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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
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J'en ai vu de plus jeunes encore mettre pied à terre dans des bosses à 5% grand maximum… Suffit d'être complètement cuit en fin de sortie, par exemple.
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Quelle préparation pour attaquer la montagne ?
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Eric VIGIER dans L'entrainement et la santé
De mon point de vue de montagnard d'origine, il n'y a qu'une chose vraiment indispensable pour aborder la montagne : avoir les braquets adaptés à son niveau et aux pentes qu'on va affronter. Quand j'étais encore Grenoblois, je m'attaquais aux pentes des montagnes dès mes premières sorties sur mon vélo de route, sans aucun entraînement préalable. Simplement, vu ce manque d'entraînement, les braquets que j'utilisais étaient nettement plus petits que ceux que j'allais utiliser en été. Les braquets proposés d'origine sur les vélos de route sont trop souvent inadaptés, car trop grands. La raréfaction des triple plateaux n'arrange pas les choses: les équipementiers n'arrivent pas à concevoir que même le 34/32 des compacts de série actuels est trop gros pour nombre de cyclistes. Pour ma part, j'ai fini par monter des braquets de VTT sur mon vélo de route : triple 48-38-26 et cassette 11-34 (dix pignons). Par ailleurs, mais c'est beaucoup moins important bien sûr, des braquets comme 48/11 sont bien pratiques pour descendre confortablement. Au-delà des braquets, il y a d'autres éléments à prendre en compte, à savoir apprendre à descendre, gérer l'habillement, les ravitaillements… Dans ces domaines, comme les braquets, rien ne remplace l'expérience. -
C'est bien mieux comme ça ;-)
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Tu disais : on a tous appris à pédaler comme ça. Je ne faisais que nuancer cette généralisation un peu rapide…
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Si, je pouvais mais j'évitais les sorties comme ça, justement. De ma naissance à l'âge de 28 ans j'ai vécu à Grenoble et dans les environs, et quand je sortais à vélo c'était quasiment toujours pour aller grimper dans les montagnes alentours. Une sortie en plaine, c'était vraiment l'exception et non la règle. Mon père faisait déjà du vélo comme ça, ça doit être de famille ! 🆒
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apprendre à enrouler un 39/17 pendant plusieurs centaines de bornes, c'est comme ça qu'on a tous appris (si si, souvenez vous) Heu… j'ai beau me râcler la cervelle, je ne me rappelle pas avoir fait un truc de ce genre. Moi j'ai appris à pédaler en montagne…
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Ben non (bis :-)). Si on m'impose tes braquets pour rouler sur nos belles routes brabançonnes, je mets le vélo à la cave en attendant un éventuel déménagement du côté d'Anvers ou de Bruges. 🆒
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Hé Michel, pour rappel on roule dans le même pays, sur les mêmes routes, j'ai dix ans de moins que toi et un physique de fil de fer, et pourtant mon braquet minimal est de 26/34. Comme quoi il vaut mieux ne pas faire de son propre cas (le tien, le mien ou un autre) une généralité ! 😉
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D'accord, je prends note. Mais dans une ascension à 6/7% les braquets d'un vélo de route sont mieux je suppose. Je ne suis pas sûr de comprendre ce que tu veux dire. Si tu parles de pente moyenne, alors ça ne signifie pas grand'chose. Une ascension peut être à 6% de pente moyenne et proposer de véritables murs entrecoupés de replats, voire de redescentes. Dans une ascension à 6-7% de pente maximale, ce que tu dis est peut-être vrai, puisque les braquets sur un vélo de route sont a priori plus resserrés. Mais je ne connais guère de routes en montagne qui respectent ce seuil, et certainement pas les ascensions les plus célèbres ! 🆒
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En faveur du vélo de route : le poids global (les roues, notamment) ;les pneumatiques lisses avec meilleur rendement sur route (bizarrement, peu de gens montent des pneus lisses sur leur VTT même quand ils sont 100 % du temps sur route!) ;le cintre que je trouve bien plus ergonomique pour grimper (pas trop large et permet de varier la position des mains) et descendre (position mains en bas).En faveur du VTT : les braquets d'origine sont plus adaptés aux longues et fortes pentes montagneuses ;la taille des pneus et le cadre permettent de mieux amortir les chocs sur route défoncée en descente.
