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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Attention à l'orthographe du nom du roi Eddy Merckx, quand même ! Tu vas donner un ulcère à tous les Belges du forum. 😃 De même, c'est Van Looy (Rik), et non Van Loy. D'autres infos pour compléter ce tableau bien pratique : Jan Adriaensens serait décédé l'année dernière, à 86 ans. Il m'a fallu voir sa page Wikipedia en néerlandais pour m'en apercevoir: https://nl.wikipedia.org/wiki/Jan_Adriaensens Et Anquetil est mort en novembre 1987.
  2. Forestier n'a quand même pas l'air d'avoir beaucoup d'embonpoint… Bahamontes, lui, à voir ses photos les plus récentes, ne semble pas avoir un pet de graisse de plus que lorsqu'il était coureur. Les raisons de leur longévité sont probablement à chercher ailleurs que dans un manque (ou surplus) de graisse. Je crois surtout que certains sont, là aussi, génétiquement favorisés.
  3. Si tu remontes aussi loin que l'invention du dérailleur, je dirais qu'une invention encore plus fondamentale a été celle de la roue libre. Plus besoin de pédaler en permanence dans les descentes, et possibilité d'arrêter de pédaler sans risquer de se blesser sérieusement, bref un progrès phénoménal. Qui a été accusé en son temps, comme le dérailleur, de favoriser les plus faibles en compétition ! Et avant la roue libre, l'invention ou plutôt l'application de la chaîne de transmission sur les vélos, ce qui a signifié la relégation des grands-bis au musée. Etc. 🆒 On peut remonter loin comme cela, jusqu'à la draisienne ou aux intuitions de Léonard de Vinci.
  4. Manque peut-être le pneu tubeless dans cette liste, qui semble-t-il va se généraliser assez vite sur route. Ça ne fait en tout cas que confirmer l'absence étonnante de véritables évolutions dans la période 50-80 (ou plutôt 50-75 selon cette liste) dont avait parlé Olivier dans l'autre sujet… alors que depuis 75 ou 80 il y a eu une suite impressionnante de nouveautés technologiques marquantes.
  5. C'est pas la Navarre, Saint-Jean-Pied-de-Port, plutôt que le Pays Basque ? C'est du moins le souvenir que j'en ai de mes vieux cours de géo.
  6. C’est étonnant de voir comme les vélos ont peu changé pendant une période assez longue, entre les années 50 et les années 80. Tu n'es pas le seul que cela étonne, et je me suis souvent demandé quelle était la cause de cette stagnation. Alors que dans bien d'autres domaines (automobile, avions, conquête spatiale…) les évolutions technologiques ont été drastiques pendant la même période. Je pense (sans avoir de certitude) que cela vient du fait que le vélo, après avoir été le moyen de transport obligatoire pendant la seconde guerre mondiale, a été progressivement négligé pendant la période de boom économique qui a suivi, au profit de l'automobile qu'on redécouvrait, des vespas, mobylettes, motocyclettes, etc. Et puis, crise énergétique aidant, le vélo a connu un retour en grâce qui n'a fait que se confirmer depuis. L'apparition du VTT, qui y est probablement liée, a renforcé cette nouvelle tendance en y apportant son lot de nouveautés techniques.
  7. Non, j'ai fait le Paterberg bien des fois, entre autres sur le Grand Prix E3 cyclo où je n'ai jamais eu de problème, mais jamais sur le Tour des Flandres cyclo (auquel je n'ai jamais participé). Mais je suis tous les Tours des Flandres professionnels à la télé depuis une dizaine d'années, et je n'ai jamais vu d'embouteillages au Paterberg. Par contre, au Koppenberg, j'en vois régulièrement !
