Aller au contenu

Franck PASTOR

Membre
  • Compteur de contenus

    16 440
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    95

Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Et encore, certains ne peuvent compter que sur certaines fins de journée voire certains week-ends. Y en a clairement qui ne réalisent pas leur chance (ou qui font semblant pour pouvoir avoir le plaisir de râler sur le forum 😇).
  2. On en parle à la page précédente. 😉
  3. Je viens justement de passer d'une Bontrager (Evoke gel) à une SMP (modèle Hybrid gel). Je ne sais pas si ça va faire la même chose chez toi, mais j'ai dû avancer ma selle de deux bons centimètres et surtout l'incliner au maximum permis par SMP (2,5 cm par rapport à l'horizontale et à l'aplomb vertical de l'avant de la selle) pour retrouver les mêmes sensations d'assise.
  4. Je n'ai rien remarqué de ce genre. Peut-être une illusion de vitesse donnée par les gerbes d'eau projetées par mes roues… 10 h sous la pluie, je n'ai encore jamais connu cette (mal)chance non plus. Mais j'ai eu droit un jour à 8 h de flotte non stop en 1997. Le 1er juin, le jour d'après la fin de mon service militaire (ça m'aide à retenir la date), j'ai participé au challenge du Dauphiné dans le Vercors, sur 160 km. Il n'a jamais arrêté de pleuvoir et il faisait dans les 5° à l'arrivée, au stade de neige de Lans-en-Vercors (1400 m d'altitude). Heureusement que mes parents étaient venus m'y chercher en voiture, parce que je me demande encore si j'aurais été capable de rentrer chez moi par mes propres moyens, à vélo ou même en conduisant moi-même, frigorifié comme j'étais.
  5. Chacun roule sous sa propre responsabilité et dans les limites du code de la route y compris dans ce genre de randos sur route ouverte. Raison supplémentaire, pour moi, de préférer rouler seul la plupart du temps. Quand on est dans un groupe, c'est trop souvent un grand n'importe quoi au niveau du respect des règles de sécurité. Par exemple, si le gros de la troupe décide de griller un feu, le reste va suivre. Autre exemple, si le leader rate un virage, ceux qui suivent vont faire pareil…
  6. Quelqu'un est mort hier lors de la rando. 🙁 https://www.dhnet.be/regions/luxembourg/bastogne-vielsalm/2023/04/23/liege-bastogne-liege-le-cycliste-francais-percute-par-une-voiture-a-grand-halleux-est-decede-CJTCXVX4LZCZTN5PFYIYNX7RSE/
  7. Oui, mais ceci dit Abebe Bikila gagnait le marathon olympique de 1960 à Rome pieds nus. Je me rappelle également de Marion Clignet courant une « Étape du Tour » avec des baskets : elle avait oublié les chaussures adaptées à l'hôtel… ça ne l'a pas empêchée de gagner l'épreuve chez les féminines. Les pédales automatiques sont certes un avantage, mais elles ne transformeront pas le cycliste. Pas mal d'études ont été menées qui montreraient que l'avantage qu'elles procurent en terme de rendement est relativement faible, voire nul selon certains. Mais cet avantage serait d'autant plus net que l'effort est intense. https://www.bikeradar.com/advice/buyers-guides/flat-or-clipless-pedals-which-is-right-for-you/ (en anglais, cf. section « Are clipless pedals more efficient?») Tous s'accordent à dire par contre que le simple maintien du pied dans les conditions d'efforts poussés est un avantage décisif dès qu'il s'agit de compétition.
  8. À ce qu'a répondu Thierry, j'ajoute que c'est justement particulièrement difficile dans une «randonnée» belge de ne pas se mesurer à autrui. C'est leur ambiance qui veut ça. Il n'y a pas de classement mais même si on y roule seul, ce qui est mon cas la plupart du temps, l'ambiance est toujours très compétitive. La moindre bosse est prétexte pour faire la course avec le ou les cyclistes à côté de soi, et sur les portions roulantes on voit des groupes de tailles diverses se former, parfois de véritables pelotons, dont les membres prennent des relais comme en compétition. La seule différence que j'ai vue avec une cyclosportive (donc avec classement), c'est que les participants s'arrêtent plus souvent, la plupart du temps au sommet des côtes, pour «discuter le coup» ou attendre les éventuels compagnons de sortie plutôt que pour se reposer. Le reste du temps, c'est à fond les gamelles !
