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Nicolas JOARY

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Tout ce qui a été posté par Nicolas JOARY

  1. Nicolas JOARY

    J'aime mon vélo.

    Toute autre considération mise à part, aimer son vélo, c'est quand même un minimum pour un cycliste. Sinon, on cherche rapidement à changer de vélo... ou de sport.
  2. J'aurais dit "des pneus qui roulent à gauche", mais Gino a été plus rapide. Sinon, si tu as déjà roulé en Belgique, tu ne seras pas trop ennuyé par l'état des routes. Suggestion : poser la question sur des forums britanniques à des cyclistes britanniques. Eux, ils doivent savoir.
  3. Tiens, comme quelqu'un a lancé un fil "objectifs 2016", je me demande où en sont ceux qui ont posté ici leurs objectifs 2015. Surpassés ? Réalisés ? En bonne voie ? Loupés ? Ce serait pas mal de nous en parler.
  4. Nicolas JOARY

    Pneu velotaf

    Les rainures sur les pneus de voiture leur évitent l'aquaplanage. En vélo, tu n'auras pas ce phénomène même avec des pneus lisses. Enfin, si les rainures évacuent l'eau, elles la soulèvent aussi (la rotation disperse l'eau ailleurs que sous les pneus). Un pneu sans sculptures ne soulèvera pas beaucoup d'eau. J'ai fait cette remarque parce que tu sembles croire qu'en mettant des pneus lisses sur ton vélo, tu vas recevoir plus d'eau qu'avec des pneus sculptés. Mais c'est l'inverse : ton pneu lisse en fera moins remonter que ton pneu sculpté parce qu'il en accroche moins.
  5. Nicolas JOARY

    Pneu velotaf

    Je ne sais pas d'où tu tiens qu'un pneu "slick" "disperserait" (ou soulèverait ?) plus d'eau qu'un pneu rainuré, mais ça me semble bizarre. Quand il y a de l'eau sur la route, sans garde-boues le cycliste et son vélo sont aspergés. Et pour ce qui est de soulever de l'eau, je dirais même qu'il me semble qu'un pneu sculpté devrait en soulever davantage qu'un pneu lisse : à dimension égale, la surface pouvant se mouiller est supérieure sur le pneu sculpté.
  6. Nicolas JOARY

