Franck PASTOR

À Lustin on trouve une autre ruelle Toussaint, aussi une Cotacol: passage à 30 % :-) Je la ferai un de ces jours !

TRÈS clairement :-/

Ils montent à Revel par Domène tout-à-l’heure ;-)

Il se trouve que j’étais moi aussi très souvent sur mon grand plateau (46) et sur le 34 le reste du temps. Je n’ai tombé le petit plateau de mon triple (24) que dans la montée au début pentu qui allait de Cousolre à Bersilies-l’abbaye, que j’ai d’ailleurs eu l’honneur de franchir le premier derrière Eric :-) C’est la côte que tu m’avais dit trouver « raide », la seule sans doute. Sur le plat, j’avais très souvent 46/17, 46/19, assez souvent 46/15. Très compatible avec une moyenne de 28 km/h. Je ne suis donc pas d’accord avec ce que tu dis sur mes braquets. Ils me permettent bien de suivre, si je sais anticiper les actions du groupe. Le problème est que justement je ne le sais souvent pas, comme tu l’as je pense correctement diagnostiqué, et que je suis alors surpris et un trou se forme. Et alors pour le boucher, que le braquet soit petit ou gros, il fait mal...

J'ai pourtant senti énormément de changements de rythme, moi ! 😬 Tu es sans doute bien plus habitué et donc tu t'en rends beaucoup moins compte que moi. Tu es aussi certainement plus expérimenté que moi pour garder les roues. Je décrochais assez souvent de quelques mètres suite à un changement imperceptible de pente, un évitement d'obstacle, une intersection, etc, et il me fallait cravacher pour retrouver l'abri du groupe. Bon, c'est passé, ce fut instructif et rigolo (après coup), mais à la prochaine sortie entre nous faudra que ça grimpe bien plus souvent que ça roule ! 😆

Je me retrouve à analyser l'étape de demain qui passe pour ainsi dire devant chez mes parents… Curieux tracé, avec une longue transition entre les deux dernières montées principales, Revel—Croix-de-Pinet et Saint-Nizier, et une moins longue mais quand même conséquente (et souvent venteuse) entre le bas de la descente de Saint-Nizier et Villard-de-Lans-Côte 2000, la (très courte) montée finale. Ça ne laisse pas beaucoup de marge pour distancer un leader en forme comme Roglic avec une équipe aussi forte que la sienne, d'autant que la montée de Saint-Nizier, bien que longue (dans les 15 km) est assez roulante. À moins qu'il connaisse vraiment un jour sans. Il peut quand même se passer des choses intéressantes, à défaut de choses vraiment décisives. Comme en 1989. Séquence nostalgie: la 18e étape de ce Tour, qui avait le même final, Saint-Nizier et Côte 2000. En trois parties: https://www.youtube.com/watch?v=ux8jCpq1Myc https://www.youtube.com/watch?v=p5Ch23AuziY&t=1185s https://www.youtube.com/watch?v=krqvu6k6_5g&t=28s

Quand même, pour que je me sente un minimum à l'aise, il faudrait que ce groupe de type niveau 2 de ton club emprunte de temps en temps des côtes dignes de ce nom, ce que le tien ne fait pratiquement jamais. Bonjour l'angoisse. 🙁 Et même le groupe 1 de ton club, selon Olivier, serait réticent à passer une bosse genre Smeysberg… Pas glop ! 🙁 🙁 Enfin, c'est vrai que si je vais dans un club, ce sera justement pour travailler autre chose que le passage des côtes…

Jérémie était repassé pour l'occasion sur un vélo route titane très léger avec des freins à patins, et comme ils sont moins efficaces que les freins à disques auquel il s'est habitué sur ses vélos de gravel et de randonnée, il lui fallait anticiper plus que d'habitude. On peut prédire sans trop de risques de se tromper qu'il va s'arranger pour que son prochain vélo spécifiquement route sera lui aussi en disques… 🆒 Du moins s'il en rachète un, parce qu'il semble de plus en plus se tourner vers les pistes, chemins et sentiers. Pour ce qui est d'Eric, tu peux ajouter dans la liste de chiffres qu'il n'a eu besoin que d'un seul bidon, tandis que nous autres en avions deux chacun, et que ce n'a pas été superflu pour nous, bien au contraire…

