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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
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Reporter ses cotes sur un cadre cible
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Philippe CATALDO dans Le matos
Et justement, qu'en est-il du sur-mesure aujourd'hui? Vu que tu recherches quelque chose qui sort apparemment des normes habituelles, ce serait peut-être à recommander, mais est-ce trop cher à envisager plutôt qu'un cadre de série? (je suppose que le cadre envisagé est en carbone). C'est une vraie question, mon vélo a 12 ans déjà, un sur-mesure (acier) justement et je ne me suis plus préoccupé de l'offre en matière de cadre depuis. Peut-être que le sur-mesure n'a plus du tout la cote aujourd'hui (si j'ose dire)? -
Personne n'a relevé qu'Armstrong lui-même a écrit la préface de ce livre?
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Ça, je laisse la Meuse s'en charger, mais elle prend tout son temps cette fainéante! Le fractionné, elle connait pas, visiblement. 😃
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«… sans quoi on saute dès les premiers changements de rythme. » Dans le mille! C'est là ma principale motivation pour faire du «fartlek», pouvoir garder les roues d'un groupe sur le plat lors d'une randonnée. Quand j'attrape un groupe, je me fais souvent lâcher au bout de la n-ième accélération du leader du groupe au sortir d'un virage ou lors d'un court changement de pente. Ce qui fait que je traîne ma misère entre deux longues bosses, malgré le fait que dans ces longues bosses elles-mêmes je fais généralement bonne figure. Sauf les dernières, parce que les kilomètres passés seul à lutter contre le vent tandis que les autres s'économisaient en groupe finissent par peser lourd! En fait, les cyclosportives qui me conviennent probablement le mieux sont les montées chronométrées d'un col. Effort intense mais uniforme et sans changement de rythme, c'est plus pour moi, d'autant que mon gabarit de fil-de-fer me donne un avantage de départ non négligeable. En 2000, j'avais fait le chrono de la Bastille de Grenoble. J'ai terminé en plein milieu du classement (52e sur 100, dans ce genre-là) quand d'habitude je finis toujours en queue de celui-ci. Malheureusement il n'y a pas l'équivalent en Belgique, il faut donc bien que je m'adapte un peu :-)
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C'est pas toi qui nous donnais les braquets des cadets en guise de comparaison, par hasard? Et on parle de «cadets» uniquement en compétition, que je sache? Hé oui, Les cadets font de la compétition et c'est ce qui leur donne une condition physique supérieure à la nôtre. La compétition c'est savoir se faire mal en permanence s'il le faut, même quand le corps crie stop. Le fartlek que je fais, c'est selon mon envie et mon humeur, et c'est là l'énorme différence. Soit tu n'as pas compris que je n'aime pas souffrir au-delà d'un certain niveau, soit tu ne l'admets pas. Mais c'est comme ça. Non, je ne suis pas prêt à souffrir pour m'adapter à un 39/25 ou même un 34/25. Je préfère adapter les braquets à mon niveau et à mes caractéristiques, pas adapter mon niveau à des braquets. Si je progresse, c'est à mon rythme et selon mon envie (et mon temps libre). Je suis un cyclotouriste sportif, pas un cyclosportif et encore moins un coureur. Si un jour ma façon de faire ne me donne plus le niveau de faire mes randonnées habituelles, hé bien j'arrêterai ces randonnées. Et je crois avoir tout dit à ce sujet. Si tu ne veux pas admettre qu'il y a d'autres façons de concevoir le vélo que la tienne et qu'elles ne sont pas moins respectables malgré leur niveau moindre, libre à toi. Ça ne va rien y changer. Au plaisir de se croiser sur les routes belges (ou grenobloises), qui sait.
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Même les cadets sont plus forts qu'Arnaud ou moi. De très loin, probablement (je dis probablement parce que je ne connais pas les capacités d'Arnaud, mais je pense en avoir une idée d'après ce qu'il nous a dit). Et probablement plus forts que la majorité des participants de ce forum également. Parce que ces cadets font de la compétition, pas nous. C'est un autre monde. Je cite Claude Claude Genzling, dans un des livres qu'il a publié avec Bernard Hinault ("Vélo: loisir, cyclotourisme, cyclosport, raid"): «Le cyclosportif qui sort du rang des cyclotouristes, même rapides, se doit de participer à des courses en ligne, pour acquérir une résistance sans laquelle il ne pourra jamais rivaliser avec un coureur, même au train (c'est moi qui mets en gras). C'est une question de métabolisme, de rythme, et de mental. La compétition seule, la vraie, oblige à se «sortir les tripes», et à «en remettre» quand on «n'en a plus». » Mais comme la compétition ne nous intéresse pas, les cadets seront toujours plus forts que nous.