  9. Ton histoire de crampes me rappelle douloureusement Tilff-Bastogne-Tilff 2014 (mince, 9 ans déjà) : j'avais été aussi un peu trop prodigue de mes efforts, en plus de ne pas avoir assez bu, et après 200 km, pile au pied de la côte du Rosier, j'ai été pris d'une attaque de crampes généralisée, des crampes de partout, de la mâchoire aux orteils ! Au point que je n'ai pas pu repartir. Il m'a fallu appeler Jérémie Laplac pour qu'il vienne me chercher en voiture. Pas de quoi se remettre en question, sinon peut-être mentalement : c'est ça l'émulation d'une cyclo ou d'une rando, on est tenté de suivre le rythme des groupes qui passent ou de celui/celle qui nous accompagne, y compris (surtout !) s'il va plus vite. Et si on cède à la tentation, on le paie à un moment ou à un autre ! C'est bien pour ça que je n'ai pas voulu aller faire cette édition avec vous, bien que finalement mon samedi se soit libéré : je me connais, j'aurais cédé aussi à la tentation de «faire la course» avec vous, et avec ma forme de ch… actuelle je l'aurais payé très vite. Félicitations pour l'avoir bouclé, toi, et rendez-vous à une prochaine sortie, quand je serai enfin en condition ! Et pourquoi pas en Ardenne, d'ailleurs ? Jérémie Laplac nous en doit une ! 😇
  10. Ça manque de détails… 🙁
  11. 114 km aujourd'hui sur le vélo de route, ma première sortie de l'année de plus de 100 bornes (pas trop tôt…). Le gros de la sortie a consisté à suivre un circuit balisé pour cycliste que je connais par cœur à force de l'avoir parcouru, la route cycliste de la Flèche brabançonne (98 km, 1000 m de dénivellation environ), qui passe à 8 km de chez moi à peu près. Il s'appelle ainsi parce qu'il reprend une bonne partie des difficultés de la course cycliste éponyme. https://www.toerismevlaamsbrabant.be/fr/producten/fietsen/fietsproducten/brabantse-pijl-cycling-route/index.html (présentation, plans du parcours) https://climbfinder.com/fr/routes/fleche-brabanconne (idem, avec le détail des côtes). Temps relativement doux : j'avais pris la tenue « pré-hivernale » (Assos Habu, «Early Winter»), et au début elle était limite trop chaude… jusqu'à ce que je chope la pluie aux deux-tiers du parcours, et ce jusqu'au retour chez moi. Après ça je n'ai plus regretté mon choix de tenue : même avec l'imper par dessus, je n'avais plus chaud ni froid, c'était parfait (enfin, autant qu'une tenue peut l'être quand il pleut). Sensations toujours médiocres : peu de jus, les passages plats consacrés à gérer le vent assez fort, les côtes grimpées à l'économie, moyenne finale de… 20 km/h. Les routes détrempées et tapissées de boue sablonneuse n'arrangeaient rien, bien sûr, mais clairement j'ai encore besoin d'un bon paquet de kilomètres supplémentaires pour retrouver une forme à peu près décente.
  12. Elle est arrivée plus vite que ça sur le centre, la zone pluvieuse : je l'ai prise vers 12 h 00 à Bierbeek, à l'est de Louvain, et elle ne m'a plus lâché jusqu'à mon retour à Bruxelles.
  13. On compte sur toi !
  14. Essaie de ne pas jouer à cache-cache-pluie s'il tombe des gouttes, tu ne connais pas aussi bien cette région que la Hesbaye brabançonne ! 😜
  15. À propos, la météo d'après-demain, jour de LBL Challenge, ne s'annonce pas folichonne non plus : à nouveau risque d'averses pendant toute la journée. Ceci dit, ce ne devrait pas être non plus des cordes qui tombent du ciel, et qui sait, avec un peu de chance, il sera possible de passer entre les gouttes. Mais ça va être a priori difficile de jouer à cache-cache-pluie puisqu'il faut suivre un parcours donné ! Tu es toujours partant ?