  8. Cinq heures de sortie aujourd'hui, après une dizaine de jours sans vélo due aux impondérables boulot-famille. Et toujours sans compteur, qui est maintenant (enfin!) disponible chez mon vélociste mais que je ne pourrai chercher que mardi prochain. Temps froid (dans les 5°-10°) et sec, mais des routes détrempées par des pluies nocturnes et un vent solide de sud-ouest. J'ai (re)fait la Herman Teirlinckroute pendant cette sortie, toujours pour tester ma nouvelle bécane. Ce parcours est en effet un des tests les plus solides des environs ! Alternance de pavés, béton, terre, graviers, sur de larges boulevards ou des sentes à peine plus larges que le vélo, le long de la Senne, du canal Bruxelles-Charleroi, dans des champs, des forêts, des villes (Halle, Beersel, Alsemberg), sur du plat, des collines escarpées… Donc, si un vélo passe par là, il peut passer pratiquement partout ! 🆒 Présentation rapide du parcours (en français) sur le site de la commune flamande de Beersel : http://fr.visitbeersel.be/product/1056/route-herman-teirlinck Carte du parcours : http://fr.visitbeersel.be/download.ashx?id=1310 Bilan : à part les sentes gadoueuses où la roue arrière patinait et où je devais mettre pied à terre, la bécane n'a pas bronché. Toujours ce confort remarquable, même sur les pavés. Toujours ce freinage impeccable en toutes circonstances. Et je maîtrise de mieux en mieux ces leviers Gevenalle. Il semble que ce soit en tout cas la machine idéale pour les Flandriennes de début de saison ! Seul défaut pour le moment : encore ce bruit de frottement du disque avant sur les plaquettes pendant les quelques secondes qui suivent chaque freinage appuyé. Oui, je sais Jérémie, les plaquettes et les disques sont tout neufs et la purge a été faite alors que la bécane avait d'autres disques et des plaquettes usées, donc ce bruit va passer tout seul à la longue mais ça m'agace quand même ! 😉 J'aime bien quand mon vélo est totalement silencieux, moi. Je vais faire un tour chez mon vélociste prochainement pour voir s'il n'a pas un tour de magie qui peut supprimer ce bruit immédiatement.
  9. Evidemment, je suis tout à fait d'accord ! 😄
  10. Plutôt le Koppenberg ! 😉 Les deux se valent question pente maximale (d'après Cotacol, 18 % maxi sur 100 m et et passage à 22 % pour le Koppenberg, contre 17 % maxi sur 100 m et passage à 20 % sur le Paterberg), mais le Koppenberg est plus long et la chaussée du Koppenberg, en chemin creux dans son passage le plus pentu, est bien plus étroite et moins bien pavée que celle du Paterberg. Pas beaucoup d'espace donc pour contourner un cycliste en rade dans ce passage étroit… De fait, je n'ai jamais vu d'embouteillages au Paterberg, tandis qu'au Koppenberg, c'est très fréquent.
  11. J'ajoute que ce même circuit du Nürburgring a servi de théâtre à trois championnats du monde de cyclisme, en 1927, 1966 et 1978, et que le championnat de 1966 est carréement considéré comme le plus difficile de l'histoire du cyclisme professionnel, en termes de longueur et dénivellation, d'après cette étude du journal l'Équipe : https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Diaporama/Les-mondiaux-de-cyclisme-sur-route-les-plus-durs-de-l-histoire/7097
  12. Entre 16% et 17 % la différence est vraiment minime :-) et peut dépendre de la précision de l'appareil de mesure. Le 17% est sur une centaine de mètre en effet, selon un relevé officiel que j'ai lu quelque part, mais ça pèse dans les jambes parce que ce sont les tout derniers mètres, que dans les derniers 500 m, ça ne descend pas en-dessous de 12%, à en juger par mon allure et mes braquets (j'ai quand même une certaine expérience à ce niveau-là), et surtout parce que c'est au bout d'une montée quasi continue de 4 km… Regarde la vidéo plus tôt dans l'enregistrement pour t'en rendre compte. Tiens, une autre vidéo du secteur Hohe Acht, très courte, au beau milieu de l'épreuve cette fois-ci. Plus très vaillants, les participants… et tous avec pédales automatiques. 😃😃 Si tu veux trouver des côtes équivalentes pas trop loin de chez toi, il faut aller du côté des côtes ardennaises parmi les plus longues et les plus pentues. Haussire, à La Roche, ou le Stockeu à Stavelot. Tes côtes flandriennes sont beaucoup trop courtes pour fournir un bon élément de comparaison à la longue montée principale du Nürburgring. Tu peux par contre les comparer aux brefs coups de cul qu'on trouve ailleurs sur le circuit. Par exemple du côté de Flugplatz ou Ex-Mühle, qui entrecoupent la longue descente principale. À ces deux endroits de remontée on doit largement dépasser les 20% (mais sur très courte distance). Quant à la dénivellation : il y a presque 300 m de différence d'altitude entre le point le plus bas du circuit (bas de la grande descente, au lieu-dit Breidscheid) et le point le plus haut (sur le site principal du circuit). Le reste de la dénivellation positive est fourni par les incessants coups de culs du tracé au profil très, très irrégulier. Pas de plat, je le répète. J'ai appris à ne plus faire trop confiance aux GPS, question pourcentage ou dénivellation. Je préfère me référer à des sources fiables comme Altigraph ou Cotacol (mesures à l'aide d'appareils dédiés).