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Votre sortie du jour 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
Après les deux dernières sorties à faire du fartlek, aujourd'hui c'était 4 h de balade-détente en tournant les jambes sans jamais forcer sur un parcours quasiment tout plat au nord de Bruxelles, dont la moitié suivait un circuit balisé appelé Kanaalroute. Vent fort et tourbillonnant, mais temps splendide et température idéale. Malheureusement c'était le dernier jour de beau temps annoncé avant, d'après la météo locale, une longue période de jours pluvieux… 😢 -
Les cyclos en Belgique 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Olivier LEBOEUF dans Les évènements route
Si c'est comme pour Tilff-Bastogne-Tilff, on risque d'attendre jusqu'à 15 jours avant le départ, ou encore plus tard, avant de connaître le parcours. Négocier un parcours avec les autorités locales, même pour une randonnée il paraît que c'est pas toujours facile… -
Et pourquoi repasserait-il en 10 vitesses? C'est en 11 vitesses qu' une 11-25 aura moins de trous qu'une 11-28 ou même une 12-28… Si Contador ne se sert vraiment pas de son plus grand pignon, (ce qui m'étonnerait beaucoup, je le maintiens — tu n'as fait que le voir passer et donc pas suivi tout le long d'une ascension j'imagine ;-)), qu'il prenne une cassette (11 pignons) plus resserrée de ce genre, ça sera plus rentable pour lui.
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Si des fréquences de 80-90 n'ont rien de choquantes sur le plat, pourquoi cela serait-il le cas en côte? Je n'ai jamais compris pourquoi on devrait faire de grandes différences de fréquence de pédalage sur le plat et en côte, à intensité d'effort égale. Évidemment, il faut disposer des braquets adéquats. Pour moi quelqu'un qui a l'habitude de rouler sur le plat à 50 tours/minutes pour une intensité d'effort donnée devrait le faire aussi en côte pour la même intensité d'effort. Idem si c'est à 90 tours/minutes, ce qui est plus mon cas. Du côté de Grenoble je me suis parfois amusé à grimper des cols de 10 km et plus à 100 tours/minutes, juste pour voir ce que ça faisait. Mes braquets de VTTistes me permettent ce genre de fantaisie. Le bilan est que ça ne m'était pas idéal, loin de là! Mais c'était loin de me tuer. Ceci dit, pour de longs cols de ce genre ma fréquence idéale serait autour de 85 tours/minutes. Sur le plat je suis généralement à 90-95, donc pas loin. J'approche et parfois je dépasse les 100 tours/minutes uniquement quand j'y vais «à fond» donc sur de courtes distances, et avec des braquets plus gros que d'habitude. J'insiste sur le fait que je suis un cycliste de plaisance, quelqu'un qui recherche le geste et le rythme optimal, pour aller le plus loin possible sans trop se fatiguer. Je ne recherche généralement pas la performance. Tes temps montrent que tu es deux classes au-dessus de moi, et je n'essaierai pas de me mettre à ton niveau!
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Ça, je ne le jurerais pas. S'il met un pignon dont il n'a pas besoin, il ne sait pas gérer ses développements et crée des trous inutiles dans sa cassette, ce qui serait bien étonnant de la part d'un pro de ce niveau. Contador est un grimpeur à fréquence de pédalage généralement élevée, plus élevée que la moyenne de ses concurrents. Moins haute que celles de Froome ou Wiggins, mais nettement plus que Quintana, Rodriguez, Valverde ou Andy Schleck, par exemple. En conséquence, c'est très logique de le voir mettre des cassettes plus larges que bien d'autres (et/ou des plateaux plus petits).