    Pneu velotaf

    Le problème des Schwalbe Marathon Plus, c'est qu'ils ont... heu... un certain poids. Mais ils sont réputés prodigieusement durables et résistants à la crevaison. Je vélotaffe avec des Rubino Pro III. Six mille bornes cette année sans problème. Mais comme toujours, pour les crevaisons, il y a une grosse part de (mal)chance qui joue pour nous faire dire - souvent hâtivement - que tel pneu est meilleur qu'un autre alors que ce n'est pas nécessairement vrai.
  7. Moi, je le trouvais sympa, ce fil. Le cyclisme en solo, c'est un défi contre soi-même. Par rapport à moi, je sais où j'en suis : mieux ou moins bien que la semaine, le mois ou l'année d'avant. Parfois, j'ai envie de me lancer le défi de suivre le rythme de quelqu'un d'autre. Je ne vais pas me lancer dans la compète pour autant, même si les suggestions de le faire sont à mon avis basées sur des remarques tout à fait fondées.
  8. Michel Dury : "le gars là devant, à cent deux cent mètres, qui va bien, trop bien, et qui quelque part titille notre combativité" C'est naturel, je pense. Même quand on ne cherche pas la performance, la pratique cycliste assidue est exigeante, c'est un défi à soi-même. Guère étonnant qu'on ait parfois envie de se mesurer aux autres. Juste pour voir où on en est, par exemple. Guillaume Leroyer : "Sinon, quand il y a une grosse différence de niveau, je ne m'occupe pas de ce qui se passe devant ou derrière, je laisse partir ou je laisse passer" Je fais pareil. Et je dis bonjour (ou bonsoir). Franck Pastor : "Par contre, si quelqu'un me double à la vitesse de l'éclair en bas d'une côte, pour ralentir fortement vingt mètres plus loin, ça m'agace, parce que ça veut dire que cette personne veut «me battre» plutôt que de gérer la côte correctement à son propre rythme. Et on sait que faire un sprint en bas d'une côte n'est pas vraiment la meilleure façon de la grimper… En plus généralement c'est le type de personne qui ne répond jamais à mes «Bonjour !»." J'ai remarqué ça aussi. En général, je n'entends pas le cycliste qui se rapproche. Je le vois quand il me double et, si c'est un sympa, il dit déjà bonjour de lui-même. Le mec qui a mis une accélération juste pour dépasser ne dira pas bonjour ni ne répondra au mien (même répété). C'est typique de ce genre de cycliste. Souvent, le "pas sympa", quand il ne peut plus tenir le rythme, se retourne pour voir où je suis. Et comme c'est un "pas sympa", je suis toujours plus près qu'il ne l'espère, juste pour le faire ch... J'ai noté l'inverse aussi. Le type que je dépasse et qui ne répond pas à mon bonjour, il va souvent essayer de "prendre la roue". Le sympa ne le fera pas. Ou à la rigueur, il va le demander. Michel Dury : "Et parfois, je râle parce que tous les mecs de devant vont dans l'autre sens que le mien" Je vis fréquemment cette situation. À croire que tous les cyclistes vont en sens inverse du mien. Et parfois, j'en vois beaucoup, alors que dans le même sens que moi... Je me dis que c'est tout simplement parce que je suis "dans la moyenne". Je ne roule ni plus ni moins vite que ceux qui vont dans le même sens que moi, à part l'un ou l'autre pépère que je dépasse et l'un ou l'autre affûté qui me dépose proprement. Les petits groupes, évidemment, me laissent sur place. Quant aux grands groupes, généralement, ils sont agaçants : ils ont souvent un rythme irrégulier, tu es "au milieu du paquet", puis derrière, puis devant... Le mieux est de ralentir pour "laisser filer". Christian Gillon : "l'anecdote est authentique." Chouette récit ! C'est sûr que ça doit laisser un fameux souvenir.
  9. Ces compteurs VDO sont de bonne qualité ; et le M6 t'indique en effet le pourcentage de pente. Comme tous les systèmes barométriques, il y a un temps de latence. Disons que quand tu attaques la pente, le pourcentage affiché ne change qu'au bout de deux ou trois secondes. En gros, l'affichage a toujours une poignée de secondes de retard sur la situation réelle, mais c'est quand même assez précis et constant (mêmes chiffres quand tu empruntes plusieurs fois le même itinéraire), sauf quand il y a de grosses rafales de vent.
  10. Une discussion récente sur le sujet : http://www.velo101.com/forum/voirsujet/cassette--33716/
