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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Ce qui le rend vraiment hors normes, Merckx, c'est que non seulement il a à son palmarès toutes les courses du calendrier professionnel de son époque exceptées Paris-Tours et Bordeaux-Paris, mais qu'il a remporté près d'une épreuve sur trois auxquelles il a participé pendant sa carrière. Qui dit mieux? Personne.
  2. C'est la première fois que j'entends parler d'élimination de ce type sur une cyclosportive! Des délais d'arrivée, oui, mais une moyenne à tenir? sans même tenir compte des conditions climatiques?? En voilà une de cyclosportive que je ne ferai jamais, c'est sûr, 28 km/h sur une distance semblable c'est hors de portée pour moi, à moins de faire partie d'un «train» solide, et avec de nombreux éléments. J'imagine qu'une bonne partie des participants de cette "Ch'ti bike tour" était venu en groupe.
  3. D'un autre côté, un carbone, quand ça cède ça ne plie pas, ça casse, tout bonnement.
  4. J'ai pris la voiture aujourd'hui, vélo dans le coffre, pour aller la garer au Mont Saint-Aubert, au nord de Tournai. J'ai vécu là-bas pendant trois ans et j'aime bien y retourner de temps en temps pour arpenter les routes du coin à vélo. Départ du Mont Saint-Aubert vers 12 h 00, par un temps venteux, très nuageux et vraiment frisquet pour la saison (18°). Direction Mont-de-l'Enclus à une trentaine de kilomètres. Première ascension de la journée, la côte de Trieu, classique du Grand Prix E3 et souvent empruntée par le Tour des Flandres… Ascension hélas faite sous la flotte, qui va faire dégouliner un paquet de boue sur ces routes champêtres. Cette boue qui colle aux plateaux et pignons va rendre la transmission terriblement bruyante pendant une bonne heure, et gâcher une bonne partie du plaisir de la balade. Je fais une croix sur la célèbre ascension pavée du Paterberg que j'avais l'intention de faire juste après : la rigole le long de la côte est pleine de saletés, et il est hors de question que je risque la chute sur des pavés humides à 20% de pente. Je fais donc demi-tour, remonte la descente qui sert d'accès au Paterberg et me mets à suivre l'itinéraire de la «Hermesroute» que je connais bien. Celle-ci me fait grimper au sommet du Hotond (150 m, point culminant de la province de Flandre orientale, mais si!) par des routes tout aussi détrempées mais bitumées, elles. À partir de là, la Hermesroute joue aux montagnes russes au nord de Renaix, puis arrive à Louise-Marie pour descendre le Kanarieberg. Entre-temps, le soleil est revenu, ouf ! Au pied du Kanarieberg, je tourne à droite et remonte au même sommet par une autre route, celle du Fortuinberg, là aussi une belle côte d'une borne à 7% de moyenne et 18% maxi. Puis redescente du Kanarieberg, et direction la commune wallonne de Saint-Sauveur, pas très loin, pour grimper au hameau des Hauts par une route bizarrement appelée «L'Arabie» : la forêt dense que traverse cette côte fait difficilement penser aux paysages secs du Moyen-Orient !. Descente ultra-rapide des Hauts en ligne droite vers Saint-Sauveur, puis direction le Mont Saint-Aubert pour conclure la balade. Mais avant cela je dois me farcir une bonne heure à lutter contre un vent d'ouest assez violent, dans un paysage de faux-plats très dégagés. Les villages défilent : Dergneau, Aisnières, Arc, Anserœul, Celles, Molenbaix, puis enfin le pied du versant nord du Mont Saint-Aubert, que je contourne par l'est pour le grimper par son versant sud-est, le plus classique. 121 m de dénivelée pour 1800 m environ d'ascension, soit 6,7% de moyenne : grimper au Mont Saint-Aubert, c'est mine de rien la plus grande dénivellation que je connaisse qui soit proposée par une ascension donnée dans toute la Belgique du nord (la Flandre + le Hainaut + les deux Brabants)… après le versant sud-ouest du même Mont Saint-Aubert (124 m, par le Reposoir) et à égalité avec la Riekestraat à Renaix. Je l'effectue en huit minutes environ, à mon rythme, pour retrouver ma bagnole et terminer mon petit périple. Au final, belle balade tranquille de 85 bornes à 20,5 km/h de moyenne sur un terrain bien vallonné et battu par les vents.
