Franck PASTOR

Moi je l'enlève systématiquement. Ce film gras est très épais, n'est donc pas vraiment lubrifiant et en plus il ramasse toutes les poussières qui trainent.

Je ne comprends pas très bien ton point de vue. Rien ni personne ne t'empêche de montrer de l'enthousiasme ici et de le montrer, même ceux à qui ton enthousiasme ne plairait pas. À mon avis tu donnes beaucoup trop d'importance à des messages que tu devrais tout simplement ignorer. Si tu considères effectivement certains de ces messages comme de la diffamation ou des insultes, il convient de les signaler au modérateur en effet, mais après c'est son affaire. De toutes façons, rien ne vaut la peine d'être pris de façon personnelle dans ce genre de débat.

Tous derrière et avec .. LES BLEUS Pas les Belges du forum, probablement. 😛 Être Français en Belgique m'a fait prendre un peu de recul sur les questions de nationalité… surtout dans le sport.

Freddy Maertens a lui aussi fait une forte dépression, qui avait d'ailleurs commencé pendant sa carrière, et qui l'a poursuivi de nombreuses années après. Parallèlement, il était devenu alcoolique. Il s'en est sorti semble-t-il, mais c'est un bel exemple d'après-carrière cauchemardesque.

D'après ce site, il y a une fontaine à Séchilienne, ce qui te permettra probablement de remplir ton premier bidon vide. Il y en a une autre au Bourg-d'Oisans, ce qui fait un détour du pied de la Croix-de-Fer, mais pas trop important si tu es déjà à sec ! Et enfin, une à Allemont, en cours d'ascension. Il semble que tu puisses partir l'esprit tranquille !

De Vizille à Livet ce n'est pas encore la montagne ! De toutes façons pour ma part, s'il n'y a pas de fontaine publique je préfère m'arrêter dans un bar (en plaine entre deux escalades, voire au sommet — il y en a parfois), c'est plus… convivial qu'un cimetière !

Je faisais le plein à Livet dans le temps, quand je faisais le même trajet. Il y avait une fontaine là-bas. Si elle n'existe plus, alors il faut faire comme je le fais en Belgique : s'arrêter à un bar (Vizille, Séchilenne, Livet-et-Gavet… ce ne sont pas les endroits à bars qui manquent sur ton chemin), prendre une consommation et demander à pouvoir remplir les bidons… ou repérer un cimetière et sa fontaine. Juste prendre garde à ne pas perdre le vélo de vue !

Pas la peine de boire directement l'eau des ruisseaux. Ce ne sont pas les fontaines qui manquent dans les villages des montagnes environnant Grenoble, et celles dont l'eau est impropre à la consommation sont en général scrupuleusement signalées. Renseigne-toi, observe et tu auras vite fait de repérer où sont les fontaines d'eau potable sur tes trajets.

Ce musée se trouve sur la Grand'Place d'Audenarde juste à côté de la collégiale Sainte-Walburge et son gigantesque clocher. Son nom officiel est «Centrum Ronde van Vlaanderen». Outre le musée, on y trouve un magasin d'articles cyclistes, une brasserie (chère!) avec plein de posters, affiches et maillots d'époque sur les murs, et une salle où un film (à trois écrans) à la gloire du Ronde est projeté en boucle. http://www.crvv.be J'aime bien visiter ce musée de temps en temps, je l'ai découvert à l'époque où je n'habitais pas loin, à Tournai. J'ai vu Freddy Maertens à l'accueil plusieurs fois. Il y a des visites organisées où il sert de guide. Renseignements ici, si ça t'intéresse : http://www.crvv.be/fr/308-musee-dexperience Le centre du Tour des Flandres est également le point de départs de trois itinéraires cyclistes balisés faisant découvrir les principales difficultés du Tour des Flandres. Là je suis carrément fan, j'essaie d'en faire un ou deux chaque année. Ma préférence va au circuit «rouge», qui passe par le Mur de Grammont et le Bosberg, entre autres. http://www.crvv.be/fr/317-routes/7

À Roulers je ne sais pas, mais il est également un des représentants (pas le gardien) du musée du Tour des Flandres à Audenarde (Oudenaarde).

Hier en fin d'après-midi sortie de 2 h 40 dans le sud-est de Bruxelles, par un temps chaud (23° à l'ombre) et radieux. Ça changeait des orages et déluges de grêle de la veille ! Certaines routes ombragées étaient encore recouvertes de boue sablonneuse malheureusement, d'où une transmission grinçante pendant une bonne partie de la sortie. Excellentes sensations malgré une semaine d'arrêt complet à cause d'un boulot très (trop) prenant, je roulais au moins 1 km/h plus vite que d'habitude dans chaque bosse.

Je ne sais pas pourquoi vous appelez ça l'automne. Le temps qu'on a, c'est pourtant le printemps dans toute sa splendeur, c'est-à-dire instable et capricieux au possible. Je n'ai jamais aimé cette saison !

Ouais, ben en attendant, à Bruxelles en ce moment c'est l'orage, et un déluge de grêlons gros comme des billes 😢. Dire que je songeais à faire un petit tour à vélo il y a une heure…

C'est pas ça le problème pour moi, c'est que sur un VTT il n'y a pas de cintres à trois positions (le cintre route). Je trouve les cintres VTT nettement moins ergonomiques, surtout en montagne.