  11. Bravo ! La voiture-balai se sent déjà moins seule.
  12. Comme l'a indiqué Pierre, tu n'auras probablement pas beaucoup de réponses, les participants à ce forum pratiquent surtout le vélo de route. Peu utilisent des cintres plats, même si pas mal de gens pratiquent le vélotaf. "Ma question de débutant est la suivante: L'un des deux est-il objectivement meilleurs que l'autre?" Honnêtement, je n'en sais rien, n'ayant essayé aucun de ces deux vélos (mais je possède le Sirrus dans une version alu/carbone). Si tu fais une recherche sur des forums consacrés au vélotaf, tu verras que le Sirrus y est généralement très apprécié. C'est un hybride léger, bien adapté au vélotaf sur l'asphalte, en milieu urbain et périurbain. "Quelques informations sur mon utilisation: utilisation pour aller au boulot tout les jours, par tout les temps, environ 16-18 km par jour. Je compte installer des garde boue Crud Road Racer Mudguard MKII ainsi qu'un kit lumière amovible (peut être sur mon casque directement, d'ailleurs si vous avez des références à conseiller!). Je ne compte pas utiliser le vélo pour aller me faire des cols le dimanche, c'est vraiment un moyen de transport pour moi." Tu fais évidemment ce que tu veux et si les finances ne sont pas un problème pour toi, pourquoi pas des vélos comme ça ? Moi, je ne prendrais pas un "full carbone" pour du vélotaf, je favoriserais l'alu qui permet d'installer plus facilement d'éventuels accessoires. Mais c'est juste moi. Si tu préfères du carbone... "Question additionelle: je choisis un simple plateau à l'avant pour une question de gain de poids. En utilisation quotidienne est-ce que la perte en flexibilité que cela entraîne risque-t-elle de me nuire? Sachant que (des fois que des utilisateurs viennent du même coin que moi) je circule principalement en ville de Genève en Suisse." Franchement, un double 50/34, sur un vélo à cintre plat, c'est pour moi une aberration. Ou alors avec une cassette en départ 13 dents ? Le 50:11, c'est beaucoup trop gros. Un vélo à cintre plat n'est pas taillé pour la vitesse (même en descente). Ton idée d'un simple plateau est bonne, par contre : un 42, c'est très polyvalent. À toi de voir si 42:36 sera suffisant pour les grimpettes (et si tu aimeras une cassette à étagement "lâche"). Ne fais pas une fixette sur la chasse aux grammes. En vélotaf "par tous les temps", c'est sans grande importance. Ce qui compte, c'est le confort, la polyvalence et les aspects pratiques. Parole de vélotaffeur.
  13. Quelques dents en moins, généralement ça soulage les genoux. (Je sors.)
  14. Compte tenu de notre enthousiasmante météo belge et de notre non moins réjouissante saison des betteraves, je suis bien content de disposer de garde-boues et de couvre-chaussures.
  15. Pas de coupure programmée, mais je roule beaucoup moins en décembre et janvier. C'est la météo belge qui décide. Quand les routes sont vraiment dangereuses (neige, verglas, grand vent), pas de vélo.
  16. Il y avait autrefois des coureurs pros "à lunettes" (Gerrie Knetemann, Laurent Fignon...), mais aujourd'hui c'est plus rare car les lunettes de sport correctrices sont légères et très bien faites. Par rapport aux lunettes "de ville", elles ont l'avantage de bien protéger les yeux, mais le désavantage de coûter cher (surtout en Belgique, où la sécu n'intervient pas dans cette configuration). En lunettes de sport, les corrections sont toutefois limitées. Pour des verres sophistiqués ou assez forts, il faut opter pour des modèles "à inserts" : les verres correcteurs se clipsent sous les verres de sport. C'est parfois ennuyeux par temps humide (condensation), mais quand on ne peut pas faire autrement... Les gouttes à l'extérieur sont vites essuyées, par contre, quel que soit le système.
  17. J'imagine que tu n'emmènes pas le 48:11 "à fond" ; mais c'est vrai que pour continuer à pédaler en descente sans forcer la cadence, ça garde son utilité. En roue libre, on se refroidit vite.
