Franck PASTOR

Ajoutes-y l’état global des routes, quoi qu’en dise le coiffeur Messin qui oublie que Michel avait pris soin de le faire passer par des routes pas trop mauvaises et donc atypiques 😜

Oui bon, faut raison garder, je voudrais pas le tuer quand même.

C'est toute mon enfance, va pas la dénigrer comme ça, méchant Schtroumpf, ou je te condamne à utiliser le 34/30 dans les bosses de Hesbaye jusqu'à la fin de tes jours !

Le « tic-tic » dont tu parles, c'est peut-être du jeu dans la fixation des cales sur la pédale. S'il y a moyen d'augmenter la tension du ressort de fixation, ça pourrait arranger les choses… mais il faut alors accepter un chaussage et/ou un déchaussage moins facile(s).

La pluie, la vraie, vient d'arriver à Bruxelles ce soir. Pas très forte, mais constante et suffisamment consistante pour tremper les rues. Les parcs, espaces verts et les pelouses particulières de la région vont apprécier !

Un peu plus, je dirais. Suffisamment pour être désagréables, mais pas assez pour tremper le cycliste. Autrement dit, ça n'a pas arrangé la sécheresse environnante.

Pour l'anecdote, les quelques gouttes ont largement débordé au nord du sillon Sambre-et-Meuse, j'y ai eu droit du côté de Wavre pendant ma sortie de ce matin. 😕

48 km de mon côté, au sud de Bruxelles (forêt de Soignes, Hoeilaart, Genval, Wavre, Overijse et retour) par ce temps chaud qui devient une habitude ici. Mais même en pleine sécheresse on peut encore avoir de la pluie dans ce pays, et je me suis donc pris quelques gouttes complètement imprévues du côté de Wavre. Pas de quoi tremper le macadam ni le cycliste, ceci dit, ni certainement arroser convenablement la végétation qui commence à en avoir bien besoin…

J'espère qu'il n'y aura pas de séquelle de cette mésaventure, sur toi-même et le vélo ! D'ailleurs, c'est pas interdit dans la plupart des départements de France de nettoyer son véhicule comme ça, avec la sécheresse ? Pour ma part, 57 km sans trop d'histoires ce matin entre Bruxelles et Louvain, au train, par un temps ensoleillé et chaud, et aussi un vent bien fort de secteur sud-ouest qui m'a bien fait ch… en ne me permettant pas d'aller au-delà de 20 km/h quand il était de face.

Ça veut pas dire grand'chose, je suis au moins aussi maigre que lui et questions performances je suis à des années-lumière derrière ! 😞

Si tu n'as pas à effectuer souvent de manœuvres comme celles décrites plus haut, c'est logique que tu n'y penses pas. Crois-moi, si tu vis en pleine ville, et une ville vallonnée en plus, tu y penses beaucoup plus 😕

De fait le cadre précédent est plus court que l'actuel, mais la différence n'est pas énorme, 1 cm environ. Ça n'explique donc pas toute l'ampleur du problème. Mais bon, comme je l'ai dit, sur le vélo actuel c'est nettement moins prononcé et donc je peux vivre bien mieux avec.

Sur mon vélo précédent, acier sur mesure, celui où ce phénomène était très accentué, le tube de direction est incliné à 72° (donc très incliné), et la fourche est droite. Ceci dit, la fourche d'origine avait été remplacée à cause d'un problème de filetage. Je me suis toujours demandé si l'inclinaison de la nouvelle fourche était correcte. Le vélo était (est toujours) stable, mais il y avait cet overlap géant, que je n'avais pas remarqué avec l'ancienne fourche (mais je l'ai eue très peu de temps). Sur le vélo actuel, cadre d'occasion, je ne sais pas. Si c'est la même chose que le tube de selle, c'est à 73°. La fourche est très légèrement cintrée, mais le phénomène d'overlap est beaucoup plus atténué. C'es vraiment le bout du bout du pied qui touche. Et ce qui fait toucher le pied, c'est surtout, je pense, que j'ai mis des pneus de 30. S'il y avait des pneus de 25, il n'y aurait probablement pas contact. Mais comme le cadre est supposé être un gravel, ce n'est pas supposé avoir des pneus aussi fins.

Un seul coup de Google « Sardaigne + relief » me montre cette phrase : « l'île est majoritairement composée de montagnes et de collines. » Pas d'hésitation à avoir donc. 😇

Pas la peine de le prendre comme ça. Si tu relis toi-même Serge, tu verras qu'il n'a pas écrit, même dans son premier post, que ça lui était arrivé en descente. Comme tu le sais toi-même, ça risque beaucoup moins d'arriver en descente tout simplement parce qu'on n'a pas besoin de pédaler pour que le vélo se déplace. Si le virage à droite est très serré mais en descente, il suffit de garder les manivelles à la verticale, pied gauche en bas bien sûr (ou à la rigueur, comme tu le recommandes, manivelles à l'horizontale, pied gauche à l'arrière) pendant qu'on prend le virage. En montée par contre, on doit pédaler et donc la roue peut venir toucher le pied.