Avec mes étriers TRP j'ai des disques Shimano et des plaquettes Swissstop. C'est apparemment une bonne combinaison pour éviter le bruit au freinage (en dehors des conditions humides). Lorsque que j'aurai à changer mes disques, ce sera pour des Swissstop également, pour voir si homogénéiser les marques de disques et plaquettes apporte vraiment quelque chose. Les bruits dû aux frottements intempestifs, donc hors freinage, c'est autre chose, et j'ai eu ce problème au début: bruits de frottements systématiquement après un freinage intensif, et en danseuse. J'ai réussi à me libérer presque complètement de ce phénomène irritant. Apparemment essentiellement dû au fait que la purge du système avait été faite avec d'autres modèles de disques et plaquettes que ceux que j'avais choisis lors de mon acquisition de ce vélo. Depuis que des purges supplémentaires ont été faites, les bruits hors freinage ont pour ainsi dire disparu. Restent des bruits qui se produisent peu fréquemment en danseuse sur de fortes pentes, et le fait qu'il faille parfois recenter les étriers après avoir démonté et remonté une roue. Ça me fait d'ailleurs souhaiter que mon prochain vélo soit à axes traversants puisque ça réduit voire élimine ces derniers problèmes, mais je l'ai déjà dit. En attendant, je profite quand même du fait qu'avec des blocages rapides, ça reste tout aussi rapide et enfantin de démonter une roue qu'avec des freins sur jantes, et presque autant de la remonter (il faut juste bien viser avec le disque pour qu'il passe entre les étriers). Je me répète là aussi mais le seul véritable inconvénients du freinage à disques hydraulique, à mon avis, c'est celui-ci: l'écart entre les plaquettes est beaucoup plus délicat à régler qu'avec des freins à patins ordinaires, du moins ceux à tirage latéral double pivot. À noter que c'est bien plus aisé avec des freins à disques mécaniques paraît-il, puisqu'il suffirait là aussi, comme pour les freins sur jantes, de tourner une vis ou une molette pour changer l'écartement des plaquettes. Mais avec ce système le freinage ne serait plus aussi performant ni aussi progressif.

Encore bien plus affreux selon moi: ces chaussettes d'été qui remontent de plus en plus haut vers les genoux… 📢 D'ailleurs, si vous connaissez une marque qui continue à vendre des chaussettes cyclistes ne remontant (comme il se doit) que jusqu'aux chevilles y compris, faites-le moi savoir, s'il vous plaît !

Ça sert à freiner, en fait. Si, si. 😃 Plus efficacement que les freins à patins, et apparemment pas seulement sous la pluie. Reste à enfin éduquer certains qu'il faut acquérir d'autres habitudes de freinage. On peut facilement imaginer le résultat quand un cycliste tient absolument à freiner avec des freins à disques de la même façon qu'avec des freins à patins… 🙄 Tiens, au juste, au sujet du bruit que feraient les disques: hier j'étais de sortie avec quatre autres copains du forum, et j'étais le seul avec des freins à disques. Comme le faisait remarquer Jérémie, qui avait ressorti un vieux vélo de route ultra-léger à freins à patins pour l'occasion: on a entendu pas mal de bruits de freinage, mais ça ne venait jamais du mien. 🆒 Je dois bien préciser que s'il avait plu, ç'aurait été une autre musique: ces freins chantent assez fort sous la pluie, mais comme c'est le bruit de l'efficacité, je ne risque pas de m'en plaindre.

Georges Maillet l'avait déjà faite sur ce même fil, il y a un bail. 😛 Et comme je le lui avais fait remarquer à l'époque: juste devant chez moi il y a eu pendant plusieurs semaines un VTT, accroché au même lampadaire chaque jour, qui présentait justement la même configuration…

Très intéressant ! Je me coucherai moins ignorant ce soir, merci. 😄

Qu'est-ce qui peut donc bien provoquer ces courbatures, contractures et autres douleurs résiduelles après un effort de ce genre ?

Œdème de Quincke consécutif à une réaction allergique… très dangereux surtout à cet endroit (risque d'enflement des voies respiratoires et donc d'étouffement) mais apparemment, dans ton cas, traité à temps ! 😄 Si le traitement fait effet comme il se doit, tu devrais pouvoir sortir demain. J'ai fait le même genre de réaction suite à une piqûre de guêpe à la main quand j'étais ado, eu le même traitement que toi, et le lendemain j'étais sorti de l'hosto, et il n'y avait plus que seulement la main d'enflée (mais énormément!). Mais c'est vrai que je n'avais pas à conduire de voiture, vu mon âge. 😃 Attends l'aval du médecin, de toutes façons !

Eric s'était posé la même question que toi. Sauf que si j'en crois mes sensations, c'est exactement le contraire: si je n'avais pas autant mouliné, j'aurais eu des crampes bien plus vite. Ce qui me faisait le plus mal aux pattes, c'était de suivre les relances, les accélérations et changements de rythme, après les virages, les pieds et les sommets de bosses… Et ça a commencé dès le tout début de la sortie ! J'ai eu très vite mal aux jambes, quasiment dès le départ. Alors pour m'épargner les gambettes autant que possible, j'ai mouliné encore plus que d'habitude. Ce qui a bien marché jusqu'au bout… presque. Ce qu'il me faudrait, c'est m'entraîner à ces changements de rythme. Problème : je n'aime pas du tout en faire. Peut-être en partie parce que je n'en ai pas l'habitude. Michel pense que je devrais m'inscrire à un club, ce qui m'obligerait à travailler tout particulièrement cette qualité. L'individualiste forcené que je suis arrivera peutêtre à se décider un jour…

Je pense pour ma part qu'il a tout simplement intégré qu'il ne brillera jamais suffisamment en haute montagne pour jouer la victoire, ou même le podium, au classement général, et qu'il a adapté sa tactique de course en conséquence. On devrait le revoir assez vite à l'avant sur des parcours aux ascensions plus courtes pour lesquelles il se réserve et où son punch est bien plus adapté.

