Nicolas JOARY Posté il y a 4 heures Posté il y a 4 heures à l’instant, Franck PASTOR a dit : Je pense qu'avec Albéric, on se rapproche. Je suis certain que ce n'était pas Adolf, en tout cas.
Franck PASTOR Posté il y a 4 heures Posté il y a 4 heures il y a 2 minutes, Nicolas JOARY a dit : Je suis certain que ce n'était pas Adolf, en tout cas. Peut-être Aldebert ? Rhaa, je suis sûr d'être tout prêt…
Nicolas JOARY Posté il y a 4 heures Posté il y a 4 heures il y a 13 minutes, Franck PASTOR a dit : Peut-être Aldebert ? Rhaa, je suis sûr d'être tout prêt… Ou tout près ?
Sylvain KARLE Posté il y a 4 heures Posté il y a 4 heures Je me demande si Marquez n'est pas un de ses enfants 😁
Thierry GEUMEZ Posté il y a 4 heures Posté il y a 4 heures il y a 19 minutes, Franck PASTOR a dit : Je pense qu'avec Albéric, on se rapproche. Il n'empêche, Alfred Einstein a vraiment existé : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Einstein
Franck PASTOR Posté il y a 4 heures Posté il y a 4 heures il y a 1 minute, Nicolas JOARY a dit : Ou tout près ? Oui, bien qu'on s'éloigne… du sujet. 😇
Thierry GEUMEZ Posté il y a 4 heures Posté il y a 4 heures il y a 1 minute, Franck PASTOR a dit : Oui, bien qu'on s'éloigne… du sujet. 😇 On en avait fait le Tour 🤣 1
Franck PASTOR Posté il y a 4 heures Posté il y a 4 heures il y a 1 minute, Thierry GEUMEZ a dit : Il n'empêche, Alfred Einstein a vraiment existé : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Einstein Je n'avais jamais entendu parler de celui-là. Contemporain de l'autre, en plus ! Peut-être se sont-ils connus.
Michel ROTH Posté il y a 2 heures Auteur Posté il y a 2 heures Et pour terminer sur le drafting, voici la référence pour le CLM par équipes. B. Blocken et al., Aerodynamic Drag in cycling time trials, Journal of Wind Engineering and Industrial Aerodynamics, Vol.182, 128-145, 2018. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0167610518306755 Résumé: Dans un contre-la-montre par équipe, la stratégie principale est basée sur le drafting, où les membres de l’équipe prennent alternativement la tête tandis que d’autres roulent derrière le cycliste de tête. Les CLM par équipe peuvent contenir jusqu’à 9 coureurs. À notre connaissance, aucune étude aérodynamique systématique n’a encore été publiée sur des groupes de drafting de 2 à 9 coureurs. Par conséquent, cet article présente une telle analyse pour un maximum de 9 cyclistes se positionnant sur une seule ligne, avec des espacements d’une roue à l’autre, d = 0,05, 0,15, 0,5, 1 et 5 m. Au total, 47 simulations de dynamique des fluides numérique (CFD) sont réalisées, et validées par des mesures en soufflerie. Dans les groupes jusqu’à 5 coureurs identiques avec d allant jusqu’à 1 m, le dernier coureur a la traînée la plus faible, mais ce n’est pas le cas pour les groupes plus importants. Un groupe serré de 7, 8 ou 9 coureurs a une traînée moyenne qui est environ la moitié de celle d’un coureur isolé. Cependant, pour des alignements théoriques beaucoup plus longues, une configuration de peloton décalé peut encore être environ deux fois plus efficace en termes de traînée. Exemple pour d = 15 cm : cette figure représente la traînée de chaque coureur dans des lignes de 2 à 9 coureurs, en pourcentage de la traînée d’un coureur isolé. Distance d’une roue à l’autre d = 0,15 m. La colonne de droite donne le pourcentage de traînée moyen pour toute la ligne de cyclistes. Conclusion (traduction) : Cet article présente une analyse systématique de la traînée de 2 à 9 coureurs positionnés en ligne avec des espacements d de roue à roue avec d = 0,05, 0,15, 0,5, 1 et 5 m. Au total, 47 simulations de dynamique des fluides numérique (CFD) ont été