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Sortie-détente ce soir, soit une trentaine de kilomètres sans quitter la région bruxelloise. Le parc de la Woluwe et la forêt de Soignes auront donné une (légère) teinte verte à cette excursion essentiellement urbaine.
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Rouleur mais pas grimpeur
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Clement SERGUIER dans Discussions Route
Tony Martin ne se débrouille pas mal du tout dans les cols, on l'a vu gagner une étape dans les Vosges et finir deuxième au Ventoux au Tour de France. S'il était encore plus léger, il ferait un grimpeur encore meilleur (à condition de ne pas perdre en puissance). Quant à Cavendish, tu confonds sans doute deux types de puissance : la puissance maximale anaérobie, celle exercée dans un sprint n'est pas la puissance maximale aérobie qui concerne les efforts des rouleurs… et des grimpeurs. http://www.lepape-info.com/entrainement/entrainement-cyclisme/quelles-caracteristiques-definissent-le-bon-grimpeur%E2%80%AF/ -
Rouleur mais pas grimpeur
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Clement SERGUIER dans Discussions Route
Pour faire simple il y a une nouvelle composante qui intervient en montagne, c'est le poids. Sont devant en montagne ceux qui ont un rapport puissance-poids élevé, non plus seulement ceux qui ont une puissance élevée. -
La boucle est bouclee
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Claude CARRIES dans Discussions Route
Lien en espagnol sur cette histoire: http://www.elperiodico.com/es/noticias/deportes/audencia-absuelve-eufemiano-fuentes-dopaje-ciclistas-5203795 Comme dit Olivier, ce tribunal absout uniquement Fuentes d'un point de vue pénal, mais ne se prononce pas sur le côté dopage et laisse à l'AMA, l'UCI et toute instance cyclistes concernée le soin de se prononcer là-dessus. -
J'ai un cuissard court «déperlant» (je le portais d'ailleurs lors de notre dernière balade commune!), c'est-à-dire qu'il est légèrement rembourré et qu'il protège du froid d'inter-saison et des falbles pluies, mais pas des fortes averses ni des longues pluies continues : le modèle Tiburu de chez Assos. Attention, il n'est pas donné avec ses 210 euros ! Il existe en version corsaire également. https://www.assos.com/en_m/t-tiburushorts-s7 En cas de fortes précipitations, le meilleur moyen reste d'enfiler un pantalon ou un corsaire imperméable par dessus son cuissard/corsaire classique, comme on le fait pour le torse. Assos propose plusieurs modèles de ce genre, par exemple, et il n'est sûrement pas le seul.
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Même si la veste a des bandes réfléchissantes, s'il y a moyen d'avoir une couleur claire à la place du noir ça ne serait pas une mauvaise affaire. Quand il pleut la visibilité est réduite, et c'est plus difficile pour un automobiliste de voir un cycliste, bandes réfléchissantes ou non, alors si en plus il est en noir!
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Desserrage de pédales compliqué...
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Vincent FONTAINE dans Le matos
On desserre dans le sens antihoraire la pédale de droite, et dans le sens horaire la pédale de gauche. En regardant de l'extérieur de la pédale dans chacun des deux cas bien sûr. À part ça, pas de truc particulier pour desserrer les pédales déjà coincées (un bras de levier plus grand pourrait servir quand même). Un vélociste saura ce qu'il faut faire. Un truc préventif quand même : si les manivelles et le filetage sont en métal, il faut bien penser à graisser les filetages avant de les monter, pour éviter que la rouille s'y mette et soude les pédales à la manivelle. Edit : devancé ! -
5 mm, c'est déjà limite avec le 25, et avec le 28 ça peut passer, mais en frôlant. Et il suffira alors de saletés collées au pneu (des gravillons ramassés sur des routes au goudron fondu, par exemple) pour que ça râcle et abîme le matos, voire que ça bloque carrément la roue. Vaut mieux oublier le 28 dans ton cas, donc !
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Les yeux fermés certainement pas, il faut absolument vérifier qu'il y a assez d'espace entre les pneus, le frein et le cadre. Si avec le 25 c'est déjà proche, je ne passerais pas sur du 28 à ta place. En attendant, et ça va pas plaire à Christian, je vois de plus en plus de vélos de course en 28, en magasin comme sur les routes… bon, c'est les routes belges, aussi.
