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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
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Choix triple campagnolo
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Yves MICHEL1639476392 dans Le matos
En gardant en tête que le 30/30 d'un triple sera toujours plus petit qu'un 34/32, avec des dentures plus resserrées à l'arrière comme à l'avant, en attendant un probable 30/32 en standard pour l'année prochaine. -
Choix triple campagnolo
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Yves MICHEL1639476392 dans Le matos
Pourquoi mieux? Il manque un plateau! 😛 D'après un encart lu dans le Cycle de ce mois ou du mois dernier, le triple Ultegra 11v devrait arriver pour 2015. Le prototype serait déjà prêt mais il n'est pas encore complètement fonctionnel. -
Choix triple campagnolo
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Yves MICHEL1639476392 dans Le matos
L'Athena a surtout un pignon de plus. Rien que pour cette raison, et si j'avais les sous, à ta place je n'hésiterais pas: Athena triple direct. -
Non, je ne pense pas que cela existe. Les lubrifiants secs actuels (téflon, cire) salissent peu la transmission mais ne sont pas les plus efficaces pour protéger de la pluie (surtout ceux de type cire) et ne sont pas les plus endurants. Les lubrifiants liquides quant à eux protègent bien de l'humidité et peuvent tenir très longtemps mais sont salissants et donc usent plus vite la transmission par temps sec si on ne la nettoie pas fréquemment. On ne peut pas sortir de là. Il faut trouver le compromis le plus adapté à sa pratique. Mais l'offre est suffisante quand même pour trouver son bonheur, quitte à changer de lubrifiant suivant le type ou la longueur du parcours, ou les conditions climatiques.
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La Belgique, ou la Normandie, ou la Bretagne, ou le Pays basque… Tiens, c'est pas un hasard si ces terres-là fourmillent de bons cyclistes! 😃
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Il y a des lubrifiants qui emploient les deux.
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Pour ne parler que de ce que j'ai essayé, le Finish Line "Dry" au téflon n'est pas mal dans ce cas. Et si tes sorties sont courtes, le "Wax" (cire) de la même marque est top niveau propreté. J'ai aussi utilisé occasionnellement le lubrifiant "3 en 1" à base de silicone, pour un résultat moyen à tout point de vue mais sans plus. Le modèle de la même marque spécifique au vélo, le "spécialiste lubrifiant chaîne et câble" au PTFE (polytétrafluorethylène) est probablement plus adapté (pas essayé). Quant au WD-40 que j'ai utilisé longtemps, il lubrifie bien, mais salit assez vite, et surtout il ne tient pas longtemps et se fait la malle à la moindre goutte de pluie.
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Comme je sors par tous les temps, et que le temps est sacrément variable en Belgique, j'utilise généralement un lubrifiant "lourd", non sec (Finish Line Wet lube pour le nommer). C'est encore cette consistance qui résiste le mieux aux douches prolongées et aux longues heures de route (5 h et plus). Avec l'inconvénient d'être salissant en effet, ce qui oblige à nettoyer fréquemment la transmission même si les sorties se sont faites finalement au sec. Au minimum toutes les semaines, avec mon rythme habituel de deux sorties par semaine dont une longue. D'expérience, les lubrifiants secs se font la malle à la moindre pluie un peu sérieuse, téflon ou non, et la cire c'est pire. J'utilise ça exclusivement par temps sec et pour les sorties courtes et moyennement longues. Donc pas de recette miracle et passe-partout…
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Votre sortie du jour 2014
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