réalisées et validées à l’aide de mesures en soufflerie. Voici les principales conclusions : Deux effets bénéfiques du coureur de tête régissent la traînée dans les lignes en l’absence de vent de travers : (1) l’effet que procure le cycliste de tête est bien connu : un coureur de queue subit moins de surpression sur la partie avant du corps et moins de sous-pression (aspiration) sur la partie arrière du corps en raison de sa présence dans le sillage du ou des coureurs de tête ; (2) l’effet de perturbation subsonique en amont, moins connu, par lequel un cycliste de tête subit moins de sous-pression (aspiration) sur la partie arrière du corps en raison de la présence d’un ou de plusieurs coureurs de queue dans son sillage. Il y a peu de différence dans les chiffres de traînée dans les alignements de coureurs espacés de d = 0,05 m et d = 0,15 m. Cela indique que rouler plus près l’un de l’autre que d = 0,15 m, ce qui est dangereux, pourrait ne pas valoir la peine. De grandes différences ne sont obtenues que lorsque l’espacement devient très grand, c’est-à-dire d = 1 m et surtout d = 5 m. Néanmoins, pour tous les espacements allant de d = 0,05 m à d = 5 m, bon nombre des tendances principales restent présentes. Dans tous les alignements et pour tous les espacements jusqu’à d = 1 m, le coureur de tête subit une réduction de traînée faible, mais significative en raison de la perturbation subsonique en amont. Le drafting présente de grands avantages pour les coureurs de queue : en fonction de l’espacement, la traînée du deuxième coureur diminue jusqu’à environ 60 à 70 % de celle d’un coureur isolé, tandis que la traînée du troisième coureur est réduite à environ 50 à 63 % de celle d’un coureur isolé, et cette réduction augmente encore au-delà. Pour les alignements jusqu’à 5 coureurs, le dernier cycliste subit la traînée la plus faible. Mais pour des alignements de 6 coureurs et plus, ce n’est pas le dernier cycliste qui subit la traînée la plus faible, en raison de l’effet de perturbation subsonique en amont. Pour des équipes de 6 coureurs ou plus, le 5ème coureur et tous les coureurs suivants ont une traînée très similaire. La raison en est que l’extension du sillage en largeur et en hauteur derrière le premier cycliste se poursuit en aval jusqu’au cycliste numéro 5 ou 6, puis cette largeur et cette hauteur restent à peu près constantes, de même que les pressions exercées sur les corps des cyclistes présents dans le sillage à ces positions. Par conséquent, le fait d’être plus loin dans ce sillage n’offre pas un avantage supplémentaire substantiel. Pour un espacement typique de 0,15 m, un alignement de 9 coureurs se déplace à une traînée qui est d’environ 50 % de celle d’un coureur isolé. Pour des alignements très longs, atypiques et donc théoriques, par exemple 120 coureurs, la traînée moyenne estimée dans deux configurations de peloton précédemment étudiées est d’environ 50 % de celle de l'alignement de 9 coureurs. Cela démontre le très grand avantage non seulement du drafting, mais surtout de rouler dans des positions décalées rapprochées.
Michel ROTH Posté il y a 2 heures Auteur Posté il y a 2 heures Il est évident que les conclusions de cette étude s'appliquent aussi à une échappée de 2 à 9 coureurs. Actuellement, les stratégies de course employées, dictées par l'audimat (course entièrement télévisée du début à la fin et la pression des sponsors pour montrer le maillot) expliquent, en grande partie, les moyennes élevées que l'on observe. Pas besoin de chercher midi à quatorze heures. Les coureurs ont très bien compris comment tirer un large bénéfice de "l'effet drafting".
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