Franck PASTOR

Finish Line Wet Lube depuis pas mal d'années comme lubrifiant, après une longue période à utiliser du WD40. KMC X11 pour moi également comme chaîne. Mais j'arrive à bien l'allonger, moi (comme toutes les chaînes que j'ai pu essayer). Selon les conditions climatiques, roulant en Belgique, au climat souvent humide et aux routes souvent déplorables, la chaîne peut durer de 1000 km (en période de pluies fréquentes et routes sablonneuses) à 2500 km (en période de temps sec et routes — relativement — propres). Edit : pour mesurer l'allongement, je ne fie pas à des tests façon système D, j'utilise cet outil : https://www.lecyclo.com/fr-be/products/indicateur-et-testeur-dusure-de-chaine-de-velo-var

Ben oui : le morceau de verre, la grosse épine ou le silex 😉. Le reste relève du pur hasard, ou de la malchance si tu préfères. La cause de ma dernière crevaison, qui remonte donc à plus de trois ans (je touche du bois 😗), était un peu plus particulière : ce que j'ai retrouvé planté dans le pneu, c'était… une agrafe ! Tellement grosse qu'elle avait dû servir sur des cartons bien épais plutôt que sur des feuilles de papier. https://www.velo101.com/forum/topic/31080-votre-sortie-du-jour-2020/?do=findComment&comment=691756

Tant que ce n'est pas la peinture qui coule… 😸

Je n'ai jamais eu de problème à transpirer dans le froid. Frileux comme je suis, j'essaie même de me réchauffer le plus vite possible et donc à transpirer le plus tôt possible. Tes vêtements d'hiver sont-ils assez respirants ?

Des Specialized All Condtions Armadillo Elite de 30 mm de section sur le route, des Schwalbe G-One Allround de 40 mm de section sur mon randonneur-gravel. https://www.bike24.be/fr/produits/148433?sku=892072&gad_source=1&gclid=Cj0KCQiA6vaqBhCbARIsACF9M6mS6UjDGzL5NVRZmdnet8r6XHtHC4iGBN9ZoXAV4Ku1I9bMiTJDFrgaAkNTEALw_wcB https://www.schwalbe.com/fr/gravel-reader/schwalbe-g-one-allround

Il est en rade par ma faute, je dois l'amener au vélociste la semaine prochaine. Récemment, j'ai voulu améliorer la réactivité du changement des vitesses du moyeu Rohloff en modifiant la tension des câbles (système Rohbox nouvellement installé, combiné avec des leviers route Sram), je n'ai réussi qu'à la bloquer complètement. Plus moyen de changer de vitesses, et je n'arrive pas à retrouver le réglage originel. Moralité : le mieux est l'ennemi du bien…

Si, bien sûr, sur ce vélo-là. Mais pas sur le vélo de route, du moins pas encore. C'est plus difficile d'en trouver un pour mon vélo de route, bien qu'il ait des fixations prévues pour cela à l'arrière sur le cadre. Mais je préfère ne pas utiliser ces fixations, parce qu'un garde-boue monté ainsi serait bien trop proche du pneu à mon goût. L'alternative serait de monter un garde-boue qui se fixe sur la tige de selle, mais là c'est ma sacoche de selle, imposante, qui prend presque toute la place. Et ma sortie de selle n'est déjà pas bien grande, le tube «horizontal» étant peu incliné. Les garde-boue montés (à l'avant et à l'arrière) sur mon vélo de randonnée à courroie ont, volontairement, un espace généreux entre les pneus et eux : au minimum 2 cm. Pourquoi je m'embête avec ça ? Parce que j'ai en tête un accident arrivé à mon père et qui aurait pu très mal finir. Il avait monté des garde-boue bien enveloppants sur son vélo, mais trop près des pneus, et un jour, en pleine descente de montagne sur route gravillonnée, des gravillons ont fini par se coincer entre le pneu avant et le garde-boue, bloquant ainsi la roue avant. Mon père a fait un magnifique vol plané, dont il est heureusement sorti intact… Aucune envie que ce genre de péripétie m'arrive à mon tour.

