Franck PASTOR

62 kms à 29 de moyenne ( ma meilleure de 2019 ) et sous .....20° sans vent !!!! Ici par contre à Bruxelles c'était maxi 10° avec du vent ! Bon, il était pas bien méchant ceci dit, et il n'a pas plu pendant ma courte sortie (2 h) de cet après-midi. Par contre il avait plu la veille et ce matin, d'où des routes à nouveau gadouilleuses. Pas glop pour la bécane. 😕 Petite boucle vallonnée au sud de Bruxelles passant par la forêt de Soignes, Alsemberg, Linkebeek, et Uccle. Bonnes sensations globales. Qu'est-ce que la forêt de Soignes est belle en automne, quand même, avec ses arbres immenses au feuillage multicolore ! Quelques photos d'un particulier, publiées sur son blog : http://www.angel-sanguinetti.com/2011/11/27/la-foret-de-soignes-bruxelles/

Il ne parlait pas de toi mais du VAE.

C'est certes déjà un beau morceau. 3330 m de dénivellation, ça ne s'improvise pas trop non plus ! Mais ce sera de toutes façons une expérience mémorable. 🆒

C'est peut-être vu un peu grand ? Ça ne doit pas être facile à organiser sur 3-4 jours, ce genre de choses ! Les précédentes réunions Vélo101 étaient axées sur une seule sortie (avec variantes éventuelles). Et une seule des sorties que tu proposes en exemple serait suffisante en elle-même pour attirer pas mal de monde. 😄 Mais c'est toi qui vois ! Pour ma part, mes parents n'habitant pas très loin (banlieue grenobloise), je pourrais vous rejoindre sur une sortie, si ça tombe pendant une période où je suis chez eux (généralement la première quinzaine d'août, parfois aussi la première quinzaine de juillet). Personnellement, s'il faut choisir pour une de ces sorties, je vote pour l'enchaînement Glandon - Croix-de-fer - Mollard - lacets de Montvernier. J'aime les classiques 🆒 et j'ai un faible pour le Glandon versant nord.

Oufti ! c'est de l'attrayant mais du lourd ! Tu prévois un séjour de combien de jours pour faire autant de choses ? Ou alors on ferait une seule sortie et on voterait pour tel ou tel parcours dans la liste que tu avances ?

J'espère bien y aller à nouveau, oui. Je ne peux pas en être sûr à 100 %, il y a toujours les impondérables, mais c'est dans mon planning, comme chaque année depuis 2014. Quelle serait l'épreuve qui te tenterait ? Pour moi, a priori, comme à chaque fois ce sera soit la cyclosportive de 150 km du samedi (Jedermann-Rennen), soit le circuit parcouru en cyclotouriste (Nordschleife — Tourist-Sportiv) le dimanche matin entre 7 h et 13 h. J'ai dans l'idée de faire les 24 h en individuel une de ces années, mais ça nécessiterait de disposer de toute l'équipement nécessaire pour camper sur place, que je n'ai pas actuellement et qui pourrait me coûter un bras (comme on dit en Belgique) si je veux faire les choses relativement confortablement — pas question de me contenter de venir avec ma voiture pour dormir dedans avec le vélo dans le coffre. En plus, le prix d'inscription est quand même élevé (pour les 24 h s'entend), et le tout exigerait de moi une organisation «militaire», alors que je suis plutôt bordélique et surtout terriblement distrait. 😳 Une alternative au camping serait de réserver une chambre spéciale à l'hôtel Dorint qui donne sur le circuit même, mais ce n'est pas non plus bon marché et de toutes façons ce n'est pas sûr qu'il restera des places dans cet hôtel le jour où je me déciderai. Donc les 24 h restent quand même pour l'instant à l'état de projet, à plus ou moins long terme.

