OnTheRoadToNowhere Posté il y a 21 heures Posté il y a 21 heures (modifié) Samedi sortie en Drôme des Collines, c'était vraiment le jour à sortir le vélo, soleil sans un nuage, et pas de vent, trop bien Boucle par le village de Saint Barthélemy de Vals, connu des grimpeurs pour son site d'escalade des Roches qui Dansent, 78 km qui me permettent de passer les 6000 km cette année. La pause au soleil au pied de l'église aurait pu s'éterniser à droite l'ancien l'ancien clocher du XII ème. Modifié il y a 21 heures par OnTheRoadToNowhere 5
Thierry GEUMEZ Posté il y a 13 heures Posté il y a 13 heures (modifié) Il y a 11 heures, Gérôme BORGER a dit : Sinon, se faire traiter de majorettes m'a fait bien rire, il a quand même un peu raison 😁. Mais je m'inquiète pour la santé mentale du monsieur, avoir ce besoin de venir hanter " les majorettes". Il a raté sa carrière? Meneur de revue 🤔 Bah non, on n'est pas de majorettes, juste des cyclistes aux performances assez moyennes alors qu'"Alexandre" a des capacités à vélo nettement supérieures à la moyenne. Je ne sais pas pourquoi il éprouve le besoin de nous ridiculiser (surtout moi d'après ce que tu dis 😉), peut-être parce qu'il ne sait pas comment faire autrement pour se mettre en valeur. Nous avons tous besoin de reconnaissance. Sinon on ne viendrait pas sur un forum. Moi je ne suis pas assez bon à vélo pour qu'on me remarque, alors je montre que j'ai des connaissances en physique et que je sais calculer les watts 🤣 Est-ce grave, docteur ? Modifié il y a 13 heures par Thierry GEUMEZ 1
Marquez Posté il y a 13 heures Posté il y a 13 heures il y a 8 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Bah non, on n'est pas de majorettes, juste des cyclistes aux performances assez moyennes alors qu'"Alexandre" a des capacités à vélo nettement supérieures à la moyenne. Je ne sais pas pourquoi il éprouve le besoin de nous ridiculiser (surtout moi d'après ce que tu dis 😉), peut-être parce qu'il ne sait pas comment faire autrement pour se mettre en valeur. Nous avons tous besoin de reconnaissance. Sinon on ne viendrait pas sur un forum. Moi je ne suis pas assez bon à vélo pour qu'on me remarque, alors je montre que j'ai des connaissances en physique et que je sais calculer les watts 🤣 Est-ce grave, docteur ? Selon Le petit Larousse, une majorette est « une fille en uniforme de fantaisie qui parade dans les fêtes et les défilés ». Costumes croquignolets quoique souvent très désuets, de belles gambettes gainées de collants, bottes cavalières et minijupe. La Majorette interpelle dans sa représentation paradoxale du féminin. Un féminin libéré ou prisonnier d’un archétype ? J’ai longtemps cru que « majorette » était un mot exclusivement féminin, symbole d’un féminin un peu tape à l’œil qui plaît aux garçons grivois. Et le parallèle avec la célèbre maison de joujous pour petits garçons me laissait perplexe quant aux intentions d’Émile Veron son fondateur. Mais la Majorette est aussi un merveilleux exemple d’émancipation. Il faut se souvenir qu’il y a deux siècles, en 1872, apparut le Tambour Major pour diriger les fanfares militaires, à l’aide d’un long bâton pour rythmer la cadence et harmoniser la marche des soldats. Depuis ce jour, toute parade militaire, fanfare ou harmonie est dirigée ainsi. Ce n’est au début du XXe siècle que les Tambour Majorettes sont apparues, pour désigner une femme qui fait du Tambour Major, manière de montrer qu’une femme pouvait le faire au même rang que les hommes ! Dès 1900, les fanfares devenant une nécessité à chaque festivité populaire, les défilés orchestraux étaient composés en majorité de femmes et le terme Tambour Majorette commence à être utilisé officiellement à partir de 1927, quand une usine de fabrication de piquets modifie un de ses produits en bâton pour la fille du propriétaire qui est une Tambour Majorette. Tambour Majorette est devenu plus simplement majorette. Et le tournoiement du bâton (twirlinning) est apparu dans les années 30, quand une autre jeune fille commença à faire des mouvements inédits avec son bâton en le faisant tournoyer en l’air. C’est aussi le début de l’histoire de l’enseignement de cette discipline sportive ! L’histoire de la Majorette est donc aussi l’histoire de l’émancipation des femmes. Diriger, comme les hommes, avec un bâton d’abord, selon les mêmes règles. Se faire reconnaître. Puis jouer de celui-ci de façon inédite, le détourner pour créer enfin son propre code, son style et sa discipline originale. Et si on arrêtait de se moquer des majorettes ?