Tsss… Malgré toutes mes sorties sous la pluie et le froid, je n'ai plus crevé depuis trois ans… Qui dit mieux ? 😛

J'ai roulé environ 1 h 15, en fait. Avec une petite moitié du parcours en milieu urbain (donc arrêts fréquents aux feux, croisements, rond-points, etc), c'est difficile de faire plus de 20 km/h de moyenne ! Et je mets souvent plus de 30 minutes à «décrotter» la bestiole, comme tu dis : je vis en appartement, et je dois donc y aller au chiffon, pas à la lance à eau. À part ça, la pluie, je m'y fais assez vite, une fois que je me suis lancé. C'est le premier pas qui coûte, dit-on. Personnellement, je trouve le froid et surtout le vent beaucoup plus désagréables…

Et un petit 23 km après le boulot, juste avant la tombée du jour, sous des températures assez clémentes (10-11°), peu de vent mais un ciel plombé et une pluie fine et constante. Pas les conditions rêvées pour sortir à vélo, mais j'avais vraiment besoin de me changer les idées après une journée de boulot particulièrement pénible. Trajet en partie citadin, en partie forestier (forêt de Soignes). La pluie avait du bon, il y avait beaucoup moins de monde que d'habitude sur ses pistes bitumées, donc je n'ai guère eu à criser sur les groupes qui prennent toute la chaussée et les laisses des chiens en travers. 🙂 Bon, maintenant, faut à nouveau nettoyer la bécane, snif. Pluie ou pas, c'est une corvée systématique après chaque sortie en cette saison de ce côté-ci de l'Europe…

Je suis quasi certain que ma C3 n'offre pas de place suffisante pour ce système, même avec les sièges arrières rabattus. Peut-être qu'en rabattant aussi le siège passager… Mais alors la place pour les bagages restants est plus que restreinte, et il faudra bien les fixer pour éviter qu'ils ne viennent buter contre le vélo lors d'un virage un peu sec. D'ailleurs, cette bagnole est tellement basse que je me demande si le vélo peut tenir debout dans le coffre avec la roue arrière encore montée, même en enlevant la tige de selle (ma sortie de tige de selle est assez limitée, le cadre n'étant que très peu «sloping»).

73 km aujourd'hui, aller-retour Bruxelles-Louvain. Aller tout plat par l'autoroute cycliste F3, puis quelques bosses louvanistes, assez anodines finalement, repérées sur Climbfinder, puis retour par les ondulations de la N3 passant par Tervuren. Pour le temps : température de saison (10°-12°), quelques gouttes de pluie en cours de route, mais surtout un vent très fort de secteur sud-ouest, de force 5 d'après la météo. C'est peu dire que les 25 km du retour le long de la très dégagée N3, avec le vent en pleine figure, ont été pénibles. Se trainer à 10-11 km/h dans les montées (pourtant à 5-6% maxi, à vue de nez) et devoir pédaler dans les descentes qui suivent, on a beau savoir que c'est à cause du vent, ça vous travaille toujours au moral. Pour la tenue, la même que pour Pierre-Yves le Valaisan : Assos Habu, « Early Winter ». Un peu chaude à l'aller, mais qu'est-ce que j'en étais content au retour !

Je me rends compte que j'ai oublié de parler de ma courte sortie (39 km) de mercredi, passée essentiellement à suivre la « Route des aviateurs» (Vliegeniersroute) de Zaventem. https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/177644/recreatieve-fietsroute/vliegeniersroute Parcours fléché mi-urbain mi-champêtre, doucement vallonné et assez agréable, passant pas loin de chez moi et que j'aime effectuer de temps à autre quand j'ai envie de me détendre, notamment à la sortie du boulot. Temps froid et venteux, pluvieux pendant la dernière demi-heure, et routes, comme de juste, détrempées et crades à faire peur. À la fin de la sortie, chaque changement de vitesse à l'arrière était accompagné d'un horrible bruit de grincement. Ce n'est qu'hier soir que j'ai compris que ça venait de la gaine et du câble du dérailleur arrière complètement encrassés par les diverses saletés ramassées sur les routes ces dernières semaines. Après nettoyage et lubrification, le silence est revenu, ouf !

