cheval sur la frontière linguistique, comme tu le sais. Si je veux sortir de la région bruxelloise en allant vers le sud (le plus intéressant sportivement donc) il me faut au minimum 30 minutes vers Tervuren - Overijse ou une heure vers Hoeilaart - Rhode-Saint-Genèse. Dans les deux cas je me trouve alors en forêt de Soignes… avant de passer au cœur de ces communes! Quand à sortir de l'agglomération bruxelloise véritable, heu… On pourrait considérer que tout le Brabant n'est qu'une vaste agglomération bruxelloise, en fait, et je pourrais répondre que je ne peux quasiment pas en sortir! 😬 Mais disons qu'une fois que j'ai dépassé Tervuren-Overijse d'un côté et Hoeilaart - Rhode-Saint-Genèse de l'autre, ce qui me fait environ 1 h et 1 h 30 de vélo, les conditions de circulation sont moins agressives.
  6. Merci! Mais je n'ai pas de mérite, depuis que j'ai commencé le vélo de route à l'adolescence j'ai toujours aimé grimper. Ne faire que du plat, ce serait triste pour moi. Habiter en Wallonie, pourquoi pas, mais le plus près possible de Bruxelles alors, pour raisons aussi bien familiales que professionnelles. Donc question terrain d'entraînement pour le vélo, ça ne changerait pas grand'chose! Et puis j'aime bien Bruxelles en tant que telle. Si seulement ses routes et pistes cyclables étaient dignes de son ambiance… Aujourd'hui, contrairement à ce que j'avais prévu, je ne suis pas allé en Ardenne. La météo qui prévoyait des orages en cours de journée dans tout le pays m'a fait peur, j'ai préféré donc faire du vélo dans les environs de chez moi et seulement le matin. Comme ça en cas de grosse pétarade, je pouvais me mettre à l'abri plus facilement. Et finalement il n'est pas tombé une goutte de pluie ni eu un seul coup de tonnerre ici de toute la journée, et peut-être pas plus en Ardenne! 😠 Ça m'apprendra à ne pas suivre mes envies! Bref, sortie de 83 bornes aujourd'hui dans l'agglomération bruxelloise, mais un peu plus longue et plus loin que celle d'hier (j'ai sillonné le sud-est de Bruxelles jusqu'à Wavre cette fois). Donc globalement un peu moins de trafic, de feux de circulation et d'intersections, et une vitesse moyenne de 19,9 km/h (4h10 de vélo) et une cadence moyenne de 85 un peu moins minables que la veille (18,7 km/h, 81 tours/minutes). Faudra que j'évite de regarder la fonction "vitesse moyenne" du compteur tant que je roule en agglomération, à la longue ça risque d'être démoralisant, même si je sais que les conditions de circulation sont ce qu'elles sont! 🙁
  7. J'ai presque exactement les mêmes symptômes que toi! Ma cheville droite "travaille" beaucoup plus, vu que le talon descend nettement plus. En revanche il remonte au même niveau que le gauche. Ce qui fait que le mollet droit travaille beaucoup plus, et également la partie intérieure du quadriceps droit. Quand les crampes apparaissent, c'est d'ailleurs toujours à ces deux endroits d'abord! Pas de problème pour l'ischio-jambier gauche par contre. Pour ma part, la cause première est que ma jambe droite est d'1 cm plus longue (squelette) que ma jambe gauche. Peut-être est-ce quelque chose du même ordre pour toi aussi. Va voir un médecin du sport ou un ostéopathe, si possible au courant des choses du cyclisme. Il vérifiera si ton corps présente l'une ou l'autre asymétrie et si ça te gêne vraiment, essaiera de te rééquilibrer. C'est ce que j'ai tenté de mon côté il y a une dizaine d'année: port de talonnettes, semelles spéciales… pour m'apercevoir dans mon cas que ça ne résolvait pas grand'chose et ne faisait que déplacer les problèmes (apparition de diverses douleurs tendineuses que je n'avais pas avant). Mon corps s'était probablement adapté à ma dissymétrie, de sorte que toute perturbation de ce fragile équilibre lui était plus néfase qu'autre chose. Finalement, j'ai abandonné tout rééquilibrage artificiel et aujourd'hui je m'arrange avec mes imperfections! Notamment par le biais d'étirements réguliers et systématiques après effort et si possible avant (après échauffement). Je suis également devenu très prudent avec ma position (étudiée sur mesure à la base) et s'il m'arrive d'y faire une correction, j'y vais millimètre par millimètre.
