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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Pourrai pas la voir, serai dans le train toute l'après-midi et sans connexion… Snif…
  2. J'ai une cassette de 11-34 donc plus large encore, et pourtant pour un petit plateau de 26 dents les écarts sont plus petits qu'avec un 34 dents (ce qui est logique en fait). Voici les braquets et développements que j'utilise avec ce plateau lorsque je suis dans une vraie montée (plus de 4%): 26 19 2.91 26 21 2.64 26 23 2.40 26 26 2.13 26 30 1.85 26 34 1.63 De 22 cm à 28 cm d'écart donc entre chaque développement donc. Sur mon plateau médian de 36 dents, les écarts sont grosso modo les mêmes qu'avec les tiens (je n'utilise pas alors le 34 dents). Mais je suis perfectionniste: disposer de braquets encore plus resserrés pour une même amplitude de gamme serait un luxe dont j'aimerais bien disposer. Avec ma cassette 11-34 usuelle je suis mal placé pour en parler, vous me direz, et vous auriez raison! Il n'empêche que j'apprécierais de changer de vitesses sans aucune rupture de fréquence de pédalage, même légère. Avec mon plateau de 26 dents, un écart de deux dents maximum entre chaque pignon serait idéal: 15 cm maximum de différence entre chaque développement, quel luxe! Mais il faut toujours donner la priorité au développement minimal, surtout en montagne. Et c'est là qu'en cas de «coup de moins bien» (fatigue, troisième ou quatrième col, défaillance…) tu serais peut-être ravi de disposer de nettement plus petit que 34/32, si c'est ton braquet minimal usuel dans ton état de forme normal. Quand tu souhaiteras monter plus petit que ce 34/32, ce sera difficile, à moins de changer ton pédalier et prendre un mini-compact comme celui de Didier Salembier (42-30 si ma mémoire est bonne), ou revenir en triple mais là il faudra tout changer. Ce n'est que mon avis. En attendant, ça vaudrait peut-être le coup de voir si des cassettes 11-34 ou 11-36 venues du VTT sont compatibles avec ton groupe. Bonne route! Profite bien de tes routes basques! Avoir des cols aussi près de chez moi est un luxe dont je ne dispose plus depuis que j'ai migré de Grenoble à Bruxelles. Et Dieu que ça me manque… 😢
  3. Cancellara est quand même revenu dans le groupe dans la descente. Entre Martin et Cancellara, quand l'un est devant, l'autre n'est jamais bien loin derrière…
  4. Tiens, puisque tu es là, tu as remarqué la fréquence de pédalage de Martin dans les cols du jour? Toujours autour de 90 tours/minutes, généralement plus, d'après mes mesures. 😇 Pour De Marchi, c'était 70-80 en général. À noter aussi que sur le plat, Martin tourne les jambes limite moins vite qu'en côte, contrairement à la majorité des autres cyclistes. Bon, après ces remarques (quasi) innocentes, je sors… 🆒
  5. Ne repars quand même pas sans avoir fait les trois montées qui mènent à Chamrousse. Il y en a deux qui partent d'Uriage, la première passant par Saint-Martin d'Uriage et les Seiglières, très fréquentée, et la deuxième, un peu plus pentue et un peu moins fréquentée, par le col du Luitel. Les deux partent quasiment du même point, mais sont parfaitement indépendantes. Le troisième accès part de Séchilienne, de l'autre côté du massif de Belledonne, pour rejoindre le deuxième accès au col du Luitel. C'est la plus rude des trois (plus de 9 % de moyenne de Séchilienne au col du Luitel). Pour le premier accès, il y a une variante bien plus tranquille entre Saint-Martin d'Uriage et les Seiglières, qui passe par Saint-Nizier d'Uriage puis le Pinet d'Uriage avant de rejoindre l'itinéraire normal aux Seiglières.
  6. Franck PASTOR

    Pneu de 25!