  18. L'étagement d'une cassette, c'est l'écart entre les différents pignons, non ? Un écart d'une seule dent en partant du 11 ou du 12 jusqu'au 15 ou au 16 ; puis ensuite un écart de deux dents, on peut parler d'un étagement serré, me semble-t-il. Avec une 11-32, on ne peut plus parler d'étagement serré. On a tout de suite deux puis trois dents d'écart. Et encore : tout est relatif. 11-13, c'est un gros trou ; 15-17, un petit. Et puis, chacun selon sa pratique : un compétiteur aimera un étagement serré pour garder la même cadence de pédalage sans perdre trop de vitesse, car c'est important. Pour lui, 11-13-15, c'est abominable. Celui qui s'attache plus au plaisir qu'à la performance sera moins regardant. 11-13-15, il l'utilisera en descente ou sur le plat par conditions très favorables. Dans ces circonstances, la cadence, il s'en fiche un peu. Pareil quand ça monte : il peut se satisfaire de 25-28-32. Un mauvais étagement (trop "lâche") est, à mon avis, surtout ennuyeux quand on roule sur le plat, aux alentours de sa vitesse moyenne. Et cette vitesse moyenne est fort variable d'un individu à l'autre. De ce point de vue, les équipements d'origine des grandes marques sont standardisés (parce que ça permet de générer un max de profit) et on se retrouve, si on n'y prend garde, avec des braquets inadaptés. Trop de vélos sont fournis d'office avec des braquets "de compète", surtout s'il s'agit de doubles ou de doubles compacts. De là l'intérêt de prendre l'option "triple" pour une pratique moins axée sur la performance. C'est la raison pour laquelle je plaide pour une troisième option : le double genre cyclocross. 34 ou 36 en bas, 42, 44 ou 46 en haut.
  19. Avec les trucs hermétiques, quelle que soit la température, on finit toujours mouillé. Le vêtement le plus polyvalent à mon goût c'est le coupe-vent genre nylon avec doublure en filet. Ce n'est pas franchement imperméable, mais on peut le traiter "déperlant". On choisit la tenue (manches courtes ou longues, une ou deux épaisseurs...) en fonction de la température et le coupe-vent fait le reste. Et ce n'est pas encombrant à rouler dans une poche ou un petit sac quand on s'en va par météo incertaine.
  20. Oui, la bière trappiste dans le bidon, j'ai renoncé également.😆
  21. Ben oui : you get what you paid for, comme disent les Anglais. Quand on garde cela à l'esprit, on peut être heureux de ce qu'on a acquis, quel qu'en soit le coût. L'avantage du meilleur marché, c'est qu'on peut se permettre plus de quantité à prix égal. Pour celui qui sort matin et soir par tous les temps (vélotaf), plusieurs tenues complètes pour la mauvaise saison, c'est presque obligatoire.
  22. En évoquant le manque de montagnes, je songeais essentiellement aux longues descentes roulantes où on pourrait emmener (en toute sécurité) des rapports supérieurs à 4:1. En Belgique, c'est difficile. Ou alors peut-être en de rares endroits... à condition de les fermer à la circulation. Je visais donc les grands braquets, pas les petits.
  23. "moi qui roule seul, j'ai même mis un 46 devant avec ma cassette 12/25. Comme ça je suis super bien étagé sur le plat entre 25 et 45 km/h (avec une cadence au alentours de 90 tr/mn). J'ai gardé le 34 en petit et je suis super bien étagé dans les bosses entre 16 et 25 km/h avec une cadence aux alentours de 75 tr/mn. Après si je roulais en groupe et dans les roues, je mettrais surement un 50 devant." Je partage cet avis. Pour rouler seul sans viser la compète, un pédalier genre cyclocross est très polyvalent. Et avec 46:11, on est encore en prise à plus de 50 km/h. Moi, en descente à cette vitesse-là, je ne pédale plus. Et de toute façon, près de chez moi en Belgique, pas de montagnes pour justifier plus grand. Et vu l'état des routes et la circulation, 50 km/h, c'est presque suicidaire. Maintenant, chacun fait comme il veut : un 34:32 pour se rassurer et un 50:11 pour dire qu'on s'en sert une fois de temps en temps, par exemple. 😃
  24. Juste un bris de chaîne, je devais avoir 18 ou 19 ans, mais qui m'a fait très mal parce que j'étais avec un pote et je venais de démarrer en danseuse dans une côte. Je me suis salement écorché cheville, genou, hanche et coude droits et j'ai fait quatre bornes à pied en poussant mon vélo. Heureusement, à l'époque, c'était baskets et cale-pieds à courroies.
  25. Oui, vraiment, je ne regrette pas de l'avoir mis dans mon top 3 des coureurs pros de l'année, même si d'autres noms que le sien viennent plus vite à l'esprit (à moins d'être Belge, natuurlijk !).
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