Nicolas JOARY

Tu peux afficher le profil, stp ? Merci. Édit. : J'ai simulé le parcours, à la grosse louche, sur OpenRunner. Ça devrait faire aux alentours de 1000 bornes et 8000m+. Solide programme !

Effectivement. Prévisions pas terribles. Et sans doute du vent et des orages. Tour de Sicile à vélo ? Ce doit être intéressant !

Le mistral s'étant tu, nous avons eu droit à une journée douce, le ciel se voilant au fil des heures, sous l'effet d'une brise venue de la Grande Bleue. Comme on ne nous annonce pas grand-chose de bon question météo pour le reste de la semaine, j'ai décidé de profiter autant que je le pouvais de ce lundi aux conditions idéales pour la pratique cycliste. Parti de Valréas vers le sud, cette fois, compte tenu du vent, j'ai roulé vers Mirabel et Mollans, projetant d'emprunter la vallée du Toulourenc si les guibolles étaient bonnes ou, dans le cas contraire, de bifurquer vers Buis-les-Baronnies pour rentrer via le Col d'Ey, Curnier et Nyons. Au moment de faire le choix, je me sentais bien, j'ai donc opté pour la montée du Col de Fontaube (avec une halte au sommet pour déguster un deliciosissime milkshake aux abricots, proposé par la sympathique dame qui tient "La Cahute"). Fontaube, c'est un joli col, très roulant, qu'on peut prolonger vers le Col des Aires si on ne bifurque pas pour descendre par Brantes. Une vue dans la montée de Fontaube : Brantes, depuis la route vers Les Aires, avec en fond de tableau le Massif du Ventoux : Après les Aires, une jolie descente vers Reilhannette et un croisement où il est possible de continuer vers Montbrun ou de prendre, comme je l'ai fait, la montée vers Aurel puis Sault. Pas question pour moi de grimper aujourd'hui le Ventoux de ce côté ! Je passe donc par Monieux pour longer les Gorges de la Nesque. Toujours un plaisir, cette route ! Direction Villes-Sur-Auzon et le long faux-plat montant vers Flassan (je commençais à sentir la fatigue). C'était jour de marché à Bédoin et, même si les maraîchers remballaient, j'ai mis pied à terre pour traverser le village (un pandore y veillait !) jusqu'au magasin de vélos. Non, je ne suis pas ensuite monté au Ventoux ! En guise de sommet, je me suis contenté du petit Col de la Madeleine. Les jambes tenaient bon et j'avais trouvé un second souffle pour terminer par Malaucène, Vaison, Buisson et Visan. Au total, 157km et 1890m+.

Et velu, en plus. Ça, c'est du viril !

Dès qu'il pleuvait, le photographe se planquait ?

Je confirme que c'est un choix économique. Déménager vers une région sèche coûte beaucoup plus cher.

Merci, Jean-Pierre. Tu es trop gentil. Mais tu as raison sur le fait que "taper dedans" ne fait pas (plus, surtout) partie de ma philosophie. Je roule aux sensations ; et celles que je recherche, c'est le plaisir de rouler, la liberté de choisir où je vais et l'allure pour y aller. J'ai à présent la chance de vivre dans une région presque paradisiaque pour le cyclisme, cela suffit déjà à mon bonheur. Quand je passerai encore du côté de chez toi, je te ferai signe. Notre rencontre de juin fut un plaisir.

Les excuses étant faites pour s'en servir, j'aurais la pluie, le vent, le froid, les mauvaises routes, la densité de circulation automobile... C'est vrai qu'il était plus facile de me trouver des excuses quand j'étais en Belgique. 😂

Ce n'est pas, à mon avis, un souci de matériel, mais un problème de concentration. Un peu comme le téléphone à la main (et parfois aussi à l'oreille) quand on conduit une voiture. En toute circonstance, il vaut mieux regarder où l'on va et penser à ce qu'on fait plutôt que consulter un écran ou parler avec quelqu'un.

J'en dirais bien autant. Étant léger et peu puissant, je ne crains pas que mes roues pètent. Mais des modèles très rigides feraient sans doute mauvais effet sur les miennes.