  5. Pour le matos dans les poches, s'il est rigide et si on tombe sur le dos ça risque de faire de graves dégâts… sur le cycliste. À éviter autant que possible, à mon avis. J'ai connu quelqu'un qui était devenu paraplégique pour être tombé sur son sac à dos lors d'une randonnée pédestre en montagne. Le sac en question contenait une ferraille quelconque. Depuis qu'il m'en a parlé, les poches de mon maillot de cycliste n'ont plus jamais rien contenu de rigide.
  6. C'est trop d'honneur pour moi : lui, il savait réparer une fourche ! Moi, je ne sais même pas à quoi ressemble une baguette de soudure ! 😳
  7. Ben tiens. La vanne de Charlie Hebdo en 1970. Toutes les familles des victimes de la tragédie du 5/7 en «rient» encore. http://www.ledauphine.com/isere-sud/2010/10/31/catastrophe-du-5-7 Ma mère, enseignante, y a perdu plusieurs élèves. Récupérer cette catastrophe pour faire de l'humour sur la mort du général De Gaulle survenue juste après, ça c'était de l'humour haut de gamme.
  8. Ces derniers temps, une chute par an, ce qui a fortement augmenté ma moyenne de chutes sur une période. Ça n'a jamais été grave jusqu'à présent, j'en suis toujours sorti avec au pire quelques égratignures, et le pire qu'a eu mon vélo, c'est une cocotte de travers, un rayon et une patte de dérailleur arrière légèrement tordus. La dernière fois, cette année, dans un sens unique urbain dont le contresens était autorisé aux cyclistes, un 4*4 arrivant en face n'a pas daigné me laisser la place pour passer et m'a tassé contre un trottoir, j'ai buté sur ce trottoir et boum! Aucun dégât ni corporel ni matériel, mais le conducteur ou la conductrice du 4*4 ne s'est même pas arrêté pour prendre de mes nouvelles… 😠 L'année dernière, je m'étais attaqué à un mur pavé de Wavre (le bien nommé Tienne Casso), au sud de Bruxelles, avec des pourcentages jusqu'à 22%. Seulement voilà, le pavé était humide, la roue arrière a patiné et badaboum! sur le côté droit. C'est ce qui avait tordu la patte du dérailleur et le rayon. L'année d'avant, suite à une inattention de ma part, je me retrouve à rouler à basse vitesse dans une rigole au bord de la route, surpris je perds l'équilibre, et vlan! Cocotte déplacée et écorchures au bras droit, je m'en tirais bien là aussi.
  9. Sans le coup de guidon de Bouhanni vers la gauche, je pense que Matthews le passait. À mon avis il y aura réclamation.
  10. Bienvenue au club des maudisseurs de vent, j'en suis aussi un membre zélé. 226 km en 8h40, pour moi c'est une performance inaccessible. Et en plus en VTC, chapeau! Si tu crains de ne pouvoir faire de sortie dans la semaine le jour, une option possible est de sortir le soir. La contrainte sera de disposer d'un éclairage vraiment efficace (qui permet non seulement d'être bien vu mais de vraiment voir la route devant soi).
  11. Remarquez qu'il a trouvé le moyen de parler de «tous les avis de décès de France et de Navarre» alors qu'on évoque la disparition d'un cycliste belge.