Les replats vers la Molière sont particulièrement longs, et se retrouvent répartis en plusieurs endroits de la montée. Je trouve cette montée particulièrement ennuyeuse, d'ailleurs, un vrai boulevard, et elle est très fréquentée aux heures de pointe, du moins jusqu'au col de la Croix-Perrin. Ensuite, d'un point de vue touristique c'est plus agréable puisque ça devient une route forestière très pittoresque, mais aux dernières nouvelles très dégradée. En guise de «vraie» montée, je crois que le plus long à partir de Grenoble même, c'est celle du Chalet du Charmant Som, au-dessus du col de Porte en Chartreuse : 20 km de montée quasi constante (je ne tiens pas compte des deux premiers kilomètres presque parfaitement plats et en pleine ville qui figurent dans ce profil). https://www.cols-cyclisme.com/chartreuse/france/chalet-de-charmant-som-depuis-grenoble-c1639.htm À noter que les 10 premiers km de cette route-là sont également à éviter aux heures de pointe, si on n'aime pas se faire frôler par les bagnoles… heureusement il y a des variantes, plus longues (et moins constantes) que je vous laisse découvrir. Également, pas loin, dans la chaîne de Belledonne, il y a les deux montées vers Chamrousse toutes les deux à partir d'Uriage : la plus courte fait 17,4 km, la plus longue (donc moins pentue) 20,4 km. On peut les rallonger d'un ou deux km si on monte tout en haut de la station, mais ça ne rajoute qu'une boucle à mon avis inintéressante. https://www.cols-cyclisme.com/belledonne/france/roche-beranger-station-de-chamrousse-depuis-uriage-les-bains-c130.htm https://www.cols-cyclisme.com/belledonne/france/roche-beranger-station-de-chamrousse-depuis-vaulnaveys-le-haut-c1276.htm (Il y a également l'accès à Chamrousse par Séchilienne et le col du Luitel, qui rajoute les 7 derniers km au profil ci-dessous : https://www.cols-cyclisme.com/belledonne/france/col-luitel-depuis-sechilienne-c102.htm mais Séchilienne est nettement plus loin de Grenoble)

? ça fait une éternité qu'on peut personnaliser les couleurs de la bécane, non ? Ou alors on ne parle pas de la même chose ?

Je n'ai pas remis en cause le côté pratique ni l'utilité voire la nécessité du VAE, auxquels tu fais allusion. Je me pose simplement la question, rhétorique peut-être, mais pertinente, il me semble : s'agit-il de vélo ou non ? Pour moi, une des caractéristiques du vélo, c'est que l'énergie fournie pour faire avancer l'ensemble cycliste-bécane doit être fournie par le cycliste et lui seul. Ce n'est plus le cas dès qu'il y a assistance, électrique ou autre. Même si c'est très utile voire indispensable dans certains cas, même si tu dois quand même fournir un effort physique, qui peut être en effet conséquent. Ce n'est quand même plus du vélo si on admet mon postulat précédent. (Oups, je me mets à parler comme un matheux. 😇) Et donc ça n'entre pas dans le cadre de ce sujet. Ne penses-tu pas que si on voulait réellement contrôler les vélos en compétition, on ne pourrait pas mettre en place des contrôles simples et très peu onéreux, comme par exemple identifier les vélos d'un coureur avant l'épreuve et démonter le pédalier et la roue libre à l'arrivée, ce qui prend 10 minutes ? On peut éventuellement le faire pour des épreuves au nombre limité de participants, mais imagine la même chose dans une compétition de masse, genre cyclosportive : ce serait tout simplement ingérable. Combien ont déjà triché ainsi dans ce genre de circonstances ? Cela ne concerne ni toi ni moi, mais il y en a pour qui ce genre d'épreuve est presque toute leur vie, et qui doivent en avoir gros sur la patate à suspecter des comportements semblables chez certains de leurs adversaires. Le VAE, pour paraphraser une citation, c'est comme les fables d'Esope : ce peut-être la meilleure comme la pire des choses ! Mais bon, c'est encore un autre débat...

Oui, certes, mais... s'agit-il encore de vélo ? Donc un engin mû uniquement par une source d'énergie humaine? Les évolutions citées précédemment ont eu toutes comme point commun d'avoir optimisé l'énergie humaine, et uniquement elle, pour faire avancer le cycliste plus vite ou plus confortablement. Et ce sont des progrès dont tous les pratiquants ont pu ou pourraient facilement bénéficier (également les VAE). Même si on pédale, avec le VAE intervient une autre source d'énergie, donc si c'est un progrès en termes de transport, ce n'est pas un progrès purement cycliste. (On est peut-être parti à nouveau pour un long débat... 😇) J'étais hier chez Bike Components et j'y ai vu des vélos de route et de Gravel sur lesquels il faut réellement se pencher pour voir qu'ils sont assistés. Ce qui laisse aussi penser qu'il sera de plus en plus facile de tricher avec ça en compétition. Connaissant la nature humaine, ça promet pour l'avenir... ou le présent? 🙁

Je n'ai pas pris la côte à laquelle tu penses, mais sa variante appelée Schavei, la côte finale de la Flèche brabançonne. Plus pentue, donc plus à mon goût ! 🆒 Pour ce qui est des conditions climatiques… déjà que je n'ai pas si souvent que ça l'occasion de sortir, alors si en plus je devais annuler une sortie quand il y a un de ces éléments qui se produit, je suis bon pour faire maxi 500 km dans l'année ! Question tolérance au climat, je vais finir par croire que je suis devenu plus Belge que certains Belges… 😛

Je me rappelle avoir répondu à cette question. Il avait dû poster la même question dans deux rubriques différentes.