J'aurais aussi fait une sortie mémorable aujourd'hui! Pas autant que Bernard quand même, pas d'orages par exempple, mais c'était gratiné. 7 h de vélo dans le sud de Bruxelles avec trois ou quatre bonnes draches (fortes averses, Belgian copyright) et surtout un vent terrible d'ouest-sud-ouest soufflant par rafales. La météo avait annoncé un vent de force 4 à 5 et des rafales de 70 km/h, donc très gênant mais a priori gérable. Mais c'était plus que ça, ou alors j'étais trop confiant en mes capacités de résistance à Éole. Pour ne rien arranger, mon parcours d'aujourd'hui faisait en sorte que j'avais le vent de côté: autrement dit presque toujours gênant, à l'aller comme au retour. Plusieurs fois j'ai failli être envoyé au milieu de la chaussée ou dans le décor. J'ai d'ailleurs pu redécouvrir que la position où on résiste le mieux aux effets du vent latéral, c'est mains en bas du guidon en permanence, comme pour le vent de face. Enfin bon, j'ai pu faire le parcours que je m'étais planifié : Bruxelles-Nivelles et retour, en empruntant un max de côtes, notamment dans la deuxième partie. Avec les "Cotacol" suivants, avec leurs numéros pour ceux en Belgique qui disposent de cette Encyclopédie: côte d'Alsemberg (7), Mont Saint-Rock (609, Nivelles), côte de Rosémont (407, Ittre), rue du Drabe (135, Braine-le-Château), Kesterbeekbos (143, Buizingen), Bruine Put (233, Dworp), et la rue du Mystère (294, Forest) pour finir. Et quantité d'autres côtes non répertoriées par cette bible du cyclo-grimpeur belge. Toutes ces côtes n'ont rien de comparable dans l'absolu avec les côtes ardennaises, mais ne sont pas loin de soutenir la comparaison avec les "Ardennes flamandes" du Tour des Flandres. La rue du Drabe à Braine-le-Château, en particulier: 450 m, 11% de moyenne, 14% hectométriques maxi avec une pointe à 17%. Et dire que cette côte était auparavant pavée du pied au sommet, paraît-il (elle ne l'est plus du tout aujourd'hui)! Ça devait en faire un épouvantail façon Paterberg, un truc pour coureurs du genre Sagan ou Cancellara. Côté découverte touristique, j'ai pu apprécier de découvrir le centre-ville de Nivelles avec sa belle collégiale Sainte-Gertrude. Admirez: http://fr.wikipedia.org/wiki/Collégiale_Sainte-Gertrude_de_Nivelles -
Façon de pédaler
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Stéphane MERTZ dans L'entrainement et la santé
Comme tu dis, c'est vraiment personnel, parce que moi je ferais plutôt le contraire: j'ai tendance à vouloir m'asseoir sur l'avant de ma selle quand ça grimpe dur et à me reculer un maximum dans les descentes raides. Par contre sur le plat et dans les pentes peu raides je n'ai aucune envie de changer de position, quelle que soit l'intensité de l'effort. Je me suis toujours demandé comment les rouleurs spécialistes faisaient pour se retrouver sur le bec de selle. -
??? Mais enfin, c'est justement en cas d'accident grave sur la tête que le casque peut être utile, la preuve!
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Bien sûr. Mais on est aussi censé se mettre en file indienne pour faciliter le dépassement, hors agglomération. http://www.cctgh.be/code%20de%20laroute.htm (version belge, mais j'imagine que c'est la même chose en France). Et même en agglomération, cela relève de la plus élementaire courtoisie de ne pas gêner le trafic si c'est juste pour bavarder avec le copain…
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Pourtant au début du fil certains ont eu des arguments-"chocs" à nous proposer pour le port du casque… dans tous les sens du terme. 😬
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Pas encore convaincu de ça justement (en attendant de voir les stats par moi-même), mais ça ne concerne pas une augmentation éventuelle du trafic automobile.
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"À la suite" ou "simultanément"? Il y a plus qu'une nuance. Parce si en même temps le trafic automobile et/ou le nombre de cyclistes ont fortement augmenté, c'est tout bonnement ça l'explication. Et alors on peut légitimement supposer que le nombre de personnes blessées à la tête aurait été encore plus élevé sans le port du casque.
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Et peut-on en tirer des conclusions définitives? Non, et il se garde bien de le faire d'ailleurs. Moi, quand je me suis fait renverser par une voiture, c'est que le conducteur ne m'avait tout simplement pas vu, ainsi qu'il me l'a dit lui-même par la suite. Dois-je en accuser mon casque quand même?