  12. Je ne connais rien de cette marque. La seule fois où j'en ai vu un (consciemment, j'en ai probablement croisé d'autres sans faire attention), c'était celui d'Eddy, quand lui et moi discutions des poids respectables de nos «ferrailles» respectives (lui alu, moi acier). 😉 Ma foi, il se débrouille mieux que bien avec la sienne! Qu'est-ce qu'ils ont de si particulier, ces vélos B'Twin, pour que certains les méprisent ?
  13. Pas plus d'infos qu'on en avait hier. Mais justement il devait sortir d'hôpital hier, et s'il n'était pas sorti on en aurait entendu parler. Surtout ici en Belgique! Donc, pas de nouvelles, bonnes nouvelles! http://www.lesoir.be/639492/article/actualite/belgique/2014-08-29/eddy-merckx-hospitalise-son-etat-sante-est-rassurant
  14. Un jour j'ai crevé deux fois… en moins d'une seconde. En fait mes deux pneus ont «pincé» l'un après l'autre en roulant sur la même grosse pierre à l'arête bien prononcée. Le plus fort de l'histoire c'est que c'était en faux-plat montant. J'aurais cru ça impossible, de crever par pincement en dehors d'une descente, hé bien j'ai été spectaculairement détrompé, deux fois plutôt qu'une.
  15. «Ce serait dommage d'arrêter si proche du but», tu penses bien que je me disais ça sans arrêt pour me motiver. Seulement voilà, ça avait l'air près du but, mais il restait à escalader le Rosier, la Redoute, Sprimont et la côte de l'Hôpital. J'avais eu déjà des crampes dans les ascensions précédentes, mais localisées, à des endroits donnés. Mais au pied du Rosier, j'ai commencé à avoir une attaque générale de ces crampes, de haut en bas. Et quand tu as tous ces muscles, de la mâchoire aux orteils en passant par les bras, qui se contractent aléatoirement, même allongé dans l'herbe, même pendant les étirements (pendant que j'étirais un muscle donné, deux ou trois autres se contractaient au hasard et prenait une crampe)… tu sais qu'il ne suffira pas de quelques minutes pour récupérer. Et de fait, j'en avais encore le soir venu, rentré chez moi. Mieux valait abandonner que de risquer de tomber de vélo. Pour les causes, je penche en effet pour une hydratation insuffisante sous un soleil de plomb ayant suivi un gros orage. C'était la première grosse chaleur de l'année, donc les habitudes d'hydratation que j'avais gardées étaient certainement devenues insuffisantes sans que j'en ai conscience. Et aussi la non-adaptation à la distance : à l'entraînement, je n'avais pas dépassé les 200 bornes jusqu'alors.
  16. Pareil + trois démonte-pneus + un outil multifonctions + mon téléphone portable. Et quelques sous et papiers mais ça ne prend rien comme place. L'été, pour les longues distances j'y ajoute même un mini-tube de crème solaire, ayant la peau ultra-sensible au soleil. Tout ça tient parfaitement dans ma sacoche de selle, qui est munie d'un soufflet pour agrandir sa capacité si nécessaire (seulement lorsque j'ajoute le tube de crème solaire en fait). Mais tout ça ne m'a bien sûr servi à rien le jour où ma fourche s'est fendue en bas de la descente d'un col. Impossible de continuer, elle risquait de se casser définitivement à tout moment et de toutes façons le vélo était devenu quasi incontrôlable. Comme ce n'était pas encore l'époque des téléphones portables et qu'il n'y avait pas de cabine téléphonique à proximité dans ce coin de campagne, j'ai marché jusqu'à la maison la plus proche pour demander si je pouvais utiliser leur téléphone. Ils ont accepté et m'ont offert rafaîchissements et casse-croûte en attendant que mes parents (à 50 bornes de là) arrivent avec leur voiture. Le genre d'accueil qui réchauffe, surtout après les sueurs froides causées par la fission de la fourche! Pour l'anecdote, la fourche a fini de se casser (en trois morceaux) lorsque je l'ai chargée dans le coffre de la bagnole…
