Nicolas JOARY

Ce n'est pas une religion, les gars ! Il n'est pas question de croire ou ne pas croire à quelque chose. Il n'y a pas de Saint Brooks ou de Sainte SMP ou de Fizik le Très Haut... Simplement, quand on passe des heures à pédaler sur un vélo, ça peut faire mal ailleurs qu'aux muscles des guibolles ; et ce n'est généralement pas souhaitable. Quels que soient la selle ou le cuissard, s'il n'y a ni douleurs, ni engourdissements, ni irritations, c'est que l'équipement convient. Changez rien ! J'ai eu des soucis d'engourdissements, il y a une bonne dizaine d'années, sans pourtant rien avoir changé. C'est le corps qui décide. Avant, tout allait bien, puis ça s'est mis à ne plus aller. Quand l'engourdissement disparaît quelques minutes après avoir quitté le vélo, ça m'inquiète pas. Quand ça dure jusqu'au lendemain... ☹️🤔 L'urologue que j'ai consulté m'a dit qu'il avait souvent des cyclistes dans sa salle d'attente ; et que le périnée, ce n'est pas fait pour être comprimé et prendre coups ou vibrations. Il m'a recommandé de changer de selle pour une selle évidée. J'ai suivi son conseil, mon problème a disparu. C'était moi. C'était au périnée que ça n'allait plus. Les os, les fesses, c'était OK. Je ne dis à personne qu'il faut m'imiter. À chacun son postérieur, sa selle et les cuissards qui vont bien. La seule chose qu'il convient de faire, à mon avis, c'est d'intervenir quand ça ne va plus. Quand on a une formule qui va bien, ne changeons rien.

Sauf si tu oublies de freiner. Auquel cas on t'entend gueuler quand tu finis par terre.

Les trois meilleurs aux trois premières places... et encore un tir groupé belge au pied du podium.

Gare aux gamelles, Gargamel !

Certains fabricants disent qu'il faut se baser sur la largeur des ischions et la position sur le vélo pour choisir la largeur de la selle, sachant que l'écart entre les ischions ne change pas, mais que plus la position est "sportive", plus on a besoin de réduire la largeur de selle. Inversement, quand on adopte une position plus relevée, la largeur d'appui augmente un peu. Et la pression sur la selle également. Avec l'âge et, pour les messieurs, la prostate qui a tendance à gonfler, on peut se trouver mieux sur une selle évidée, qui limite la pression sur les tissus mous et l'engourdissement possible du périnée. À mon avis, tant que ça va bien, ne changeons rien. En cas de problème, surtout s'il s'agit de douleurs ou d'engourdissements au périnée, prendre cela très au sérieux. Il est temps de changer... et de consulter un urologue !

Pas encore de pluie sur Valréas, mais ciel chargé, pas de vent et 15°C. Cela va se gâter et, d'après les prévisions, pour une bonne partie de la semaine qui vient. ☹️

C'est déjà bien ! Parfois, la charpente est robuste et, sans être gras, on garde du poids. D'un autre côté, absolument aucun mérite pour moi à rester sec. Le métabolisme décide en premier et, même avec de la bonne ou mauvaise volonté, y changer quelque chose n'est pas évident du tout.

Ça, c'est un truc que j'aime bien aussi. Aller faire les emplettes ou le marché à vélo, boire un café ou l'apéro sur une terrasse... Le mode super cool, parfois avec un tas de denrées dans les sacoches. La randonneuse, c'est ma mule. Elle porte, y a plus qu'à la faire avancer... 😂

Encore 22°C à l'ombre aujourd'hui sur notre terrasse à Valréas. Nous en profitons car la semaine qui vient est annoncée mauvaise. Tout est relatif, évidemment. Je pense qu'en choisissant bien jours et heures, je pourrai sortir dans des conditions convenables. Sinon, y a du boulot à l'intérieur...

64 pour moi. Qui dit moins, sachant que je fais 178cm ? Édit : Je mange comme quatre.

De la brume ce matin sur Valréas, 11°C à 8h. Elle s'est dissipée vers 10h, à présent soleil et 15°C à l'ombre sur la terrasse. Vent faible de n-e pour l'instant (11h30).

J'espère qu'il n'utilisera pas ce truc...