Tu vas finir par me f… des complexes : eh oui, justement, je suis sorti aujourd'hui ! 😳 J'ai chopé la pluie pendant la dernière demi-heure, mais pas de quoi finir trempé. Et encore, j'aurai pu rentrer avant la première goutte de pluie si je n'avais pas finalement choisi, après avoir hésité en voyant les nuages menaçants s'approcher, de faire quand même une dernière boucle bosselée à Overijse…

Les 16000 participants ne se présentent pas en même temps au pied de chaque mont. 😉 Et puis si les participants du Tour des Flandres cyclo s'embouteillent au Paterberg, qu'est-ce que ça va donner à la «bult van Melden» (le surnom du Koppenberg), bien plus étroite et aux pavés bien plus mauvais? Pour conclure : je voulais simplement faire remarquer que le Koppenberg était bien plus propice aux embouteillages que le Paterberg, et j'ai dit pourquoi. Ça ne voulait pas dire qu'il n'y en a jamais au Paterberg, mais simplement qu'il y en a bien plus souvent au Koppenberg.

Un nom qui pourrait être ajouté à la liste : le Belge Jean Brankart, 2e du Tour 1955 et toujours vivant à 89 ans (né en 1930). https://www.rtbf.be/info/societe/detail_deuxieme-au-tour-de-france-1955-jean-brankart-n-a-pas-ete-invite-au-depart-de-cette-annee?id=10263494

Oui, jusqu'à ces derniers temps. Actuellement, la tendance actuelle me semble plutôt à la régression : dans les Alpes du nord, du moins du côté de Grenoble, je vois plus de routes négligées voire carrément abandonnées que de routes refaites à neuf. 🙁 Mais ça ne concerne pas directement le vélo lui-même… sauf à favoriser des pratiques du genre «gravel».

Trois petites heures de sortie ce matin, du côté du sud-est de Bruxelles et des collines que j'affectionne, comme le Smeysberg. Temps à nouveau froid (5°-7°), ensoleillé au départ, nuageux ensuite, pluvieux dans la dernière demi-heure… et venteux tout du long. 📢 J'ai pu expérimenter plusieurs fois l'effet «Venturi» cher à Michel Dury : à savoir le vent qui, en s'engouffrant entre deux maisons, augmente largement en puissance et fait faire un écart au malheureux cyclo qui passe le long de ces maisons. Heureusement j'étais méfiant (chat échaudé craint l'eau froide) et je n'ai pas fait d'écart important. Du côté de mon nouveau vélo et de mes sensations physiques, rien de neuf ou de particulier à signaler.

Attention à l'orthographe du nom du roi Eddy Merckx, quand même ! Tu vas donner un ulcère à tous les Belges du forum. 😃 De même, c'est Van Looy (Rik), et non Van Loy. D'autres infos pour compléter ce tableau bien pratique : Jan Adriaensens serait décédé l'année dernière, à 86 ans. Il m'a fallu voir sa page Wikipedia en néerlandais pour m'en apercevoir: https://nl.wikipedia.org/wiki/Jan_Adriaensens Et Anquetil est mort en novembre 1987.

Forestier n'a quand même pas l'air d'avoir beaucoup d'embonpoint… Bahamontes, lui, à voir ses photos les plus récentes, ne semble pas avoir un pet de graisse de plus que lorsqu'il était coureur. Les raisons de leur longévité sont probablement à chercher ailleurs que dans un manque (ou surplus) de graisse. Je crois surtout que certains sont, là aussi, génétiquement favorisés.

Si tu remontes aussi loin que l'invention du dérailleur, je dirais qu'une invention encore plus fondamentale a été celle de la roue libre. Plus besoin de pédaler en permanence dans les descentes, et possibilité d'arrêter de pédaler sans risquer de se blesser sérieusement, bref un progrès phénoménal. Qui a été accusé en son temps, comme le dérailleur, de favoriser les plus faibles en compétition ! Et avant la roue libre, l'invention ou plutôt l'application de la chaîne de transmission sur les vélos, ce qui a signifié la relégation des grands-bis au musée. Etc. 🆒 On peut remonter loin comme cela, jusqu'à la draisienne ou aux intuitions de Léonard de Vinci.