  13. Une épreuve sur circuit, c'est pas très emballant et répétitif. J'avais dit qu'on ne parlerait pas du prix...200 euros, quand même... C'est ce que je pensais au début mais après roulé dessus, j'ai été complètement emballé. Un circuit de 25 km, ce n'est déjà pas banal, mais quand en plus il est aussi exceptionnel en virages, pourcentages, dénivellation et points de vue… on n'arrive tout simplement pas à le trouver répétitif. Au début, j'y perdais même tout sens de l'orientation. Maintenant ça va bien mieux, mais après des dizaines de tours je ne suis toujours pas arrivé à le connaître par cœur. Et tu n'es pas obligé de payer 200 euros. Comme je l'ai dit; tu peux te contenter de payer une vingtaine d'euros et faire déjà quatre ou cinq tours de ce circuit hors normes le dimanche matin lors de ce Rad am Ring. Un petit aperçu rapide par survol en hélico, qui donne une idée de son cadre exceptionnel : À ceux qui ont du temps et qui sont patients, voilà une vidéo qui en montre un tour complet à vélo. Comme vous allez le voir, c'est long (52 min) et pourtant le porteur de caméra roule plutôt vite ! Moi ça me prend environ 1 h 10 min pour faire ce tour, qui représente 550 m de dénivellation faut-il le rappeler. «Checkez» la section entre 31 min et 34 min (secteur Hohe Acht, fin de la principale portion montante) pour voir que ce n'est pas une partie de rigolade. On y voit des cyclistes devenus piétons dès ce premier tour… Les pourcentages indiqués par son GPS sont largement sous-estimés, soit dit en passant : ça grimpe en réalité jusqu'à 17%. Inversement, regardez les vitesses atteintes dans la portion située entre 11 min 30 s et 12 min de la vidéo (secteur Fuchsröhre). On ne peut tout simplement pas s'y ennuyer, il y en a pour tous les goûts… sauf pour ceux qui aiment quand c'est plat ! 😃
  14. Ce que Franck ne comprend pas c'est qu'en VAE on va aller + vite bien sur mais surtout pouvoir faire de + grandes ballades avec un temps limité et ça c'est un avantage énorme par rapport au vélo "musculaire" .... Si, je saisis très bien, au contraire. Même si cet avantage-là me laisse moi complètement indifférent, je comprends très bien que d'autres y soient sensibles. Je réagis juste quand on dit que le VAE est indispensable pour grimper plus facilement : non, c'est faux, j'ai dit pourquoi et le répèterai autant que nécessaire. Le VAE est indispensable si on veut grimper plus facilement et rapidement. Ce qui n'est plus du tout la même chose.