Joué au cor de chasse par une troupe de veneurs à l'orée de la forêt de Saint-Hubert, ça doit valoir son pesant de chevrotine.

Oui, des gants de rechange dans la sacoche de selle (ou dans le maillot, à même la peau du ventre), c'est une bonne idée.

Je suis bien bien loin de vos exploits ! Tout d'abord, parce que question forme, je suis plutôt dans le creux de la vague quand il fait très chaud ; et ensuite parce que de la famille était en visite à la même période et que la tendance à jouir des plaisirs de la table ne fait pas bon ménage avec la pratique sportive. Aujourd'hui, compte tenu à la fois de ce qui précède et de la présence d'un mistral à écorner les bœufs, je suis parti pour une sortie du type "quand-j'en-ai-marre-je-rentre". Comprenez : pas bien loin, de manière à éviter d'en avoir assez alors qu'il reste encore cinquante bornes jusqu'à l'écurie. 53km et 494m+. Je n'ai même pas l'excuse du dénivelé !

À la météo de TF1, ils ont engagé Tatiana "Eh bien" Da Silva. Ce n'est certainement pas pour sa maîtrise de la langue. Pas en parlant, du moins. Pour le reste, je n'ai pas d'informations.

18°C ce matin sous abri, 23 maintenant, mais pendant ma petite sortie, je me suis contenté de 19°C de moyenne avec 15 comme minimum... et un mistral à écorner les bœufs. Évidemment, c'est plein soleil, mais les températures resteront "sous les normales de saison". On s'habitue à la chaleur. Hier soir, les 23 degrés dans le salon nous paraissaient presque froids !

Ris pas ! C'est le meilleur morceau.

Les gants mouillés, dans ces conditions, c'est horrible. Ce ne serait pas pire en les retirant !

Déjà, il fallait boucler ce parcours au d+ conséquent ! Bravo ! 👍

35€, ça me semble excessif. Tubolito, Schwalbe Aerothan, Pirelli, etc. Comme le dit Marquez, c'est une fameuse marge, même si ce sont de grandes marques. Par contre, 19€ chez un vélociste, compte tenu des taxes et tout ça, c'est encore raisonnable, à mon avis. Évidemment, on trouve beaucoup moins cher en direct de RPC. Chacun choisira de payer ce qu'il est prêt à payer à l'aune de ses convictions quant aux pratiques commerciales.

Faut quand même la santé ! Quand j'étais étudiant, je vidais deux ou trois demis cul sec au sortir de l'entraînement de basket-ball. En vieillissant, il y a des excès qui deviennent vraiment excessifs. Aujourd'hui, c'est de l'eau, juste de l'eau en rentrant d'une sortie vélo. L'apéro, et modérément, c'est pour plus tard en espérant que ça passe. Tant qu'on n'a pas vécu cela, on ne peut pas se rendre compte de ce que c'est ; mais quand vient le moment où une erreur se paie cash, soit on devient prudent, soit on commence à planter les clous de son cercueil.

Bon. C'est clair comme du jus de chique, finalement. 😂 Si je résume, en changeant de vélo je pourrai essayer les freins à disques, le tubeless, les axes traversants, la transmission électronique et tout un tas d'autres évolutions qui me rappellent à quel point je suis démodé. 😂

Ça semble plus simple avec les attaches rapides.

Hier matin c'était frais quand je suis sorti ; et il y avait un peu de mistral. Aujourd'hui, 18°C à 7h30 sur la terrasse abritée. Le ciel est dégagé, mais le mistral souffle plus fort qu'hier et, donc, des températures un peu plus fraîches. Cela devrait être pareil demain, avec une accalmie annoncée pour dimanche et un retour à des températures de saison.

Oui, graisser un pas de vis, c'est généralement une bonne habitude. Et, de cette manière, si la vis est bien engagée dans le filet, ça tourne facilement jusqu'au bout. Quand on foire un filet, c'est le plus souvent quand on engage mal la vis et qu'on force. Et en graissant le filet, on peut serrer à fond sans devoir forcer au-delà des prescriptions.

Aucune expérience des axes traversants. Quels en sont les avantages par rapport aux axes à attaches à levier ?