Je mouline également petit dans les cols, encore plus petit que toi à vrai dire, mais je ne vois pas pourquoi ça m'empêcherait de profiter des descentes, que j'aime beaucoup. Un des participants du forum, avec qui je roule de temps en temps et qui se reconnaîtra, m'a traité de Dahu à cause de ma propension à dévaler les cols ! Mes grands braquets de triple (48/11 maxi) servent justement à pouvoir pédaler à l'aise dans ces descentes, c'est-à-dire sans devoir me retrouver avec les jambes autour du cou lorsque la pente est encore modérée (<8%).

J'ai habité Grenoble puis Le Versoud pendant mes premières 28 années, jusqu'en 2000. C'est dire si je connais le coin où tu habites ! J'y reviens régulièrement pour les vacances. On pourra peut-être prolonger ce débat sur les routes des environs un de ces jours!

Très bon test ! Essaie aussi la montée de Chalais, ça te permettra de tester sur une distance nettement plus longue. L'année dernière, avec mon 26/34 ma cadence moyenne y a été de 75 tours/minutes… 😬

Ayant habité Aix-les-Bains pendant 7 mois, en 1999, je montais régulièrement au Revard à partir de là. Je n'aimais pas beaucoup : route trop large à mon goût, pas si pentue que ça (surtout à côté du Mont du Chat !!) et pas mal fréquentée. C'était la vue au sommet qui me motivait. Mais je préférais généralement aller du côté de Chambotte. À propos du Revard, à une époque il y avait un téléphérique qui montait de Mouxy au sommet. Je trouve que ce serait une super idée de le réintroduire ! http://www.remontees-mecaniques.net/bdd/reportage-tph-v-40-du-revard-rebuffel-4793.html

Il y a bien plus que deux dents d'écart entre les grands pignons de cette 11-40 ! 😉 D'autre part, même avec cette cassette, tu pourrais avoir du mal à maintenir ta fourchette de cadence dans les côtes les plus raides avec un double, compact ou non. Le triple permettra toujours de plus petits développements, pour 400 à 500 g de plus à peine. Mais c'est toi qui te connais le mieux. Ayant une cassette 11-34 en dix pignons (avec triple 48-38-26), je suis équipé quasiment comme un VTTiste et comprends quand même bien ton point de vue. Mais aimant adopter une cadence régulière, je ne cracherais pas sur une cassette plus resserrée, raison pour laquelle j'attends un peu désespérément de pouvoir utiliser une cassette équivalente avec 11 pignons… À défaut, quand mon 3*10 rendra l'âme j'envisage de me rabattre sur des solutions radicales genre moyeu Rohloff à vitesses intégrées : https://www.rohloff.de/en/products/speedhub/

Exactement ma plage de fréquence dans les cols, où j'ai pour ainsi dire appris à pédaler puisque je suis Grenoblois d'origine. Mais je n'en suis pas pour autant un gros moteur, au contraire, donc j'ai besoin de très petits développements. Selon moi la meilleure solution à ceci le triple, qui permet de limiter les écarts entre les développements autant que possible (en sachant que le plus petit développement a toujours priorité), mais qui permet aussi de conserver une excellente ligne de chaîne pour les braquets intermédiaires et de garder les plus grands développements, très appréciables en descente. La persistance de Shimano et de Sram à ne pas proposer de triple 11 vitesses dans leurs catalogues de route est selon moi une très, très mauvaise affaire pour les cyclistes de notre niveau.

Toujours les mêmes intérêts : permettre des braquets encore plus petits que ceux des doubles et compacts, pour ceux qui en ont besoin comme moi. Je suis descendu à 26/34 avec mon triple 10 vitesses, et en 11 vitesses je pourrais faire aussi petit mais avec moins d'écarts entre les développements. permettre de monter des dentures plus resserrées, pour ceux qui n'ont pas besoin de micro-braquets comme les miens. Par exemple, une cassette 11 pignons 11-30 combinée avec un triple 50-40-28 aurait nettement moins de «trous» qu'une cassette 11-36 et un compact 50-34, avec les mêmes plus grand et plus petit développements.

Malheureusement Shimano ne propose toujours pas de triple en 11 vitesses dans sa gamme route, seulement en VTT. 😢 La seule solution actuellement pour passer en triple est de «bricoler», en combinant leviers route et dérailleurs et pédalier VTT, sans aucune garantie que ça marche.

Je ne comprends pas, pourquoi ça doit te couper les jambes ? C'est également la même chose que se faire doubler par une mobylette, où est la honte là-dedans ?

Genzling ne précise pas sur quel type de route Coppi utilisait du 32, montagne ou non, il écrit seulement "et pas seulement sur Paris-Roubaix". Pour le reste, on est bien d'accord.

Il l'a gagné deux fois devant des adversaires chaussés de boyaux bien plus étroits, c'est ça qui devrait te frapper dans cet exemple. Après ça, j'ai tendance à penser que le plus fort ira toujours plus vite que les autres, que la section de ses pneumatiques soit de 18 ou 32. Sur route normale s'entend, parce que sur une chaussée en mauvais état façon belge, le 32 partirait avec un avantage non négligeable sur le 18… 😃