Manque peut-être le pneu tubeless dans cette liste, qui semble-t-il va se généraliser assez vite sur route. Ça ne fait en tout cas que confirmer l'absence étonnante de véritables évolutions dans la période 50-80 (ou plutôt 50-75 selon cette liste) dont avait parlé Olivier dans l'autre sujet… alors que depuis 75 ou 80 il y a eu une suite impressionnante de nouveautés technologiques marquantes.

C'est pas la Navarre, Saint-Jean-Pied-de-Port, plutôt que le Pays Basque ? C'est du moins le souvenir que j'en ai de mes vieux cours de géo.

C’est étonnant de voir comme les vélos ont peu changé pendant une période assez longue, entre les années 50 et les années 80. Tu n'es pas le seul que cela étonne, et je me suis souvent demandé quelle était la cause de cette stagnation. Alors que dans bien d'autres domaines (automobile, avions, conquête spatiale…) les évolutions technologiques ont été drastiques pendant la même période. Je pense (sans avoir de certitude) que cela vient du fait que le vélo, après avoir été le moyen de transport obligatoire pendant la seconde guerre mondiale, a été progressivement négligé pendant la période de boom économique qui a suivi, au profit de l'automobile qu'on redécouvrait, des vespas, mobylettes, motocyclettes, etc. Et puis, crise énergétique aidant, le vélo a connu un retour en grâce qui n'a fait que se confirmer depuis. L'apparition du VTT, qui y est probablement liée, a renforcé cette nouvelle tendance en y apportant son lot de nouveautés techniques.

Non, j'ai fait le Paterberg bien des fois, entre autres sur le Grand Prix E3 cyclo où je n'ai jamais eu de problème, mais jamais sur le Tour des Flandres cyclo (auquel je n'ai jamais participé). Mais je suis tous les Tours des Flandres professionnels à la télé depuis une dizaine d'années, et je n'ai jamais vu d'embouteillages au Paterberg. Par contre, au Koppenberg, j'en vois régulièrement !

Cinq heures de sortie aujourd'hui, après une dizaine de jours sans vélo due aux impondérables boulot-famille. Et toujours sans compteur, qui est maintenant (enfin!) disponible chez mon vélociste mais que je ne pourrai chercher que mardi prochain. Temps froid (dans les 5°-10°) et sec, mais des routes détrempées par des pluies nocturnes et un vent solide de sud-ouest. J'ai (re)fait la Herman Teirlinckroute pendant cette sortie, toujours pour tester ma nouvelle bécane. Ce parcours est en effet un des tests les plus solides des environs ! Alternance de pavés, béton, terre, graviers, sur de larges boulevards ou des sentes à peine plus larges que le vélo, le long de la Senne, du canal Bruxelles-Charleroi, dans des champs, des forêts, des villes (Halle, Beersel, Alsemberg), sur du plat, des collines escarpées… Donc, si un vélo passe par là, il peut passer pratiquement partout ! 🆒 Présentation rapide du parcours (en français) sur le site de la commune flamande de Beersel : http://fr.visitbeersel.be/product/1056/route-herman-teirlinck Carte du parcours : http://fr.visitbeersel.be/download.ashx?id=1310 Bilan : à part les sentes gadoueuses où la roue arrière patinait et où je devais mettre pied à terre, la bécane n'a pas bronché. Toujours ce confort remarquable, même sur les pavés. Toujours ce freinage impeccable en toutes circonstances. Et je maîtrise de mieux en mieux ces leviers Gevenalle. Il semble que ce soit en tout cas la machine idéale pour les Flandriennes de début de saison ! Seul défaut pour le moment : encore ce bruit de frottement du disque avant sur les plaquettes pendant les quelques secondes qui suivent chaque freinage appuyé. Oui, je sais Jérémie, les plaquettes et les disques sont tout neufs et la purge a été faite alors que la bécane avait d'autres disques et des plaquettes usées, donc ce bruit va passer tout seul à la longue mais ça m'agace quand même ! 😉 J'aime bien quand mon vélo est totalement silencieux, moi. Je vais faire un tour chez mon vélociste prochainement pour voir s'il n'a pas un tour de magie qui peut supprimer ce bruit immédiatement.