  8. À Poulidor, peut-être, mais à Nieve pas sûr. Tout dépend de la mentalité de la personne. Je ne connais pas Nieve, donc je ne sais pas comment il aurait réagi, mais il y a des personnes qui n'aiment pas qu'on les encourage dans une montée de col. Si si, ça existe! Moi ça me laisse indifférent, mais mon père n'aime carrément pas ça, il préfère qu'on lui foute la paix pendant qu'il grimpe. Ah bien tiens, il est d'origine espagnole, justement! 🆒
  9. Je ne suis pas sûr du tout que Nieve ait mal pris l'absence de geste de Nibali. On peut aussi considérer ce genre de geste comme condescendant, limite méprisant. Un Espagnol, et encore plus un Basque, c'est fier, et donc Nieve n'aurait peut-être pas apprécié du tout.
  10. Tu sais, même s'il avait toujours vécu en Guadeloupe il aurait vécu en France. 😉
  11. OK, c'est dans le sujet voisin :-). Courtesy of Bernard Moreau: Bjarne Riis --------- DEN | 34:40 | 1996 Lance Armstrong ----- USA | 36:20 | 2000 Vincenzo Nibali ----- ITA | 37:20 | 2014 Je ne sais pas si la différence est significative, mais elle est là!
  12. Ce serait intéressant de comparer avec les temps de montée de Riis en 96 et Armstrong en 2000. Quelqu'un les aurait-il?
  13. Ce n'est vraiment qu'une impression. Dopé ou pas, fluidité ou pas, ils se font mal aux jambes! Nibali a un peu une position de pistard, plutôt en arrière donc, et ne fait pas de bec de selle. Il pédale «avec les reins». Comme Wiggins ou Van Garderen actuellement. Ullrich en son temps également. J'ai remarqué que les coureurs posés comme ça se déhanchent beaucoup moins (en général) que ceux assis sur l'avant et qui souvent, en plus, font du bec de selle. Ça peut donner une impression (trompeuse) de facilité quand de plus leur vélocité est élevée, ce qui est le cas de Nibali ou de Wiggins.
  14. «Perso, quand je faisais 5000 à 10000 km/an, j'étais quasi toujours en danseuse dans les côtes, je n'arrivais pas à mettre petit pour rester assis.» C'est exactement l'inverse pour moi. Je suis quasiment toujours assis sur de tout petits braquets que je tricote consciencieusement, et j'ai du mal à passer en danseuse. «Petits braquets ou grosse force?» Les deux mon capitaine. 😉 Ils ont les mêmes braquets qu'un cyclosportif ordinaire actuellement (à en croire Vélo101, des 39/28 ou 36/28 en braquet minimal sont de plus en plus fréquents — les Sky ont une cassette fixe de 11-28 pour chaque étape par exemple) mais avec la puissance dont ils disposent ils les tournent beaucoup plus vite que le cyclo ordinaire — et donc ils vont beaucoup plus vite. Personnellement je préfère ça à un Bjarne Riis qui montait Hautacam sur grand plateau.
  15. Sortie en agglomération bruxelloise de 3 petites heures ce matin, prétexte pour étrenner mon compteur flambant neuf. Marque Specialized, modèle «Elite», filaire donc pas cher, mais avec pas mal de fonctionnalités : vitesse instantanée bien sûr, vitesse moyenne, vitesse maximale, distance, distance totale, cadence instantanée, cadence moyenne, cadence maxi, heure et même température. Manque juste le chronomètre, mais bon j'ai ma montre pour ça. Ce que me dit ce compteur pour aujourd'hui: 56,34 km de sortie, à 18,7 km/h de moyenne (le prix à payer quand on roule en ville, c'est ce genre de moyenne ridicule 😢). Cadence moyenne de 81 tours/minutes, ce que je trouve pas mal compte tenu de tous ces arrêts dûs aux feux et aux intersections… Cadence maxi de 131 tours/minutes (descente du Bruine Put) à 61,5 km/h sur le 46/11. Température ayant oscillé entre 22° et 25°, idéale. Demain matin, test grandeur nature (dans tous les sens du terme) dans les Ardennes!