?? C'est pourtant simple. Dans ce genre de circonstances, on « braque » la roue avant vers la droite pour prendre le virage serré, et l'arrière de la roue peut venir toucher la chaussure gauche quand la manivelle gauche passe à l'horizontale vers l'avant.

Je chausse du 43 pour une taille de 178 cm, des manivelles de 175 mm, des cadres de 56 cm au carré axe-axe ou équivalent, et mes cales sont positionnées « normalement », c'est-à-dire très légèrement en retrait de l'articulation principale du gros orteil. Et pourtant il y a ce problème de pied qui touche la roue avant sur mes deux derniers vélos. Mes vélos précédents n'avaient pas ce problème. Ceux-ci avaient des manivelles de 170 mm, mais cet « overlapping », comme on dit en anglais, est bien supérieur à 5 mm sur mes deux vélos les plus récents. Particulièrement sur mon avant-dernier vélo : à l'arrêt, les manivelles à l'horizontale, quand je tournais la roue avant, elle venait toucher la chaussure quatre ou cinq centimètres en-deçà de la pointe du pied !

Je suis content que tu aies initié ce fil ! Ce problème réel a été soulevé plusieurs fois sur le forum par le passé. Par exemple ici: https://www.velo101.com/forum/topic/20532-nouveau-vélo-chaussure-qui-touche-la-roue-avant/ Et apparemment tu es comme moi un des rares que ce phénomène gêne. Il paraît pourtant qu'il 'est très fréquent que les vélos de course soient conçus ainsi, au point que beaucoup de cyclistes considèrent ce phénomène comme tout à fait normal. Pour ma part, je n'ai connu ce phénomène que sur mes deux derniers vélos, et franchement je m'en passerais bien… Sur mon vélo précédent, je risquais la chute à chaque redémarrage après un arrêt (par exemple pour un feu de circulation), si je ne faisais pas attention d'avoir les manivelles proches de la verticale pendant l'arrêt. Et comme j'habite en pleine ville, je suis très souvent confronté à ce genre de situations. C'était également un problème qui se posait quand je devais « braquer » à très faible vitesse, par exemple au sommet d'une rue étroite en forte pente où il faut tourner à droite à 90° ou plus au sommet. Sur mon vélo actuel, mon pied touche encore la roue avant, mais celle-ci a bien plus de marge pour tourner avant que cela se produise, si bien que ça me pose problème beaucoup moins souvent. Mais ça m'arrive encore quelques fois, quelques fois de trop !

Toujours pas remis de l'histoire du Bruine Put ? 😇 Pour répondre à ta question, j'en sais rien, je ne l'ai encore pas fait à vélo. C'est pratique, comme ça je n'ai pas à comparer 🙂 (Sérieusement, en extrapolant à partir de mes temps sur des montées analogues, je pense que mon temps serait de 1 h 50 min - 1 h 55 min. Donc largement derrière ces types quoiqu'il en soit…)

Si j'avais lu ce sujet plus tôt, j'aurais pu donner la réponse adéquate moi-même. Il se trouve que j'avais fait la même observation que Fluo sur les dentures du plateau intermédiaire du triple Shimano que j'avais alors. J'avais couru chez mon vélociste pour faire changer le plateau, et c'est lui qui m'a appris que certaines dents étaient «tronquées» d'origine pour faciliter la descente de la chaîne vers le petit plateau. C'était il y a… 28 ans !! 😕

Aucun.

Peut-être que si tu te sentais si bien pour le retour, c'était parce que tu avais le vent dans le dos ? 😇 Beau périple, en tout cas !

J'ai jeté un œil sur le parcours de cette distance intermédiaire : apparemment c'est la partie passant par Roche-à-Frêne, le col du Rideux et la côte de Beffe qui passe à la trappe, par rapport au grand parcours. Par contre tu n'échapperais pas au Mur de la Vélomédiane ni à Haussire 😉 Peut-être qu'on retrouvera Eric Hennuy sur la Vélomédiane, il y a déjà participé plusieurs fois. Et Michel pourrait être intéressé par la Petite Crique, qui sait ? Par contre Jérémie n'y vient jamais, ça coïncide malheureusement pile avec un anniversaire familial.

Ben y a déjà pas beaucoup d'autres Français chez Ineos…

2e indice : il avait une autre nationalité jusqu'au début de cette année.