  15. Un des propres de l'humour belge : sortir les pires énormités avec le plus grand sérieux. Il m'arrive d'ailleurs encore de me faire avoir moi-même. 😳 Vanhoenacker et Vizorek ont dû un peu franciser leur humour, me semble-t-il… je crois que sinon ils n'auraient pas pu aussi bien se faire comprendre de leur public français actuel. 🆒
  16. Tu restes encore assez imperméable à l'humour belge, semble-t-il ? Un séjour prolongé dans le pays de Geluck s'impose ! Tiens, à Louvain-la-Neuve, par exemple. Ils ont un cyclotron, tu ne serais donc pas trop dépaysé. Michel ne serait pas loin, vous pourriez échanger des vannes à longueur de soirée. 😃
  17. Mais c'est toujours grimper pendant trois heures d'affilée (si on décompte la courte descente du col du Télégraphe sur Valloire), ce qui semblait faire peur à certains ici. Mais comme tout le monde, je vieillis, et un jour (peut-être quand je serai nonagénaire? 😉) j'irai peut-être à 7 km/h de moyenne sur les 21 km du Ventoux, avec des mini-braquets probablement encore plus minuscules que ce 24/34 pour faire face aux ruptures de pente, et sans m'ennuyer plus que sur le Galibier aujourd'hui, ou que pendant 3 h de marche en montagne, ou que pendant une sortie de 3 h sur le plat. Et mon effort sera toujours le mien, pas celui d'une assistance.
  18. Un garde-boue à l'arrière, je crois que je vais en mettre un, maintenant que j'ai un vélo avec la bonne attache pour le faire (et suffisamment d'espace entre la roue et le futur garde-boue, semble-t-il). Par contre, à l'avant c'est exclu. Il n'y a pas d'attache pour cela sur la fourche, et de toutes façons je n'ai aucune envie de passer par dessus-bord si jamais un trop-plein de saleté s'accumule entre le garde-boue et le pneu.
  19. Bah, ce n'est pas grave. Si je n'arrive pas à les convaincre eux, qui sait, j'en convaincrai peut-être d'autres qui nous lisent maintenant ou qui nous liront plus tard. Ou du moins je déclencherai peut-être chez eux un début de réflexion sur le sujet «braquets en côte». Ce serait déjà un très grand pas en avant. 🆒
  20. Bien sûr ! Et c'est ce que j'ai dit plus haut : que cette vitesse obligeait à courir. Et je sais qu'il y en a qui sont capables de le faire, et qui le font d'ailleurs, voire bien plus vite que ça. Mais c'est beaucoup, beaucoup plus exigeant de courir à 7 km/h sur toute la longueur du Ventoux que de le grimper à vélo à cette même vitesse sur un 24/34, et il faut un entraînement et un niveau vraiment conséquents! Là est toute la différence. Alors que bien choisir et bien gérer ses braquets sur une ascension ne vous fait pas plus vous dépenser que si vous marchiez sur la même pente. Donc il y a effort physique, certes, mais certainement pas surhumain, et accessible à beaucoup plus de monde qu'on l'imagine. En fait, accessible à tout ceux qui sont capables de tenir à vélo pendant trois heures sur le plat. Et ce à un bon rythme : pas celui de la promenade, mais pas celui d'un contre-la-montre ou de la course de compétition non plus. Le rythme qu'un randonneur ou un cyclotouriste adopte spontanément pour tenir un effort au long cours.
  21. Sur un 34/24 peut-être, mais sur un 24/34 comme le mien, ça te fait tourner les jambes à 80 tours/minutes. Est-il besoin de préciser que rouler à cette cadence ne pose aucun problème d'équilibre? 🆒 Avec le montage dont je dispose sur ma nouvelle bécane (triple TA Carmina et dérailleur arrière Shimano Deore XT 11 vitesses), le braquet minimal que je pourrais monter est de 24/40… je crois que j'ai encore de la marge pour m'attaquer à plus long et bien plus pentu que le Ventoux! Angliru, Zoncolan, Machucos, préparez-vous, j'arrive ! 😄 Bref : avant de passer au VAE, ce serait une bonne idée de se demander si on ne devrait pas tout simplement mettre plus petit sur sa bécane. Je l'ai dit, je le répète (je vais peut-être finir par me faire entendre ) et je n'en démordrai pas : grimper est avant tout une affaire de braquets adaptés. Si on en dispose, on ne souffre que si on le souhaite vraiment (à moins d'avoir un problème de santé, bien sûr). Par exemple, si on veut grimper le plus vite possible, ou le plus possible sur une journée… Avec des braquets adaptés, grimper un col ne devrait pas être plus problématique à vélo qu'à pied, et permet d'aller bien plus vite. Grimper le Ventoux à pied à 7 km/h, essayez pour voir… Maintenant, si grimper à 7 km/h vous paraît d'une lenteur insupportable, c'est possible, mais c'est une souffrance psychologique, et non physique. Faut savoir ce que l'on veut, quoi. Sur ce, bonne soirée!