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Juste pour préciser une chose: je parlais en terme de braquet, donc de rapport, pas en termes de dentitions de plateau uniquement. Froome, Wiggins et peut-être aussi Contador sont des habitués de braquets du genre 38/28 ou 36/28 pour des étapes contenant des morceaux genre Ventoux. Et en développement, le 38/28 est équivalent au 34/25. Pour le Zoncolan ou l'Angliru, il vont jusqu'au 34/32 (Contador, ce qui a donné le Sram Apex pour info), mais c'est effectivement un cas à part, de tels monstres. Ceci dit, les cas à part sont de plus en plus nombreux ces dernières années sur les courses par étapes… et les cyclos vont vouloir les imiter, comme d'habitude, et donc se taper aussi lesdits monstres 🆒. Les équipementiers vont devoir alors s'adapter, et proposer aux cyclos la possibilité de monter des braquets plus petits que le 34/32 de Contador, j'espère!
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Ben oui, mais ce n'est pas une raison pour en faire une généralité. Les phrases du genre «avec un 34/25 on passe partout» sont à rejeter. Il faut dire «avec un 34/25 je passe partout». 😆 Moi, le 34/25, je calerais avec dans les murs que j'adore escalader (Paterberg, Koppenberg, Redoute, Bastille, triple mur du Monty, et bien d'autres moins connus)… et pour ces murs, vu que je combine un niveau modeste de cyclotouriste et une vélocité élevée (85 tours par minutes quand ça grimpe) j'ai monté un 26/34 digne d'un VTT. Je m'amuse d'ailleurs souvent à y laisser sur place des cyclistes munis de doubles ou de compacts, et même de triples plus «gros». À signaler que le cycliste pro semble de plus en plus souvent utiliser des braquets genre 34/25 pour des étapes de montagne «normales». Pour revenir au sujet: les séances d'intensité que je préfère, quand j'en fais (c'est rare, je suis du genre contemplatif en général), sont du "fartlek": des accélérations placées «au feeling», à la moindre pancarte ou au moindre sommet de bosse qui titillent l'envie, selon la durée qu'on se sent capable de supporter. C'est une méthode développée par les fondeurs et demi-fondeurs suédois, du temps où ils dominaient l'athlétisme. C'est efficace quand on persévère sur plusieurs semaines, mais on finit souvent complètement rincé. Il faut avoir une forte motivation derrière (vouloir être bien classé dans une cyclo, par exemple).
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Il y a plein d'accès possibles à ce col du Mont Noir: Par Saint-Pierre de Chérennes, Cognin (ou Izeron), Saint-Gervais (prévoir alors un éclairage pour passer le tunnel des Écouges), Pont-en-Royans… et pas mal de variantes aussi: par exemple en venant de Pont-en-Royans, on peut choisir de passer par Rencurel puis le col de Pra-l'Etang, ou par Rencurel puis le col de Romeyère, ou par Presles-les-Coulmes, etc. De quoi garnir toute un week-end cycliste avec ce seul col, et même plus qu'un week-end. Comme ma grand-mère habitait le coin, j'ai pu le parcourir dans tous les sens, et faire le Mont Noir par toutes ses variantes. 😄
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Pas en PACA, mais en Drôme, dans le Vercors, pas très loin de Valence.
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Votre sortie du jour 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
Trois heures de sortie ce matin, dans les vallonnements du sud-est de Bruxelles, notamment le Smeysberg à Huldenberg, la Ijskelderlaan et le Schavei à Overijse. Me suis mangé les pavés d'un trottoir en plein centre de Tervuren parce qu'un 4*4, arrivant en face de moi dans une rue étroite à sens unique pour les voitures mais pas pour les cyclistes, n'a pas daigné se déporter sur sa droite pour me laisser passer. C'est bien connu, toute la route appartient à ces véhicules gonflés aux hormones, n'est-ce pas? Pas plus de mal qu'une légère écorchure au coude droit heureusement. Le chauffeur (ou la chauffeuse?) du 4*4 n'a évidemment même pas pris la peine de s'arrêter. Typique. Les cinq dernière minutes de la sortie ont été agrémentées d'une «drache» monumentale qui a suffi pour me tremper jusqu'aux os, sans parler du vélo. Donc, corvée de nettoyage pour conclure cette sortie à oublier! -
Hello! Il faut quand même préciser que le col de la Croix-Jubaru n'en est vraiment pas un, au sens de point-col ou point-selle géométrique, c'est-à-dire un point bas d'une ligne de crête. Il n'est donc pas reconnu comme tel par l'IGN, même s'il figure sur les cartes Michelin. J'ai lu quelque part que sa dénomination de «col» était une sorte de coup médiatique de la part d'un club cycliste local. C'est vrai que ce n'est pas très conséquent comme montée… mais si on le prolonge par le mont Saint-Aubert, ça devient tout de suite plus intéressant: avec 120 m de dénivelée, il n'y a pas mieux dans tout le nord de la Belgique (Flandre + Brabant wallon + Hainaut). Quand j'habitais Tournai, j'ai croisé un cycliste nordiste qui était venu faire le mont Saint-Aubert 30 ou 40 fois de suite, je ne sais plus exactement, pour se préparer à la Marmotte!