  16. Moi les côtes avec des pentes à 11% et plus m'attirent comme des aimants! Difficile, ça le serait moins avec un 30/29, ou mieux un 26/29. 😆 Faudrait juste accepter, soit de tourner les jambes un plus vite et d'aller à la même vitesse globale, soit d'aller un peu moins vite en tournant les jambes comme avant (et donc souffrir moins). Mais bon, tu as choisi et je ne veux pas relancer ce débat-là (grand écart entre les plateaux — insupportables pour moi, changements de chaîne en rafale ou pas—, ligne de chaîne, limites sur les développements…) qui a déjà eu lieu. Quand tu passais du 33/28 au 33/29, sentais-tu vraiment une différence? Il y en a ici qui doutent de l'importance d'une dent d'écart en montagne (pas moi), ça pourrait les détromper. Ceci dit, je préfère de loin un étagement régulier!
  17. Si tu parles de manque de style, je trouve que Péraud, avec sa position étonnamment avancée et relevée, en manque tout autant sinon plus!! Mais ça n'a jamais été le style qui fait le coureur! 😉 «Nos petits français savent tenir sur un vélo et n'ont pas besoin des petites roues sur route mouillée ou quand ça descend…» Oh la malheureuse affirmation. On connaît tous les appréhensions que doit affronter Pinot quand ça descend. Et l'année dernière, Péraud avait justement dérapé en descente dans un virage humide lors du contre-la-montre et avait dû abandonner le Tour. Je prie d'ailleurs pour que rien de ce genre ne lui arrive pour le prochain contre-la-montre.
  18. Chapeau pour ce périple qui a dû demander une volonté de fer de votre part à tous, pour l'organisation comme pour la partie vélo en elle-même! L'écart de 17 dents entre le 50 et le 33, c'est quelque chose qui me fait peur! À mon avis il manque un plateau intermédiaire! (Désolé, pas pu résister 😉) Mais c'est surtout autre chose dans la partie technique de ton message qui m'a frappé: tes quatre dernières dentures seraient « 24 26 28 29 », dis-tu. Soit une dent de différence pour les deux derniers pignons, alors que les écarts précédents sont de deux dents. Est-ce une erreur dans ton texte, et si non pourquoi ce si faible écart, par curiosité?
  19. À tout hasard, voici l'adresse de la Royale Ligue Vélocipédique Belge: http://www.belgiancycling.be/?language=fr Tu peux déjà y demander des renseignements. Quand je suis arrivé à Bruxelles en 2000, c'est ce que j'avais fait, et à l'époque on m'avait répondu qu'il n'y avait carrément aucun club bruxellois affilié, tous étaient basés dans les communes alentours, flamandes ou wallonnes. J'en avais repéré un à Wavre, mais c'était quand même un peu loin de chez moi. Mais la situation a peut-être changé depuis lors! Sache aussi qu'il y a pas mal de clubs non licenciés, mais je n'ai pas d'adresse précise à fournir. Une autre idée : questionne les vélocistes proches de chez toi! Aussi, n'exclus pas forcément les clubs flamands. Certains d'entre eux sont bilingues, comme un du côté de Wemmel (nord de Bruxelles, près de Jette), m'a-t-on dit lors d'une balade.
  20. Décapités par l'abandon pour problèmes gastriques de Daniel Navarro, malheureusement. Il semblait bien parti avant ça.