    J'ai des pneus de 25 et mon vélo le permet… juste. Moi c'est la fourche qui est susceptible de poser problème, le pneu avant passe à 5 mm d'elle quand il est «rodé» c'est-à-dire lorsque sa section s'est agrandie avec le temps. Il m'est arrivé ce printemps, en roulant sur une route de forêt après un jour de pluie et de grand vent, de devoir m'arrêter parce que des feuilles qui trainaient sur la route s'étaient accumulées sous la fourche et que le pneu s'était mis à frotter contre cet amas. Pas la peine d'expliquer pourquoi c'est dangereux… Ce jour-là j'ai dû m'arrêter deux fois pour «débourrer». Depuis je songe sérieusement à changer de fourche, même si c'était la première fois que ça m'arrivait. Si tu n'as qu'un millimètre de marge de passage sur tes bases avec un pneu de 25, c'est beaucoup trop peu à mon avis. Le moindre voile et tu es une souris pour le chat. Reste sur le 23 et passe au 25 quand tu changeras de vélo.
  7. Sur Het Laatste Nieuws, un journal flamand, une interview du médecin de l'équipe Trek: «Son genou est sévèrement touché et enflé: il y a même du sang dans l'articulation et on craint fort que le ménisque soit touché. Il va dans l'immédiat subir un scan à Bâle. Nous espérons qu'une opération ne soit pas nécessaire, mais ça risque bien d'être le cas.» Toujours selon Trek, Andy est émotionnellement à l'état d'épave actuellement. « Il était sur la voie du retour au plus haut niveau, et maintenant ce truc-là lui tombe dessus. Andy est complètement désemparé et son mental est actuellement au plus bas.» http://www.hln.be/hln/nl/1295/Tour-De-France/article/detail/1939210/2014/07/08/Trek-Andy-Schleck-is-mentaal-gekraakt.dhtml
  8. Il abandonne parce qu'il s'est blessé.
  9. Non, je suis rentré à 21h15. La nuit tombant plus tôt que d'habitude avec tous ces nuages menaçants, il n'aurait pas fallu que je rentre 1/4 h plus tard, sinon ça serait devenu dangereux! Puis étirements, douche, repas à préparer et à consommer, vaisselle, etc, avant de poster ce message… Et maintenant, la valise! La remise en état du vélo attendra bien demain.
  10. Sortie tardive de fin de soirée. Après une journée de pluie continuelle, j'ai profité de la première accalmie, qui s'est présentée… très tard! Enfin bon, j'y suis allé, j'avais besoin de sortir pour me détendre. Routes dégueulasses évidemment, tapissées de saletés et de boue sablonneuse un peu partout, comme d'habitude dès qu'il a plu sur ces routes et pistes cyclables brabançonnes. Pour couronner le tout, une route venait d'être gravillonnée de frais vers Tervuren, et les bagnoles avaient projeté plein de gravillons sur la piste d'à côté. Résultat, crevaison lente quelques kilomètres plus loin. Changement de chambre, gonflage (ça me musclerait joliment les bras, si ça m'arrivait plus souvent, mais je préfère pas!), et pendant ce temps-là un cycliste passe à côté de moi sans même me demander si tout va bien, ça c'est de la solidarité. 🙁 Avec tout ça le plaisir de la sortie était largement réduit. Après être reparti, j'ai quand même fait le petit mur appelé Smeysberg à Huldenberg et la Ijskelderlaan à Overijse comme côtes, puis je suis rentré dare-dare chez moi avant que la nuit tombe. Toutes les bagnoles avaient déjà leurs phares allumés quand je suis arrivé, c'était limite. Bon, ben me voilà avec une chambre à réparer, et un vélo à nettoyer pour demain matin, malgré un train à prendre à 12 h 00… Joli programme! 😕
  11. Il pleut dans toute la Belgique aujourd'hui, donc il doit pleuvoir aussi dans la zone frontalière qu'ils vont parcourir demain! S'il ne pleut pas demain (mais les prévisions météo sont pessimistes), les pavés seront donc quand même humides, ça va être une vraie patinoire! 🙁
  12. Les pavés, ça s'apprivoise assez bien avec l'habitude. J'ai passé trois ans à Tournai, habitant dans son centre-ville quasi entièrement pavé, et allant assez régulièrement affronter les kasseien légendaires des Ardennes flamandes. Et j'ai fait des progrès assez substantiels pour domestiquer ces horreurs. Je détestais avant, et même maintenant je ne suis pas un grand fan, mais ça ne me fait plus peur… sauf s'ils sont humides, car alors l'adhérence est alors vraiment très, très faible. Mais comme dit par Froome dans une des vidéos précédentes, le plus gros problème de l'étape à venir, ça va être le placement, la lutte pour se placer juste avant d'aborder chaque section. Ça va être très analogue aux préliminaires d'un sprint, ça va frotter de partout, et le risque de casse va être d'autant plus important. Je remets la vidéo déjà introduite par Christophe Capon, elle me paraît vraiment bien résumer le contexte: https://www.youtube.com/watch?v=1o9bZ57UeGM
  13. Pour ma part, la raison pour laquelle j'ai pris des pédales VTT est que j'habite en pleine ville, que je dois donc souvent poser pied à terre, et que la double face de ces pédales est bien pratique quand on démarre d'un feu ou d'une intersection! Or les pédales pour cyclotouristes n'ont qu'une face d'enclenchement, d'où mon choix. Quant à la paire de chaussures, après avoir utilisé un modèle cyclotouriste vite usé, j'ai pris un modèle VTT parce que mes détaillants ne proposaient plus de modèle cyclotouriste… mais de toutes façons c'est le même concept, avec juste les protections de la semelle qui changent, plus importantes sur les chaussures VTT (et d'ailleurs tant mieux, lorsque c'est sur un sol irrégulier qu'on doit marcher).