  22. Quand tu t'attaques à un col que tu n'as pas encore fait mais qui est aussi connu que le Ventoux, tu disposes quand même de sa longueur, du profil de l'escalade, de ses pourcentages kilométriques, et des indications météos pour compléter, sans même parler de tous les récits d'escalade par d'autres cyclistes… donc tu as quand même tous les indices nécessaires pour te faire une idée par rapport à tes escalades habituelles, non? Ne me dis pas qu'en Suisse, tu n'as pas eu de longues et raides ascensions comme celle-ci sous la main, voire plus longues et plus pentues encore ? 😉 Prévois peut-être un peu plus court pour le Ventoux que pour tes escalades équivalentes s'il fait très chaud ou venteux, mais sinon, ça ne devrait pas être plus exigeant que celles-ci.
  23. Pour reprendre l'exemple du Mt Ventoux, quel cycliste est disposé à entreprendre une ascension de plus de 3h pour rester à une intensité modérée ? Moi, bien sûr (oui, je sais, c'est pas étonnant 😃). Trois heures, c'est d'ailleurs exactement le temps que j'ai mis à grimper le Galibier versant nord depuis Saint-Michel de Maurienne, et je ne me suis pas ennuyé une seconde. C'est la montagne, les panoramas, l'ambiance. En fait, je me sens aussi à l'aise que lors d'une randonnée pédestre. Si on revient au Ventoux : si on raisonne objectivement, le grimper en 3 h c'est rouler à 7 km/h de moyenne. Faire la même chose à pied, heu… pour tenir une telle vitesse moyenne sur ces pentes il faudrait courir, et tenir trois heures en courant 😬… Donc, no competition here, le vélo l'emporte largement. Mais je te rejoins sur le fait qu'il s'agit surtout de sensations subjectives. Si on se «sent» arrêté, on va le croire, même si c'est faux, et ça enlève du plaisir chez beaucoup de gens. Une des solutions, c'est le VAE. Une autre, c'est de savoir redevenir «mentalement piéton», ne plus croire que monter un vélo vous donne automatiquement des ailes et vous fait aller trois fois plus vite qu'à pied. C'est seulement une fois cet effort mental passé, qu'on va (re)découvrir alors qu'on grimpe quand même bien plus vite et aussi plus confortablement qu'à pied. Des routes de montagne aux pentes à 20-25% sur plusieurs kilomètres, où on va aussi vite à pied qu'à vélo, après tout ça n'existe pas chez nous. 😉 (À mon regret d'ailleurs, mais c'est un autre débat!).
  24. Le pourcentage moyen n'est qu'un reflet incomplet, certes. Selon ce site, c'est même moins de 7,7% : 7,1% https://www.cols-cyclisme.com/provence/france/mont-ventoux-depuis-bedoin-c34.htm Cela n'empêche certes pas des pourcentages maximaux de l'ordre que tu cites. La moyenne n'est qu'un reflet incomplet des pourcentages extrêmes. Mais cela n'enlève rien à ce que j'affirme : avec les bons braquets, on passe même 12 km à 9,3% de moyenne sans se fatiguer plus que sur le plat. Mais peu de cyclistes les ont, ces tout petits braquets, et quand ils les ont (par exemple des vététistes), j'ai constaté que souvent, même lorsqu'ils se traînent, ils ne passent pas sur ces petits braquets. Quand je leur demande pourquoi, j'obtiens deux types de réponse : « je préfère forcer, j'aime bien sentir les pédales quand je grimpe » ;« j'ai l'impression de ne pas avancer quand je mets tout petit, ça me décourage »… Très bien, c'est leur choix et ils sont libres, majeurs et vaccinés. 🆒 Mais après, s'ils viennent se plaindre auprès de moi qu'ils ont souffert, je me sens libre de leur répliquer que c'est parce qu'ils l'ont bien voulu. 😛
  25. Selon Antoine de Caunes, le home-trainer, c'est « de l'anti-vélo à l'état pur : on fait du surplace en respirant un air pourri ». 😃
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