Marquez Posté il y a 12 heures Posté il y a 12 heures (modifié) Les valeurs du sport ? l'équité, le travail d'équipe, l'égalité, la discipline, l'inclusion, la persévérance et le respect. contribuent ainsi au développement des compétences personnelles nécessaires pour une citoyenneté responsable. La performance d'un sportif ne repose pas sur un seul facteur. Elle est le fruit d'un équilibre entre quatre piliers essentiels : la technique, la stratégie, le physique et le mental. si on fait partie de ces personnes qui se revendiquent non-compétiteur dans l’âme, on posséde aussi un esprit de compétition. L’esprit de compétition, tout le monde l’a, même si cela peut sembler étrange. N’oubliez pas que vous avez été le meilleur et le premier spermatozoïde à un moment donné ! C’est dans notre nature profonde, motivé par notre instinct de survie mais ce sont nos croyances limitantes qui le façonne. En effet, refuser la compétition, c’est refuser de s’engager. Cela nous permet de rester dans cette confortable stratégie qui consiste à ne faire les choses qu’à moitié pour pouvoir dire par la suite, « qu’on aurait pu faire beaucoup plus et beaucoup mieux mais que les conditions ne le permettaient pas ». Ne pas vouloir être compétiteur, c’est refuser de faire renaître en nous des émotions négatives telles que la peur » d’être jugé comme … » par soi-même et les autres. Mais c’est également en lien avec l’image que nous en avons, que la société, notre environnement nous a inculqué. Pour beaucoup, la compétition suppose le combat que nous confondons souvent avec l’agressivité. Elle suppose l’échec que nous confondons avec l’apprentissage. Pour conclure L’esprit de compétition, dans la conception collective, sous-entend donc l’idée que la vie n’est qu’une question de quantité et de qualité. Or, tout comme l’air que nous respirons, les choses importantes et vitales pour l’être humain telles que l’amour, le bonheur, la sécurité, la santé, sont des ressources illimitées. Ce n’est pas parce que vous êtes heureux que les autres le seront moins, bien au contraire !! Finalement, l’esprit de compétition n’est qu’une question de perception. Si vous l’abordez avec bienveillance, en ne cherchant pas à l’utiliser pour palier à des besoins non satisfaits, vous verrez alors qu’être compétiteur est une formidable opportunité de s’améliorer, de s’élever vers une meilleure version de soi-même. Un esprit de compétition « sain » demande aussi un peu de travail sur son ego : il faut être non seulement à l’aise avec l’échec mais aussi avec la remise en question. Le risque sinon est l’épuisement et la perte de motivation. Pas mal non? Modifié il y a 12 heures par Marquez
Pierre PLANA Posté il y a 12 heures Posté il y a 12 heures il y a 19 minutes, Marquez a dit : Les valeurs du sport ? l'équité, le travail d'équipe, l'égalité, la discipline, l'inclusion, la persévérance et le respect. contribuent ainsi au développement des compétences personnelles nécessaires pour une citoyenneté responsable. La performance d'un sportif ne repose pas sur un seul facteur. Elle est le fruit d'un équilibre entre quatre piliers essentiels : la technique, la stratégie, le physique et le mental. si on fait partie de ces personnes qui se revendiquent non-compétiteur dans l’âme, on posséde aussi un esprit de compétition. L’esprit de compétition, tout le monde l’a, même si cela peut sembler étrange. N’oubliez pas que vous avez été le meilleur et le premier spermatozoïde à un moment donné ! C’est dans notre nature profonde, motivé par notre instinct de survie mais ce sont nos croyances limitantes qui le façonne. En effet, refuser la compétition, c’est refuser de s’engager. Cela nous permet de rester dans cette confortable stratégie qui consiste à ne faire les choses