  16. Sortie d'entretien de la forme (enfin, ce qui m'en tient lieu actuellement) cet après-midi, à l'est de Bruxelles, pour parcourir le circuit balisé pour cyclistes « Vliegeniersroute », « Route des aviateurs », doucement vallonnée, à Zaventem. https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/177644/recreatieve-fietsroute/vliegeniersroute En tout une petite quarantaine de kilomètres, au jugé, puisque je n'ai toujours pas installé de compteur sur mon vélo gravel. J'avais hésité entre mes deux vélos, le route et le gravel pour cet après-midi. Le parcours emprunté ne présentait pas de sections en terre, juste quelques portions de bitume en mauvais état et un petit secteur pavé. Mais il y avait des risques d'averse, selon la météo… J'ai donc finalement opté pour le gravel, « blindé » contre la pluie (moyeu à vitesses intégrées, courroie, gardes-boue…), en plus de l'imper et des surchaussures et j'ai bien fait puisque j'ai effectivement pris une averse sur la fin du parcours. Pas bien méchante, mais de quoi affoler pas mal de gens autour de moi, piétons comme cyclistes, qui visiblement n'avaient pas consulté la météo et n'avaient strictement rien pris pour se protéger. Et les écoliers de courir sous leur cartable, les dames de claquer des talons en s'abritant sous leurs vestes, les hommes de foncer s'abriter sous un auvent… Ces gens-là, comme pas mal de Belges, refusent visiblement d'assumer qu'ils vivent dans un pays pluvieux, mais la réalité est impitoyable. 😜
  17. Ça casse sans doute l'aérodynamisme de la voiture, mais a priori c'est un abri supplémentaire pour le coureur, non ? Ça me rappelle que pendant la retransmission en direct sur Sporza, le commentateur a ironiquement suggéré à Leo van Vliet d'ouvrir le coffre de sa bagnole tant qu'à faire, s'il voulait fournir à Pogacar encore plus d'abri…
  18. Même question (je suis de plus en plus allergique aux acronymes… je dois vieillir…).
  19. Pogacar domine tous les autres coureurs, mais prise collectivement son équipe ne domine pas particulièrement les autres. D'ailleurs, avant le Tour des Flandres, on trouvait que c'était l'équipe Jumbo-Visma (Roglic, Van Baarle, Van Aert, Laporte…) qui écrasait tout. Alors? Chez les filles, il y a pourtant une équipe, SD-Works, qui domine depuis le début de la saison, mais les courses sont en effet plus spectaculaires. Les féminines actuelles ont peut-être tout simplement un tempérament plus offensif que leurs homologues masculins actuels.
  20. Tu as vu, il avait des gants aujourd'hui, Pogacar. Il en avait aussi sur le Tour des Flandres. Mais pas sur l'Amstel. Je me demande ce qui lui fait décider d'en porter ou pas. (Oui, je fais attention à ce genre de détail. Même pas honte :-))
  21. Câble pas assez tendu ?
  22. Tu étais obligé de sortir le matin ? Les températures étaient nettement plus clémentes l'après-midi, même s'il y avait toujours ce vent sibérien.
  23. Un petit 37 km ce soir, en mode détente après le retour du boulot, sur le vélo de route. Direction la forêt de Soignes, puis Overijse, Tervuren et retour en empruntant comme souvent la promenade de l'ancien chemin de fer Bruxelles-Tervuren. Temps doux, à peine nuageux, qui aurait été agréable sans ce vent du nord bien ch… qui justifiait mon choix de la tenue « Early Winter ». C'est quand même rare que je mette celle-ci aussi tard dans le printemps ! Vivement des conditions climatiques vraiment de saison.
  24. Ce serait en fait Walter Planckaert le chauffeur: https://sporza.be/nl/2023/04/16/auto-van-koersdirecteur-leo-van-vliet-gaat-de-mist-in-maar-er-is-niets-aan-de-hand~1681656417841/ https://www.hln.be/wielrennen/michel-wuyts-over-kopbeurt-van-koersdirecteur-van-vliet-voor-pogacar-toen-van-der-poel-won-zou-hij-er-ook-voor-veel-tussen-gezeten-hebben~a948a71a/
  25. Si les températures avaient brusquement chuté d'un jour à l'autre, ça pourrait expliquer la baisse des performances. L'organisme a besoin d'un temps d'adaptation, probablement.
×
×
  • Créer...