Je plussoie : splendide virée hennuyère aujourd'hui, avec accueil 5 étoiles de Thierry Geumez et sa dame, et un parcours où j'en ai bavé moi aussi des ronds de chapeau, sur un rythme qui m'est parfaitement inhabituel: à fond la caisse à peu près partout ! Sur le plat, dans les côtes, en descente, et surtout avec des relances incessantes (j'aime pas!), à quatre derrière un Eric Hennuy pour qui c'était visiblement une simple sortie de récupération. Parcours vallonné à cheval sur la Belgique et la France avec des côtes peu pentues pour la plus grande partie, mais incessantes et usantes, surtout à ce rythme. Je revendique le mérite d'en avoir bavé plus encore que les autres 🆒 puisque des crampes aux deux cuisses m'ont fait «exploser» lors de l'avant-dernière côte (pour les Montois et les familiers de Mons-Chimay-Mons, c'est la 2e côte de votre fameuse «trilogie», celle dite «casse-cou» ou «cimenterie», à Harmignies). Même stats de distance que Michel, of course : 98,3 km, mais avec une moyenne un peu moins élevée de vélo effectif : 27,8 km/h. Tout simplement parce que j'ai dû largement baisser le rythme à cause de mes crampes, et que les quatre autres avaient dû m'attendre à cause de cela. Heureusement que c'était à la fin du parcours… Mais ça reste la moyenne de sortie la plus élevée que j'aie jamais faite. Auparavant, mon record était de 25,2 km/h, sur la Brabantse Pijl Cycling Route près de chez moi, de longueur (99 km) et dénivellation (1000 m) équivalentes au parcours d'aujourd'hui. Certes, j'étais seul alors, mais j'avais le même niveau de forme, et heureusement que celle-ci était bonne selon mes standards, car sinon j'aurais sauté bien plus tôt aujourd'hui. Autres stats : 3 h 32 de vélo effectif, 96 tours/minutes de cadence moyenne de pédalage (autre record personnel, l'ancien étant de 95), vitesse maximale de 59,5 km/h… Une stat dont je ne dispose pas et qui serait intéressante à analyser est la quantité d'acide lactique accumulée dans les pattes aujourd'hui … Quelque chose me dit que mes mouvements trahiront une certaine raideur demain matin ! 😃

Je ne crois pas: il y a aussi le fait que pour quelqu'un comme lui dont la peau craint le soleil, un maillot sans manches doit être encore moins attirant qu'un maillot à manches courtes. 😬

Il l'a dit dans son message: à cause du bronzage, selon lui inesthétique.

Ces deux dernières semaines du côté de Bruxelles, les maxima étaient entre 15° et 20°, ou guère plus, et j'ai mis à chaque sortie un maillot de mi-saison à manches longues (le modèle Intermediate), en plus d'un cuissard thermique (Tiburu, court mais épais). Sans jamais avoir eu trop chaud. Demain il fera largement au-dessus de 20° en température maximale et donc je ressortirai la tenue d'été, c'est-à-dire le cuissard court ordinaire… et le maillot à manches courtes. 🆒

Chez Assos, il y a ce modèle-là: https://www.assos.com/mille-gt-summer-ls-jersey?gender=M&color=143 Cher (120 euros) mais c'est Assos, donc la qualité devrait être au rendez-vous.

Et que dire d’un ket qui roule avec un schtroumpf sous la selle (en cuir) et avec des plateaux ovales. Ça tourne rond dans sa tête, à votre avis? :-)

Pas moi, je n'ai jamais eu vraiment chaud ces derniers temps malgré ma veste et mon cuissard thermique (donc nettement plus épais qu'un cuissard ordinaire), et pourtant j'y suis allé «à fond» plusieurs fois. Ça ne fait que confirmer ce que j'avais déjà remarqué: je suis plus frileux que la moyenne des cyclistes. Tout particulièrement les cyclistes belges, dont certains exemplaires m'épatent régulièrement à la mauvaise saison en sortant encore en court alors que j'ai ressorti depuis longtemps la tenue pré-hivernale ! 😲 Bon, ce week-end par contre, vue la météo annoncée je mettrai probablement aussi la tenue d'été, avec manchettes et coupe-vent dans la poche au cas où.

Depuis la rentrée, je n’ai même pas mis les manchettes maïs carrément la veste de mi-saison, et le cuissard thermique...