Nicolas JOARY

Tudieu ! C'est pas de la tarte ! Le mec qui mouline sur son VTT à côté d'autres qui sont à 40 tpm sur des braquets manifestement trop gros pour leurs guibolles, ça fait un de ces contrastes ! J'ai remarqué les chiffres du capteur de rythme cardiaque, en bas de l'écran : rarement en-dessous de 160 BPM. 😳

Quand j'arrive au bout du rouleau, ce qui est très difficile, c'est d'encore me soulever de selle pour éviter de me faire botter le c*l par un cahot de la route.

Nous avons essuyé quelques bonnes averses en roulant vers la Provence dimanche et lundi. Des rafales de vent, aussi ; et un orage pas piqué des hannetons près de Lyon la nuit de dimanche à lundi. Un autre orage la nuit dernière mais peu de pluie, près de Vaison-La-Romaine. Pas beaucoup de vélo (les machines ont été bien rincées pendant le trajet), juste 38 bornes en fin de journée aux alentours de Buis-les-Baronnies, avec pas mal de vent mais une température correcte pour rouler. Quelques couinements dans la transmission : va falloir huiler la chaîne.

La compétition n'est pas une invention humaine. C'est la compétition pour la compétition qui l'est.

Chapeau, Franck! 👏

Un truc qui marche étrangement bien pour enlever les traces de goudron sur une peinture (pas essayé sur des pneus), c'est le produit pour décoller les insectes d'une carrosserie de voiture.

Dégueu. Heureusement, on est en route vers la Provence.

Je ne vois pas en quoi il "ratisait". Il est resté vigilant en tête du peloton avec quelques équipiers ou en tête de la course. Ce n'était pas à lui d'attaquer. Il a lancé le sprint pour terminer, il n'avait pas beaucoup de chances de battre Pogi au sprint, mais il a essayé. Je n'aime pas beaucoup Vingo, mais je ne pense pas qu'on puisse lui reprocher sa manière de courir ; sans grand panache, certes, mais tactiquement intelligente.

Oui, mais encore 26 km...

Et c'est quoi, les ouates et talons ? C'est pour les travélos ?

Il n'y a pas que les performances des tout meilleurs qui laissent perplexe. Que dire de Campenaerts, Asgreen et consorts, à l'attaque jusqu'au bout de l'effort hier et qui remettent le couvert aujourd'hui ? Ce sont des facultés de récupération Impressionnantes !

Le problème de l'achat en VPC, c'est que tu n'essaies pas avant de commander. Il faut donc être sûr de prendre la bonne taille et que la géométrie te convient. C'est un cadre aux quotes "endurance", donc avec une position de conduite plus relevée et "relax" que sur une machine de course.

C'est pas Julien Alain et Philippe, les échappés ?

C'est le jeu des 7 erreurs. Un bisou de la dame et une photo dédicacée du Schtroumpf au premier qui donne la bonne réponse.

Personne avec le casque, tout le monde avec des gants, sauf la p'tite dame ; mais elle a des lunettes, elle !

Campenaerts était complètement cuit, à la fin. Son dernier relais et le sprint ne laissent aucun doute là dessus. Ça s'appelle tout donner.

Merci pour les petits vieux d'une part ; et pour ceux qui ne grimpent pas comme des bouquetins d'autre part. La montée par Sault est la moins difficile, certes, elle n'en est pas facile pour autant (surtout les 6 derniers km), quand on n'est pas coutumier des routes de montagne. C'est par contre la plus jolie des trois, ce qui est appréciable quand on inclut bien le mot "tourisme" dans cyclotourisme.

À noter, à l'interview, ses remerciements à ses compagnons d'échappée, qui autant que lui méritaient de gagner. Il a parlé d'un contre la montre par équipe, à eux quatre dans le final.

Cette fois Alaphilippe a quand même été très utile en se mêlant aux relais pour casser le rythme en tête de peloton.

Fameuse épreuve ! Je viens de parcourir le site, c'est impressionnant ! Et 3400m D+, c'est plus que du sérieux !

Beaucoup plus frais en Belgique. Ce matin j'avais les manches longues et l'imper coupe-vent en poche, en raison de l'abondance de nuages. Au bout de dix minutes, je me suis arrêté pour l'enfiler, car je peinais à me réchauffer. J'ai joué de la tirette pendant tout le reste de ma sortie de 53km vallonnés, ouvrant dans les montées, refermant dans les descentes. La vague de chaleur n'est plus ici.

Quels ultimes kilomètres, aujourd'hui !

En réalité, d'où cette histoire vient-elle ? À force de voir ce truc, on ne sait plus son origine...

Cela fait toujours de la peine de voir un "grand", sympathique qui plus est, tomber de son piédestal.

Il y a dans d'autres sports des absences pour de mystérieuses blessures ou surcharges émotionnelles. L'omerta n'existe pas que dans le cyclisme ; et de ça, on peut en être certain !