  14. Il m'arrive de pédaler à basse cadence, mais dans un but précis qui n'a pas directement rapport avec la force: pour améliorer mon coup de pédale, l'arrondir. Dans ce cas je vais toujours très lentement, sur le plat comme en côte, à intensité d'effort faible. Il y a eu un hiver où j'ai travaillé spécifiquement la force: grimper des côtes à vitesse «normale» mais avec des braquets plus importants. Parallèlement je travaillais la vélocité pure également. Au printemps suivant: bursite à la patte d'oie de mon genou gauche! Peut-être due aussi bien au travail de la vélocité qu'au travail de force, mais ça m'a refroidi, on va dire. Il me semble le travail de la force pure, c'est surtout utile pour les sprints purs, les démarrages brutaux faisant appel à toute l'énergie du cycliste, bref un genre de chose qui n'entrent pas dans ma pratique. Les changements de rythme que je subis en randonnée ou cyclosportive (et que je veux désormais mieux gérer grâce à mon travail de fartlek actuel) sont bien en deçà de ce niveau. De même, le travail de la vélocité pure. Maintenant je ne travaille ni l'un ni l'autre spécifiquement, j'adapte juste mes braquets et ma cadence selon le type d'effort voulu.
  15. Qui sait? Si ce travail porte ses fruits, dans quelques temps je serai capable de faire le Bruine Put à 100 tours/minutes avec 26/23 en braquet mini au lieu de 26/26 maintenant. Et peut-être 26/21 (= 36/26) pour plus tard encore? Et ainsi de suite? Inutile de brûler les étapes, je verrai bien où se trouve mon plafond. Une chose est sûre, ce sera toujours bien en-deçà du niveau d'un Garreau ou d'un Sapin, et ça ne me gêne pas.
  16. Pour répondre à la question qui me concerne : non, je n'augmente pas ma cadence dans ce cas-là, je descend les pignons pour la conserver. Ou s'il y a une différence de cadence, elle n'est pas notable. Pour le record de l'heure: oui, pourquoi pas, ou guère moins… si le braquet est bien choisi! Quand on voit les cadences adoptées par de plus en plus de pros sur des montées genre Ventoux, il semble qu'on tende vers cette direction.
  17. «Logique», dans le sens où c'est instinctivement ce qu'on a tendance à faire, certainement. Mais est-ce recommandable pour autant? Je ne pense pas, pour les raisons évoquées ci-dessus (c'est l'intensité d'effort qui doit être le critère décisif). Par ailleurs tes fréquences sont proches des miennes (je tourne un poil moins vite sur le plat et un poil plus vite en côte).