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Dénigrée ? Pas par moi ! D'ailleurs je compte bien la refaire cet été, quand je reviendrai dans les environs. Je serais curieux de comparer mon temps à celui que je mettais il y a 16 ans, versant Le Bourget (1H25). Ça doit pas être le mot adéquat. Si on la «dénigre», ça implique un certain mépris. Au contraire elle fait très peur cette montée, et c'est pour ça qu'on n'y trouve jamais foule ! 😃 Au juste, tu l'as faite par quel versant ?
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Il peut visiblement accompagner les meilleurs en montagne, mais pas jusqu'à la toute fin. Je ne pense donc pas qu'il ait la capacité de gagner un des trois grands Tours, en tout cas pas avec l'adversité actuelle. Certes il est jeune et peut avoir une marge de progression (comme Jungels d'ailleurs). Mais cela reste à voir. Je ne crois pas en tout cas qu'il doive faire une fixation sur les grands Tours. Avec son punch je le vois bien plus taillé pour les courses d'un jour voire d'une semaine, et qu'il peut à côté de ça faire un coup éclat sur un grand Tour, mais sans faire nécessairement de la victoire dans ce grand Tour un objectif.
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Hier matin, c'était un samedi libre, donc sortie vélo ! 97 km à 21 km/h de moyenne dans l'est de Bruxelles, par un temps nuageux mais doux et avec relativement peu de vent. Quelques gouttes de pluie inoffensives vers la fin. La balade a été plus sportive que la moyenne peut laisser supposer : à chaque bosse sérieuse j'y allais à fond et je profitais du reste du trajet pour récupérer, le tout en gardant une certaine vélocité (89 tours/minutes de moyenne). Et après un départ à peu près plat pour aller à Louvain, y en avait, des bosses ! D'abord les côtes (courtes) de Louvain à Neerijse puis Leefdal, et puis direction Huldenberg et Overijse à travers champs pour affronter le Smeysberg et les cinq joyeusetés de la Flèche brabançonne (Holstheide, Ijskelderlaan, Schavei, Hagaard, Hertstraat). Entre autres. Pas étonnant de finir crevé à ce rythme, et encore aujourd'hui je suis un peu fatigué, donc repos! Pas trop de regret: c'est un dimanche pluvieux…
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Pour ma part je ne peux pas croire qu'Anquetil ait pu hypothéquer volontairement ses chances d'être champion du monde, un titre qu'il n'aura jamais conquis et qui aurait été le couronnement de sa carrière (laquelle tirait sur sa fin qui plus est). Son attitude après la course montre en tout cas qu'il ne digérait pas sa défaite. Ou alors, c'est qu'il s'était lui-même pris les pieds dans sa propre machination, si machination il y a eu, et il s'en serait voulu à mort.
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Qu'Anquetil ne souhaitait pas que Pouilidor gagne, c'est une certitude. Par contre je ne crois pas qu'il souhaitait la victoire d'Altig, mais qu'il comptait vraiment gagner lui-même. Il semble que les deux rivaux français se soient fait trahir par Aimar, lequel s'est mis au service d'Altig pour qu'il recolle au groupe de tête, où se trouvaient Anquetil et Poulidor. C'est du moins comme ça que Jean-Paul Ollivier et (de mémoire) Pierre Chany présentent les choses. Ce serait une des plus grosses déceptions de la carrière d'Anquetil: à l'arrivée, il finit deuxième (devant Poulidor du reste). Si Altig n'était pas revenu, c'était donc très probablement Anquetil le champion du monde… Il en a boycotté la cérémonie du podium!
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Il était venu au cyclisme par la gymnastique, paraît-il. Et dire que malgré cette carrure de gymnaste, il parvenait à grimper correctement ! Il devait être un monstre de puissance. Il se trouve que le 31 juillet, il y a une épreuve professionnelle à son nom qui sera organisée sur le circuit du Nürburgring, pour commémorer sa victoire aux championnats du monde 1966 au même endroit.On le voit déjà très amaigri sur les photos qui annoncent l'événement :-( https://www.radamring.de/en/news/1358-uci-me-1-1-race-got-named-rudi-altig-race