qu’à moitié pour pouvoir dire par la suite, « qu’on aurait pu faire beaucoup plus et beaucoup mieux mais que les conditions ne le permettaient pas ». Ne pas vouloir être compétiteur, c’est refuser de faire renaître en nous des émotions négatives telles que la peur » d’être jugé comme … » par soi-même et les autres. Mais c’est également en lien avec l’image que nous en avons, que la société, notre environnement nous a inculqué. Pour beaucoup, la compétition suppose le combat que nous confondons souvent avec l’agressivité. Elle suppose l’échec que nous confondons avec l’apprentissage. Pour conclure L’esprit de compétition, dans la conception collective, sous-entend donc l’idée que la vie n’est qu’une question de quantité et de qualité. Or, tout comme l’air que nous respirons, les choses importantes et vitales pour l’être humain telles que l’amour, le bonheur, la sécurité, la santé, sont des ressources illimitées. Ce n’est pas parce que vous êtes heureux que les autres le seront moins, bien au contraire !! Finalement, l’esprit de compétition n’est qu’une question de perception. Si vous l’abordez avec bienveillance, en ne cherchant pas à l’utiliser pour palier à des besoins non satisfaits, vous verrez alors qu’être compétiteur est une formidable opportunité de s’améliorer, de s’élever vers une meilleure version de soi-même. Un esprit de compétition « sain » demande aussi un peu de travail sur son ego : il faut être non seulement à l’aise avec l’échec mais aussi avec la remise en question. Le risque sinon est l’épuisement et la perte de motivation. Pas mal non? Tu as découvert ChatGPT ? 🤣 1
Eric FLEURY Posté il y a 12 heures Posté il y a 12 heures il y a 15 minutes, Marquez a dit : Or, tout comme l’air que nous respirons, les choses importantes et vitales pour l’être humain telles que l’amour, le bonheur, la sécurité, la santé, sont des ressources illimitées. Ce n’est pas parce que vous êtes heureux que les autres le seront moins, bien au contraire !! Finalement, l’esprit de compétition n’est qu’une question de perception. Si vous l’abordez avec bienveillance, en ne cherchant pas à l’utiliser pour palier à des besoins non satisfaits, vous verrez alors qu’être compétiteur est une formidable opportunité de s’améliorer, de s’élever vers une meilleure version de soi-même. Pas mal non? Re, Je nuancerais un peu ton propos, pour moi le compétiteur veut être le premier, le meilleur, c'est tout . Beaucoup de nos champions jettent l'éponge si leur place en cours de la compétition, ne leur permet plus d'être sur le podium.... La compétitions demande un entrainement, une organisation du rythme de vie, très contraignante. Je verrais en nous plutôt des "Performeurs", soit faire le meilleur de se que l'on peut, et pour soit même, pas en comparaison des autres !
Sylvain KARLE Posté il y a 12 heures Auteur Posté il y a 12 heures Un monde dingue sur le Cyclocross de Namur , super ambiance , parcours hyper technique .... MVDP quel physique ! 3
Marquez Posté il y a 12 heures Posté il y a 12 heures il y a 15 minutes, Eric FLEURY a dit : Re, Je nuancerais un peu ton propos, pour moi le compétiteur veut être le premier, le meilleur, c'est tout . Beaucoup de nos champions jettent l'éponge si leur place en cours de la compétition, ne leur permet plus d'être sur le podium.... La compétitions demande un entrainement, une organisation du rythme de vie, très contraignante. Je verrais en nous plutôt des "Performeurs", soit faire le meilleur de se que l'on peut, et pour soit même, pas en comparaison des autres ! Un esprit de compétition « sain » demande aussi un peu de travail sur son ego : il faut être non seulement à l’aise avec l’échec mais aussi avec la remise en question. Le risque sinon est l’épuisement et la perte de motivation.
