Nicolas JOARY

Oui, c'est ce genre de mouvement qui est encore douloureux pour moi aussi. Bon courage !

C'est un crantage extérieur ? Quelle référence d'outil ? J'en ai un qui possède des embouts pour 4 formats différents. Édit. : D'après leur site, c'est un crantage extérieur correspondant à l'outil pour boitiers HollowTech II. J'ai ça dans mes tiroirs...

Ton chien, c'est un Mastiff ou un Bichon ?

La journée a débuté comme celle d'hier : fraîche, peu de vent, ciel partagé entre passages nuageux et belles éclaircies. En cette fin de matinée, nous avons 16°C sous abri. Hier, c'était rando pédestre avec Chérie. Aujourd'hui, ce sera plutôt repos et ensuite des emplettes en préparation de visite d'amis belges et français en séjour dans la région.

Et pour toi, ça va, la convalescence ?

Oui, mais pas les Flaminds ! 😇

Hélas, oui ! Trois semaines après, mon épaule est à peu près OK. Certains mouvements sont encore un peu douloureux, mais pas quand je suis sur le vélo.

J'essaierai surtout de préserver mes propres côtes dans les descentes sinueuses !

Je l'espère aussi ; mais, d'après ce que j'ai lu, il ne devrait y avoir aucun souci de compatibilité. Et si tu vas lire les avis sur Trust Pilot, le SAV est très réactif dans le bon sens, mettant tout en œuvre pour satisfaire le client. J'ai échangé par courriel avec eux (Martin), c'est facile, rapide et très constructif. Je pense que ces gens sont très attentifs à leur image de marque. La Chine doit elle aussi faire face à une concurrence asiatique où la m/o est encore moins chère. Les Chinois ne peuvent plus se contenter de fabriquer pour d'autres. Ils ont la compétence et l'expérience pour fabriquer et vendre sous leurs marques propres. Et avec des marges bénéficiaires plus importantes. Si j'ai bien lu, Elite Wheels a installé un siège de SAV en France, en région bordelaise.

Avec mes 64kg à sec pour 178cm, je suis plutôt dans la catégorie "léger". Par contre, pour le vélo, je suis dans le camp des lourds, mon Wilier étant pesé à 9,5kg "prêt à rouler" (autrement dit avec la sacoche de selle et l'outillage, les pédales, les porte-bidons et le support GPS). Les roues Shimano rs171 d'origine doivent bien compter pour 2 kilos dans l'ensemble, mais j'y ai monté environ 500g de pneus et 72g de chambres TPU.

C'est ce que j'ai compris. Les bagues, valves tubeless et fonds de jantes sont fournis d'office. Je n'en ai pas demandé en sus.

Les miennes sont en route 🤪

Compte tenu des écarts entre ces 17-là, réussir à tous les mettre par terre d'un seul coup, c'est un strike à faire pâlir d'envie le meilleur des joueurs de bowling.

J'y ai relevé quelques subtilités de langage... "C’est assez rare que pour être souligné." "... l'arrêt de tous les coureurs qui disposaient de plus de 10 minutes de retard au passage sur la ligne d’arrivée." Fume, c'est du Belge ! 👍😂

Il me semble qu'on peut assez facilement faire les comptes avec Garmin Connect.

J'ajoute que des tas d'essais ont été réalisés, notamment au sujet des turbulences générées par les mouvements de l'air autour du cycliste et de son vélo, avec des résultats assez surprenants : je me souviens avoir lu qu'à volume équivalent, une sacoche de selle génère davantage de turbulences qu'une sacoche de cintre.

Cela a été démontré lors d'essais en soufflerie : plus le cycliste est bas sur le vélo, moins il donne prise au vent. Remco étant plus petit, plus "compact", sa surface frontale est inférieure à celle de Pogi. Ajouté à une meilleure optimisation de sa position, ça doit compter aussi.

Il y a aussi le gabarit, très ramassé dans le cas de Remco. C'est très important aussi.

Pogi est très fort. C'est dommage pour les autres ; comme c'était dommage jadis pour les autres quand il y avait le Cannibale devant eux. Remco est très fort, mais il y a Pogi. Quant à Seixas, qui semble bon partout et qui possède a priori une belle marge de progression, peut-être pourra-t-il bientôt rivaliser avec les tout meilleurs...

47km/500m+, certains te diront que c'est plat. Je connais bien la région où roule Jacques. C'est un peu vallonné avec l'une ou l'autre belle bosse. Si elle est pentue, elle est courte ; si elle est longue, la pente est raisonnable. Il y a quelques vallées, en tout cas ; et quand tu les quittes... ça monte !

J'ai expliqué précédemment que ce n'est pas une question de contrainte, mais qu'à la limite, quand l'autonomie est longue et que tu dois rarement recharger, tu cours aussi le risque d'oublier de t'inquiéter de l'état de la charge et, donc, de vouloir un jour démarrer et trouver une batterie à plat. Le téléphone portable, par contre, on s'en sert beaucoup et on s'aperçoit vite qu'il doit être rechargé. C'est une routine presque quotidienne. Ce qui ne m'attire pas, actuellement, ce sont les trucs supplémentaires "à recharger". J'en ai déjà bien trop.

Intéressant aussi d'aller lire, sur Trust Pilot, les avis et commentaires au sujet d'Elite Wheels. Impressionnant ! Y compris les réponses personnalisées de leur service commercial.

Là, ce sont plutôt les spectateurs que les acteurs qui sont les voyous.

J'ai tenté de faire le compte des "appareils à recharger" actuellement utilisés par Chérie et moi. Incroyable ce qu'il y en a ! 2 téléphones portables ; 2 liseuses ; 1 Garmin Edge ; 2 baladeurs MP3 ; 1 batterie de VAE ; 1 enceinte bluetooth ; 4 loupiotes vélo ; 1 lampe avant de vélo ; 1 rasoir ; 1 tondeuse à barbe/cheveux ; 1 aspirateur de table ; 1 coupe-bordures ; 2 accus nomades pour outillage (visseuse, taille-haies...) ; 1 lampe de chevet. Il faut y ajouter un paquet d'appareil "à piles" qui sont alimentés par des accus NiMH Sanyo Eneloop de format AA et AAA (j'en ai tout un stock) : 1 tensiomètre ; 1 ECG portable ; 2 appareils photo ; 1 feu arrière de vélo ; 1 lampe de poche ; plusieurs horloges ; 1 brosse à dents (Chérie préfère le modèle manuel) ; 1 lampe frontale. J'ai peut-être oublié quelques trucs et machins ; mais bravo au robot-tondeuse qui s'occupe tout seul de la pelouse et retourne spontanément à la station de charge quand il a terminé. Les appareils photo ne servent plus qu'occasionnellement.

C'est hors-sujet, mais je ne peux à chaque fois m'empêcher de me dire que, depuis des mois et des mois, le centre-droit essaie de mener une politique de droite sans se compromettre avec l'extrême-droite et sans faire le moindre compromis avec le centre-gauche. C'est la quadrature du cercle politique français en ce moment, observée avec mon regard belge.