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Quand on lit l'article retrouvé par Bernard, on s'aperçoit que les conclusions qu'ils en tirent sont nettement plus mesurées et prudentes. Je peux les comprendre: ce n'est déjà pas sûr que 2500 dépassements soient suffisants pour avoir une marge d'erreur suffisamment faible, d'autant que la différence finale n'est "que" de 8,5 cm et que l'expérience n'a été faite que par une personne. Encore une fois, pour qu'une expérience soit concluante il faut qu'elle soit répétée un certain nombre de fois dans des conditions différentes, par différentes personnes. Mais ça prête quand même à réflexion. Je crois bien plus à ce que Nicolas Joary a rapporté : qu'un automoblliste prenne moins de précaution en doublant un cycliste bardé de lycra sur un vélo de route à 5000 €, non pas parce qu'il est supposé plus adroit, mais parce que spontanément il évoque chez l'automobiliste des souvenirs désagréables, genre groupe de cyclos roulant à trois de front, le cycliste esseulé mais négligeant la belle piste cyclable juste à côté, ceux qui grillent allègrement les stops ou les feux rouges, qui prennent à l'extrême gauche les virage en lacet, etc. Et dans ce cas l'automobiliste est moins disposé à prendre des précautions envers le cycliste qu'il dépasse, qu'il soit casqué ou non. Par pure animosité. Bref, en effet, on paie pour les autres…
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Le message de Nicolas Joary fournit une explication bien plus plausible… 😕
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Tu as très probablement raison…
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Ma fille à moi a 5 ans, et je ne l'ai jamais mise sur son vélo sans casque. Je commence à lui faire apprendre à faire du vélo sans roulettes. Maintenant c'est elle qui me réclame le casque à chaque fois qu'on lui fait faire du vélo. Elle l'aime beaucoup, son casque, elle le trouve beau!
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Oui, je chipote mais je suis moi-même mathématicien et j'ai appris à me méfier des conclusions hâtives, et particulièrement de celles basées sur des statistiques. Chipoter sur ce genre de questions, c'est essentiel. Que tu portes un casque ou non n'influera pas sur ta capacité à rouler droit, non? Le problème est ailleurs. Et je ne crois pas a priori à cette théorie du casque qui inciterait les voitures à dépasser de plus près. L'automobiliste moyen se fiche du casque du cycliste. Ce qu'il perçoit, c'est un obstacle à sa progression. Casqué ou pas, ça ne change rien au format de cet obstacle qu'il cherche à dépasser le plus tôt possible. D'autre part, à supposer que tu aies raison: si le casque était obligatoire et si donc tous les cyclistes portaient un casque, il n'y aurait plus lieu pour l'automobiliste de faire un distinguo même inconscient entre le cycliste casqué et celui qui ne l'est pas. Problème résolu donc! 😃 Sauf ceux pour qui mettre un casque est une torture sans nom bien sûr! 🆒
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Faut-il que je me retape les 100 pages d'un de ces débats pour retrouver cette référence? Parce que là, le courage me manque! 😬
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Ce genre d'expérience, pour autant qu'elle soit avérée (nécessité de personnes tierces vérifiant bien que l'expérience s'est bien déroulée comme reportée, mais passons), nécessite d'être renouvelée très souvent par d'autres personnes, avant d'en faire une vérité. Il y a beaucoup de facteurs jouant sur la distance voiture-cycliste. Le trafic était-il le même? La visibilité? Les parcours? La façon même de rouler du cycliste n'était-elle pas en jeu? Pas mal d'expériences scientifiques ont eu leurs résultats faussés par le fait que le scientifique en question était persuadé à l'avance du résultat. Ce qui démontre la nécessité de répéter ces expériences par le plus grand nombre de personnes possible, si possible d'avis préalables différents sur la question. Bref, je suis toujours perplexe et si tu as le temps de trouver tes références (article et source), je suis preneur.
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Il est déjà obligatoire. Sous le beau nom de «naissance».
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Si tu crois en cette logique, tu ne crois pas aussi que l'instauration d'un permis vélo obligatoire va aussi entraîner une diminution du nombre de pratiquants? Parce là, niveau contrainte, ça me paraît un poil plus fort que le geste machinal et vite automatisé de coiffer un casque… 😃 Mais cette logique ne me paraît pas tenir debout, de toutes façons. Je ne sache pas, par exemple, que l'obligation du port de la ceinture en voiture ait entraîné une diminution du nombre d'automobilistes? Pas plus que le permis de conduire obligatoire du reste? Pour ma part je milite pour les deux. L'instauration d'un permis vélo et le port du casque obligatoire. D'autre part, le fait que deux phénomènes soient simultanés ne suffit pas pour démontrer qu'il y a un lien entre les deux. La baisse du nombre de pratiquants cyclistes dans les pays que tu mentionnes pourrait tout aussi bien imputée à d'autres causes dont ces études se garderaient bien de parler: l'augmentation massive du trafic motorisé, par exemple. Quant à la démonstration dont tu parles, pourrais-tu m'en donner une référence? Parce que je n'y crois pas une seconde. Les «démonstrations» basés sur quelque chose qui se passerait dans l'inconscient, ça semble tout de suite fumeux. L'inconscient n'est pas quelque chose de très fiable quand il s'agit de faire des démonstrations scientifiques dessus…