Marquez Posté il y a 11 heures Posté il y a 11 heures à l’instant, Sylvain KARLE a dit : Un monde dingue sur le Cyclocross de Namur , super ambiance , parcours hyper technique .... MVDP quel physique ! Assister à un cyclo cross en Belgique c'est une expérience unique à ts points de vue. J'y allais parfois fin décembre pour la "folle semaine (Diegem, Loenhout, Gavere, Dendermonde, ...). Quand je retourne voir un cyclocross en Bretagne/Pays de Loire, c'est mort mort comparativement. 1
Marquez Posté il y a 11 heures Posté il y a 11 heures il y a 27 minutes, Pierre PLANA a dit : Tu as découvert ChatGPT ? 🤣 Interessant le texte n'est ce pas? cela aide sans doute bien à analyser et comprendre les comportements et déclarations diverses relatifs au sport
Pierre PLANA Posté il y a 11 heures Posté il y a 11 heures il y a 5 minutes, Marquez a dit : Assister à un cyclo cross en Belgique c'est une expérience unique à ts points de vue. J'y allais parfois fin décembre pour la "folle semaine (Diegem, Loenhout, Gavere, Dendermonde, ...). Quand je retourne voir un cyclocross en Bretagne/Pays de Loire, c'est mort mort comparativement. Je ne suis jamais allé voir de cyclocross. Ca fait un peu loin la Belgique juste pour ça mais mes participations au tour des Flandre et à Liège m'ont permis de voir que l'engouement autour du vélo en Belgique était quand même assez incroyable ! Je garde un souvenir ému de ma journée au vieux Quaremont.
Pierre PLANA Posté il y a 11 heures Posté il y a 11 heures il y a 35 minutes, Eric FLEURY a dit : Re, Je nuancerais un peu ton propos, pour moi le compétiteur veut être le premier, le meilleur, c'est tout . Beaucoup de nos champions jettent l'éponge si leur place en cours de la compétition, ne leur permet plus d'être sur le podium.... La compétitions demande un entrainement, une organisation du rythme de vie, très contraignante. Je verrais en nous plutôt des "Performeurs", soit faire le meilleur de se que l'on peut, et pour soit même, pas en comparaison des autres ! Je ne suis pas complètement d'accord avec toi. Je me considère toujours comme un compétiteur dans l'âme même si notamment en vélo, mon physique ne m'a jamais permis de gagner quoi que ce soit. Mais la compétition peut s'envisager sous d'autres aspects : la compétition avec soi-même, arriver à faire faire un chalenge sportif à un groupe d'amis. Faire le meilleur de ce qu'on peut c'est être en compétition avec soi-même. Depuis quelques temps, mon kif c'est d'embarquer des collègues et de leur faire faire des chronos sur Strava, ou de les faire progresser, notamment les filles de notre club. Je pense aussi que cette année on va être quelques un à essayer de faire l'Ariègeoise en groupe pour s'entraider. Ceci dit sur le vélo, je ne suis pas toujours en compétition. Parfois, je prends le vélo sur un circuit que je connais bien, je passe en "pilote automatique" et je me concentre sur un tout autre sujet. J'arrive comme ça à être très concentré. Quand j'ai une réunion importante à préparer, c'est ce que je fais. Je ne suis pas certain que ce soit très prudent vis à vis de la circulation routière mais ça fonctionne très bien.
André MASSOL Posté il y a 11 heures Posté il y a 11 heures il y a 2 minutes, Pierre PLANA a dit : Je ne suis pas complètement d'accord avec toi. Je me considère toujours comme un compétiteur dans l'âme même si notamment en vélo, mon physique ne m'a jamais permis de gagner quoi que ce soit. Mais la compétition peut s'envisager sous d'autres aspects : la compétition avec soi-même, arriver à faire faire un chalenge sportif à un groupe d'amis. Faire le meilleur de ce qu'on peut c'est être en compétition avec soi-même. Depuis quelques temps, mon kif c'est d'embarquer des collègues et de leur faire faire des chronos sur Strava, ou de les faire progresser, notamment les filles de notre club. Je pense aussi que cette année on va être quelques un à essayer de faire l'Ariègeoise en groupe pour s'entraider. Ceci dit sur le vélo, je ne suis pas toujours en compétition. Parfois, je prends le vélo sur un circuit que je connais bien, je passe en "pilote automatique" et je me concentre sur un tout autre sujet. J'arrive comme ça à être très concentré. Quand j'ai une réunion importante à préparer, c'est ce que je fais. Je ne suis pas certain que ce soit très prudent vis à vis de la circulation routière mais ça fonctionne très bien. Bjr Pierre, Tu a prévue de faire l'ariégeoise cette année ? Je pense que je vais y revenir en 2026, le parcours me plait bien