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Je vois la côte à Huldenberg dont tu parles, mais je crois que tu ferais mieux de prendre son raccourci juste à côté: le Smeysberg! C'est une des côtes les plus exigeantes de la région, du fait de son pourcentage qui en fait un vrai petit mur. http://www.sport.be/cycling/fr/hellingen/info.html?Route_ID=84 Si les pavés ne te font pas peur, il y a la Moskesstraat juste à côté du Smeysberg, à Terlanen (Overijse), elle aussi un joli (mais court) talus: http://www.sport.be/cycling/fr/hellingen/info.html?Route_ID=278 La côte qui traverse le centre d'Overijse pour en sortir, le long de la N4, n'est pas bien méchante. Autant prendre là aussi son raccourci plus pentu, le Schavei: http://www.sport.be/cycling/fr/hellingen/info.html?Route_ID=149 Pour ma part, ma côte fétiche se trouve à Dworp (Beersel), plus vers le sud-ouest de Bxl: le Bruine Put. 800 m de long pour 8% de moyenne, c'est une des rares ascensions de la région assez consistantes pour me rappeler (vaguement) mes Alpes natales. Faut quand même rêver qu'elle dure 8 km au lieu de 800 m… http://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?Col=Bruine-Put&qryMountainID=147 Pas loin, à Braine-le-Château, tu as deux petits murs pas piqués des vers non plus, voisins l'un de l'autre, avec des passages entre 14% et 17%, la rue du Drabe et la Sablière (enchaînement rue Cour au bois - avenue du Beau Séjour, à côté d'une carrière). Cherche sur Google Maps! Si tu n'as pas peur de la circulation, à Bruxelles même, dans la commune de Forest, se trouve un autre petit mur, la rue du Mystère: http://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?Col=Rue-du-Myst%E8re&qryMountainID=1010 Ce ne sont pas les ascensions qui manquent dans la région, mais elles seront toujours trop courtes pour s'entraîner à grimper les cols des Alpes. Pour te faire gagner du temps, ce serait peut-être mieux de t'inscrire dans un club, si tu le peux. Mes horaires à moi ne me le permettent guère (les sorties sont généralement les samedi que je n'ai pas libres), j'ai mis plusieurs années à reconnaître les parcours les plus accidentés.
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Il y a bien un vrai col géographique, reconnu comme tel par le très sérieux IGN belge, le col du Rideux à Heyd, dans la province de Luxembourg. Ses chiffres ne cassent pas trois pattes à un canard: 370 m d'altitude, et 200 m de dénivelée au mieux. Mais il est sportif à escalader, paraît-il, et situé dans une très belle région. J'irai lui rendre visite vers la fin juillet, normalement ;-) Les côtes du Tour des Flandres, dans les «Ardennes flamandes» sont souvent redoutables, mais toutes très, très courtes. Au sud de Bruxelles même (Beersel, Hal, Braine-le-Château, Ittre, Overijse…), où j'habite moi-même, tu peux également trouver de sacrés talus du même genre. Les passer relève parfois de l'exploit sportif, en raison de leur pente ou de leur revêtement ou des deux à la fois, mais ce n'est pas avec ces côtes-là qu'on entretient ses qualités de grimpeur. Sinon des champions comme Cancellara ou Boonen seraient à ranger parmi les coureurs de grand Tours. De toutes façons, en Belgique il n'y a pas de dénivellation spectaculaire. Forcément, l'altitude maximale est de 694 m au Signal de Botrange. De fait l'ascension la plus haute et la plus longue de tout le Benelux est celle de la Baraque Michel à partir de Béthane, soit 449 m de dénivelée pour atteindre l'altitude de 674 m… en 13,5 km, soit 3,3% de pente moyenne. Si tu veux faire du dénivelé, il faut donc te préparer à accumuler les petites côtes, répétitivement. Le mieux pour cela est encore d'aller en Ardenne, c'est quand même là qu'on trouve les dénivelées les plus conséquentes. De belles régions pour cela sont celles de Wanne, Stavelot et Spa dans le sud-est de la province de Liège. Ou celle de la Roche-en-Ardenne en province de Luxembourg. Les côtes exigeantes (pentes souvent spectaculaires) y pullulent. Liège-Bastogne-Liège en fait son beurre et c'est d'ailleurs la seule classique belge où les grimpeurs peuvent faire autre chose que de la figuration.