Probablement le cumul de tous ces facteurs ! Auquel il faut peut-être ajouter la cadence élevée (à moins que ce soit déjà ce que tu évoques en parlant de «rythme très soutenu»). Quand on mouline à haute fréquence, la selle exerce plus de pression sur l'arrière-train, et ce d'autant plus que la selle est haute. Et si on est en pignon fixe, c'est beaucoup moins évident de se soulever de la selle pour soulager ces douleurs…

Ben il y a tout bêtement une station de ski là-haut semble-t-il… https://www.lemarkstein.net/fr/bouger-lhiver/station-du-markstein/ski-alpin/

C'est vrai quoi, qu'il pleuve souvent en automne dès qu'on se trouve loin de la côte méditerranéenne, ce n'était pas du tout prévisible ! Un vrai scandale ! 😗 Tu devrais pouvoir te rattraper demain et jeudi, il ne devrait pas pleuvoir ces jours-là, ou peu. Pas mal de vent, mais ça, ça ne devrait pas te gêner, toi. 😜

Même des gants de ski n'y changent rien, j'ai essayé. Par contre, pas les gants chauffants. À voir…

64 km pour moi en milieu de journée. Direction le sud de Bruxelles : forêt de Soignes tout d'abord, puis Rhode-Saint-Genèse et Waterloo le long de la N5 Bruxelles-Charleroi, puis Lasne, La Hulpe et Overijse le long de la N253 Waterloo-Louvain et retour à Bruxelles le long de la N4. Trajet délimité par les Nationales, quoi. Quelques petits détours en cours de route pour découvrir quelques bosses signalées par Climbfinder. Finalement, rien de particulièrement remarquable. Temps gris, sec à quelques gouttes près sur la fin, mais qui commence à devenir bien froid pour moi: 8-9° à l'ombre. Malgré mes gants longs d'hiver, j'avais froid au bout de mes doigts quand je roulais face au vent. Même si c'est parfaitement supportable, ça reste désagréable. Et comme j'ai toujours eu ce problème quels que soient les gants, je devrai faire avec, comme chaque hiver. Bientôt, quand la température aura baissé encore plus, j'aurai la même chose au doigts de pied, et là aussi, rien à faire. Ai-je déjà dit que j'étais naturellement frileux, contrairement à la plupart Belges apparemment ? 🙁 J'en ai encore vu se balader en short et t-shirt aujourd'hui… bon, à pied certes, mais quand même, par moins de 10°!!

Ça me rappelle mes balades de jeunesse quand j'étais en vacances chez ma grand-mère, qui habitait en Royans, au pied du Vercors et à deux pas de la Drôme (septentrionale). Mes sorties à vélo m'emmenaient régulièrement en Vercors drômois, jusqu'au col du Rousset, porte du Diois. Cette partie du Vercors que j'arpentais alors propose des paysages similaires… mais ils voient sans doute le soleil bien moins souvent, surtout en cette saison.

Purée, de tous ces noms de pâtisserie je n'en connais que trois (merveille, baba, forêt noire) !! 🤨 J'ai vraiment toute mon éducation à faire là-dessus. Je n'ai jamais été très porté sur les sucreries ceci dit (à part le chocolat) ni sur tout ce qui est crémeux. Ceci expliquant sans doute cela.

Parce que pour moi un Paris-Brest c'était seulement le trajet de Paris à Brest. Ou éventuellement son équivalent en distance.

On en apprend tous les jours : je ne savais pas qu'un Paris-Brest était aussi une pâtisserie… Si tu te permets ce genre de trucs, ça veut dire que tu comptes mettre les bouchées doubles sur le vélo aussi ? 😇

J'ai toujours un sous-vêtement sous le maillot ou la veste cycliste. Même en été. 😎 Évidemment, ce ne sera pas le même type de sous-vêtement suivant les conditions climatiques. Aujourd'hui c'était un sous-vêtement de mi-saison, à manches longues. Marque Assos comme le reste de la tenue (surchaussures exceptées). Quand la température descendra sous les 10°, je mettrai un sous-vêtement encore plus épais que celui-là.

Il y en a qui font des stages de montagne, toi tu devrais faire des stages de plat. De vrai plat !! Au Pays-Bas par exemple, tu peux faire des parcours de plus de 200 km avec… 50 m de dénivellation maximum. Vécu par Jacques Vandewiele sur la Fietselfstedentocht il y a quelques années. https://www.velo101.com/forum/topic/19474-vos-objectifs-2016/page/4/#comment-349301

Pour moi, à 11° pourtant, les gants longs légers que j'avais pris se sont avérés insuffisants, j'avais froid aux bout des doigts face au vent (fort) en fin de sortie. Pour le reste, ça allait : tenue «Early Winter» de rigueur depuis quelques sorties, c'est-à-dire la veste et le cuissard long Habu (et bien sûr des surchaussures). Pour la prochaine sortie, des gants longs plus épais seront de rigueur, surtout si ça souffle comme aujourd'hui !