Superbe journée aujourd'hui sur l'Enclave des Papes et la Drôme Provençale. Une douzaine de degrés à l'ombre quand je suis sorti ce matin, mais du soleil et peu de vent, donc plus chaud suivant l'exposition. Manches longues quand même, parce que dans les descentes, ça pouvait être frais ! Au menu du jour, plateau de côtelettes. En entrée, le Chemin de Sainte-Croix, cette succession de raidillons serpentant entre les vignes (bien taillées et qui bourgeonnent), d'où j'ai rejoint la route de Vinsobres pour redescendre sur Valréas et entamer le plat de résistance : les trois montées de La Carne, un lieu-dit que l'on peut atteindre par le nord (depuis Valréas quartier Polidon), côté le plus facile, une montée régulière dans les bois de feuillus et résineux ; par le sud depuis Saint-Maurice-sur-Eygues (un peu moins facile et plus exposé - très chaud l'été) ; et enfin par l'ouest depuis Visan, là où c'est du sérieux avec une succession de bosses de 10 à 16% de déclivité. Nouvelle descente vers St-Maurice, après avoir enchaîné les trois montées, et montée cette fois vers Vinsobres par le Chemin des Côtes, asphalté mais "limite gravel". Au dessert, retour à Valréas "par la montagne", la route plus large et roulante qui permet de passer près du Belvédère de Vinsobres (à contrejour le matin, le sommet du Ventoux était noyé dans la brume et les nuages). 2km à 5%, un plateau vallonné, puis 4km de descente à 4,5%. Une bonne petite sortie avec du dénivelé : 62km/1207m+ ! Après-midi, repos sur la terrasse. 22°C à l'ombre.

Et y'a même pas de pignon de 16 ! 😱

L'objectif reste 10000km. Même pour ceux qui sont sûrs de ne pas y parvenir. Mais il faut essayer, car l'important est de participer. En fin d'année, chacun fera son bilan et dira s'il est satisfait ou pas de ce qu'il aura réalisé (parvenir à repousser un peu ses propres limites, c'est déjà un motif de satisfaction, dirais-je).

Bien sûr ! C'est pour la beauté du challenge. Et puis ça peut aussi apporter un peu de motivation. Moi non plus, je ne suis pas certain d'arriver aux 10.000 km, mais je vais essayer. J'en suis à 2244 pour l'instant. Ça reste faisable, mais je devrais bien rouler dans les prochains mois. J'ai aussi relevé le défi 100.000m+ ; et là, je suis mieux parti avec mes actuels 30.551m+.

10°C à 7h30, maintenant 12°C, mesurés sur la terrasse. Probablement un peu moins dans les courants d'air (mais vent très faible en ce moment), un peu plus au soleil. Une belle journée qui s'annonce sur la Drôme Provençale et l'Enclave des Papes.

C'est presque la copie d'hier, Jacques. Ici, c'était un peu plus gris le matin, mais plus lumineux l'après-midi. Nous avons dépassé les 20°C à l'ombre sur la terrasse, mais c'était quand même moins chaud qu'hier.

Malheureusement ! ☹️

C'est rassurant. Je finirai par essayer ça. À moins que ça ne devienne hors de prix dans pas longtemps. On ne sait jamais, avec les excités des taxes douanières... 😁

La Belgique est un chouette pays. On n'y reste pas pour le climat, mais la vie n'y est pas compliquée. Beaucoup de choses sont performantes, les Belges sont généralement des gens simples et bons vivants, beaucoup moins râleurs que les Français, mais ils ont peu de fierté, sont enclins au fatalisme et leur première forme d'humour est l'autodérision.

Une sortie facile, aujourd'hui (65km/769m+), avec du soleil, un vent faible de direction variée et les couleurs printanières qui s'intensifient. Passage par plusieurs petits villages : Chantemerle, Clansayes, Montségur, Solérieux, La Baume de Transit...). Toujours un plaisir de faire le crochet par Clansayes et de se hisser tout en haut.. ... ou le voir de plus loin : Il faut grimper aussi pour côtoyer les vestiges du château de La Baume :

Tu exagères ! Si, comme moi, tu te contentais d'une seule, tu aurais davantage de temps à toi. 😂

Je suis tout à fait d'accord avec toi, Thierry. Quand on n'a pas ce qu'on aime, il faut aimer ce que l'on a. Il n'est pas facile d'appliquer ce principe, mais si on n'y parvient pas, c'est la déprime. Je parle par expérience, ayant habité pendant 35 ans avec Chérie dans la même maison, dans laquelle nous avions beaucoup investi et qui nous plaisait. L'environnement, pendant ces années, avait évolué défavorablement, hélas ! Notre maison dans une commune rurale a fini par se retrouver dans un environnement périurbain : agitation, circulation, pollution visuelle et sonore s'ajoutant à celle de l'air... Tant qu'on bossait, on rentrait le soir et c'était plus calme, les weekends aussi. Une fois retraités, c'est devenu difficile à supporter ; non seulement tout cela, mais aussi le dérèglement climatique. Je regardais par la fenêtre et je me disais : "non, c'est pas possible de continuer à vivre comme ça". Chérie et moi, nous avons ressenti le besoin de changer d'air, sous peine de déprimer. Ce n'était pas facile, il fallait abandonner beaucoup de choses, repartir sur d'autres bases, c'était stressant... mais nous sommes heureux de l'avoir fait.

MVDP ne se cherche pas d'excuses. Même pas sa chute. C'est vrai qu'on n'a jamais été plus proche de faire des comparaisons avec le Cannibale. Pogi a le talent et le panache. Son palmarès devient impressionnant !