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Sur le site Shimano Benelux (celui que je fréquente, forcément, habitant Bruxelles), on trouve bien le triple 105: http://www.shimano-benelux.com/publish/content/global_cycle/nl/nl/index/products/road/105_5700/product.-code-FC-5703-L.-type-..html On verra bien en 2015. Et même s'ils laissent vraiment tomber, les gens s'arrangeront encore pour bricoler des triples Shimano 11 vitesses.
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Aicar détectable dès le TDF
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Discussions Route
Mais c'est souvent ça le dopage: appliquer à des personnes pétantes de santé (sportifs de haut niveau) des traitements ordinairement réservés à de graves maladies. Les simples tranfusions sanguines, on les fait aussi normalement sur des personnes sérieusement malades, et s'il s'agit du propre sang de la personne préalablement stocké, comment diable différencier le «bon» sang du mauvais? Je ne dis pas que c'est impossible, juste que ça doit être sacrément compliqué! C'est la même chose avec l'AICAR, qui est apparemment lui aussi produit par l'organisme. Le problème serait de distinguer l'AICAR endogène (produit par l'organisme) de l'exogène (fourni par un apport extérieur). Le test annoncé permettrait de faire cette différence, et qu'il ait fallu cinq ans pour l'élaborer me paraît donc parfaitement vraisemblable. Une façon de court-circuiter ce problème serait d'introduire des «mouchards» sur ces produits dès leur fabrication: un composant supplémentaire, parfaitement inactif, mais qui permettrait leur détection à un contrôle. C'est comme ça qu'on a pris des cyclistes dopés au CERA comme Ricardo Ricco, si ma mémoire est bonne. Mais pour généraliser cette très efficace tactique, il faut l'accord et la collaboration des firmes qui fabriquent ces médicaments… et c'est que le facteur fric entre en jeu, effectivement. -
Si tu ne voulais pas de Campa Athena triple 11v, pourquoi n'as-tu pas tout simplement pris un Athena double ou compact?
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Je n'ai rien vu d'officiel dans ce sens. Sur le site du magazine flamand Grinta (en néerlandais) j'ai pu lire l'année dernière que le triple 11 v Shimano était prévu pour 2015. http://www.grinta.be/nl/productnieuws/2821/ook-shimano-ultegra-naar-11-speed … de triple versie staat voor 2015 ingepland. (Tot 2015 blijft dus de gewone 10 speed Ultegra triple beschikbaar. Traduction: la version triple est prévue pour 2015 (le triple 10 vitesses Ultegra restera donc disponible jusqu'en 2015). J'ai lu en passant la même chose dans un numéro récent du Cycle, qui précisait que le prototype était déjà prêt, mais pas encore complètement fonctionnel.
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Aicar détectable dès le TDF
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Discussions Route
Entre les connaître et savoir les détecter, il y a une différence. Le sang, c'est bien connu, mais comment détecter un dopage par le propre sang du sportif? -
Aicar détectable dès le TDF
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Discussions Route
Le malentendu habituel… Interdit ne signifie pas détectable. L'EPO a été interdit bien avant d'être détectable, l'AICAR, les corticostéroïdes, les hormones de croissance aussi. Le facteur de croissance (Insuline Growth Factor), le Dynepo, les transfusions sanguines autologues (quand on s'injecte son propre sang) sont toujours indétectables…