  18. Jacques, Joachim, pour que vous puissiez en juger en meilleure connaissance de cause (et m'agonir d'injures si ça vous chante), je vous donne un exemple de grimpette en fartlek telle que je le pratique en ce moment: Vous ne connaissez pas le Bruine Put, (Puits Brun, en néerlandais) au sud de Bruxelles, forcément. Son versant sud, à l'échelle des côtes de la région bruxelloise, est une belle bosse de 800 m à 8,3% de moyenne, avec des pourcentages variant entre 7 et 14%. Il a la particularité d'être muni d'une piste cyclable (en bon état qui plus est!) dans les deux sens. Au sommet on a une belle vue lointaine sur Bruxelles, pour l'anecdote, et un banc le long de la route pour mieux profiter de cette vue si on est d'humeur. http://www.climbbybike.com/fr/ascension.asp?Col=Bruine-Put&qryMountainID=147 C'est une côte que je grimpe très souvent. D'habitude, je grimpe à l'aise avec le 26/26 et le 26/30, fréquence de pédalage de 80-90 tours/minutes. Aujourd'hui, je l'ai donc grimpé bien plus vite, à fond la caisse: en 26/23 et 26/26, donc des braquets plus importants, mais avec une fréquence bien plus élevée, que j'évalue à 100 tours/minutes, peut-être plus. Ce qui fait une vitesse évoluant entre 12,5 et 14,5 km/h. En rattrapant et en laissant sur place, soit dit en passant, un autre cycliste qui grimpait en double plateau traditionnel, à vue de nez un 42 dents, qui était visiblement à fond lui aussi. Au sommet, sur les derniers 100 m, j'ai piqué un sprint à une cadence semblable, peut-être légèrement plus élevée, sur le 26/23, puis le 26/21 puis le 26/19, et ainsi de suite (la pente, qui est de 10% au début du sprint, fléchit progressivement jusqu'au replat complet au fur et à mesure qu'on approche du sommet). Sprint assis, cette fois-ci, puisque j'alterne les sprints assis et en danseuse, d'une bosse à une autre. En danseuse, je serais passé sur mon plateau médian de 36 dents pour sprinter sur le 36/26 puis le 36/23, puis le 36/21, etc. comme je l'ai déjà fait au même endroit en d'autres circonstances. Voilà. Vous êtes libres d'en penser ce que vous voulez, mais sachez que ça ne va rien changer en ce qui me concerne.
  19. On a déjà eu cette discussion et je n'ai pas changé d'avis depuis: les braquets, c'est comme les goûts et les couleurs, c'est personnel. 🆒
  20. Avec les braquets qui me convenaient. Par ailleurs, le travail en fartlek, ça ne fait que trois ou quatre semaines que j'en fais ces derniers temps (j'avais commencé la semaine d'avant le Gran Fondo Eddy Merckx), et je vais d'ailleurs faire une pause puisque je vais devoir laisser le vélo derrière moi de mercredi à lundi prochain inclus. Après, ça va être les Ardennes, puis les Alpes… Miam! PS: faire du fartlek et ne pas rentrer «cuit», ça ne serait plus du fartlek. Mais quand on est cuit, c'est en fin de sortie: avant la fin de sortie, donc avant d'être cuit, j'ai pu voir comment je me comportais dans les bosses où je ne faisais pas de rythme…
  21. Franck PASTOR

    Coquard

    Bien d'accord, mais c'est aussi un sprinter. 😛 On ne rivalise pas avec Cavendish, Kittel, Greipel and co sans l'être.
  22. Six heures de vélo ce matin avec une floppée de bosses dans le sud-ouest de Bruxelles, aux confins du Brabant et du Hainaut (bois de la Houssière, Ittre, Braine-le-Château, Halle, Beersel…). Température idéale (22°), vent fort d'ouest-sud-ouest. Beau soleil au départ, gros nuages ensuite et quelques gouttes de pluie pour finir. Travail de type «fartlek», à nouveau: la plupart des bosses à fond + un sprint au sommet, et des sprints-«pancartes» entre deux bosses. Ça semble commencer à payer d'ailleurs, ce type de travail: même quand je grimpais une bosse en mode «tranquille» je remarquais que j'allais plus vite que d'habitude, que le vent fut favorable ou non. En échange, j'ai fini complètement cuit, avec des crampes… aux pieds(!), mais comme la pluie arrivait, ça m'a fourni un bon prétexte pour ne pas traîner dans les derniers kilomètres. Prochaine sortie mardi, en mode récup!
  23. Franck PASTOR

    Coquard

    Comme sprinter à finir dans le groupe de tête, il n'y a eu que Sagan finalement. Et Kristoff et Gerrans n'étaient pas très loin derrière. Tous les autres sont passés à la trappe, mais c'était assez logique quand même, vu le profil du jour!
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