  17. C'est tout récent : Tillf-Bastogne-Tilff en juin de cette année, 240 km au programme. Je dois jeter l'éponge un peu avant les 200 km, au pied de la côte du Rosier, victime de crampes de la tête aux pieds. Mon premier abandon sur une cyclo. J'espère que c'est le dernier ! 😠
  18. Les policiers dont j'ai parlé n'ont rien voulu savoir. Je suppose que dans leur tête, on n'avait qu'à rouler sur des vélos à gros pneus comme tout le monde. Ceci dit, s'il ont forcé mon ami à s'arrêter pour l'enguirlander, ils ne lui ont pas filé d'amende. Et si on va quand même sur la chaussée, ce qui m'arrive aussi, notamment vers Beersel où certaines pistes sont carrément inroulables, les automobilistes qui ne savent pas ce qu'est qu'un vélo de route (la grande majorité) ne comprennent pas pourquoi on n'utilise pas la piste, et nous considèrent comme des intrus qui ne respectent pas (une fois de plus) le code de la route. D'où force coup de klaxons et parfois dépassements de trop près. Tout ça, c'est malheureusement du vécu, et ça fait profondément ch…
  19. Je dirais même plus : Continental GP 4 Seasons. 🆒
  20. Pas sûr qu'une montée de 4 km, même sèche, soit vraiment révélatrice de ce qui va suivre. Il y a bien plus copieux à venir…
  21. Oui je suis au courant. Mais fais confiance aux flics pour ne pas être compréhensifs avec nous, avec l'image donnée par tous les «collègues» cyclistes qui grillent allègrement feux, stops et priorités et j'en passe. J'ai pu voir de mes yeux un ami se faire alpaguer à vélo par les flics sur l'avenue de Tervuren, dans la partie située à Tervuren même. La piste y est dans un état lamentable (dalles disjointes) mais on peut rouler dessus en faisant gaffe. Moi j'étais sur cette piste, l'ami en question sur la chaussée dont l'asphalte est nickel. Après ça, on a compris…
  22. C'est la politique de Sram depuis toujours (se coupant ainsi de pas mal de clients potentiels à mon avis), et c'était le souhait de Campagnolo mais visiblement la forte demande les a fait changer d'avis et ils ont présenté l'Athena Triple 11 vitesses l'année dernière. Il semblerait d'après un encart lu dans le Cycle en début d'année qu'un triple 11 vitesses route chez Shimano était déjà en prototype et que sa sortie soit planifiée pour l'année prochaine. Mais ça reste à confirmer. En attendant le groupe XTR pour VTT est déjà disponible en version triple 11 vitesses.
  23. Comme Bertrand le signale, à 10 km/h il y a un gain mais vraiment très faible, qui risque de ne même pas se remarquer sur le compteur de vitesse. Et suivre quelqu'un en montagne peut être un gros piège : si le gars que tu suis est plus fort, même s'il va seulement 1 km/h plus vite, et si tu t'entêtes à le suivre, alors sans t'en rendre compte il t'amènera à ton point de rupture et tu finiras par craquer. C'est un grand classique des sorties de montagne en groupe.
  24. Au moins vos fietspaden sont en bon état… Ici dans le Brabant belge, c'est de plus en plus cauchemardesque de jour en jour avec cet été pourri. Trois heures de vélo hier entre Bruxelles et Louvain (Leuven), dont une grande partie sur ces pistes cyclables pitoyables mais obligatoires. Même pas bitumées pour la plupart mais dallées, comme les anciens trottoirs qu'elles sont en réalité. Ma roue libre s'est mise à faire un bruit très désagréable à partir d'un moment. Je pense qu'elle a eu une indigestion de cette terre sablonneuse qui tapissait les routes et pistes. Ou bien ce sont les 150 bornes des Géants des Ardennes de ce samedi sous la flotte qu'elle a du mal à digérer. Je vais voir cette si mon vélociste peut la purger! 😬
  25. Si, d'où la confusion.
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