Franck PASTOR Posté il y a 11 heures Posté il y a 11 heures il y a 1 minute, Pierre PLANA a dit : Ceci dit sur le vélo, je ne suis pas toujours en compétition. Parfois, je prends le vélo sur un circuit que je connais bien, je passe en "pilote automatique" et je me concentre sur un tout autre sujet. J'arrive comme ça à être très concentré. Quand j'ai une réunion importante à préparer, c'est ce que je fais. Je ne suis pas certain que ce soit très prudent vis à vis de la circulation routière mais ça fonctionne très bien. Sur mes routes d'entrainement, cette méthode de préparation de réunions importantes s'apparenterait à un suicide en bonne et due forme… 1
Gérôme BORGER Posté il y a 11 heures Posté il y a 11 heures Il y a 2 heures, Thierry GEUMEZ a dit : je montre que j'ai des connaissances en physique et que je sais calculer les watts 🤣 Est-ce grave, docteur ? Bin voilà, c'est bien pour ça que tu es une cible 😁 Sinon pour la consultation c'est en liquide uniquement, rien d'officiel dans ma pratique 🥸
Gérôme BORGER Posté il y a 11 heures Posté il y a 11 heures il y a une heure, Marquez a dit : Les valeurs du sport ? l'équité, le travail d'équipe, l'égalité, la discipline, l'inclusion, la persévérance et le respect. contribuent ainsi au développement des compétences personnelles nécessaires pour une citoyenneté responsable. La performance d'un sportif ne repose pas sur un seul facteur. Elle est le fruit d'un équilibre entre quatre piliers essentiels : la technique, la stratégie, le physique et le mental. si on fait partie de ces personnes qui se revendiquent non-compétiteur dans l’âme, on posséde aussi un esprit de compétition. L’esprit de compétition, tout le monde l’a, même si cela peut sembler étrange. N’oubliez pas que vous avez été le meilleur et le premier spermatozoïde à un moment donné ! C’est dans notre nature profonde, motivé par notre instinct de survie mais ce sont nos croyances limitantes qui le façonne. En effet, refuser la compétition, c’est refuser de s’engager. Cela nous permet de rester dans cette confortable stratégie qui consiste à ne faire les choses qu’à moitié pour pouvoir dire par la suite, « qu’on aurait pu faire beaucoup plus et beaucoup mieux mais que les conditions ne le permettaient pas ». Ne pas vouloir être compétiteur, c’est refuser de faire renaître en nous des émotions négatives telles que la peur » d’être jugé comme … » par soi-même et les autres. Mais c’est également en lien avec l’image que nous en avons, que la société, notre environnement nous a inculqué. Pour beaucoup, la compétition suppose le combat que nous confondons souvent avec l’agressivité. Elle suppose l’échec que nous confondons avec l’apprentissage. Pour conclure L’esprit de compétition, dans la conception collective, sous-entend donc l’idée que la vie n’est qu’une question de quantité et de qualité. Or, tout comme l’air que nous respirons, les choses importantes et vitales pour l’être humain telles que l’amour, le bonheur, la sécurité, la santé, sont des ressources illimitées. Ce n’est pas parce que vous êtes heureux que les autres le seront moins, bien au contraire !! Finalement, l’esprit de compétition n’est qu’une question de perception. Si vous l’abordez avec bienveillance, en ne cherchant pas à l’utiliser pour palier à des besoins non satisfaits, vous verrez alors qu’être compétiteur est une formidable opportunité de s’améliorer, de s’élever vers une meilleure version de soi-même. Un esprit de compétition « sain » demande aussi un peu de travail sur son ego : il faut être non seulement à l’aise avec l’échec mais aussi avec la remise en question. Le risque sinon est l’épuisement et la perte de motivation. Pas mal non? Est ce que ça vaut la peine d'en faire des caisses à ce point, 😁
Michel DURY Posté il y a 11 heures Posté il y a 11 heures il y a 10 minutes, Franck PASTOR a dit : Sur mes routes d'entrainement, cette méthode de préparation de réunions importantes s'apparenterait à un suicide en bonne et due forme… Je confirme. On est passé hier sur des routes près de Wavre où je n'avais plus roulé depuis quelques mois, je n'en croyais pas mes yeux, pourtant on peut dire que j'ai de l'expérience. Mais je te rassure, ton agonie sera brève et tu mourras rapidement (-: 1
Pierre PLANA Posté il y a 10 heures Posté il y a 10 heures il y a une heure, André MASSOL a dit : Bjr Pierre, Tu a prévue de faire l'ariégeoise cette année ? Je pense que je vais y revenir en 2026, le parcours me plait bien Oui je ne sais pas encore quel circuit, on va en discuter entre nous en Janvier. Mais pour les 30 ans on va essayer de venir en masse.
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