  21. Aujourd'hui 5 h 30 de vélo dans les Ardennes de la province belge du Luxembourg, dans les environs d'Houffalize et de La Roche. Parti de Bruxelles en voiture, je me suis "parqué" dans le centre d'Houffalize, mon point de chute favori dans les Ardennes et j'ai sauté sur mon vélo direction La Roche pour me goinfrer de côtes. J'ai fait une liste des principales, avec l'aide des descriptifs de l'encyclopédie Cotacol: Côte de Mormont (Wibrin), 2300 m, 117 m de dénivelée et 5 % de moyenne : très régulière et pas très pentue, idéale pour s'échauffer. En prenant un "itinéraire bis" j'ai eu droit à un panorama magnifique sur la vallée de l'Ourthe. Côte du barrage de Nisramont (Ortho) 3200 m, 148 m de dénivelée, 4,6 % de pente moyenne, tout aussi régulière, encore une côte pour rouleurs: Côte du Parc à Gibier (La Roche), là on change de topo:1500 m, 133 m de dénivelée à 8,9 % de pente moyenne, avec des pourcentages hectométriques variant de 1 % à… 15 %, maxi 18 % sur 5 m. En fait, il s'agit de deux «murs» séparés par un replat.Après le Parc à Gibier, j'ai enchaîné après une courte descente avec la partie finale de la côte d'Haussire-sud, dont ses derniers 1300 m à 11% de moyenne très réguliers, sur une charmante route forestière presque parfaitement rectiligne. Côte de Hives (La Roche, bis): 3100 m, 183 m de dénivelée soit 5,9 % de moyenne, à nouveau une montée bien régulière. J'aime beaucoup cette côte, si on fait abstraction du replat dans le final, elle a un petit air de route de moyenne montagne.Côte du Trou Bourbon (La Roche, ter): un des «murs» locaux, 1000 m, dénivelée de 113 m, soit 11,3 % de moyenne. Les 900 premiers mètres varient entre 10 % et 13 % en pourcentages hectométriques, avec un pic à 17% sur 5m. Au sommet, après une courte redescente, on peut rejoindre la partie finale du Parc à Gibier (ce que j'ai fait), et là encore enchaîner avec la partie finale d'Haussire (ce que j'avais déjà fait :-)). Côte d'Haussire (La Roche, toujours), versant ouest cette fois: très longue côte à l'échelle ardennaise, 5400 m à 5,1 % de moyenne, dénivelée de 275m . Les quatre premiers kilomètres sont ceux d'une côte encore plus longue, la côte de Samrée, un boulevard très régulier autour de 4 % de moyenne. Ensuite, on entre dans la forêt pour 1400 m très irréguliers entre 3 % et 15 % pour accéder au sommet. Côte de Bérismesnil (Samrée), une côte conséquente de 3400 m à 6,4 % de moyenne, assez régulier pour une dénivelée de 216 m. Comme la côte de Hives, elle a un air de route de moyenne montagne, mais en plus large. Et enfin, l'assommoir final à Houffalize, la côte de la rue Saint-Roch, un classique de Liège-Bastogne-Liège, 1150 m à 11 % de moyenne (127 m de dénivelée), dont 500 m à osciller entre 12 % et 15 %. Après plus de cinq heures d'effort, on le sent passer, mais j'ai pu le grimper quand même sans problème, comme le reste. Au bilan, une très bonne après-midi vélo, avec des sensations bien meilleures que lors de ma sortie précédente dans les «Ardennes flamandes». La température globalement inférieure (25° contre 32°) a certainement joué, mais aussi sans doute un effet de surcompensation!Edit: Godverdomme, nomdidju! 😠 J'avais mis les liens des profils précis (hectomètre par hectomètre) de ces côtes, profils tirés de Cotacol et disponibles sur Climbbybike, mais ces liens ne fonctionnent pas. Je les ai donc enlevés. Pour les curieux prêts à faire des recherches par eux-mêmes, le site de Climbbybike est ici: http://www.climbbybike.com/fr
  22. J'adore sa façon de présenter Virenque : «Le violeur de Bescherelle, le boucher de la syntaxe!». 😃
  23. Le plateau intermédiaire est probablement usé et peut-être la chaîne aussi. Si c'est le cas, il faut changer.
  24. J'ai déjà fait le col du Mollard dans l'autre sens, et la deuxième partie de la Croix-de-fer versant Maurienne dans la foulée, lors du BRA de 1997. Le Glandon par Saint-Etienne-de-Cuines, je l'ai fait deux fois, lors des Vaujany 1999 et 2000… Je sais donc assez bien à quoi m'attendre si je fais le parcours que tu me conseilles. 😉 Faudra vraiment que je tienne la forme olympique en effet! Par contre je n'ai jamais grimpé le Glandon ou la Croix-de-fer à vélo du côté Oisans, je les ai toujours faits en descente (sportive comme descente d'ailleurs, ça re-grimpe sévère au Grand'Maison et surtout au Rivier d'Allemont…). J'aimerais combler cette lacune dans une quinzaine de jours, quand je retournerai voir ma famille dans le coin.
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